Alors c'est bien simple, je suis dingue. J'ai acheté une Switch dès que j'ai vu que Doom était dispo dessus. Une Lite par ailleurs car seul le jeu nomade m'intéresse personnellement. Fan du jeu PC depuis la première heure et encore plein de cernes des nuits blanches passées sur Wolfenstein 3D, l'idée d'avoir le jeu où que je sois juste en sortant la console du sac à dos ou de la boîte à gants, le bonheur...
... ou pas.
... ou si quand même.
En fait, le plaisir de retrouver le jeu de cette manière est tellement grisant qu'il est impossible d'être vraiment négatif mais, disons-le, c'est vraiment pas évident de quitter le clavier/souris pour jouer ainsi. Du coup, on oublie le mode Nightmare du PC pour jouer en mode normal sur console sinon c'est juste impossible dans les hauts niveaux.
Mais ne boudons pas notre plaisir, Doom c'est Doom. Le 1 ou le 2 (pas le 3 car trop éloigné de la philosophie initiale). Et à ce prix, si vous êtes un fan de la licence originelle, il faut clairement pas hésiter même si le portage est faignant et les options trop limitées.
Doom, une saga qui me fais de l'oeil depuis quelque temps, ayant pour projet de faire les 2 derniers Doom j'ai voulu m'essayer aux premier opus et quel claque.
Le jeu est super dynamique, l'ost est dingue, le level design, j'en perds les mots, j'était pas prêt clairement. C'est ingénieux, labyrintiques, remplis de passages secrets, d'armes à trouver, de piège, ça ce traverse rapidement mais c'est à la fois très riche, c'est ça qui est magique avec Doom.
Je suis tombé sous le charme direct, le bestiaire est énorme aussi, le gameplay est d'une violence jouissif avec le bruitages des armes, cris des monstres et leurs finish, juste énorme. Le jeu dispose d'une excellente difficulté, mais sans clavier ni souris je suis resté en hurt me plenty qui est bien assez corsé. J'ai testé vite fait en Nightmare, entre l'emplacement des mobs encore plus sadiques, leurs nombres, leurs agressivité amplifié et surtout qui reviennent à l'infini donc impossible de prendre son temps, là il faut rapidement savoir aborder le niveau, trouver les armes, éviter les pièges, ce montrer malin(les ennemis se blessant entre eux il y'a pas mal d'ennemis) et savoir trouver les cartes d accès toute évitant de perdre trop de temps lors des confrontations. Les ennemis les plus redoutables étant clairement les zombies surtout ceux aux pompes, impossibles d'ésquiver leurs attaques, vaut mieux les tuer rapidement et ce placé sur leurs cotés(donc être constamment hyperactif).
Voilà pour résumer, déjà que le jeu est sadique de base, bon courage.
Petit tour aussi sur la DA qui est parfaite, contribuant parfaitement à l'ambiance qui devient de plus en plus satanique, notre cher Doomguy terminant directement en enfer à la fin. Avec des décors bien glauque janchés de cadavres humains démembrés, j'imagine pas dans l'état psychologiques doit ce trouver Doomguy avec tous ça, il devient lui même le plus redoutable des démons.
Bref, je suis rapidement devenu fan. Un défaut que j'ai trouvé gênant, les zones dans le noir avec la lumière qui clignote assez violement, ça donne mal à la tête et heureusement je suis pas épliéptique.
Alors c'est bien simple, je suis dingue. J'ai acheté une Switch dès que j'ai vu que Doom était dispo dessus. Une Lite par ailleurs car seul le jeu nomade m'intéresse personnellement. Fan du jeu PC depuis la première heure et encore plein de cernes des nuits blanches passées sur Wolfenstein 3D, l'idée d'avoir le jeu où que je sois juste en sortant la console du sac à dos ou de la boîte à gants, le bonheur...
... ou pas.
... ou si quand même.
En fait, le plaisir de retrouver le jeu de cette manière est tellement grisant qu'il est impossible d'être vraiment négatif mais, disons-le, c'est vraiment pas évident de quitter le clavier/souris pour jouer ainsi. Du coup, on oublie le mode Nightmare du PC pour jouer en mode normal sur console sinon c'est juste impossible dans les hauts niveaux.
Mais ne boudons pas notre plaisir, Doom c'est Doom. Le 1 ou le 2 (pas le 3 car trop éloigné de la philosophie initiale). Et à ce prix, si vous êtes un fan de la licence originelle, il faut clairement pas hésiter même si le portage est faignant et les options trop limitées.
Doom, une saga qui me fais de l'oeil depuis quelque temps, ayant pour projet de faire les 2 derniers Doom j'ai voulu m'essayer aux premier opus et quel claque.
Le jeu est super dynamique, l'ost est dingue, le level design, j'en perds les mots, j'était pas prêt clairement. C'est ingénieux, labyrintiques, remplis de passages secrets, d'armes à trouver, de piège, ça ce traverse rapidement mais c'est à la fois très riche, c'est ça qui est magique avec Doom.
Je suis tombé sous le charme direct, le bestiaire est énorme aussi, le gameplay est d'une violence jouissif avec le bruitages des armes, cris des monstres et leurs finish, juste énorme. Le jeu dispose d'une excellente difficulté, mais sans clavier ni souris je suis resté en hurt me plenty qui est bien assez corsé. J'ai testé vite fait en Nightmare, entre l'emplacement des mobs encore plus sadiques, leurs nombres, leurs agressivité amplifié et surtout qui reviennent à l'infini donc impossible de prendre son temps, là il faut rapidement savoir aborder le niveau, trouver les armes, éviter les pièges, ce montrer malin(les ennemis se blessant entre eux il y'a pas mal d'ennemis) et savoir trouver les cartes d accès toute évitant de perdre trop de temps lors des confrontations. Les ennemis les plus redoutables étant clairement les zombies surtout ceux aux pompes, impossibles d'ésquiver leurs attaques, vaut mieux les tuer rapidement et ce placé sur leurs cotés(donc être constamment hyperactif).
Voilà pour résumer, déjà que le jeu est sadique de base, bon courage.
Petit tour aussi sur la DA qui est parfaite, contribuant parfaitement à l'ambiance qui devient de plus en plus satanique, notre cher Doomguy terminant directement en enfer à la fin. Avec des décors bien glauque janchés de cadavres humains démembrés, j'imagine pas dans l'état psychologiques doit ce trouver Doomguy avec tous ça, il devient lui même le plus redoutable des démons.
Bref, je suis rapidement devenu fan. Un défaut que j'ai trouvé gênant, les zones dans le noir avec la lumière qui clignote assez violement, ça donne mal à la tête et heureusement je suis pas épliéptique.
DOOM est un régal pour les oreilles, mais malheureusement pas pour les yeux dans de longues sessions, je ne dis pas que je n’aime pas les graphismes tout au contraire ! Le gameplay nerveux est présent et est juste génial !
Véritable mythe du jeu vidéo, Doom a fait entrer le FPS dans la culture vidéoludique. En effet les petits gars de chez id Software avait posé une première pierre avec l'excellent Wolfenstein 3D puis un an plus tard ils approfondirent le concept avec Doom. Cette fois on peut évoluer dans les niveaux sur le plan horizontal mais aussi sur le plan vertical, le multijoueur fait son entrée et les mods apparaissent pour que les joueurs puissent faire évoluer le jeu. Le titre jouit en outre d'une excellente réalisation avec des jeux de lumière savamment utilisés, du gore à foison, une ambiance sonore Death Metal et à un Level Design torturé faisant instantanément de Doom un classique du jeu vidéo. Tous les joueurs sont aujourd'hui unanimes pour faire de Doom une pierre angulaire dans l'histoire du FPS un peu à l'image de Street Fighter II dans l'histoire du jeu de combat ou de Super Mario Bros. dans l'histoire du jeu de Plate-forme.