Je croyais que c'était la journée de la femme
Bonjour à toutes et tous !
Bonjour les lapins-pines les copains-pines
Le jour de la marmotte, c'est celui d'Un Jour Sans Fin, et nous sommes dans un jour sans fin.
C'est le WEEEEKK-END...!
Je suis heureux.....
Bonne fin de jour sans faim
A demain
Bonjour à toutes et à tous !
Bien le bonjour !
Bonjour les gens !
Hello
Mais bon, c'est tout le site qui subit ces gens là, tant qu'après tou on peut finir par trouver des gens gentils, il suffit de les ignorer !
Gentils, je ne sais pas… Comme on le dit, “l’habit ne fait pas le moine”. Et ceux qui arborent la couleur de la gentillesse ne sont pas nécessairement les plus sympas et les plus amicaux. Qui plus est, sur un forum, tout peut être mal interprété, surtout par écrit, et les smileys n’aident pas obligatoirement. Ils ont plusieurs sens et, selon le thème abordé, ils peuvent installer un gros doute. Par exemple, pour t’avoir lu quelques fois sur Actu, je sais que tu intègres dans tes posts un humour assez spécial, voire décalé, qui n’est pas systématiquement évident à décrypter pour certains qui vont l’interpréter dans le mauvais sens.
Bref, de toute façon, il n’y a pas de miracle, c’est en côtoyant les mêmes forumeurs durant de longs mois, voire de longues années, que tu finis par savoir si ça vaut le coup de taper la discute avec tel ou tel…
Sur ce, bonjour à tous les Samedis ! Pourvu que ça dure.....
Bonjour aux gentils gens
Le 09 mars 2024 à 11:09:35 :
Bonjour aux gentils gens
Le 09 mars 2024 à 08:52:42 :
Mais bon, c'est tout le site qui subit ces gens là, tant qu'après tou on peut finir par trouver des gens gentils, il suffit de les ignorer !
Gentils, je ne sais pas… Comme on le dit, “l’habit ne fait pas le moine”. Et ceux qui arborent la couleur de la gentillesse ne sont pas nécessairement les plus sympas et les plus amicaux. Qui plus est, sur un forum, tout peut être mal interprété, surtout par écrit, et les smileys n’aident pas obligatoirement. Ils ont plusieurs sens et, selon le thème abordé, ils peuvent installer un gros doute. Par exemple, pour t’avoir lu quelques fois sur Actu, je sais que tu intègres dans tes posts un humour assez spécial, voire décalé, qui n’est pas systématiquement évident à décrypter pour certains qui vont l’interpréter dans le mauvais sens.
Bref, de toute façon, il n’y a pas de miracle, c’est en côtoyant les mêmes forumeurs durant de longs mois, voire de longues années, que tu finis par savoir si ça vaut le coup de taper la discute avec tel ou tel…
Sur ce, bonjour à tous les Samedis ! Pourvu que ça dure.....
Ça m'a fait penser, puisque Mon Nom Est Personne est repassé récemment à la TV, à cette fable de la vache, le coyote et l'oisillon.
“Personne : Il était une fois un petit oisillon qui ne savait pas encore voler. On était en plein hiver et un soir, il tombe de son nid et il se retrouve sur le sentier. Alors il se met à crier: “Piu ! Piu ! Piu !”. Il se fend le gosier parce qu’il meurt de froid.
Pour son bonheur, voilà qu’arrive une vache. Elle le voit, elle veut le réchauffer. Alors, elle soulève la queue et plaf ! Elle pose une belle galette fumante, grosse comme ça !
Le petit oiseau, bien pénard et bien au chaud, sort sa petite tête et remet ça : “Pipiu ! Pipiu ! Pipiu ! Pipiu !” plus fort qu’avant.
Rrrrrrr ! Mais un vieux coyote arrive au triple galop. Il allonge une patte, l’extrait délicatement de son tas de merde, essuie la crotte qui le recouvre et ensuite… il n’en fait qu’une bouchée !
Mon grand-père disait qu’il y a une morale à cette histoire mais il faut que chacun la trouve tout seul !
Vieux : Oh Oh ! Un oisillon, un coyote, une galette, moi toutes ces histoires de merde ça me fait la tête comme une callebasse.
Jack Beauregard: Les fables et leur moralité, tu y crois encore ?
Personne : Oui !
Jack Beauregard : [Plus tard, à la fin du film] À propos, j’ai trouvé la morale de la fable que ton grand-père racontait, celle du petit oiseau que la vache avait recouvert de merde pour le tenir au chaud et que le coyote a sorti et croqué… C’est la morale des temps nouveaux. Ceux qui te mettent dans la merde ne le font pas toujours pour ton malheur et ceux qui t’en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur. Mais surtout ceci, quand tu es dans la merde, tais-toi !”
Oui, je ne le sais que trop, déjà il y a 55 ans sur les bancs de l'école, j'étais comme ça, à me confier trop, à aimer les gentils, et à penser et écrire décalé, et déjà ça me jouait de gros tours.
J'ai eu de gros coups de chaud dans ma vie, à être ainsi, mais hélas c'est ma nature, je n'ai jamais réussi à changer. Pourtant, c'est allé très loin, parfois, j'ai risqué la mort plusieurs fois à cause de mon décalage et de ma grande franchise.
Le pire, c'est que je ne regrette pas, car souvent, c'est parce que je suis obligé d'agir ainsi, pour pouvoir me regarder encore aujourd'hui et me dire "tu n'as rien à te reprocher".
Par contre, même si l'habit ne fait pas le moine, si mon instinct me dit que tel ou tel individu est un nid à soucis, j'ai appris à me fier à lui.
Par refus du "délit de sale gueule", je me suis mis plein de fois dans des situations impossibles.
Maintenant, quand je me dis que quelqu'un a vraiment une tête pas nette, je chage de trottoir.
Bonjour tout le monde !
Salut la foule
Quelle purée de pois ce matin
Bonjour !
Oui, il y a du brouillard dans la campagne entre Nantes et Angers, mais ça va, et il fait assez doux.
Le 09 mars 2024 à 16:14:03 :
Par contre, même si l'habit ne fait pas le moine, si mon instinct me dit que tel ou tel individu est un nid à soucis, j'ai appris à me fier à lui.Par refus du "délit de sale gueule", je me suis mis plein de fois dans des situations impossibles.
Maintenant, quand je me dis que quelqu'un a vraiment une tête pas nette, je chage de trottoir.
Oui, je connais cette fable de l’oisillon tirée du film.. Perso, j’aurais cité la morale de tout le film : qui sont les gentils, qui sont les méchants, qui sont les manipulateurs et à qui peut-on vraiment accorder sa confiance. D’ailleurs, les deux protagonistes le démontrent bien. Durant tout le film, ils se croisent souvent, s’observent, restent vigilants, évoquent des situations, se testent pour connaître les réactions de l’un et de l’autre, et finissent inconsciemment par contribuer ensemble à dézinguer les vilains méchants pas beaux.
La morale du film nous invite à réfléchir sur la confiance et à qui l’accorder... Elle souligne que parfois, il vaut mieux compter sur soi-même et faire preuve de patience en attendant une aide extérieure qui aura la même perception. De plus, elle met en lumière le fait que certaines opportunités peuvent sembler avantageuses, mais qu’il faut rester vigilant et évaluer les risques.. Enfin, elle nous rappelle que la perception des événements dépend du point de vue individuel, et que la prudence dans les relations humaines est essentielle pour ne pas se laisser aveugler par des gestes et des paroles qui peuvent paraître bienveillants dès les premières minutes...
Si mes souvenirs sont bons, le film commence chez le barbier (l’habit ne fait pas le moine) avec H. Fonda et se termine chez le même barbier avec T. Hill qui n'a pas plus confiance que son prédécesseur...
Bon dimanche à tous.......
Bonjour bonsoir au revoir