Allez hop je saute sur l'occas' pour avoir une nouvelle page

Le Grand Prix du Mexique est en page précédente

Et tant que j'y suis, je up une énième fois ce post : https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/973311612 vu qu'on est à une semaine de la fin de la saison, j'aimerai bien avoir d'autres questions que celles de Mouf svp (non pas qu'elles soient mauvaises mais bon, ça fait vide )

Perso j'ai pas d'idée

Sauf peut-être une mais je l'a mets ici, parce qu'elle a déjà peut-être été posée : Comment as-tu crée tes personnages ? (les plus importants) Basés sur du réel, sur une série/film ? Une explication de la genèse de chaque personnage ce serait cool

Le 12 mai 2019 à 10:50:29 TheNOLAN78 a écrit :
Allez hop je saute sur l'occas' pour avoir une nouvelle page

Le Grand Prix du Mexique est en page précédente

Et tant que j'y suis, je up une énième fois ce post : https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/973311612 vu qu'on est à une semaine de la fin de la saison, j'aimerai bien avoir d'autres questions que celles de Mouf svp (non pas qu'elles soient mauvaises mais bon, ça fait vide )

J'avais posé une question mais t'as répondu directe aussi pov con

J'attend des question plus "de fond"
Dans le style de celle de Monarch par exemple qui est le genre de questions que j'attendais
Genre si je prend ce qu'a fait Mouf, il y a pas mal de questions qui tournent autour des personnages et des chapitres/intrigues passés

Ca peut être des questions sur les fondements de la fic, Monarch a bien râtissé la question de la conception des personnages mais ça peut être une question comme par exemple "est-ce que t'avais prévu quelque chose de spécial pour la carrière/la vie de Niki en le créant ?" ou "Quel personnage est-ce que tu pensais vraiment utiliser et qui n'a au final pas eu une grande importance ?", ça peut avoir à voir avec la saison 4, avec Naïma, Sophia, Karl ou n'importe qui d'autre, ça peut parler de l'aspect sportif ou de l'aspect mental/psychologique de la fic, j'essaie de donner des pistes sans me poser les questions à moi-même mais voilà

Si personne d'autre pose des questions je trouverai ça triste parce que ça serait presque un "Nolanito répond aux questions de Mouf" et que je pense que ça omettrait quelque points (même si Mouf en a posé pas mal et que ça permet de faire un bon truc déjà) qui peuvent intéresser tout le monde

Quoiqu'il en soit, aujourd'hui c'est lundi et c'est donc publication

Avant-dernier GP de la saison, au Brésil Rendez-vous à 19h30 et 21h

Pourquoi tu t'es décidé de créer un héros aux antipodes de ta propre personnalité ? Qu'est-ce qui ta motivé pour écrire 600 chapitres sur un cuck ?

Wah la vache les mots sont crus

Mais l'idée est là, ça fera de la bonne matière

J'étais dur avec toi depuis le début, c'est pour te pousser vers l'avant

Lire les épisodes précédents
Saison 1 : https://docs.google.com/document/d/1i_D-M9wVeBDbcxO1Mb1jNnG_HmYg0BeSLdQC02PZj6Y/edit?usp=sharing
Saison 2 : https://docs.google.com/document/d/1Q3sSjYiScDXvGH4eGnqUzBddnYVnlC4NsLCSfZpwtTE/edit?usp=sharing
Saison 3 : https://docs.google.com/document/d/1ARHmZ-FSwjbF8vYO_3QHpJNdVE3yVrlAkhV3JgrUYxs/edit?usp=sharing
Saison 4 : https://docs.google.com/document/d/1UkaHTTpS-HaFoDXLYpjhGDuJf4MB7oOdhCOujINccuM/edit?usp=sharing

2021 (S4), Chapitre 44 (n°136) : Une grosse frayeur

Vendredi 19 novembre 2021, Autodromo Jose Carlos Pace, São Paulo
A mon arrivée au circuit, j’ai été assailli par les journalistes alors que mon altercation avec Ticktum à Mexico a été vue par certaines personnes, fort heureusement aucune caméra n’était présente. Nous avons tous les deux été réprimandés par la FIA et ça s’arrête là de leur côté, mais les fouines à micro ne lâchent jamais rien, alors j’ai décidé de ne rien lâcher non plus en ne répondant pas aux questions, par bon sens mais aussi par respect pour l’orgueil déjà bien entaché du Conor McGregor anglais.
Après le briefing d’avant week-end avec les ingénieurs, Nico Rosberg a tenu à me voir en aparté, inutile de vous expliquer que ça n’était pas pour parler de l’incident avec Dan.

Nico : Bon, je pense que tu te doutes de ce dont je veux parler avec toi, du coup je vais aller droit au but : j’ai accepté la proposition de la FIA. Charlie partira en fin de saison, Felipe Massa prendra sa place, ils sont en train de tout ré-organiser et j’ai envie de participer à ça parce qu’ils sollicitent beaucoup d’anciens pilotes. Il y aura moins de pression sur moi dans une organisation neutre.
Niki : Très bien, je comprend ton choix. Je ne vais pas dire que je ne suis pas déçu, mais je suis heureux pour toi, tu as pris la bonne décision. J’ai juste une question : est-ce que l’arrivée de Vettel a pesé sur ta décision ?
Nico : Ca n’a pas influé non, ça l’a causé. J’étais prêt à rester, mais qu’ils signent Seb, sans consulter les hommes de terrain comme Arturo ou moi, c’est bas. Je te souhaite bon courage pour la saison prochaine, fais attention à toi. Cette équipe est en train de se détruire aussi vite qu’elle ne s’est bâtie.
Niki : Et concernant le dossier que je t’avais confié ? Ils t’ont écouté, cette fois ?
Nico : Je crois que oui. C’est en bonne voie. C’était culotté de ta part et de la sienne, mais ce petit gars aura vraisemblablement sa place dans le simulateur l’an prochain.
Niki : Merci beaucoup Nico.
Nico : C’est ma dernière course ici. Les règles sont les règles, j’ai un préavis de trois mois à respecter entre mon départ d’Audi et ma prise de fonction parmi les officiels, alors je ferai mes cartons à la fin du mois pour pouvoir commencer ma nouvelle mission à partir de mars et finir de préparer la saison 2022 avec la FIA. Sache que j’ai été ravi d’être dans la même organisation que toi : s’il y a bien une décision que je ne regrette pas, c’est celle de t’avoir amené ici quand Nico t’a recommandé. Même si tout ne tient pas debout dans cette écurie, profite de la bonne monoplace qui t’es donnée pour éclore, sers-toi du niveau de performance d’Audi pour éclore et pouvoir aller dans un environnement plus sain. C’est tout ce que je te souhaite. Bonne chance pour la suite, à très bientôt j’espère.

La discussion a été assez forte. Nico Rosberg n’a jamais tari d’éloges sur moi et notre dialogue d’aujourd’hui ne fait pas exception à cela, malgré tout je dois me concentrer sur ma tâche qui est de réussir cet avant dernier Grand Prix. La saison dernière, ç’avait été une course mouvementée avec la météo, j’avais inscrit des points pour la troisième fois de la saison et il y avait eu la performance de George Russell, que j’avais essayé d’aider via la radio. Cette année cependant, pas de pluie à attendre. J’aime bien ce circuit, il est agréable à piloter, surtout dans des conditions piégeuses. J’ai pas mal de souvenirs d’enfance de ce circuit, notamment les batailles pour le titre en 2006, 2007, 2008 ou 2012 par exemple. C’est pour ce genre de courses qu’on est prêts à perdre deux heures tous les dimanches à regarder des purges car, neuf fois sur dix, vous vous ennuyez ferme mais, la dixième fois, vous êtes comblé de voir un tel spectacle et Interlagos est un bon endroit pour obtenir satisfaction.

La réalité du moment présent me rattrape cependant : nos problèmes de freins ne sont pas réglés. J’essaie différentes approches en libres mais rien ne fonctionne, pourtant il faut faire des tours pour amasser les données alors je ne laisse aucun répit aux disques.
A vingt minutes de la fin de séance, je vais regretter d’avoir enchaîné les boucles tel un Forrest Gump : en abordant le premier virage, mon frein avant-droit explose littéralement, la voiture est propulsée dans le mur sur la droite sans que je puisse réagir. Le choc est violent, je n’ai pas souvenir d’avoir déjà pris un choc pareil. C’est encore pire que le crash en début de saison à Barcelone, quand ma voiture avait décollé du sol au premier virage après un crash. Je sors difficilement de la voiture, sonné par ce qui vient de m’arriver, celle-ci est dans un sale état, m’est avis que les mécanos ne vont pas beaucoup dormir ce soir.
On m’emmène faire un détour par le centre médical pour un checkup, qui n’est pas très bon ; les médecins de la FIA émettent des réserves sur ma participation au Grand Prix, ils sont inquiets pour ma cheville gauche. Ils me disent de revenir demain matin pour qu’ils fassent une dernière vérification avant la qualification ; c’est vrai que j’ai un peu mal, mais c’est normal, pas spécialement inquiétant selon moi, néanmoins ce sont eux les professionnels du domaine alors je leur fais confiance.

Samedi 20 novembre 2021, Autodromo José Carlos Pace, São Paulo
Comme prévu, en ce samedi matin, je me rend à nouveau au centre médical pour vérifier si ma cheville gauche est en état. Elle a un peu gonflé pendant la nuit et est un peu douloureuse mais je veux participer à ce Grand Prix. Le docteur Ian Roberts, médecin en chef de la FIA, finit par me donner le feu vert, mais insiste sur une chose : si je ressens la moindre douleur en course, je dois rentrer au stand. Ca ne valait pas le coup, selon lui, d’avoir recours à des infiltrations - j’aurai de toute façon refusé - mais la moindre douleur peut avoir des conséquences à court et moyen-terme sur mon pied gauche, alors le moindre risque superflu est à proscrire.

Arrivé dans le garage, je suis impressionné de voir que ma voiture a été remise en l’état. Dans mon malheur, c’est l’avant de la voiture qui a morflé, il n’y a pas besoin de nouvelles pièces pour le moteur ou la boîte de vitesses donc pas de pénalité, néanmoins le rythme n’est pas dingue. Le premier tiers de la qualif me coûte presque ma place alors que je parviens de justesse à passer avec le quatorzième temps, décroché après le drapeau à damiers, qui n'est pas spécialement perfectible, du moins semble-t-il.
Dans l'interstice entre les deux séances, Steven me dit à la radio que je concède plus d'un dixième à Nico dans le S2, contredisant ainsi ce que je pensais. Au terme de quinze minutes, presque par miracle, je parviens à accrocher un onzième temps auquel je suis incapable d’apporter une explication : j'ai amélioré mon meilleur chrono de Q1 de plus de quatre dixièmes. Nico a fait un temps plus lent, c’est un vrai mystère pour moi de me retrouver si proche du top 10, surtout en étant diminué bien que la blessure n’est pas énorme.

Grille de départ :
1 Vandoorne (REN) 2 Bottas (REN)
3 Gasly (RBR) 4 Ricciardo (FER)
5 Verstappen (RBR) 6 Vettel (FER)
7 Leclerc (HAA) 8 Sette Câmara (STR)
9 Ericsson (WIL) 10 Ghiotto (SAU)
11 N.Kofler (AUD) 12 Hulkenberg (AUD)
13 Aitken (WIL) 14 Russell (MER)
15 Maini (HAA) 16 Ocon (MER)
17 Ticktum (STR) 18 Sainz (MCL)
19 S.Kofler (SAU) 20 Norris (MCL)
21 Pérez (CHR) 22 Magnussen (AMR)
23 de Vries (AMR) 24 Gunther (CHR)

Pourquoi je sens que ce frais de port de Ticktum va aller mettre un coup de pied dans la cheville gauche de Niki?

Mais est-ce que ça sera avant ou après la course?

Associé Conor McGregor au petit rat anglais

Première partie postée plus haut

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Saison 1 : https://docs.google.com/document/d/1i_D-M9wVeBDbcxO1Mb1jNnG_HmYg0BeSLdQC02PZj6Y/edit?usp=sharing
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2021 (S4), Chapitre 45 (n°137) : Dans la douleur

Dimanche 21 novembre 2021, Autodromo José Carlos Pace, São Paulo
Le réveil est compliqué ce matin, ma cheville fait toujours mal, ça se voit un peu dans ma démarche à travers le paddock et ça me vaut quelques remarques, Sophia pense que je souffre le martyr et que j’essaie de rester digne mais, en réalité, ç’aurait pu être pire. J’ai mal mais ce n’est pas plus douloureux que quand vous jouez au foot et que vous vous tordez la cheville en changeant d’appui, pour situer. Vers onze heures, je passe voir Hanne, le kiné d’Audi, pour qu’il essaie d’améliorer un peu la situation car j’ai malgré tout un métier à exercer mais il a beau essayer de masser, de bouger doucement mon pied, je suis dans l’incertitude : soixante-et-onze tours, est-ce que c’est faisable ? La douleur ne risque-t-elle pas de s’aggraver au bout d’une heure et demie ? Dans mon malheur, en sortant des installations Audi, je tombe sur mon meilleur ami.

Daniel : Qu’est-ce qu’il y a, Niki ? Tu as essayé de te battre avec un chien et il t’a mordu ?
Niki : Ta mère ne me mordrait pas à cet endroit, ce n’est pas là qu’elle a l’habitude d’approcher ses dents…
Daniel : Doux Jésus, surveille ton langage !
Niki : J’imagine que tu es ravi de me voir dans cet état, pas vrai ?
Daniel : Tu ne peux pas imaginer à quel point…
Niki : Est-ce que c’est parce que tu n’es pas capable de me faire mal que tu te réjouis de la sorte ?
Daniel : Tu es vraiment sûr de vouloir un round 2 ?
Niki : Il n’y a pas besoin de ça, dois-je te rappeler qu’hier j’étais plus rapide sur une jambe que toi sur deux ? C’est la loose si tu finis derrière moi.
Daniel : Je n’en ai aucune intention, ne t’en fais pas.

Sur la grille, Arturo s’assure que je suis mentalement prêt à affronter ce qui m’attend. Comme un papa de substitution, en somme, il veut être rassuré sur mon intégrité physique mais, honnêtement, j’ai bon espoir que la douleur passe au second plan une fois que je serai lancé à toute allure sur le tracé pauliste.
Au départ, j’arrive à prendre un bon envol - probablement car il n’y a pas besoin de pied gauche pour ça - et je me défais de Luca dans le premier secteur. Pendant les tours qui suivent, je suis la Williams d’Ericsson, qui est bloqué derrière un Sette Câmara héroïque mais qui fait bouchon. Six tours plus tard, alors qu’il semblerait que Marcus ait perdu sa patience, il passe à l’attaque et, à vrai dire, moi aussi : dans la ligne droite du premier secteur, à trois de front, je me retrouve tout à droite et, alors que je pense avoir gagné une place au détriment de Sergio, je sens un contact à l’arrière-gauche et me retrouve dans le sens inverse à la marche.

Niki : P*****... J’ai été heurté à l’arrière, je pensais qu’il ralentirait dans le virage, fais c****...
Steven : Des dégâts ?
Niki : La voiture a un comportement étrange, je crois que l’arrière-gauche est à plat.
Steven : Alors box dans ce tour. On va te changer ça et inspecter la suspension.

Décidément dans un mauvais jour, je pense rentrer au stand pour pouvoir repartir avec des gommes neuves mais, une fois arrivé sur mon emplacement, le mécano du jack avant me fait le signe de croix avec les bras.

Niki : Pourquoi est-ce qu’on me fait signe ?
Steven : C’est course terminée pour nous, Niki. Il manque un gros morceau du fond plat, ça ne sert à rien de continuer, tu vas perdre trop de temps.
Niki : Ok...

Les gars rentrent donc la voiture dans le box et je m’en extrais, déçu. Après avoir remercié les mécanos, je jette un coup d’oeil au fond plat effectivement salement amoché de mon Audi. Le contact en a arraché un morceau et le fait de parcourir presque un tour entier avec un pneu en délamination n’a sûrement rien arrangé, mais il manquait globalement la surface de mon pied sur le fond plat et je chausse du 44, pour imager.

Classement de la course :
1 Verstappen (Red Bull)
2 Bottas (Renault)
3 Vandoorne (Renault)
4 Gasly (Red Bull)
5 Vettel (Ferrari)
6 Aitken (Williams)
7 Ericsson (Williams)
8 Sette Câmara (Toro Rosso)
9 Hulkenberg (Audi)
10 Ghiotto (Sauber)
…
13 S.Kofler (Sauber)
...
DNF N.Kofler (Audi)

Championnats

Journaliste : Niki, pas votre jour, hein ?
Niki : Pas mon week-end. Le crash de vendredi m’a déjà bien secoué, je ne savais pas comment se déroulerait la suite du week-end, alors abandonner au bout de huit tours est peut-être un mal pour un bien. Je suis déçu, j’attendais quelque chose de ce week-end, le fait de partir onzième témoignait du niveau de performance que je pouvais attendre, mais c’est ainsi.
Journaliste : Nico Hulkenberg est actuellement en train de faire une grosse fin de saison, il est entré trois fois dans les points sur les quatre dernières courses pendant que vous n’y êtes plus rentré depuis le Canada, est-ce qu’il y a une explication ?
Niki : Oui, c’est juste que les astres ne sont plus vraiment alignés pour moi. Ils ne l’étaient pas en début d’année, ils ne semblent plus l’être en ce moment, certains diront que je n’ai réussi que les courses européennes mais les dernières courses ne m’ont pas été favorables ; un problème aux Etats-Unis, un crash au premier tour au Mexique, un abandon aujourd’hui, je n’ai même pas eu l’occasion de défendre mes chances, la dernière fois c’était au Canada, justement. C’est comme ça que je vois la situation.
Journaliste : Dan Ticktum a déclaré tout à l’heure que vous étiez “surcoté” par les suiveurs de la Formule 1, qu’avez-vous à lui répondre ?
Niki : Je n’ai rien à répondre, je n’écoute pas les enculés comme Dan, désolé pour le gros mot mais je ne vois pas vraiment comment le qualifier. Dan est actuellement en train de se rendre ridicule, depuis qu’il a signé chez Red Bull il est devenu plus imbuvable qu’il ne l’était déjà et c’est à peu près la seule chose qu’il a réussi à augmenter ces dernières semaines. Il essaie d’évacuer sa frustration en menant une petite guerre contre moi parce qu’il pense toujours avoir le dessus depuis notre bataille en F2 mais il est en train de prouver à tout le monde qu’il n’est pas si supérieur que ça, je dirais même qu’il est moins bon que moi sur tous les plans, surtout le plan émotionnel. La version officielle stipule que nous avons essayé de nous battre dans le paddock à Mexico, la vraie version est qu’il s’est emporté quand je lui ai fait la remarque qu’il était en train de me placer sur un piédestal en agissant comme une petite personne. Sur ce plan, il me fait un peu penser à Mister Huph dans Les Indestructibles, je ne sais pas si vous voyez de qui je parle, c’est le petit personnage nerveux qui passe son temps à râler, la seule différence que je vois vraiment c’est la taille, même leurs coupes de cheveux se ressemblent ! (rires) Je ne sais pas si je suis surcoté dans ce paddock mais je suis sûr d’une chose et c’est que Daniel est très clairement surcoté dans sa propre estime.
Journaliste : Est-ce qu’on peut parler de rivalité entre vous deux ? Quand on regarde vos récents accrochages sur la piste et en dehors et quand on entend la façon dont vous parlez de lui, on peut penser que c’est le cas.
Niki : Je ne dirais pas que c’est une rivalité. Deux rivaux se respectent toujours et reconnaissent la valeur de l’autre, or ça ne semble pas être le cas de Daniel, qui reste persuadé en tout temps qu’il est le plus brillant. En ce moment, Dan est juste en train de flatter mon égo, je ne me définis d’ordinaire pas comme un valeureux guerrier mais le fait de le voir perdre son sang-froid face à moi me fait presque penser que je suis fort et imbattable ! Quand il aura la présence d’esprit de réaliser que nous sommes vingt-quatre compétiteurs de talent peut-être qu’on pourra appeler ça une rivalité mais, en attendant, disons que je lui donne des cours particuliers.

Mon attitude face aux caméras n’a rien d’anodine : Ticktum a voulu une bataille, il aura la guerre. J’ai hâte d’en découdre avec ce pauvre type à nouveau pour lui montrer que je ne suis pas plus surcoté que lui ; pourquoi pas à Abu Dhabi ? Ce serait un magnifique bouquet final pour moi, mais je ne suis pas certain que “Mister Huph” sera au niveau...

Rappel : posez-moi vos questions sur l’univers de la story pour l’épisode d’intersaison https://www.jeuxvideo.com/elektronomia/forums/message/973311612

Dan et Niki finiront par s'apprécier.
(pari osé )

C'est Sette Camara qui a heurté Niki ?

Le 13 mai 2019 à 21:06:30 Barcelone97 a écrit :
Dan et Niki finiront par s'apprécier.
(pari osé )

C'est le genre de paris qui peut marcher, fais gaffe.

C'est Sette Camara qui a heurté Niki ?

Oui, j'ai imaginé ça comme un mauvais sandwich entre Ericsson et Kofler, incident de course.

+1 Barça, on sait même pas qui a touché Niki

Édit : ok

Alors juste un ptit truc, tu penses pas qu'aujourd'hui si un pilote parle comme ça d'un autre (en plus c'est pas qu'une phrase, Niki détaille pas mal) y aurait de grosses répercutions style amende de la FIA + popularité auprès des fans qui risque de décroitre etc ?

Les fans n'aiment pas Ticktum, il le dit au Mexique style "t'as la belle gueule t'es gentil blabla" alors quand Niki y va violemment, les fans le suivent

C'est comme si le "suck my balls" de Magnussen avait été dit par Sainz ou Vandoorne, vu que ce sont deux pilotes populaires personne aurait calculé

Que le politiquement correct aille se faire mettre par Ticktum

J'adore ces joutes verbales que se livrent les 2

Bon épisodes en tout cas mais ce serait bien qu'il finisse sa course la prochaine fois

Le 14 mai 2019 à 10:01:09 Elektronomia a écrit :
Les fans n'aiment pas Ticktum, il le dit au Mexique style "t'as la belle gueule t'es gentil blabla" alors quand Niki y va violemment, les fans le suivent

C'est comme si le "suck my balls" de Magnussen avait été dit par Sainz ou Vandoorne, vu que ce sont deux pilotes populaires personne aurait calculé

Que le politiquement correct aille se faire mettre par Ticktum

Oui mais "suck my balls" c'est trois mots, direct propre sans bavure. Niki lui il fait tout un pamphlet, alors que de manière réaliste je pense que la réponse aurait été un truc du genre : "Y a un passif entre nous mais bon qu'il aille se faire foutre au pire (rires) "

Bon sinon j'aurais aimé une course héroïque genre marquer des points avec la cheville en vrac mais bon Sergio ce fils de favela...

Sinon je constate que Verstappen va être CDM au prochain chapitre