Derniers tests de jeux vidéo - page 47

Dans nos mains depuis quelques semaines maintenant, le nouveau-né du studio Netmarble est enfin disponible pour tous les possesseurs d’appareils iOS et Android. Portant le nom de Magic: ManaStrike, le jeu peut se vanter de soulever l’étendard d’une licence mondialement connu puisqu’il nous plonge dans l’univers de Magic the Gathering. Avec cet opus, Wizards of the Coast se lance dans une nouvelle tentative de séduction au sein du monde du mobile après plusieurs essais timides. Mais, alors, que vaut ce Magic: ManaStrike ?'''

Il y a un an, le rêve de milliers de fans de la Saga Kingdom Hearts se réalisait. Après 13 ans de battement entre la sortie du 2ème opus numéroté et celle de Kingdom Hearts III, le mythe était devenu réalité. Les critiques furent nombreuses et variées, beaucoup de personnes jugeaient le jeu trop facile et lui reprochaient de disposer d’un final quelque peu léger. C’est à présent au tour du DLC ReMind de faire son entrée avec la promesse d'apporter un contenu aussi dense que les versions Final Mix+ : des épisodes principaux qui ont été accessibles avec les remake PS3 et PS4. Qu’en est-il de cette extension coûteuse ? C’est ce que nous allons découvrir.

Si No Man’s Sky proposait d’explorer des environnements inconnus par millions, Journey To The Savage Planet fait le pari inverse, avec un unique monde, dense et varié. Il s’agit du premier titre de Typhoon Studios, formé par d’anciens membres d’Ubisoft, Warner Bros ou encore Electronic Arts. Essai transformé pour l’équipe ?

Retour aux affaires pour Big Ben Interactive et les frenchies Eko Software, bien décidés à mettre le rugby au premier plan sur la scène vidéoludique. Un peu plus de deux ans après la sortie de Rugby 18, nouvel échec dans la quête d'offrir une simulation correcte de ce sport de voyou pratiqués par des gentlemen, le tout était donc de corriger pas mal d'erreurs pour sortir de la penalité.

La franchise The Walking Dead a connu de multiples déclinaisons dans les médias culturels en général, et dans le jeu vidéo en particulier, avec plus ou moins de succès. Même si elle connaît actuellement une période de déclin, la saga s'invite à nouveau sur PC et en réalité virtuelle, sous le développement de Skydance Interactive.

Sorti pour la première fois en 2005 en exclusivité sur la première console de Microsoft, Oddworld : Stranger's Wrath a rapidement trouvé sa place dans le cœur des joueurs. Le titre s'est alors vu exporté sur de nombreuses plateformes. Après un saut sur mobile puis sur Steam et sur les consoles de Sony (PlayStation 3 et PlayStation Vita) dans une version remastérisée en HD, le western vidéoludique s'attaque en ce début d'année 2020 à la console hybride de Nintendo. Après 15 ans d'existence, le jeu d'Oddworld Inhabitants peut-il toujours être d'actualité ? C'est ce que nous allons tenter d'élucider lors de ces quelques lignes.

Dans la grande lignée des Portal-like, voici venir Lightmatter, un jeu d’énigmes à la première personne où il faut à tout prix rester dans la lumière pour rester en vie. Le titre souhaite tellement s’inscrire dans la tradition de ses aînés qu’il fait explicitement référence au succès de Valve, in-game. Mais parvient-il à se forger sa propre personnalité, et surtout avec autant de réussite ?

Il se rapproche de sa cible, prêt à la saisir. Agile, souple et rapide. Curieux, rusé et téméraire. Sly Cooper débarque ? Non, c'est Scrat ! Annoncé très discrètement par Bandai Namco, développé par Outright Games, notre écureil préhistorique préféré s'est glissé dans nos bacs pour un jeu 100% plate-forme, à une époque ou ce genre se fait de plus en plus rare... attention chers joueurs, ne vous attendez pas à un AAA au scénario développé et porté par une mise en scène d'exception, ce que vous pourriez attendre d'un jeu commercialisé au prix non négligable de 40 €. Non, ici, le scénario tient sur un timbre poste : récupérer le gland de Scrat en le libérant d'un temple sacré. Pour cela, il vous faudra vous balader a travers quatre zones distinctes, chacune d'elle abritant un gland de cristal, faisant office de clé.

En 2004, alors que le succès du blondinet était à son apogée, sortait sur consoles et PC un certain Titeuf : Méga Compet', un jeu vidéo plutôt apprécié des joueurs pour son côté débile et le fait d'incarner Titeuf dans ses bêtises. Près de quinze ans plus tard, un remake inattendu sort sur nos consoles actuelles. Et comme le disait un grand sage… fuyez, pauvres fous !

Wonder Boy fut longtemps laissé à l'abandon avant de renaître de ses cendres avec trois titres : Wonder Boy Returns, le très bon remake Wonder Boy : The Dragon's Trap et Monster Boy et le Royaume Maudit, la suite spirituelle de la franchise n'ayant connu aucun nouvel opus depuis 24 ans. Ce fameux "garçon merveilleux" faisait partie d'une des licences les plus populaires de SEGA lors des années fin 80 / début 90 avant de mystérieusement tomber dans l'oubli durant deux décennies. Il semblerait que la franchise, en plus de ressusciter, ait inspiré plus d'un jeu indépendant : Aggelos est de ceux-ci.

Premier gros AAA à sortir en cette riche année 2020, Dragon Ball Z Kakarot a à priori tous les atouts de son côté pour briller auprès des fans : l'intégralité de la série Dragon Ball Z adaptée, plusieurs personnages à incarner, un aspect RPG, des combats très dynamiques, les musiques originales de l'anime ou bien encore des développeurs ayant fait leurs preuves avec Naruto. Sur le papier, Kakarot semble donc bien parti pour faire aussi bien dans son domaine respectif que Dragon Ball FighterZ dans celui de la baston. A l'arrivée, si le résultat est très loin d'être mauvais, disons que le tout oscille constamment entre nostalgie, excitation et frustration.

Si pour chacun, le temps est relatif, alors pourquoi ne pas décider de le contrôler ? C’est ce que nous propose le studio indépendant The Voxels Agent à travers une histoire d’amitié présentée sous la forme d’un puzzle-game : The Gardens Between.

Initialement arrivé sur nos Wii U en juin 2016, Tokyo Mirage Sessions #FE avait su étoffer un catalogue bien maigre en matière de J-RPG publiés dans nos contrées. Si celui qui était alors appelé “Shin Megami Tensei X Fire Emblem” faisait ainsi office d’oasis dans le désert, un contenu plus particulièrement adapté au public japonais et aux fans classait #FE dans la catégorie des purs jeux de niche marqués par l’absence de localisation en français. La Nintendo Switch étant plus garnie en matière de jeux de rôle japonais, cette mouture “Encore” a ainsi non seulement la lourde tâche de se faire une place parmi toutes les propositions qui ont déboulé sur le marché européen, mais aussi de corriger les quelques points qui avaient pu refroidir les ardeurs de certains amateurs du genre. Nous allons voir si les développeurs d’Atlus et Intelligent Systems ont fait des choix pertinents afin d’atteindre cet objectif.

Depuis deux ans, les jeux de tennis ont décidé de signer leur retour sur consoles de salon. Le résultat est mitigé au regard de la qualité des jeux concernés, mais AO International Tennis a su tirer son épingle du jeu par le biais de ses mises à jour et de sa communauté très active, qui s’est empressée de créer joueurs et stades manquants pour garnir un mode carrière léger, mais au potentiel certain. Son successeur parvient-il à améliorer la formule ?

Si vous avez déjà eu l'occasion de parcourir en long, en large et en travers le très solide Borderlands 3 dans le courant de l'an passé, nul doute que vous ne diriez pas non à un peu de contenu supplémentaire. C'est ce que vous propose le Casse du Beau Jackpot, premier DLC du jeu, inclus dans le Season Pass ou vendu à l'unité 14,99€, qui vous permettra de renouer contact avec un personnage familier ou du moins ce qu'il en reste.

Si vous connaissez le nom de Keita Takahashi, vous avez sûrement dû collecter pas mal d'ordures avec Prince sur la PlayStation 2 et le jeu nippon Katamari Damacy. Un concept étonnant en 2004, et un nouveau coup d'essai quinze ans plus tard pour le créateur qui signe avec Funomena et Annapurna Interactive Wattam, un titre qui s'annonce détonnant au vu des bandes-annonces sorties précédemment.

La série de jeux d’entraînement cérébral du Dr Kawashima (Brain Age dans les pays anglophones) a été un franc succès pour Nintendo à l’époque de la Nintendo DS. Après quelques épisodes étalés sur maintenant 15 ans, la série d’exercices de mémoire et de réflexion arrive sur Nintendo Switch. Devant ce nouvel opus, la question est la suivante : que peut-il vous apporter ?

One Piece : World Seeker accueille enfin son troisième et dernier DLC. Après avoir mis en scène Zoro puis Sabo, c'est au tour du très charismatique Law d'avoir le rôle central. Malheureusement, comme on pouvait s'en douter, ce contenu n'apporte absolument rien de vraiment neuf par rapport aux précédents si ce n'est le personnage à incarner. Il se contente de faire intervenir un personnage inédit inintéressant à travers un scénario dont on se fiche éperdument. Cette introduction vous a mis Law à la bouche et vous voulez en savoir plus ? Et bien suivez le guide.

En avril 2017, Bandai Namco éditait un petit jeu sorti de nulle part du nom de Little Nightmares. Mélange d'énigmes, de puzzles et, dans une moindre mesure, de plates-formes, le titre de Tarsier Studios avait ce quelque chose d'inédit qui lui donnait un cachet absolument exquis, le superbe design d'ensemble n'étant pas étranger à cet état de faits. Bien que ses trois DLC ne seront pas vraiment au niveau, Little Nightmares réussit à proposer une ambiance unique que n'aurait pas renié Jean-Pierre Jeunet et surtout une sorte de métaphore, certes trop cryptique, sur les enfants maltraités. Le voir revenir sur iOS et très récemment sur Android, était donc une excellente nouvelle mais à vouloir trop en faire, l'atmosphère initiale ne s'est-elle pas quelque peu évaporée ?

Après le Soulèvement des Spectres qui n'avait pour ainsi dire pas réussi à déchaîner les passions, RAGE 2 se voit offrir un nouveau contenu, proposé à petit prix, surfant sur l'effet Halloween, et proposant d'éliminer des vagues d'ennemis pour fermer un portail vers une dimension démoniaque. Un scénario de série Z pour un contenu qu'on qualifiera gentiment de très dispensable.