- Le premier plan me semble une bonne alternative, je pourrais me charger des négociations, c’est une de mes spécialités. Le récompenser serait inutile, nous n’avons pas de crédit et la République a d’autres choses à faire que de payer des contrebandiers.

Sirius répondit à Noovi

-C’est naïf de croire que ce sera si simple. Ça rapporte dix fois plus de dénoncer des Républicains aux chefs de gang que de faire le taxi pour eux et ça tout le monde le sait sur cette planète. On va avoir besoin de beaucoup de chose et vraiment prier pour tomber sur une bonne personne.

Sinon pour vous c’est donc ça la fin ? Tout le monde retourne à sa place dans la guerre ? C’est assez triste tout cela et personnellement je préfère les fins plus joyeuses. Je m’entend bien avec vous tous et je pensais qu’on pourrait se revoir après tout ca. Dit Sirius quelque peu alcoolisé et en souriant.

Après moults péripéties, passant du vers géant au tentatives de communication avec des autochtones, le groupe arriva finalement à trouver un toit auprès de fermiers, malheureusement le jedi avait visiblement commi une erreur et causé le malaise d'une Rhodienne, Alk était resté en retrait jusqu'ici mais lorsque les langues se libèrerent il écouta alternativement et fini par répondre au jedi qui parlait assez naïvement à son goût.

-C'est assez naïf de penser ainsi, nos devoirs nous rappelleront et nous nous separeront, bon je peut peut-être aller voir si la dame va mieux non ?

-Je ne vous parlais pas soldat. Dit Sirius en fronçant les sourcils.

-D’ailleurs vous n’avez pas prononcé un mot de toute la soirée, ce n’est pas très respectueux. Et non vous ne pouvez pas aller voir la dame, son fils veut que seul un médecin Rodian s’en occupe.

Syu boit son troisième verre.
- En même temps, avec vos conneries il va plus nous laisser l’approcher pendant un moment.

-Ce n'est pas très poli de se souler chez les gens.

Sirius s’adressa d’abord à Syu ?

-De quoi et de qui parlez-vous ?

Sirius répondit ensuite à Alk.

-Écoutez, que vous ne souhaitiez pas interagir et vous détendre avec nous après cette journée difficile et que vous préférez rester dans un silence de marbre qui n’est pas plus poli c’est une chose, c’est votre droit et votre éducation.
Mais que vous manquiez de respect à votre général ou à un sénateur, cela je ne vous le permet pas soldat !

C'est à vous que je m'adressais.

-Ecoutez un peu plus, vous vous seriez rendu compte que j’ai parlé du fait de manquer de respect à votre général. Et qu’est ce que je suis moi pour vous ? Oh tiens, votre général !
Faites attention soldat, je suis d’un naturel calme et je n’aime pas créer des conflits, mais j’aime le respect. Et aucun ne doit déroger au respect. Ainsi si vous continuez sur cette lancée je serai contrain d’en informer vos supérieurs directs une fois rentré sur Coruscant.

- On se calme. La journée a été difficile pour tout le monde et chacun prend ça à sa façon. Elle se tourna ensuite vers Tylanan. Quand à notre futur, c'est clair pour moi. Notre présence ici était pour obtenir des informations sur notre ennemi et s'en servir pour poursuivre l'affrontement. Maintenant que tout a échoué, il est normal de retourner à nos postes, que ce soit au Sénat, en première ligne ou au commandement. Et là vous vous étiez Ziggie. Ajouta-t-elle à l'intention du Contrebandier en souriant.

-Ne vous inquiétez pas je rigolais. Un peu maladroitement à cause de l’effet de l’alcool, mais je vous trouvais un peu triste et absente, je suppose que vous êtes constamment entrain d’élaborer des plans pour nous garder en vie et je voulais juste vous faire sourir. Finalement c’est Ziggie qui a eu cette chance mais je peux quand même me vanter d’y être en partie responsable. Dans tout les cas c’était une blague maladroite et je ne pensais pas qu’elle gênerait une dispute, excusez-moi.

-Mais dans le cadre de ma blague, rassurez-vous je ne parlais pas de faire équipe toute notre vie et d’abandonner nos poste, je parlais seulement de se revoir tous, un jour. Ajouta Sirius en souriant à son tour.

Pare-Choc était resté à l'arrière du groupe lors de la découverte du village, il n'avait pas évoqué son opinion sur le pour et le contre pour rester dans le village.
Après tout son opinion n'était pas important.

CT-2225 était très mal à l'aise lors de la discussion "alcoolisée" des généraux Jedi et des sénateurs.
Pare-Choc n'avait jamais bu d'alcool, durant ses 9 années d'existence, il n'avait jamais bu une seule goutte d'alcool, il en avait envie mais ses permissions étaient très restreintes lors de son entraînement et son protocole ne favorisait pas la "boisson du Diable", seule les légions tel que la 501ème ou encore la 212ème avait droit à des permissions dans ce lieu qu'on appelle : "Le Bar aux clones"

Soudain, le soldat Alk avait parlé, d'une manière un peu trop violente envers le général Tylanan.
Pare-Choc était choqué de la manière du soldat, jamais il n'aurait pu répondre à un général Jedi, surtout que le général en question, avait sauvé la pitoyable vie d'un clone.

"Qui n'est autre que moi..." Pensa-t'il.

Il regarda son DC-15 S qui était dans ses mains, désactiva le cran de sécurité.

- Soldat Alk, baissez d'un ton avec votre supérieur.

Vise le Soldat au niveau de l'abdomen. Un tir et il mourra dans les 30 secondes après détonation.

- Il est temps pour vous de partir.

- Oui, je comprend bien Sirius ne vous en faites pas. Je vous avoue que j'ai hâte de rentrer, j'ai un peu l'impression de perdre mon temps ici pendant que les autres se battent.

A peine eut-elle terminée de parler qu'un nouvel incident se produisit. Le clone, jusque là plutôt silencieux avait dégainé son arme et visait droit sur Alk, ayant visiblement peu apprécié les propos tenus par ce dernier.

- Baissez votre arme soldat ! On a eu assez d'histoires pour aujourd'hui.

Syu boit son quatrième verre.
- Hé hohohoho z’allez vous calmer vous autre pasque sinon hips je vais me fâcher hein.

- Géneé-érale c'est impossible, en baissant mon arme, je faillirai à ma mission. La protection de mes supérieurs.

Pare-Choc gloussa, et son arme resta pointée vers le soldat.

"Je ne faillirai plus, je ne faillirai plus. La mission.''

Cette phrase se répéta en boucle dans son crâne depuis la pire nuit qu'il connut.

-Tu va tirer ? Me tuer ? Ou tu va encore t'évanouir ? J'ai rien contre toi soldat, ni contre l'autre romantique, juste que visiblement toi et lui vous n'avez aucune outain d'expérience du combat et n'avez aucune idée de ce que ça implique, maintenant libre à toi de tirer, je te conseille de ne pas te louper car tu le regretterais.

Se prépare à activer sa lame rétractable située sur son poignet, un seul geste vif et la a carotide du clone deversera un flot de sang.

Sirius comprenait que Pare-choc n’était pas dans son état normal et qu’il devait être apaisé. Il dit d’une voix calme.

-Calmez-vous soldat, je comprend que l’irrespect du soldat Alk vous ait agacé, mais vous réagissez outre mesure. Apaisez-vous, ce genre de problème ne mérite pas de faire couler le sang, nous aurons besoin de l’aide de tout le monde et nous ne devons pas nous battre entre nous.
Baissez votre arme, faites moi confiance.

Sirius se tourna ensuite vers Alk et lui d’un ton plus sec.

-Vous si vous faites un geste brusque, ce sera la cour martiale !

Tu te précipites sur l'arme de Weens mais tu n'arrives pas à la récupérer.