pour le résumé et l'avancement de la situation, cher fils ; j'ai bien fait de déshériter tes aîné(e)s

Bon je vais quand même jeter un oeil à la save pour voir ce qu'ont fait mes autres gosses

Le Sanctuaire était bien seul dans la nature, seul comme le Deadra méconnu qu’il honorait. Peryite. La fumée des braseros montait dans le ciel, lourde et pestilentielle, comme le démon qu’elle priait de se manifester. Le prêtre nourrissait les flammes, un prêtre bien seul, d’ailleurs, un haut-elfe, perdu en Colovie, loin de chez lui mais proche de son dieu. Il se nommait Eryeril, un elfe dans la force de la jeune selon les critères de sa race, mais un elfe paria, il avait rejeté la religion de ses frères pour adorer le démon de l’ordre et de la maladie, un choix que personne n’avait pu comprendre, que personne n’avait même cherché à comprendre. Un sourire fleurit sur les lèvres fines d’Eryeril en regardant les quelques fidèles. Et soudain, une voix, non : Sa voix, la voix du maitre, la voix de Peryite. L’elfe jeta un regard d’espoir vers le plus important de ses fidèles, l’empereur Frinnius en personne.
- Un empereur ! Un empereur devant moi ! Je ne pensais pas cela possible, un empereur pour moi Peryite. Es-tu venu rejeter tous tes dieux, tu me pries depuis quelques années, déjà, mais tu pries également les autres, eux qui ne comprennent pas ce qu’est l’ordre des choses ! Ils ne méritent pas ces prières, Dibella, Mara, Azura… Accomplis une tache pour moi, empereur Frinnius, sers l’ordre naturel…
- Il en sera ainsi, Seigneur Peryite, dès aujourd’hui je ne reconnais plus que vous. Votre fidèle serviteur Eryeril me suivra à la cour, où il portera votre parole. Car nous servons l’ordre.

Extrait de la correspondance privée de Valgus de la maison Pinder, Roi des États Coloviens, à son fils Cyril, 3624.

Le règne de cet empereur apparaît particulier. Les Crevassais ont certes reconstruit l’empire, et nous avons été habitué à leurs coutumes, mais ils semblaient que les fidèles des huit allaient prendre le dessus. Et puis, cet empereur Frinnius, il ne suit pas les coutumes crevassaises. Nous avons des dieux en commun avec eux, nous pouvons nous entendre. Depuis quelques jours, il clame à qui veut l’entendre qu’il ne vénère plus que Peryite ! Peryite, le plus faible et le plus inconnu des deadras ! Et le conseil, il m’y a invité mais j’ai honte de la table où je m’assois. La maréchale de l’empire, Kaia la balafrée, est un loup-garou elle ne s’en cache pas et l’empereur l’admet au conseil privé. Il faut également supporter l’arrogance de cet altmer, maître des questions religieuses. Et la légate impériale, magicienne de la cour, qui sert de également de guérisseuse : une harfreuse ! Oui, une harfreuse ! En vérité, mon fils, prépare nos forces, il n’est pas dit que nous ne serons pas contraints à la guerre même si j’aimerais l’éviter, l’empereur est un diplomate après tout.

Pour Frinnius, la question était réglée. L’empereur devait être couronnée devant la Tour de l’or blanc, à la Cité Impériale. Mais à cette époque troublée, la cité impériale, après de multiples révoltes, pillages, invasions avait fini entre les mains du Roi de Skingrad, Cario, et était en majoritée habitée par des Khajiits. Frinnius était un diplomate, mais ne trouvant pas à la cour Cario une once de diplomatie ( le roi de Skingrad, alcoolique notoire était alors enfermé dans ses appartements, et on avait eu la brillante idée de donner la régence à un orc), il déclara la guerre pour reprendre le cœur de l’empire. Les armées de Skingrad furent décimées, l’empereur parvenant à piéger toute une troupe et à les massacrer jusqu’au dernier, prouvant ses incontestables talents militaires. Ce fut ainsi, que le 6 Primétoile de l’an 3627, Frinnius fut couronné à la Tour de l’or blanc devant une foule de nobles, de fonctionnaires, de soldats et de Kajhiits. Ce fut également à cette période qu’il posa les premières pierres de l’armée permanente impériale, et qu’il entreprit un grand projet de rénovation de la Cité Impériale. Il fallait penser les plaies d’années de saccages et cela commençait par restaurer les fortifications et, comme disaient certains « nettoyer la porcherie kajiite ».

Les Kajiits semblaient bien être la préoccupation première de l’empire, puisqu’en 3630, une nouvelle guerre éclata contre eux. Et, chose surprenante, Frinnius ne souhaitait pas étendre ses frontières mais visait une terre lointaine, située à l’embouchure du Niben : Senchal. Les objectifs semblaient être commerciaux et stratégique : le contrôle du Niben était en effet vital pour l’empire, mais d’aucuns objectaient que l’essentiel était la sécurisation de la Cité Impériale et donc le contrôle du lac Rumare, alors divisé entre l’Empire, Skingrad et le royaume nibennien. Cependant, on peut noter que le début de la guerre pour Senchal, coïncidait avec l’arrivée à la cour d’un personnage particulier. Un Drémora nommé Dhrur, un drémora aveugle qui plus est. D’aucuns le disaient envoyé personnel de Peryite, bien qu’on est jamais su que le Daedra disposait de Drémoras. Enfin, toujours est-il que pour beaucoup, c’est bien Peryite qui a provoqué la guerre pour Senchal et pas l’attrait plus que relatif du vieux port de Senchal, une ruine fumante malgré son potentiel énorme.
La guerre fut rondement menée, les Khajiits, mené par leur Mane, Kumurr, tout juste adulte lancèrent l’offensive parvenant à mettre pied sur la Cité imperiale et même à en pénétrer les défenses. Mais Frinnius, menant personnellement ses hommes écrasa les félins sous les murailles du district du nord le 16 Âtrefeu de l’an 3631. Les Khajiits ne purent alors s’opposer à l’avancée des troupes impériales et décidèrent dans un élan de désespoir d’assassiner leur Mane avant de se rendre après quatre ans de guerre. Les Khajiits de Senchal, purent alors assister à l’entrée de l’empereur dans la ville, la couronne impériale sur le front, son corps puissant enfermé dans une armure daedrique, une antique épée dwemer au côté, il remit le commandement à un jeune officier avant de retourner vers la Cité Impériale.








n empereur ne connaît jamais vraiment la paix. La guerre était inévitable, les états vénérant les huit commençaient à s’inquiéter du retour en puissance de l’empire sous la bannière de Peryite. L’un des dirigeants frontaliers était en mesure de réunir les mécontents : Le roi du Niben, Galbus le roc. Guerrier redoutable, diplomate hors pair, mage de guerre terrible, à la tête d’un état puissant. Frinnius, poussé par son Conseil, et dit-on, encore une fois par Peryite, résolut de frapper le premier, de frapper fort pour montrer qu’on ne pouvait défier l’Empire. La guerre ravagea les rives du Niben et finalement, le comté d’Aurus rejoignit Cyrodiil. Galbus était vaincu.


Les années suivantes furent plus calmes, à Skingrad les Khajiits s’agitaient et se libéraient de leur roi humain : ils feraient des proies faciles pour les vassaux de l’Empire. Frinnius, entre deux affaires courantes poursuivait sa formation, et tâtait même un peu à la magie. Mais cela ne pouvait le distraire de sa peine. C’était au fond de lui, un homme simple et bon, qui n’aspirait qu’à une vie honnête et tranquille. Le devoir impérial écrasait sa personnalité, et parfois, au milieu de la nuit, le fracas des combats revenait le hanter. Comment pourrait-il imposer cela à une femme ? Comment pourrait-il aimer ? Surtout après l’échec de son mariage, sa femme s’était révélée être une intrigante, elle l’avait trahie, comploté avec les électeurs pour s’assurer le trône en cas de décès de son mari, priver les enfants de Frinnius (qui n’étaient pas les siens) de leurs droits légitimes. Il avait du se résoudre au divorce. Cette vie n’était pas faite pour être vécue à deux, et l’empereur résolu de s’écarter des tentations. Las de ses tourments, il finit pas passer quelques mois à traquer les pillards nordiques dans la Crevasse et essaya quelques sorts sur lui-même, pour atténuer les maux de la vieillesse.






10 Âtrefeu 3643, Cité impériale

- Père ? Je peux vous parler ?
C’était Baebio, Frinnius l’aimait tendrement. Un garçon intelligent et généreux, un digne prince impérial. La demande qu’il venait de faire aurait du être refusée, Frinnius aurait voulu la refuser. Un prince impérial, s’éloigner de la cour pour gérer une ville insignifiante ? Un prince de cette qualité aurait eu tant à offrir à l’Empire. Mais le monarque n’avait pu s’empêcher de penser à ce qu’il aurait pu faire si on lui avait laissé le choix, si pour d’obscures raisons politiques on ne l’avait pas propulsé sur ce trône qu’il n’avait pas réclamé. Alors il n’avait pas pu refuser à son fils cette vie tranquille qu’on lui avait refusée, il n’en avait pas eu la force, il ne pouvait pas tous les jours, toutes les heures, céder au devoir. Alors si son fils voulait devenir maire de Shriekwind…
- Va, et sois heureux, Baebio.*

En cette année 3644, une nouvelle menace pesait sur l’Empire. Au nord, Bordeciel était toujours plus uni, et sous la coupe de la Haute-Reine Edla l’Affable, les Nordiques menaçaient de reprendre leurs terres aux impériaux, à commencer par Estemarche. L’offensive fut féroce et balaya les maigres défenses de la comtesse d’Estemarche, Cornelia Lorne qui en appela au trône de rubis. Les Nordiques se lancèrent alors dans une marche folle, entrant à Cyrodiil par Morrowind, pour éviter la passe d’Helgen, fermement tenue par les gens des Lorne. Malheureusement pour Edla, Frinnius averti du projet avait rassemblé une solide armée, et quand les Nordiques arrivèrent enfin, épuisés après une longue marche, leurs rangs décimés par l’attrition, ce fut pour trouver plus de quinze mille impériaux frais et dispos qui broyèrent leurs forces dans un poing d’acier, avant de repartir pour les chasser d’Estemcarche et mettre Vendeaume à sac. Cette défaite marqua également la chûte d’Edla, assassinée par sa propre famille et l’avènement de Kodlak le balafré. Mais pas plus qu’Edla, il ne parvint à vaincre Frinnius. Toutefois, pendant que les forces impériales se battaient en Bordeciel, les Argoniens se révoltaient. Les garnisons furent massacrées, les colons passés au fil de l’épée et leurs villes ravagées par les terribles reptiles. Frinnius revint en hâte sur ses terres et parvint à pousser les Argoniens vers le Nord avant de les prendre en tenaille et de les écraser.
Cette même année, 3647, marque également la création de la République du Senchal, son premier gouverneur Glallian Bygoner resta dans l’Histoire pour pas grand-chose car c’était proprement un être insignifiant, qui n’eut aucune incidence sur l’époque. Enfin, il fut le premier gouverneur de Senchal et mérite donc d’être signalé.

Les années suivantes furent marquées par des guerres contre les Nibenais, qui n’étaient plus que l’ombre de leur grandeur passée, et où Frinnius développa de nouveaux talents. Quelques provinces impériales adoptaient la foi de Peryite, même si le peuple restait fidèle aux huit dans sa grande majoritée. Les nobles par contre suivirent à peu près tous leur monarque dans sa croyance, hormis au sein des états coloviens. Un culte qui ne manquait pas de sang…

La Cité impériale se paraît à nouveau des couleurs de sa gloire perdue, et ses murailles étaient désormais quasiment impénétrables. On avait nettoyé la porcherie khajiite pour y amener des Coloviens fidèles à Peryite. La fortune semblait sourire A Frinnius qui gagna encore une guerre contre Skingrad et contre le Niben. Il mourut dans sa tante, sur son lit de camp, en pleine campagne contre les adorateurs de Mehurnes Dagon de Scinia, à 87 ans. Les électeurs impériaux acclamèrent son fils ainé Gallian, nouvel empereur de Cyrodiil.

Nota bene : Il va sans dire que nous ne parlerons pas des rumeurs persistantes selon lesquelles Frinnius aurait été lié d’une quelconque façon à la guilde des voleurs. Imagine-t’on un empereur voler à la tire ou vendre du skooma de contrebande ?

L'empereur à sa mort SpoilAfficherMasquer
l'héritier SpoilAfficherMasquer (l'héritier est pas de la dynastie, parce qu'il y a pas encore le vote impérial)
l'empire SpoilAfficherMasquer

bon j'aurais aimé mettre les cultures et les religions mais noelshack veut plus

https://1fichier.com/?nnvgf396a6w0hz6oecqi
la save

Where's save ?

Ah, merci bien

Belle partie, tu as pu garder l'Empire intact et le stabiliser.
La maison Lorne est bien installée même si elle se corrompt au service d'un Daedra

- SergentF4N1 - 1 tour
- Papyruso - 1 tour
- Bigrat - 1 tour
- DeathLawli - 1 tour
- Reginwald - 1 tour
- SerialKillerYo [SKY] - en cours
-TheCody

Le 19 février 2022 à 00:24:45 :
Belle partie, tu as pu garder l'Empire intact et le stabiliser.
La maison Lorne est bien installée même si elle se corrompt au service d'un Daedra

Bof, ça va, il est gentil, Peryite, il nous protégera d'une mort stupide par maladie

T'aurais au moins pu choisir un bon deadra, au lieu de l'autre vieux dragon pestiféré

Un Daedra à la mesure de l'homme qui jouait

Belle partie en dépit de cette conversion à une hérésie à détruire

Le 19 février 2022 à 10:18:30 :
T'aurais au moins pu choisir un bon deadra, au lieu de l'autre vieux dragon pestiféré

Bah j'ai joué rp moi hein
On m'a refilé un fidèle des cultes crevassais il était adeete de Peryite avant que j'arrive. J'ai juste viré les autres dieux J'ai une gueule à adorer Dibella moi ?

Le 19 février 2022 à 11:41:52 :

Le 19 février 2022 à 10:18:30 :
T'aurais au moins pu choisir un bon deadra, au lieu de l'autre vieux dragon pestiféré

Bah j'ai joué rp moi hein
On m'a refilé un fidèle des cultes crevassais il était adeete de Peryite avant que j'arrive. J'ai juste viré les autres dieux J'ai une gueule à adorer Dibella moi ?

Oui

Mdrrrrrr, comment ça tape sur le petit Reg ici !

Je suis mort de mon côté, je vous ponds un résumé pour demain

Je précise juste que d'un commun accord avec les aitres, on a modifié la save pour corriger un flag défectueux qui nous empêchait de changer les lois du royaume, merci les bugs

Cool !! Enfin, pas cool pour ta mort mais pour le résumé

Chronologie du règne de l'Empereur de Cyrodiil Glallian "le Bon" : L'année 3663

10 Vifazur (8) : "Aujourd'hui est mort l'empereur Frinnius le Balafré, premier empereur de la dynastie des Lorne.
Gloire à son fils Glallian, notre nouvel empereur !"
Glallian était au front, menant le siège de Nagastani, lorsque la nouvelle est arrivée, il décide de rentrer rapidement pour voir une dernière fois son père.
Glallian ne s'était jamais sérieusement préparé à régner sur l'Empire, il ne comprend toujours pas pourquoi il avait été désigné comme héritier de son père. Il respectera tout de même ses dernières volontés et assurera la paix et la prospérité de l'Empire.
Une fois arrivé à la Cité Impériale, Il commence les préparatifs pour l'enterrement de son père et son couronnement.

16 Vifazur (8) : Une fois que l'Empereur décédé fut enterré et après cinq jour de deuil, Glallian va effectuer ses premières actions en tant que souverain.
Se souciant de renforcer ses liens avec d'autres familles nobles de l'Empire pour éviter de potentiels révoltes et complots, il décide de marier la princesse impériale Avita Lorne avec Coris Aquilarios, l'héritier du comté de Dorven, un vassal de l'Empire qui se trouve en Hauteroche. Glallian s'est arrangé pour que les enfants issus de leur mariage soient de la dynastie impériale.

3 Âtrefeu (9) : Lors de la première réunion du Conseil, portant sur le sujet de la succession, l'Empereur décide de soutenir la candidature de son second fils, le prince Callisos, jugeant qu'il est le plus compétent de son entourage proche à pouvoir diriger l'Empire de Cyrodiil en cas de malheur.

12 Âtrefeu (9) : Après la nomination de l'héritier, Glallian arrangele mariage de Callisos avec Marina Aquilarios, fille du comte de Chorrol et de Skingard, dont la beauté et la courtoisie sont reconnus dans tout l'Empire.

9 Soufflegivre (10) : Les préparatifs étant terminés, Glallian peut enfin se couronner lui-même Empereur du Trône de Rubis lors d'une bref cérémonie, en présence des comtes, barons et nobles étrangers qui ont pu faire le déplacement.
Peu après, le nouvel Empereur reprit son cheval pour rejoindre l'armée principale en pleine bataille.

12 Soufflegivre (10) : Lors de la première bataille mené depuis son couronnement, l'Empereur se voit troublé lorsqu'il aperçoit une Nordique ressemblant à son amie Ari tomber au combat, n'hésitant pas à pousser les soldats pour aller à son secours. Après les combats, il décide de faire enterrer tous les morts, quel que soit leur allégeance, et de patiemment noter leurs noms pour qu'ils ne soient jamais oubliés.

28 Sombreciel (11) : La paix est signée entre l'Empire de Cyrodiil et le comté de Scinia, une victoire facile qui a permis de consolider les possessions impériales à l'Ouest. Néanmoins, l'Empereur en garde un mauvais souvenir, se rappellant toujours de la bataille qu'il a mené et des nombreuses morts de ce jour, une boucherie qu'il aimerait éviter à l'avenir, surtout maintenant qu'il en a le pouvoir.

Chronologie du règne de l'Empereur de Cyrodiil Glallian "le Bon" : L'année 3664

20 Semailles (3): Le roi Arentius a tenté d'outrepasser ses droits envers ses sujets en voulant révoquer arbitrairement une baronnie, un acte qui fut mal reçu et qui a déclenché la guerre civile colovienne. L'Empereur, soucieux de préserver la paix et d'épargner le plus d'innocents possibles, tente d'y mettre fin avec la diplomatie.
Après cinq jours de négociations, une trêve est finalement signée entre les deux principaux belligérants à la Cité Impériale, nommée le Traité de l'or blanc, où Arentius accepte de reconnaître son erreur et de pardonner aux rebelles en échange d'un retour au statut d'avant-guerre.

7 Ondepluie (4): En ce jour est célébré le mariage du fils ainé de l'Empereur, le prince Appos, avec Narina Barrid, l'héritière du comté d'Eastmarch, une alliance permettant à l'Empire de recevoir un soutien supplémentaire. Pour célébrer ce mariage et sûrement par remord d'avoir écarté son fils du Trône de Rubis en privilégiant Callisos, Glallian décide de lui offrir le comté de Falkreath et de le nommer conseiller.

18 Mi-l'an (6) : Glallian reçoit une étrange lettre noire avec "PLACEHOLDER" écrit dessus, il s'agit d'une plainte formelle provenant du peuple colovien, inquiet du manque de représentants de leur culture au sein du Conseil des Anciens. Il l'a lu avec attention et a ensuite pris des mesures nécessaires pour encourager la candidature et l'entrée de Coloviens dans le Conseil, malgré les commentaires de certains conseillers qui pensent que ça peut être perçu comme un signe de faiblesse.

8 Hautzénith (7) : Peryite semble s'intéresser aux affaires de Nirn depuis quelques jours, du moins c'est ce que rapporte les érudits de la cour impériale. Glallian, qui ne s'est que peu intéressé à la religion depuis son couronnement, décide tout de même d'honorer son maître en lui offrant un crâne nordique qu'il avait hérité de son père mais qui le mettait mal à l'aise.
Lors de l'offrande, l'Empereur ressentit dans son esprit que Peryite semblait satisfait du présent, d'autant que le Prince daedra apprécie l'Empereur malgré son caractère qu'il juge trop altruiste.

15 Hautzénith (7) : Depuis plusieurs mois, le bosmer Lanelor, baron de Sancre Tor et adepte du dieu Y'ffre, s'adonne aux plus viles activités sur ses sujets, n'hésitant pas à les torturer et même à les dévorer publiquement pour imposer un régie de peur dans la cité. De plus, ces nombreuses diffamations et insultes à l'encontre de l'Empereur ont conduit à une animosité forte entre ces deux hommes. Aujourd'hui, en projetant d'enlever l'héritier du Trône de Rubis Callisos, il a finalement outrepassé la patience de Glallian. Ce dernier décide en conséquence de lever une armée pour aller le capturer et l'emprisonner en personne.

28 Soufflegivre (10) : Lanelor, refusant de se laisser capturer par l'Empereur des Hommes, a mis la ville de Sancre Tor en état de siège. L'Empereur aurait préféré éviter des morts supplémentaires, mais il ne peut laisser Lanelor impuni pour tous les crimes qu'il a commis, il choisit d'attendre plutôt que d'envoyer ses hommes massacrer la centaine de défenseurs présente dans la ville.
Il profite aussi de cette guerre pour améliorer ses tactiques de siège.

Chronologie du règne de l'Empereur de Cyrodiil Glallian "le Bon" : Les années 3665 à 3667

24 Hautzénith (7) de l'an 3665 : Après près de 9 mois de siège et de recherche, les hommes de l'Empereur Glallian ont finalement réussi à mettre la main sur le perfide serpent de Sancre Tor, qui pour l'heure croupit dans les oubliettes impériales. Tous les autres prisonniers ont été pardonnés et libérés, la plupart ayant été forcé à combattre pour Lanelor sous peine de se voir subir les pires atrocités.
L'Empereur voulu de suite lui retirer son titre, mais pour cela il devra mener bataille contre le Conseil des Anciens, car la révocation de titres ne fait pas partie des prérogatives impériales.

6 Ondepluie (4) de l'an 3666 : Après plusieurs mois de négociations, l'Empereur Glallian réussit à faire passer la loi sur la révocation des titres pour punir les traîtres, contre une quantité importante d'or, et ainsi il peut extirper Sancre Tor de la folie sadistico-cannibale de son ennemi.
Magnanime, il ordonne le banissement de Lanelor et la confiscation de toutes ses richesses, là où d'autres le poussaient à demander
l'exécution. La ville de Sancre Tor est remise au roi Arentius de Colovie qui en fit sa capitale.

6 Hautzénith (7) de l'an 3666 : Une nouvelle guerre civile secoue la Colovie, le roi Arentius ayant de nouveau outrepassé ses droits en voulant arbitrairement révoquer les terres d'un vassal. L'Empereur tente à nouveau de négocier une trêve et un retour au statut d'avant-guerre mais les révoltés voulaient absolument détrôner leur souverain, et ce même s'ils étaient en infériorité numérique.

12 Sombreciel (11) de l'an 3666 : L'Empereur de Cyrodiil est connu à travers tout Tamriel comme étant Glallian le Bon, protecteur des opprimés et des faibles face à la brutalité de ce monde, armé de son coeur d'or et de sa poigne d'acier. Glallian semble beaucoup apprécier ce surnom, même s'il préfère ne pas le montrer.

3 Soufflegivre (10) de l'an 3667 : La paix et la prospérité règne dans l'Empire de Cyrodiil, malgré la guerre civile colovienne qui s'achève. Entre deux tentatives d'apaisement du conflit, l'Empereur Glallian s'accorde à sa nouvelle passion qu'est l'équitation.