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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
A la lecture de la jaquette de SCAR, on reste assez dubitatif. En effet, celle-ci annonce fièrement que le titre est "le premier jeu de rôle dans l'univers des courses automobiles". Etrange... En fait, quand on commence à jouer, on comprend tout de suite ce qu'ont voulu faire les développeurs : axer leur jeu non pas sur les voitures, mais sur le pilote qui les conduit. Ainsi, un bolide performant n'est rien si le pilote que vous incarnez ne dispose pas des compétences indispensables à tout bon sportif : gestion du stress, concentration... Un concept révolutionnaire ? Voyons ça tout de suite.
Cinq mois seulement après la sortie du cinquième volet de Settlers, voici que déboule son add-on joliment intitulé "Expansion Disc". Un titre qui a le mérite d'être clair et sans fioriture mais qui ne nous dit rien sur le contenu de cette extension. Heureusement, ce test est là pour vous décrire ce à quoi vous aurez droit si vous l'achetez.
Parfois, les mondes du comics et du jeu vidéo pour les plus concernés mettent en place ce que l'on appelle un cross-over, regroupant de ce fait des personnages ou des évènements de deux séries distinctes, afin d'en former une sorte de compilation. Nous étions habitués à voir les X-Men, Batman, Superman agir dans ces imbrications savantes, transcendant les amateurs d'une ou plusieurs des légendes vivantes présentes. Quel ne fut donc pas le choc en observant le premier cross-over mécanique, entre deux sagas aux effluves d'huile du moteur, à savoir MX (Unleashed en particulier) d'un côté et ATV Off Road de l'autre. Mais quelle peut bien être la raison d'un tel métissage ? Et bien tout simplement les équipes de Rainbow Studio qui sont tout de même déjà responsables de la légendaire gamme des Motocross Madness, reconnu pour son parti-pris éminemment arcade. Comme diraient les playmobils : "En avant les histoires !
Honneur aux premiers comics de Science-Fiction et aux films de série B des années 60 avec Destroy All Humans ! Le titre que nous livre l'équipe de Pandemic Studios revisite la SF d'une façon très pertinente, avec une touche évidente d'humour sarcastique mais aussi de nostalgie qui ne devrait pas vous laisser indifférent.
Honneur aux premiers comics de Science-Fiction et aux films de série B des années 60 avec Destroy All Humans ! Le titre que nous livre l'équipe de Pandemic Studios revisite la SF d'une façon très pertinente, avec une touche évidente d'humour sarcastique mais aussi de nostalgie qui ne devrait pas vous laisser indifférent.
La tâche est lourde et la pression pesante pour DICE qui se doit d'offrir aux joueurs la digne suite de Battlefield 1942 et son cousin Vietnam. Attendu au tournant par les troufions virtuels au clic de souris facile, le studio parvient-il à relever le défi en plaçant son jeu au sommet des shopping lists ? Oui.
On a à peu prêt eu droit à tout sur le plan des jeux de gestion : gestion d'une ville, d'un parc d'attractions, d'infrastructures de transport, de zoo, de casino et j'en passe. Mais un jeu qui se concentre sur le pétrole, c'est plutôt rare. C'est pourtant l'orientation prise par Oil Tycoon 2. Hélas, même si le thème du jeu est original, le soft lui même l'est beaucoup moins et cumule des défauts qui lui sont fatals. Voyez plutôt...
Après un Gorky Zero : Beyond Honor de piètre facture, Metropolis remet le couvert et persiste dans le genre action/infiltration. Un an séparant Gorky de Aurora Watching, on peut raisonnablement se dire que les développeurs ont su tirer partie de leurs erreurs passées pour améliorer le gameplay qui handicapait grandement leur première production. Et bien non, car hormis un aspect graphique plus convaincant et quelques ajouts au niveau des armes et gadgets, Aurora Watching accumule les problèmes dont la progression linéaire et sans volume n'est pas le moindre.
En voilà une bonne initiative de la part de Cyanide et de Focus puisque l'add-on Mort Subite est proposée avec le jeu original à petit prix ! Enfin des développeurs et des éditeurs qui ne prennent pas les joueurs pour des vaches à lait, ça nous change un peu. C'est d'autant plus louable que le jeu dont il est question est loin d'être mauvais puisqu'il s'agit de Chaos League, un jeu fun et délirant qui met en scène des personnages tirées de l'univers heroic fantasy qui participent à un sport très particulier puisque tous les coups y sont permis.
Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi les jeux d'aventure se faisaient si rare sur consoles et à plus forte raison sur consoles portables ? La raison est toute bête, elle tient à l'ergonomie du support. Manier un curseur sans le confort d'une souris, c'est possible, mais c'est loin d'être agréable. Et sur DS alors ? Avec un écran tactile en guise de mulot, ça peut le faire, non ?
Quels jeux peut-on légitimement accuser de nuire fondamentalement à notre équilibre nutritionnel, de nous pousser à ingurgiter des substances composées à 85 pour cent de lipides bien agressifs ? Au sommet de cette montagne constellée de coupables, nous pourrions placer avec raison les titres mythiques que sont Micromachines, ou plus récemment Micromaniacs, moins jouable mais plus délirant. Grâce à ces derniers le passage du duo verre d'eau et plat de pâtes s'est mué miraculeusement en celui plus condamnable de limonade et pâte d'amande. C'est plus simple à avaler, moins risqué pour la moquette, et surtout aussi nourrissant. Mashed réussira t-il également à faire évoluer nos habitudes alimentaires ?
Le nom de Batman résonne dans les oreilles des amateurs de comics comme une douce mélodie qui leur rappelle les excellents albums disponibles. Pour les accros de cinéma et de jeux vidéo, ce nom a souvent été synonyme de déception. Le jeu Batman Begins issu du film éponyme est cependant loin d'être mauvais et il rempli même très bien sa fonction : nous divertir.
Madagascar. Ce terme évoque immédiatement un nombre d'images assez conséquent. Dans l'esprit se développent des immenses jungles impénétrables, des reliques d'environnements primaires intacts, ou encore les reliefs étranges et chaotiques s'étendant au centre de l'île. Mais plus que tout ça, Madagascar est aussi la patrie d'animaux aussi surprenants que ridicules. Ne sont-ils pas totalement dépourvus de crédibilité ces pauvres lémuriens, avec leurs yeux aussi gros que des melons et arborant la célèbre expression de la poule observant avec insistance une fourchette ? Et que dire des caméléons passant leur temps à s'essayer au "break-dance" ? En tout cas, c'est dans une telle atmosphère digne d'un délire éthylique que vont tomber Alex, Marty, Melman et Gloria, quatre évadés d'un zoo au passé tumultueux.
Ca ressemble à du Warcraft 3, ça a le goût d'un Warcraft 3 mais ça n'en a pas la qualité. De quoi je veux parler ? Et bien de Rising Kingdoms bien sûr, un jeu de stratégie temps réel "à la Warcraft 3", traduisez, qui privilégie un gameplay avec un nombre limité d'unités et avec des héros aux pouvoirs spéciaux qui évoluent au fil des missions. Oui mais voilà, il ne suffit pas de reprendre quelques recettes éprouvées pour faire un bon jeu, c'est ce dont on s'aperçoit en jouant à Rising Kingdoms.
A l'image des jus de fruits Joker, tout le monde semble avoir droit à son Madagascar. Conjointement aux versions de salon, le jeu arrive donc sur DS dans une version spécialement dédiée à la portable avec notamment une utilisation de l'écran tactile qu'on ne trouvera pas sur GBA. Forcément...
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais j'ai beaucoup de mal à entretenir une correspondance avec des amis perdus de vue. Il faut toujours que ce soit eux qui fassent le premier pas et se manifestent par un mail, un coup de fil ou même une visite impromptue. Conker, lui, ça fait bien quatre ans que je ne l'ai plus vu. Malgré les bons moments passés ensemble à rire de blagues idiotes, nos voies se sont séparées et je n'ai plus jamais entendu parler de lui. Jusqu'à ce que j'apprenne qu'il préparait en fait son grand retour et qu'il prévoyait même de m'apporter quelques cadeaux. Là, ça fait une bonne semaine qu'il squatte chez moi, et c'est comme si on ne s'était jamais quitté.
Comme c'est souvent le cas avec l'adaptation de films en jeux vidéo, Madagascar nous arrive quelques jours avant sa sortie sur grand-écran. L'occasion pour certains de se faire une première opinion sur le long-métrage, au risque d'être déçu par cette première approche qui pourrait ne pas refléter la qualité finale du film. Malheureusement, la version GBA de Madagascar ne décolle absolument pas, pire, elle reste au sol, handicapée qu'elle est par une construction très lourde et sans aucune ambition vidéoludique. Le constat peut paraître sévère mais comme un petit test vaut mieux qu'un long discours, débutons voulez-vous ?
Les chemins qui mènent vers le beat'em all sont si nombreux et tortueux sur PS2 qu'il serait indécent de penser qu'on peut encore arriver au bout de la route sans une quelconque aide. Pourtant God Of War a relevé ce défi et alors que nous ne l'attendions pas nécessairement, le voici qui arrive au loin après être passé par la croisée des chemins de la violence et de la mythologie. Véritable apologie graphique à la gloire de tout ce qui fait un grand jeu, le titre de SCEA est un hommage vibrant à la beauté et à la jouissance vidéoludique. God Of War est à marquer d'une pierre blanche dans le sens où il est un des rares titres qui ne se base pas sur une franchise et qui légitime en même temps le fait qu'une grosse production n'est pas forcément destinée à sacrifier son âme sur l'autel de la rentabilité... Chronique d'une odyssée vidéoludique.
Après Shrek et Gang de Requins, Activision s'occupe une nouvelle fois d'adapter le nouveau film d'animation de Dreamworks sur nos consoles. Comme les deux titres précédents, Madagascar ne se permettra pas de grandes fantaisies ludiques, mais pourrait tout de même séduire grâce à son casting animalier hilarant.
Après Shrek et Gang de Requins, Activision s'occupe une nouvelle fois d'adapter le nouveau film d'animation de Dreamworks sur nos consoles. Comme les deux titres précédents, Madagascar ne se permettra pas de grandes fantaisies ludiques, mais pourrait tout de même séduire grâce à son casting animalier hilarant.