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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Alors que le titanesque Modern Warfare 2 déferle en ce moment même sur le monde, la petite Wii accueille de son côté le tout premier épisode sorti initialement en 2007 sur PC, PS3 et 360. Si ce retard peut paraître cruel, il faut reconnaître que le portage opéré par le studio Treyarch fait véritablement honneur au titre original. Les manipulateurs de Wiimote peuvent donc se réjouir puisqu'ils ont maintenant l'occasion de goûter à l'un des FPS les plus populaires de tous les temps.
C'est en 1993 que les frères Miller, donnent naissance à la saga Myst adaptée sur MAC, puis PC. Puis en 2007, un portage est fait sur la DS, mais le résultat n'est pas à la hauteur : trop de problèmes techniques et sans aucune adaptation au gameplay de la console de Nintendo. L'iPhone prend le relai cet été 2009. C'est l'occasion de jouer ou rejouer à un titre qui a donné son nom au type Myst-like.
Amstrad CPC. Rien qu'avec ces deux mots les trentenaires commencent à baver, l'air béat, perdus dans leurs vieux souvenirs naïfs d'une époque disparue où l'on pouvait encore s'émerveiller devant quelques pixels et un concept alliant simplicité et ingéniosité. Dans des temps où les équipes créatrices n'étaient composées que d'un ou deux obscurs développeurs, les boîtes françaises telles que Loriciel réalisaient des jeux de très bonne qualité, dont plusieurs auront traversé les époques. Voici le test de l'un des meilleurs, Skweek.
Les lapins crétins ont pris du grade chez Ubisoft : ils ne se contentent plus d'apparaître dans des party-games qui leur sont de plus en plus dédiés, les voici de retour dans un véritable jeu d'aventure sur Wii et de réflexion sur DS. Les deux softs se partagent le même titre et le même pitch : les abominables bestioles aux grandes oreilles comptent désormais décrocher la Lune en récoltant un maximum d'objets hétéroclites. Malheureusement cette version DS s'avère nettement moins délirante que sa grande soeur sortie sur Wii.
Après un premier épisode décevant, SimAnimals récidive sur Nintendo DS. Cette fois direction le berceau de la vie où nous attendent lions, zèbres, éléphants mais aussi de petits suricates bondissants. Exotique, ce deuxième épisode l'est indéniablement mais sous couvert d'un voyage au pays des vastes étendues sauvages, que vaut véritablement SimAnimals Africa par rapport à son prédécesseur ?
Remontons le temps d'un quart de siècle. Nous sommes le 15 novembre 1987. Le moment est enfin venu de découvrir celui qui saura marquer nos cœurs à tout jamais. Finalement entre vos mains, après en avoir rêvé des nuits entières, c'est avec une émotion ineffable que vous insérez religieusement, dans votre NES, la cartouche dorée tant convoitée. Les yeux fermés, vous vous laissez alors envahir par la divine musique de l'écran titre, et c'est le regard illuminé que vous découvrez enfin le nom du jeu s'afficher sur votre écran : The Legend of Zelda. Récit des premiers pas d'une légende…
Comme sur Wii, Need for Speed demeure une série arcade et très grand public sur DS. Comme sur Wii, les développeurs ont souhaité mettre l'accent sur le fun au détriment du réalisme. Attendez-vous donc à des courses où la conduite n'importe pas tant que votre folie au volant !
Non content d'avoir bouleversé les habitudes des fans de la série avec son contexte moderne, Call of Duty 4 s'est imposé comme un des meilleurs FPS de ces dernières années. Une campagne solo intense, multipliant les séquences cultes sans aucun temps mort ; un mode multijoueur bien ficelé qui bat encore des records de fréquentation aujourd'hui ; il n'en fallait pas plus pour réaliser un véritable raz-de-marée commercial (plus de 14 millions d'exemplaires écoulés !). Après une parenthèse Seconde Guerre mondiale développée par Treyarch, la série revient chez son géniteur, Infinity Ward, pour tenter de réitérer l'exploit.
Joyeux monument cinématographique des années 80, S.O.S. Fantômes a donné naissance à une série de jeux vidéo qui pour le coup, se sont tous avérés aussi attrayants qu'une flaque de slime. De fait, l'arrivée sur nos DS d'une toute nouvelle aventure des Ghostbusters ne pouvait qu'être accueillie avec une petite dose de circonspection. Ces doutes bien légitimes, hélas, ne tarderont guère à trouver leur justification au contact d'une cartouche qui ne manquait pourtant pas d'arguments.
Après avoir rendu un bien bel hommage aux mythes scandinaves avec Odin Sphere, l'équipe de Vanillaware ose une fois encore nous éblouir avec un titre qui prend désormais pour cadre le folklore ancestral japonais. Et si Muramasa impressionne déjà par sa réalisation 2D magnifique, il fascine également par le caractère survolté de son gameplay.
DotA, célèbre mod de Warcraft III, fait des émules. Il y a quelques mois, Chris Taylor s'emparait du concept dans Demigod. Bientôt, le studio S2 Games (Savage) apportera sa propre vision du genre avec Heroes of Newerth. En attendant, c'est Riot Games, en partie formé d'anciens créateurs de DotA, qui s'y colle avec un League of Legends aussi sympathique que gratuit en version de base téléchargeable.
Fort de deux épisodes plutôt réussis et d'un opus PSP sorti en 2007, Battlefront nous revient sur la console portable de Sony. Est-ce à dire que les ambitions de cet épisode s'avèrent moins importantes que celles de ses prédécesseurs ? Pas nécessairement, d'autant que cette mouture PSP conserve la plupart du contenu de ses illustres ancêtres.
Non content d'avoir bouleversé les habitudes des fans de la série avec son contexte moderne, Call of Duty 4 s'est imposé comme un des meilleurs FPS de ces dernières années. Une campagne solo intense, multipliant les séquences cultes sans aucun temps mort ; un mode multijoueur bien ficelé qui bat encore des records de fréquentation aujourd'hui ; il n'en fallait pas plus pour réaliser un véritable raz-de-marée commercial (plus de 14 millions d'exemplaires écoulés !). Après une parenthèse Seconde Guerre mondiale développée par Treyarch, la série revient chez son géniteur, Infinity Ward, pour tenter de réitérer l'exploit.
Non content d'avoir bouleversé les habitudes des fans de la série avec son contexte moderne, Call of Duty 4 s'est imposé comme un des meilleurs FPS de ces dernières années. Une campagne solo intense, multipliant les séquences cultes sans aucun temps mort ; un mode multijoueur bien ficelé qui bat encore des records de fréquentation aujourd'hui ; il n'en fallait pas plus pour réaliser un véritable raz-de-marée commercial (plus de 14 millions d'exemplaires écoulés !). Après une parenthèse Seconde Guerre mondiale développée par Treyarch, la série revient chez son géniteur, Infinity Ward, pour tenter de réitérer l'exploit.
Désormais bien concentré sur les versions HD de sa célèbre franchise, Konami a fait de PES une série stagnant sur PSP. Bien décidé à développer le jeu jusqu'à saturation des joueurs, la firme nippone propose donc sa traditionnelle mise à jour automnale.
Désormais bien concentré sur les versions HD de sa célèbre franchise, Konami a fait de PES une série stagnant sur PS2. Bien décidé à développer le jeu jusqu'à la disparition de la console de Sony, la firme nippone propose donc sa traditionnelle mise à jour automnale.
Fort de deux épisodes plutôt réussis et en attendant un éventuel troisième opus sur les consoles nouvelle génération, Battlefront nous revient par la petite porte, sur Nintendo DS plus exactement. Est-ce à dire que les ambitions de cet épisode s'avèrent moins importantes que celles de ses prédécesseurs ? Pas nécessairement, même si les considérations techniques brident quelque peu le plaisir de jeu.
Beaucoup de personnes vous le diront, le podium des jeux d'aventures humoristiques est depuis longtemps squatté par la firme de George Lucas. Day of The Tentacle, Monkey Island, Full Throttle, tous ces titre sont aujourd'hui devenus légendaires mais... Oh là ! Doucement toi ! Bon hé bien, je vous présente Max. Non, lâche ces rideaux ! Ne mets pas tes doigts là-dedans! Trop tard... Bon Sam, tu veux bien essayer de contenir un peu ton pote pendant que j'écris le test ? Le but était de parler de votre première enquête et il va me falloir un peu de calme pour ça.
Beaucoup de personnes vous le diront, le podium des jeux d'aventures humoristiques est depuis longtemps squatté par la firme de George Lucas. Day of The Tentacle, Monkey Island, Full Throttle, tous ces titre sont aujourd'hui devenus légendaires mais... Oh là ! Doucement toi ! Bon hé bien, je vous présente Max. Non, lâche ces rideaux ! Ne mets pas tes doigts là-dedans! Trop tard... Bon Sam, tu veux bien essayer de contenir un peu ton pote pendant que j'écris le test ? Le but était de parler de votre première enquête et il va me falloir un peu de calme pour ça.
Déjà solidement implanté sur le marché du jeu de rythme avec Guitare Hero puis DJ Hero, Activision remet ça en proposant un troisième dérivé de sa franchise : Band Hero. Un titre qui n'a pas la prétention de réinventer le genre ou de gaver les amateurs de jeux musicaux de nouveaux mécanismes mais simplement de donner envie au grand public de se mettre à la gratte, à la batterie et au chant.