Évidemment, il faut avoir du sang dans les veines pour apprécier, j'imagine que mon VDD est du genre à déplorer que les ressorts scénaristiques du Cid soient les valeurs désuètes d'honneur et de fierté ; que la pièce soit misogyne, xénophobe et gérontophobe.

Voilà le résultat de la pensée libre.

Si ta capacité de lecture est au niveau de l'effort d'imagination que tu déploies dans ce message, quitte vite le forum.

Mon petit, au dessus de un, on emploie le pluriel. Il fallait dire "dans ces messages", ou préciser auquel tu faisais référence.
Encore une tentative de mépriser pour cacher un vide argumentatif absolu qui fait long feu, faute d'avoir les moyens de sa politique - en l’occurrence, la compréhension de la langue exigée d'un enfant de douze ans.

Je parle de quoi en premier, de ton incapacité à situer Déroulède qui parle d'une guerre impériale puisqu'il évoque 1870, de tes procès d'intention stupides, de ton incapacité à utiliser l'élision - "de un" -, de ton ignorance du fait que par défaut le démonstratif est à analyser en rapport avec l'élément grammatical le plus proche, de ta faiblesse typographique qui te fait prendre un trait d'union pour un demi-cadratin, du fait qu'on utilise jamais un tiret seul en français par convention ?

Comme de par hasard tu évites le sujet de la bd américaine.

Déroulède est universellement connu comme le chantre de l'esprit de revanche, le lier à la guerre de 14 est tout ce qu'il y a de logique.
Je n'ai fait aucun procès d'intention mais tenté un portrait psychologique et dénoncé l'objectif néant de ton premier post, ce qui n'a rien à voir.
Dommage que tu connaisses pas aussi bien les règles que tu le prétends : http://www.aidenet.eu/grammaire01b.htm

17 - Devant "un" adjectif numéral, on ne fait pas l'élision :

- Une table de un mètre quarante - Une table de un mètre.
- Les prix ont augmenté de un à trois pour cent.

Vu le point précédent, j'ai du mal à admettre que ton démonstratif ait été aussi pensé que tu le prétends (2) mais, en admettant, le vague de l'expression "effort d'imagination" reste absolu. Donc, la nullité de la répartie.
Je vais avoir la charité de ne pas rebondir sur le pinaillage entre tiret et demi-quadratin. Au cas où cela t'aurait échappé, celui-ci est d'un usage ("l’usage, législateur suprême" dixit l'Académie) universel sur internet pour des raisons d'accessibilité.
Quant au tiret utilisé seul, plaisanterie de manuel scolaire. J'ai des douzaines de contre-exemples sous le coude. Pour rester dans la poésie :

Elle ignore l'Enfer comme le Purgatoire,

Et quand l'heure viendra d'entrer dans la Nuit noire
Elle regardera la face de la Mort,
Ainsi qu'un nouveau-né, — sans haine et sans remords.
(Baudelaire)

PS :*n'utilise, sacré vieux cordonnier ;)

L'usage est de mettre du subjonctif après après que, l'Académie s'en branle. En diachronie c'est toujours la pragmatique qui finit par peser. En synchronie par contre elle édicte des règles de correction et elle considère toujours que l'usage du cadratin avec un |c| ça ira très bien est un anglicisme fautif.

Après si t'es trop ignorant pour savoir que Déroulède est mort bien avant le début de la première guerre mondiale c'est un autre bizgo

Autrement l'argument d'autorité des auteurs est assez rigolo quand on veut invoquer l'Académie comme légitimation en même temps. Je vais pas te faire l'affront de te citer le nombre de gars qui balancent du "malgré que", depuis Barrès jusqu'à Gide en passant par Proust, c'est toujours considéré comme une faute pour autant.

Moi personnellement je m'en branle, j'encule la grammaire normative en soi, mais comme dans les Écrits on est mesuré par l'échelle que l'on choisit et de fait tu dis encore de la grosse merde en vertu de tes propres principes.

Je demande si tu es pathologiquement mythomane ou simplement d'une mauvaise foi stratosphérique. D'abord, pour Déroulède : je ne l'ai pas situé chronologiquement du tout, ne t'en déplaise. Mon "poème" parlait d'Austerlitz et Verdun, rappelait des thèmes, de diverses époques, liés à l'idée de la patrie en danger ; jamais je n'ai prétendu qu'il vécut encore en 1914. Je n'ai pas non plus employé la formule d'"esprit libre". L'appel à l'Académie était fondé puisque je l'utilisais pour fonder la supériorité de l'usage sur la règle et que j'invoque ensuite Baudelaire comme preuve d'un usage fermement établi contre cette règle que tu sors de ton chapeau. La cohérence de mon post est absolue.

Je n'entre pas dans le baratin du vocabulaire technique, je n'ai pas prétendu m'y connaitre.

Et... je pense que t'as rien avancé d'autres. Presque cinq cents mots pour si peu d'arguments : le niveau est un peu inférieur à celui d'Onfray. Quelque part entre Polony et Durendal, je dirais.

Et je ne suis ni ebase ni larry, désolé.

Tocard.

Cette mise en sang

Tu crois vraiment qu'avec la demi-douzaine de fautes d'orthographe monstrueuses— autrement plus monstrueuse que mes erreurs de tirets ou l'usage délibéré d'une proposition non verbale — que tu as semé, les quelques mots techniques que t'as lâchés suffisent à sauver les meubles ?
C'est pas parce que j'entre pas sur un terrain qui m'est hostile que je t'aie pas mis en déroute sur tous les fronts.
Et avant tout sur le fond :smileyrisitasquisuceunepaille:.

Par contre l'accord des participes tu t'en branles

Ouloulou qu'est-ce qu'on s'amuse sur le forum livres en 2017. Bande de cons, vous êtes absolument désespérants, à supposer que vous soyez encore assez pour former une bande comme les petits croqueurs de foutre que vous êtes.

Et ta vulgarité, vulgarité dans le langage et la manière d'être, fait vraiment pitié.
On peut avoir tort et l'accepter avec grâce, on peut même s'obstiner dans l'erreur avec grâce. Toi, même si tu gagnais, ton élégance ne dépasserait jamais celle de tes formules.

Juste pour le participe. Au fond, faut être juste, t'as du répondant quand je tombe à ton niveau.
Il y a ironiquement aussi une faute au deuxième "monstrueuse".

Enfin, je vais dormir.

Vale.

T'aurais dû renouveler ton stock d'insulte depuis l'époque où t'étais la terreur de la cour primaire. A l'époque, t'avais l'air d'un abruti violent, rôle qui devait te satisfaire, mais aujourd'hui tu n'as plus l'air qu d'un attardé.

Le 12 mai 2017 à 00:37:34 Stoechiometre a écrit :

Et donc l'accord des participes dans tout ça ? Je trouve ça plutôt monstrueux perso Trop occupé à sauter sur des bites pour lire de la grammaire ?

+

Le 12 mai 2017 à 00:36:58 deRoturier a écrit :
Juste pour le participe. Au fond, faut être juste, t'as du répondant quand je tombe à ton niveau.
Il y a ironiquement aussi une faute au deuxième "monstrueuse".

=Sixième ou septième flagrant délit de mythomanie.
Faut consulter, je le dis dans ton intérêt -vraiment -.

Et donc, t'as un avis sur la littérature à part ça pauvre gobeur de couilles ou t'es simplement là pour montrer que les autistes ont accès à internet de nos jours mais pas à des cours de français ?