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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Un peu plus d'un an nous sépare de la sortie du premier Dogz sur GBA, et même si ce titre nous avait touchés par son côté naïf et la possibilité qu'il nous offrait de cajoler des chiots, il est loin d'avoir laissé une trace indélébile dans l'histoire de la console. C'est donc avec surprise que l'on accueille l'arrivée de Dogz 2, une étonnement qui se transforme vite en agacement quand on constate que cette suite n'est en fait qu'une simple réédition du premier jeu.
Adapté du film du même nom, Super Nacho vous propose de revivre les aventures d'un moine mexicain devenu catcheur pour sauver les siens. Entre mini-jeux débiles et distribution aléatoire de tatanes, le soft a fort peu de chance de vous divertir bien longtemps.
Tiens un nouveau Legion Arena ? C'est ce que l'on se dit dès le lancement de ce Great Battles of Rome. En effet, sous prétexte de proposer un titre avec un grand respect des faits historiques et dont les cinématiques ont été réalisées par The History Channel, les développeurs de chez Slitherine n'ont fait que recycler leur jeu de stratégie sorti en 2005 sur PC.
Prise d'assaut par les puzzle-games de toutes sortes, la DS n'est pas toujours épargnée par les mauvaises surprises. Qu'est-ce qu'un développeur peut faire pour se démarquer lorsqu'il souhaite imposer un titre qui compte déjà des dizaines de clones sur le même support ? Frontline Studios a pris le parti de proposer à la fois des grilles de Sudoku et de Kakuro, pour un résultat finalement désastreux.
Lors de son arrivée sur Xbox en 2004, Ninja Gaiden avait tout de la petite bombe vidéoludique. Avec ses combats tout aussi violents que frénétiques, ses graphismes somptueux et sa difficulté traumatisante, le titre était effectivement parvenu à s'offrir une place de choix dans le coeur de nombreux gamers avides de sensations fortes. Un an plus tard, les perfectionnistes de Tecmo revoyaient leur copie et lâchaient avec Black une version remaniée de leur bébé sur des joueurs encore tétanisés. Ninja Gaiden Sigma, qui débarque aujourd'hui sur PS3, se présente donc comme la version ultime d'un titre d'exception et constitue une excellente occasion de revivre une troisième fois l'aventure de Ryu Hayabusa.
Tiens un nouveau Legion Arena ? C'est ce que l'on se dit dès le lancement de ce Great Battles of Rome. En effet, sous prétexte de proposer un titre avec un grand respect des faits historiques et dont les cinématiques ont été réalisées par The History Channel, les développeurs de chez Slitherine n'ont fait que recycler leur jeu de stratégie sorti en 2005 sur PC. Pire encore, cette version PSP souffre de graphismes moches, de ralentissements et d'une jouabilité peu plaisante.
Née sur Playstation première du nom et ouvrant de nouvelles perspectives en matière de jeux de courses, la série des Driver a manifestement eu bien du mal à suivre la vague qu'elle avait elle-même initiée. Clairement décrédibilisé avec DRIV3R, détrôné par GTA, Driver ne ménage pas ses efforts pour tenter de renouer avec son passé glorieux. Et c'est dans ce contexte que le dernier épisode en date de la série, sorti sur PS2 et Xbox en 2006, s'invite finalement sur la Wii.
Née sur Playstation première du nom et ouvrant de nouvelles perspectives en matière de jeux de courses, la série des Driver a manifestement eu bien du mal à suivre la vague qu'elle avait elle-même initiée. Clairement décrédibilisé avec DRIV3R, détrôné par GTA, Driver ne ménage pas ses efforts pour tenter de renouer avec son passé glorieux. Et c'est dans ce contexte que le dernier épisode en date de la série, sorti sur PS2 et Xbox en 2006, s'invite finalement sur nos PC.
Tiens un nouveau Legion Arena ? C'est ce que l'on se dit dès le lancement de ce Great Battles of Rome. En effet, sous prétexte de proposer un titre avec un grand respect des faits historiques et dont les cinématiques ont été réalisées par The History Channel, les développeurs de chez Slitherine n'ont fait que recycler leur jeu de stratégie sorti en 2005 sur PC. Et c'est bien là le problème...
La pétanque a 100 ans. Une occasion en or qu'Artefacts a saisi à la volée pour développer le seul et unique concurrent du très récent Pétanque Pro. Basé sur les règles établies par la Fédération Française de Pétanque et du Jeu Provençal, le jeu se présente sous la forme d'un condensé d'arcade et de simulation destiné à attirer le joueur averti comme le moins pratiquant.
Milestone et Black Bean nous ont habitués à proposer des titres qui sortent régulièrement de l'ordinaire mais qui luttent pour s'affirmer comme autre chose que des jeux moyens, loin des aspirations d'amateur de conduite sportive. Exploitant une véritable licence, celle du Super-Bike, le duo inséparable a cette fois misé sur le réalisme et quelques subtilités que les motards apprécieront forcément.
L'année dernière, la série des Rainbow Six opérait un revirement tactique majeur en devenant plus accessible, plus énergique, plus belle et donc plus séduisante aux yeux du grand public. Fier d'avoir su redorer le blason d'une série vieillissante avec Vegas, Ubisoft s'est finalement attelé à une toute autre tâche : délivrer le même type d'expérience sur la console portable de Sony. Attention cependant, car si le petit UMD partage effectivement le nom et la jaquette de son célèbre grand frère, il n'en cache pas moins une nouvelle aventure, totalement distincte de celle de son aîné.
Premier titre original servi par Square-Enix à destination de la Xbox 360, Project Sylpheed est la reprise d'une antique licence, Silpheed, apparue sur Mega CD puis Playstation 2. Passé de shoot'em up à shoot spatial, le jeu conserve son goût pour les colossales situations : destructions de silos nucléaires, protection d'une frégate en orbite, annihiliation des satellites de défenses ennemis... La tête à l'envers, proche de l'épilepsie, on y retrouve les sensations arcades d'un Starfox, l'épate visuel d'un Rogue Leader et la tension entêtante d'un Colony Wars. Sans atteindre les sommets, Project Sylpheed est une bonne surprise.
Si les deux premiers volets de cette série de jeux d'aventure point and click ont été distribués en France sous la forme d'un pack, ce n'est pas le cas de ce troisième opus qui sort en version boîte tout seul, comme un grand. Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore ces titres (on ne leur en voudra pas), on pourrait les situer rapidement en les comparant à Nancy Drew pour le gameplay et à Barrow Hill pour ce qui est de l'ambiance, noire et stressante (enfin, en théorie...).
Bien que Tenchu dispose d'une ambiance à nulle autre pareille (surtout si on excepte les clones que sont Schinobido et Red Ninja), il a toujours été un peu le parent pauvre du jeu d'infiltration. S'appuyant davantage sur son atmosphère et le charisme de ses héros que sur l'efficacité de son IA et la souplesse de son gameplay, l'oeuvre de From Software s'est attirée les foudres de bien des joueurs tout en gardant un noyau dur de fans dont votre serviteur ici présent fait partie. Ainsi, après un pitoyable épisode PSP, l'arrivée de Rikimaru et ses comparses sur Xbox 360 avait de quoi intriguer.
Après avoir fait cravacher sans relâche les fans de courses hippiques sur PS2, voici que la simulation de jockey de Koei s'invite aujourd'hui sur la Wii. Le titre s'avère en fait être un portage du quatrième épisode de la série, tout juste revisité afin de satisfaire les manipulateurs de Nunchuk que vous êtes. De fait, ne soyez donc pas trop surpris de découvrir une grande partie du test de Dinowan dans les lignes qui suivent. Mesdames et messieurs, en selle !
Passé le cap du premier épisode de King Of Fighters entièrement en 3D, SNK a pu souffler un moment dans le sens où ce coup d'essai s'était plutôt bien déroulé. De fait, Maximum Impact 2 était attendu avec moins d'appréhension vu qu'on savait déjà plus ou moins à quoi s'attendre. Cependant, il faut également comprendre qu'une suite doit profiter des acquis de son aîné tout en faisant évoluer le matériau de base et à ce petit jeu, ce second segment en volumes répond t'il à nos attentes ?
Ouhla, attention, concept en vue ! Prenez Splinter Cell, ajoutez des vampires et une grosse rasade d'incompétence, vous obtiendrez un précipité navrant mais très rigolo quand on le regarde de loin. Enfin, gardons nos esprits, c'est drôle comme Benny Hill hein, pas comme les Monty Python.
Lassé de devoir partager votre temps entre Call Of Duty et Medal Of Honor ? Envie de changer d'air tout en continuant à vous adonner à votre passe-temps favori : la libération de l'Europe ? Alors peut-être jetterez-vous un oeil sur Hour Of Victory un FPS développé par nFusion et exclusif à la console nouvelle génération de Microsoft. Délaissant l'habillage pompeux et l'atmosphère sérieuse des ténors du genre, le soft se propose effectivement d'apporter sa propre vision de la Seconde Guerre mondiale. L'intention est certes louable, mais dans les faits, le soft a bien du mal à être à la hauteur de ses prétentions.
Sorti il y a près de trois ans au Japon et aux Etats-Unis, Gungrave O.D., autrement appelé Gungrave Overdose, nous arrive de nulle part en ce mois de juillet 2007, bien qu'il fut un temps annoncé en Europe. On sera donc étonné de retrouver ce deuxième jeu vidéo faisant suite à l'excellente série animée de Madhouse sortie en 2006, qui plus est vendu à un tout petit prix.