leur chemin sont désormais tous séparés ! travis et sophia vont vers un endroit dont ils ne connaissent que le nom, Darius et Véron sont obligés de faire la guerre et Emilie suit son entrainement (je vais voir ton blog !)

Travis et sophia sont vivant et oui
ps: J´ai posté la suite de ma fic

bein oui mais personne le sais !! (sauf eux !)

!

sOkash pourquoi tu le up les gens la lisent si ils veulent moi il y a que k´n´d et toi qui la lisait

bein oui mais peut-etre que d´autres veulent la lirent on sait jamais

voila pour la suite le chapitre est bcp plus court desolé

|\- Chapitre 09 : Matihé, ville futuriste -/|

La calèche continuait d’avancer sur les routes menant à Matihé. Travis regardait toujours le paysage, il n’avait pas parlé depuis leur départ. Ses trois autres compagnons étaient eux en train de chanter des chansons qui devenaient de plus en plus enfantines. Sophia tourna la tête vers son ami, et s’aperçut qu’il ne chantait pas. Elle se rapprocha de lui, laissant le père et la fille chanter en duo. Elle mit son bras autour de l’épaule de Travis et lui demanda ce qui n’allait pas :
« - Rien, ne t’en fait pas.
- Rien, tu es sûr ? demanda-t-elle d’une voix douce.
- Oui, rien. C’est juste ces paysages que je n’avais jamais vu.
- C’est vrai qu’ils sont magnifiques ! Je peux les regarder avec toi ?
- Bien sûr, viens plutôt d’asseoir en face, tu verras mieux le paysage ! suggéra Travis. »

Mais elle ne suivit pas son conseil. Elle posa sa tête sur l’épaule du jeune homme et soupira, observant le paysage qui défilait à toute allure. Il était maintenant dix heures du matin, l’heure à laquelle, à Spellcity, leur propre enterrement avait lieu. Tout le village les croyait morts, mais pourtant ils étaient tous en pleine forme ! Tous ? Non, Sophia commençait à fatiguer. Elle s’endormit sur l’épaule de son ami, devant un paysage de campagne : les champs de blé défilaient, et il y avait parfois quelques maisons qui apparaissaient. Travis était lui aussi un peu fatigué, mais il tenait à rester éveillé, au cas où il arriverait un autre problème.

Il traversait maintenant un désert de champ de maïs. Soudain, la calèche s’arrêta. Goergeous et Plorine s’arrêtèrent de chanter, ce qui réjouit Travis, et Sophia se réveilla. La porte du compartiment s’ouvrit, et l’on vit apparaître Lorkidé. Il fit une petite courbette et salua Mr. Goergeous, puis le reste des passagers. Il se décala ensuite sur le côté pour laisser sortir ses maîtres. Travis sortit en dernier de la calèche. Mais au lieu d’atterrir sur ce qui devait être du maïs, il posa le pied sur de la terre. En effet, le nouveau cocher avait réussi à trouver un point de terre au milieu de cet immense et interminable champ. Ce dernier commença même à poser une nappe par-dessus laquelle il y déposa un panier.
« PIQUE-NIQUE ! dit-il d’un ton réjouit. »

Tout le monde avait l’air réjouit à l’annonce de cette nouvelle, même Travis dont le ventre commençait à crier famine. Il s’assit, encore après tout le monde, sur la nappe. Lorkidé avait déjà ouvert le panier qui était plein à craquer de nourriture. A côté de lui se trouvait Sophia, Travis étant assis entre le Maire et sa fille. Le serviteur murmura quelque chose à l’oreille de l’actrice qui la fit beaucoup rire. Bizarrement, Travis se sentait visé. Vexé, il se leva et alla cueillir du maïs. Il tenait dans sa main le panier qui avait été vidé en quelques secondes par Goergeous et Lorkidé. Sophia n’y prêta pas beaucoup d’attention, elle préférait prendre son petit-déjeuner entourée par des amis plutôt que d’être au côté d’un jeune homme triste.
« - Sommes-nous loin de Matihé ? demanda-t-elle, en plissant les yeux à cause du citron qu’elle venait de mordre.
- Non, plus vraiment. Nous y serons en début d’après-midi, mais il me semblait plus juste de faire une pause et de manger un peu ! déclara Lorkidé.
- J’aimerais juste savoir combien de temps nous y resterons ? Il ne faut pas trop traîner non plus, dit Goergeous.
- Et bien nous repartirons de la ville demain matin. Il est préférable pour nous comme pour les chevaux de dormir dans des endroits sécurisés et chauds.
- Oui, et il faudra aussi que je me lave, regardez mes cheveux ! déclara Plorine après s’être regardée dans une glace. »

Travis s’était éloigné de la calèche. Il ne pouvait vraiment pas supporter Lorkidé et son hypocrisie. Il avait déjà cueillie trois épis de maïs. Il entendit ensuite un bruit venant de derrière, comme une bête qui se faufilait à travers les tiges, pour ne pas qu’on l’aperçoive. Mais Travis n’avait pas peur, aussi il sortit ses deux marteaux qu’il portait toujours sur lui. Il déposa le panier par terre, et attendit que la bête se montre, près à l’attaquer immédiatement. Il entendit un autre bruit, puis un petit loup sortit des feuillages et bondit sur Travis. Le jeune homme avait perdu dans sa chute l’un de ses marteaux. Il se servit de l’autre pour frapper dans le dos de l’animal, qui tomba sur le côté. Travis se releva et saisi son deuxième marteau. Le loup gémissait maintenant. Travis eut pitié de lui, sachant bien que la bête lui bondirait dessus à nouveau s’il s’approchait trop. Il eut soudain une idée sournoise. Il attrapa d’un geste vif la bête et la déposa dans le panier. Il prit quelques tiges de maïs solides pour pouvoir boucler solidement le panier.

Il entendit ensuite Sophia qui l’appelait depuis le point de pique-nique, lui disant qu’ils allaient maintenant reprendre la route. Il marcha donc tranquillement vers la calèche, fier du tour qu’il allait jouer à Lorkidé. Une fois arrivé devant la calèche, il vit que tout le monde était déjà à sa place, et il donna le panier à Lorkidé, lui précisant bien qu’il ne fallait surtout pas qu’il regarde à l’intérieur du panier. Lorkidé répondit par un simple « D’accord ! » mais Travis savait bien que le cocher allait y jeter un œil, et alors, le loup lui sauterait dessus.

~°~

Ils étaient maintenant proche de Matihé. Les paysages devenaient de moins en moins désert, les maisons de plus en plus présentes et les routes de plus en plus pavées. Travis avait à son tour dormit pendant tout le voyage, malgré le bruit que faisaient les trois autres voyageurs. La calèche s’arrêta net. Ils étaient arrivés aux portes de la ville, et les gardes devaient s’assurer de l’innocence des nouveaux venus. Travis s’était réveillé en sursaut. Soudain, il s’inquiéta : qu’arriverait-il si le garde demandait à ce que l’on ouvre le panier ? Le loup sortirait, bondirait sur le garde, le tuerait, et ils seraient alors très mal ! Il réussi, en collant son oreille à la fenêtre, à entendre quelques mots de la conversation que le garde tenait avec Lorkidé.
« - Monsieur…panier…pouvez…ouvrir… ? dit le garde.
- C’est…confidentiel…peux pas… ! répondit Lorkidé avec un ton respectueux.
- Oui…comprends…la situation. »
Il entendit ensuite très clairement la phrase que dit le garde :
« Vous pouvez passer ! Bienvenue dans la Grande Ville : Matihé ! »

Il vit un deuxième garde presser un bouton qui fit ouvrir la porte avec un petit grincement. Matihé était vraiment la ville reine en matière de technologie ! Comment pouvaient-ils ouvrir une si grande porte à l’aide d’un simple bouton ? Décidément, Travis allait avoir beaucoup de choses à raconter à sa famille dans sa prochaine lettre ! Ils rentraient maintenant dans la ville. Les bâtiments étaient cent fois plus hauts qu’à Spellcity, ils devaient atteindre les dix étages ! Les rues étaient faites de pavés beiges, les trottoirs étaient durcis à l’aide de pierre et des arbres longeaient les routes. Les restaurants empiétaient parfois sur les trottoirs à cause de tables qu’ils disposaient à l’extérieur, certaines étant abritées par une toile. Non seulement les routes étaient disposées d’une façon qui était jusque là inconnue aux voyageurs, mais en plus les bâtiments semblaient être éclairés par autre chose que des bougies.

Lorkidé arrêta la calèche à une place qui semblait s’appeler « parking » si on prenait en compte la grande pancarte qui était affiché à l’entrée de la place. Mr. Mekixo ouvrit, à son habitude, la porte de la calèche avec une petite courbette, puis il se décala sur le côté. Cette fois, Travis sortit en premier, du fait qu’il était monté en dernier et qu’il avait donc hérité de la place la plus proche de la porte. Il faisait plutôt chaud et l’air était frai. Sophia manqua de trébucher, mais Lorkidé Mekixo la rattrapa. Elle le remercia puis lui sourit, et il lui rendit son sourire. Travis recommença à être agacé par Lorkidé, sans doute ressentait-il de la jalousie, qui sait ? Il interrompit donc les petites politesses :
« - Où c’est qu’on va ?
- Nous allons tout d’abord acheter quelques habits. Ensuite, il faudra acheter quelques armes, au cas où…
- Ah ça non ! Je n’irais pas dans un magasin d’armes ! dit Plorine en coupant la parole à Lorkidé.
- Au cas où nous nous faisons attaquer. Il sera alors préférables pour Sophia et Plorine d’aller réserver deux chambres à l’hôtel, une pour vous les filles et une autre pour les garçons.
- Pourquoi je ne pourrais pas aller au magasin d’armes ? demanda Sophia indignée. Vous êtes d’un macho… »

Sophia commença à marcher vers les rues commerçantes, suivie par Plorine puis Goergeous. Travis sourit, content que son amie ai remis le serviteur à sa place. Il suivit ensuite Sophia, en tapotant au passage sur l’épaule de Lorkidé. L’homme restait figé, apparemment il n’avait pas l’habitude à ce qu’on lui réponde de la sorte.

~°~

Le shopping dura plus de deux heures et demi. Plorine avait réussi à s’acheter dix robes, trois pantalons et huit t-shirts ce qui étaient, pour elle, un exploit. Sophia, elle, n’avait prit que quelques vêtements, ne voulant pas abusé de la gentillesse du Maire qui avait payé tous les frais. Travis n’avait pas trop abusé non plus du Maire, il préférait attendre d’être au magasin d’armes pour cela. Le Maire, lui, avait déjà tout ce qu’il lui fallait au niveau des vêtements, et Lorkidé s’était absenté au bout d’une demie heure. Il fut de retour juste après que Plorine ai acheté sa dernière robe. Il donna à Sophia un papier contenant l’adresse de l’hôtel, mais elle refusa d’aller réserver les chambres.
« Je ne vois pas pourquoi se serait à moi de le faire ! » dit elle de son ton autoritaire. Travis s’approcha d’elle et lui chuchota à l’oreille :
« Vas-y et arrange toi pour faire crécher Mekixo au sous-sol ! »
Il lui fit un clin d’œil, et elle annonça à Lorkidé qu’elle était finalement d’accord. Elle sortit du magasin avec un sourire narquois, accompagnée de Plorine.

Les trois hommes se dirigèrent vers le magasin d’armes le plus réputé de la ville et par conséquent le plus cher. Le magasin semblait terne et très ancien par rapport au reste de la ville, ce qui rappela à Travis les magasins de Spellcity. Une grande enseigne était placardée au-dessus de la vitrine, elle disait : « Chez Wildburg ». Goergeous ouvrit la porte. L’intérieur était sombre, éclairé par une ou deux bougies seulement. Travis scrutait les rayons, à la recherche de marteau, ses armes préférées.
« Tu devrais peut-être changer d’armes, elles n’ont pas l’air très performantes. » dit Lorkidé qui s’était posté juste derrière le jeune homme.
Travis se contenta de quitter le rayon et se dirigea vers la caisse pour demander s’ils n’avaient pas de marteaux en rayon. Le caissier, qui n’était autre que Wildburg, se dirigea vers la réserve. Il en ressortit accompagné d’un jeux de trois marteaux placés sous vitrine. L’un était deux fois plus grand que ceux que possédaient Travis, et il semblait faire cent fois plus de dégât. Les deux autres étaient plus petits, et faisaient par conséquent moins de dégâts, mais il semblait tout aussi efficace en cas de danger.
« - Ils te plaisent un ? Ils on appartenus à Los, avant qu’il ne meurt, bien évidemment ! dit Wildburg.
- Qui est Los ? demanda Travis.
- C’était un très grand guerrier. C’est lui qui a permis la victoire de Matihé sur les Tomokaris lors de la guerre de Trainte. Ces marteaux sont des pièces de collection, par conséquent, ils valent très cher.
- Je les achète ! déclara Mr. Goergeous qui avait lui aussi fait son choix. »

Goergeous avait prit deux katanas, ainsi que quatre kunaïs. Il avait également choisi pour sa fille une dague et pour Sophia une épée. Lorkidé se dirigea vers Wildburg et lui remit un papier. Le vendeur regarda le papier attentivement puis dit :
« C’est donc vous. Je ne vous attendais plus ! »
Il retourna dans la réserve et ressorti avec un gros paquet dans les bras. Lorkidé le prix et paya. Wildburg lui sourit, puis il alla dans un rayon s’occuper d’un nouveau client. Lorkidé en profita pour prendre en douce un couteau ainsi qu’un pieu. Travis s’attendait à ce que Goergeous lui ordonne de reposer ses armes mais à la place de cela il sourit gentiment. Tous trois sortirent, Wildburg n’ayant même pas remarqué que son couteau le plus précieux venait d’être volé.

Goergeous suggéra qu’ils aillent boire un verre avant de rejoindre les jeunes fille à l’hôtel. Les deux autres acquiescèrent par un hochement de tête qui allait de haut en bas. Ils s’assirent donc à la seule table libre du café « Griccson » qui se situait deux rues après le magasin d’armes qu’ils venaient de visiter. Goergeous commanda trois thés qui furent servit en moins de deux minutes, à la surprise de tous. Mais Lorkidé renversa par accident sa tasse sur Travis qui par un autre mouvement brusque renversa sa tasse sur Goergeous. Mais Goergeous ne semblait pas fâché, ce qui inquiéta encore plus Travis. Il allèrent s’essuyer dans les toilettes, pendant que Lorkidé commandait deux autres tasses. A leur retour, Lorkidé avait déjà bu son thé et il se proposa pour aller chercher la calèche et l’amener jusqu’ici pour que ses maîtres n’aient pas à ce fatiguer.

Lorkidé revint un quart d’heure plus tard. Heureusement car Goergeous avait l’air de s’énerver pour la première fois. S’il y avait une chose que le Maire ne supportait pas, c’était le manque de ponctualité. Mais Lorkidé réussi à lui rendre le sourire par son « rituel » d’ouverture de la porte de la calèche. Travis monta la calèche. Tout d’un coup, il ne se sentais pas très bien. Il décida de dormir durant le voyage et Goergeous en fit autant.

~°~

Ils étaient maintenant arrivés à l’hôtel. L’immeuble faisait partit des plus grands de la ville. Un tapis rouge avait été déroulé à l’entrée. Des lettres d’or étaient inscrites sur le mur : « Pazala Griccie Hôtel ». Goergeous sortit calmement de la calèche et entra dans l’hôtel. Travis voulut descendre mais il se rappela quelque chose : le panier ! Il demanda alors avec un ton innocent à Lorkidé :
« - Lorkidé, mon panier s’il vous plaît ! J’espère que vous ne l’avez pas ouvert !
- Vous savez très bien que je n’oserais jamais ! répondit-il en donnant le panier. »

Il fit une courbette et rentra dans l’hôtel, demandant au garde de conduire la calèche jusqu’au parking. Travis ouvrit le panier pour vérifier si ce qu’avait dit Lorkidé était vrai. Mais il aurait préféré ne pas l’ouvrir : il découvrit le bébé loup mort lapidé et noyé par son propre sang…

j´ai vraiment pas confiance en Lorkidé sinon les kunaïs tu connaissaient agvant ou c´est par rapport a ma fic?

bein grace a la tienne et celle de KD

http://sokash.skyblog.com il y a les dessins des perso. de ma fic

chose promise chose due
ta fic est tres bien tes persos sont originals
mais un truc me chagrine énormément quand est-ce qu´on va avoir les persos de tales mais bon je dis
ps : j´ai pas vu de faute meme si chui nul en orthographe et yon texte est structuré
ps2 : je suis sur que lorkidé est méchant
ps3 : rien

merci^^ les héros de TOS arrivent dans le prochain chapitre (pour certains) mais ils ne peuvent pas venir à chaque chapitre, ils viendront ts les trois chapitres, comme pour les histoires des autres persos

ok

Juste pour donner quelques nouvelles : le chapitre arrive bientôt, sûrement pour ce soir ou demain. Ensuite se sera la rentrée pour moi et les chapitres ne seront plus postés quotidiennement (enfin c´était pas trop le cas déjà cette semaine !! ) donc voila le chapitre s´intitulera "Flanoir" (pas très original je sais mais bon...)