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Sujet : Quelles sont vos idées politiques ?

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Zorracat Zorracat
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 19:24:04

Basé à Jérusalem, bien entendu. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/04/1485484836-larry.png

Bloqueur_gentil Bloqueur_gentil
MP
Niveau 9
26 juin 2018 à 19:28:49

Le 26 juin 2018 à 19:24:04 Zorracat a écrit :
Basé à Jérusalem, bien entendu. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/04/1485484836-larry.png

ah non ! Rome ! ou Berlin https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490776230-image.png

Zorracat Zorracat
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 19:30:01

New York, où se trouve déjà le siège de l'ONU, ou Londres, ce serait le plus logique. :noel:

Jedi_nfirmier7 Jedi_nfirmier7
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 19:35:55

Plutôt dans un pays neutre, pas une des grandes puissances.

Zorracat Zorracat
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 19:41:32

Ça nous laisse Berne et Stockholm. :oui:

Monetarisme5 Monetarisme5
MP
Niveau 7
26 juin 2018 à 19:51:46

Je me demande comment vous pouvez discuter aussi tranquillement d'une perspective aussi destructrice.

Zorracat Zorracat
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 20:16:02

Ça n'a rien de destructeur, mais de toute façon, ce n'est pas pour demain.

Monetarisme5 Monetarisme5
MP
Niveau 7
26 juin 2018 à 21:26:22

C'est tout à fait destructeur parce que ça veut dire que le monde sera entre les mains de ceux qui ont la démographie, c'est à dire pas dans les nôtres. Ca veut dire l'uniformisation et la loi des non-Européens en Europe. Un cauchemar.

Monetarisme5 Monetarisme5
MP
Niveau 7
26 juin 2018 à 21:26:39

Et c'est probablement pour jamais, donc tant mieux.

Monetarisme5 Monetarisme5
MP
Niveau 7
26 juin 2018 à 21:28:14

Faudrait que tu ailles mettre le nez dans les groupes qui ont tendance à soutenir l'idée d'un gouvernement mondial, histoire que tu en ressortes dégouté et que tu repasses dans le camp du bon sens.

NekBallad NekBallad
MP
Niveau 15
26 juin 2018 à 21:31:56

En ce qui me concerne, j'aurais à l'heure actuelle plutôt du mal à me définir, si tant est que je le puisse. J'ai à l'idée qu'il ne faut non pas réformer la société actuelle, de quelle que manière superficielle que ce soit, par diverses lois et luttes qui sont internes à son fonctionnement même, mais qu'il faut au contraire la changer radicalement. Pour être plus clair, je m'oppose à ce que de nombreux théoriciens depuis lors ont nommé la société marchande - autrement dit, au capitalisme. En ce sens, ce qu'on appelle la « gauche » et la « droite » me paraissent tout autant sclérosées. Même si plus jeune j'étais dans une posture davantage réformiste, la réflexion ainsi qu'une certaine accumulation de connaissances qui ont été la mienne depuis quelques années m'ont fait prendre conscience de la nécessité, et ce à plusieurs niveaux, de rompre avec le modèle capitaliste que nous connaissons maintenant depuis plusieurs siècles. Ce rejet qui est le mien de la société marchande moderne a plusieurs raisons. Il y a d'abord une dimension « morale », en ce que, dans la posture philosophique que je tiens, l'idée d'élargir la sphère de la marchandisation, ou de ce que l'on appelle aujourd'hui l'économie, à toutes les dimensions de la vie, jusqu'à l'individu en lui-même, en tant que subjectivité, me parait inacceptable - mais aussi invivable. Je suis intimement convaincu, et je ne suis pas le seul, que de nombreux maux, qu'ils soient même psychiques et existentiels peuvent en partie être expliqué à partir de la condition de l'homme moderne, condamné à la seule perspective de l'achat et de la vente, du marché, du travail dénué de sens - condamné à perdre sa vie à essayer de la gagner.

Il y aussi une dimension plus écologique à ce rejet. Les diverses problématiques, qui se font toujours plus sérieuses à mesure que nous avançons dans le temps, en ce qui concerne l'environnement et la planète en elle-même montrent, selon moi et de manière indéniable, l'impact éminemment négatif de l'activité humaine sur la terre. En revanche, là où je me dissocie de nombreux mouvements et pensées de l'écologie, c'est en ce que je rejette toute interprétation fataliste et « anthropologique » de la destruction de l'environnement. Cette dernière n'a rien à voir avec une quelconque nature humaine, mais avec l'activité pratique des hommes, qui ainsi, par essence, est historique et sociale. Dès lors, et contre tout concept d'« anthropocène », selon lequel c'est l'homme en lui-même qui serait la cause des maux de la nature, je me rapproche bien davantage du concept de « capitalocène », selon lequel c'est un certain mode de production humain qui en serait la cause. Ainsi la destruction écologique est bel et bien dépassable si tant est que les hommes changent pratiquement leur manière de se rapporter aux autres et à la nature. Enfin et bien sûr, l'étude de l'économie politique qui a été la mienne durant ces derniers temps m'a fait me rapprocher de la théorie marxienne, et adhérer à la mise en exergue des contradictions internes du capitalisme et de son caractère instable.

Voici les principales raisons de mon rejet du capitalisme. Du reste, ce rejet ne me fait pas pour autant me rapprocher des idées « marxistes traditionnelles », que je rejette tout autant pour des raisons non seulement théoriques mais aussi philosophiques. En effet, l'objectivisme et donc la propension à nier la subjectivité de l'individu pour lui préférer diverses abstractions (telles les classes, ou la société), ainsi que les résultats concrets de la mise en place des théories marxistes-léninistes et ses extensions me font m'y opposer fortement. En revanche, et même si la subjectivité de l'individu tient une place importante dans ma posture intellectuelle, je n'adhère pour autant pas à l'individualisme - que je qualifierais d'abstrait - des différentes obédiences généralement libérales. Je ne conçois en effet pas l'individu comme une robinsonade, isolé des autres mais comme un être essentiellement social, dont les qualités propres se forment et se déploient dans un réseau intersubjectif constant - et ces qualités personnelles se déploient d'autant plus que le réseau des relations sociales de l'individu sont grandes. En bref, là où les marxistes sont « purement » objectivistes, et les libéraux « purement » subjectivistes, je conçois davantage le monde comme intersubjectivité, donc comme rapport entre les subjectivités d'une part, et comme rapport entre les subjectivités et l'objectivité d'autre part. Ces deux rapports s'entremêlent.

Vient ainsi la question de la mise en place d'une société « post-capitaliste ». Question éminemment complexe à laquelle je n'ai malheureusement pas de réponse toute faite. Je dirais tout de même que, selon moi, le but de la politique est la vie commune, et que toute vie commune demande un certain équilibre, ainsi qu'une certaine cohérence ; cohérence vis-à-vis de soi-même et de l'extérieur, donc des autres et de la nature. Ainsi il n'est pas possible, comme les grecs le faisaient si bien remarquer il y a déjà fort longtemps, de céder à l'hubris de l'homme - hubris qui caractérise si bien notre société moderne. Il n'est pas possible de céder à toutes les pulsions, à tous les désirs, sous peine de se condamner à la démesure et donc la décadence. C'est pourquoi il faut dès lors faire des choix consciencieux sur la direction à prendre dans le futur. Telle est la tâche de la politique. Une politique que je caractériserais de saine serait une politique où serait reconnu et considéré l'individu en tant que subjectivité, et que soit pris en compte ses désirs et ses besoins tout en respectant cette cohérence fondamentale - une politique mesurée et vertueuse.

Une participation commune aux décisions politiques est absolument nécessaire selon moi. Ainsi serait communément décidé de la production et des activités sociales : la participation directe de l'ensemble des individus à la politique est indispensable pour que les hommes aient un minimum de contrôle sur leur vie. Une re-localisation des espaces de vie serait indispensable également. Des espaces ainsi que des communautés trop grandes empêcheraient le bon dynamisme de la politique commune. Le but final serait de chercher à réfléchir sur ce qu'est une vie bonne pour à terme s'en rapprocher le plus possible dans la pratique, afin de garantir la sérénité des individus, un cadre de vie sain, et une possibilité pour eux de se développer en tant que personnes. Cela, seule une organisation consciente des individus vis-à-vis de leur existence peut le permettre.

Quant à la notion de culture, je suis pour un pluralisme culturel, c'est-à-dire que je m'oppose à l'uniformisation qui de mon avis vampirise et homogénéise l'hétérogénéité des cultures. Or, chaque culture a quelque chose à apporter et c'est l'existence de celles-ci qui fonde une certaine richesse humaine. Se pose en revanche la question du multiculturalisme. Je pense qu'à l'heure d'aujourd'hui celle-ci peut poser problème. On assiste en effet à une certaine confrontation des cultures qui, de fait, ont du mal à coexister. Cependant, je ne fonde pas ce constat sur une quelconque considération métaphysiquement raciste ou « essensialiste ». La raison en est sociale et historique.
En d'autres termes, je vois d'un oeil critique l'immigration, tout en la replaçant dans son contexte. Il faut prendre conscience, je pense, de la situation sociale de beaucoup de migrants qui, confrontés à une réalité impitoyable et dévastatrice, peuvent aisément rêver de mieux ailleurs. Ce dont il s'agit est de reconnaitre le problème à sa source, et de se demander pourquoi autant d'individus veulent (ou sont contraints pour leur survie même) de migrer. De telles problématiques ne se poseraient pas, ou très différemment, dans une société qui n'aurait plus pour fondement ceux qui sont les notre actuellement. Enfin, si je vois d'un oeil critique l'immigration, je vois d'un oeil tout aussi critique les idéologies fondées sur le sang, la nation, etc. qui, dans les faits, sont plus souvent proches des délires métaphysiques qu'autre chose.

Grimfenix38 Grimfenix38
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 21:36:38

Les émergents ne sont pas prêts d'accepter un Gouvernement mondial, basé dans une ville occidentale de surcroît donc pas de soucis :hap:

Bloqueur_gentil Bloqueur_gentil
MP
Niveau 9
26 juin 2018 à 21:38:12

Le 26 juin 2018 à 21:26:22 Monetarisme5 a écrit :
C'est tout à fait destructeur parce que ça veut dire que le monde sera entre les mains de ceux qui ont la démographie, c'est à dire pas dans les nôtres. Ca veut dire l'uniformisation et la loi des non-Européens en Europe. Un cauchemar.

Qui parle de régime démocratique et d'uniformisation ? :hap: il est évident que le gouvernement mondial auquel j'ai réfléchi n'a rien d'une démocratie moderne :noel:

Les émergents ne sont pas prêts d'accepter un Gouvernement mondial, basé dans une ville occidentale de surcroît donc pas de soucis :hap:

Clairement les émergents ne sont pas un problème.

Message édité le 26 juin 2018 à 21:38:57 par Bloqueur_gentil
Grimfenix38 Grimfenix38
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 21:43:57

Clairement les émergents ne sont pas un problème. :d) Bah oui, on va forcer la Chine et la Russie à rentrer dans ce truc-là :rire:

Bloqueur_gentil Bloqueur_gentil
MP
Niveau 9
26 juin 2018 à 21:47:18

Après je n'ai jamais dit que c'était réalisable, d'ailleurs il n'y a que les mecs complètement zinzins qui croient que c'est le grand projet de je ne sais qui. Personne de censé ne peut espérer sincèrement voir advenir un gouvernement mondial.

C'est l'idée en elle même qui est séduisante.

Grimfenix38 Grimfenix38
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 21:49:11

Bof je ne vois pas en quoi, surtout si ce n'est pas démocratique.

Monetarisme5 Monetarisme5
MP
Niveau 7
26 juin 2018 à 21:49:16

Je ne trouve pas que l'idée ait quoi que ce soit de séduisant. Le pouvoir doit être plus proche des gens, pas encore plus loin qu'il ne l'est aujourd'hui.

Bloqueur_gentil Bloqueur_gentil
MP
Niveau 9
26 juin 2018 à 21:54:14

Le 26 juin 2018 à 21:49:16 Monetarisme5 a écrit :
Je ne trouve pas que l'idée ait quoi que ce soit de séduisant. Le pouvoir doit être plus proche des gens, pas encore plus loin qu'il ne l'est aujourd'hui.

Qu'est-ce qui l'en empêche ? un gouvernement avec une pratique du pouvoir basé sur le principe de subsidiarité laissant une autonomie maximale aux régions. Je suis persuadé que ce système laissera bien plus de pouvoir aux individus que n'importe quel régime occidental actuel.

Message édité le 26 juin 2018 à 21:55:40 par Bloqueur_gentil
Grimfenix38 Grimfenix38
MP
Niveau 10
26 juin 2018 à 22:14:21

Parce que ce Gouvernement serait dépourvu de toute légitimité ?

Bloqueur_gentil Bloqueur_gentil
MP
Niveau 9
26 juin 2018 à 22:15:31

Le 26 juin 2018 à 22:14:21 Grimfenix38 a écrit :
Parce que ce Gouvernement serait dépourvu de toute légitimité ?

on parle idéal là.

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