ActionAventureRPGPlate-FormeSportShooterCourseStratégieFPSRéflexionGestionCombatSimulationBeat'em AllPuzzle-GamePoint'n ClickAutresParty-GameSurvival-HorrorRythmeTactiqueMMOShoot'em UpInfiltrationAdresseTirJeu de cartesAction RPGWargameJeu de sociétéCompilationLudo-EducatifOpen WorldTPSCoachingCréationRoguelikeSurvieFlipperTactical RPGMMORPGRunnerDungeon RPGSandboxGod GameHack'n slashVisual NovelBattle RoyaleManagementCity BuilderFilm InteractifMOBAMMOFPSSimulation de vieTower DefenseCasse briques4XDragueDanseKaraokéMatch 3Simulation de volObjets cachésSerious GamesJeu de Rôle
Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Après quelques essais plus ou moins fructueux dans le jeu d’aventure, dont l’emblématique Maniac Mansion, LucasArts publie en 1990 l’une de ses œuvres majeures, The Secret of Monkey Island, titre culte s’il en est. Vous aimez le point and click, les situations farfelues, les duels d’insultes, la piraterie, les fantômes et les poulets en caoutchouc ? Alors ce jeu est fait pour vous.
Si les jeux indépendants savent parfois briller de par leur originalité, il arrive qu’on ait aussi droit à des titres qui semblent être de véritables copies des grosses licences que nous connaissons bien. Il serait dommage de trop vite condamner ce genre de productions, car ce serait passer à côté de jeux comme Maldita Castilla, ou encore Oniken, dont la qualité n’est plus à prouver. Ittle Dew, dernier titre du studio Ludosity, ne peut échapper à la comparaison avec son modèle hylien. En est-il pour autant une pâle reproduction ?
Si les jeux indépendants savent parfois briller de par leur originalité, il arrive qu’on ait aussi droit à des titres qui semblent être de véritables copies des grosses licences que nous connaissons bien. Il serait dommage de trop vite condamner ce genre de productions, car ce serait passer à côté de jeux comme Maldita Castilla, ou encore Oniken, dont la qualité n’est plus à prouver. Ittle Dew, dernier titre du studio Ludosity, ne peut échapper à la comparaison avec son modèle hylien. En est-il pour autant une pâle reproduction ?
Si les jeux indépendants savent parfois briller de par leur originalité, il arrive qu’on ait aussi droit à des titres qui semblent être de véritables copies des grosses licences que nous connaissons bien. Il serait dommage de trop vite condamner ce genre de productions, car ce serait passer à côté de jeux comme Maldita Castilla, ou encore Oniken, dont la qualité n’est plus à prouver. Ittle Dew, dernier titre du studio Ludosity, ne peut échapper à la comparaison avec son modèle hylien. En est-il pour autant une pâle reproduction ?
Si les jeux indépendants savent parfois briller de par leur originalité, il arrive qu’on ait aussi droit à des titres qui semblent être de véritables copies des grosses licences que nous connaissons bien. Il serait dommage de trop vite condamner ce genre de productions, car ce serait passer à côté de jeux comme Maldita Castilla, ou encore Oniken, dont la qualité n’est plus à prouver. Ittle Dew, dernier titre du studio Ludosity, ne peut échapper à la comparaison avec son modèle hylien. En est-il pour autant une pâle reproduction ?
Si les jeux indépendants savent parfois briller de par leur originalité, il arrive qu’on ait aussi droit à des titres qui semblent être de véritables copies des grosses licences que nous connaissons bien. Il serait dommage de trop vite condamner ce genre de productions, car ce serait passer à côté de jeux comme Maldita Castilla, ou encore Oniken, dont la qualité n’est plus à prouver. Ittle Dew, dernier titre du studio Ludosity, ne peut échapper à la comparaison avec son modèle hylien. En est-il pour autant une pâle reproduction ?
Fichtre, nous sommes déjà en septembre et les équipes de la NHL s'apprêtent à lancer une nouvelle saison de hockey. Mais comment faire pour patienter durant les quelques jours qui nous séparent du coup d'envoi officiel ? Oh, par bonheur EA vient de lancer un certain NHL 14. Voyons donc ensemble ce qu'il nous réserve !
GTA V est l'un des jeux les plus ambitieux dont la septième génération de consoles ait accouché. Plus de cinq années de développement et un budget record dépassant les 200 millions de dollars ont été nécessaires à la conception de ce blockbuster en puissance. Suffisamment puissant pour générer autant d'attente que la sortie des next-gen, le titre de Rockstar débarque plein de promesses. Disséqué durant des mois par sa communauté de fans, Grand Theft Auto V est enfin prêt à nous livrer tous ses secrets. Et si l'on tenait là le plus grand jeu de l'histoire ?
La scène du jeu indépendant a cette incroyable capacité à engendrer concepts et expériences étranges, parfois heureuses, parfois géniales ou contemplatives et parfois... déroutantes, pour dire le moins. Que penser d'un jeu qui vous propose d'incarner une maman blaireau cherchant un nouveau terrier pour ses petits ?
La scène du jeu indépendant a cette incroyable capacité à engendrer concepts et expériences étranges, parfois heureuses, parfois géniales ou contemplatives et parfois... déroutantes, pour dire le moins. Que penser d'un jeu qui vous propose d'incarner une maman blaireau cherchant un nouveau terrier pour ses petits ?
Jayce et les Conquérants de la Lumière le savent bien, Laurent Voulzy l'a même chanté, le pouvoir des fleurs – et des plantes en général – est indéniable. Dans la série Plantes contre Zombies, c'est même une véritable armée de végétaux qui se dresse pour repousser des vagues de mangeurs de cervelles. Le premier épisode avait donné le ton, cette suite reprend le flambeau en ajoutant de nombreuses nouveautés, et en ayant de plus la bonne idée d'être gratuite.
Se relever d'un faux pas n'a jamais été chose facile. Non seulement il faut faire un véritable travail sur soi pour comprendre ses erreurs, mais il faut aussi convaincre son public de cette prise de conscience et de l'apport engendré. Après sa sortie catastrophique en 2010, Final Fantasy XIV avait fort à faire pour remonter la pente. A Realm Reborn est-il vraiment le renouveau annoncé ?
L'année dernière, Dead or Alive 5 avait déjà réjoui les amateurs de plastiques de rêve et de combos déchaînés. Le voilà qui nous revient dans une version Ultimate comprenant bien entendu quelques petits ajouts. Ces derniers justifient-ils à eux seuls l'achat de cette édition ? Vous trouverez des éléments de réponse dans ce test.
Se relever d'un faux pas n'a jamais été chose facile. Non seulement il faut faire un véritable travail sur soi pour comprendre ses erreurs, mais il faut aussi convaincre son public de cette prise de conscience et de l'apport engendré. Après sa sortie catastrophique en 2010, Final Fantasy XIV avait fort à faire pour remonter la pente. A Realm Reborn est-il vraiment le renouveau annoncé ?
L'année dernière, Dead or Alive 5 avait déjà réjoui les amateurs de plastiques de rêve et de combos déchaînés. Le voilà qui nous revient dans une version Ultimate comprenant bien entendu quelques petits ajouts. Ces derniers justifient-ils à eux seuls l'achat de cette édition ? Vous trouverez des éléments de réponse dans ce test.
Le voilà enfin ! Après des mois d'attente, de multiples reports, Rayman Legends débarque sur nos PC. Les développeurs d'Ubisoft Montpellier ont mis à profit les nombreux mois qui séparent cet épisode d'Origins pour peaufiner et enrichir leur bébé. Un défi relevé haut la main : le résultat est tout simplement sublime.
Cela ne fait plus de doutes, les simulators sont devenus monnaie courante dans le paysage vidéoludique PC. Dès lors, n'importe qui peut s'improviser, souvent en apprivoisant un gameplay archaique et une réalisation grippée, plombier, bucheron, conducteur de machines de chantier, ou même fermier. Et c'est à ce cas de figure précis que nous nous intéressons aujourd'hui puisque la franchise Farming Simulator s'exporte des PC jusqu'aux consoles de salon, un an après la sortie de la version mère. Alors, comment se sent on après avoir labouré un champs depuis son canapé ?
Cela ne fait plus de doutes, les simulators sont devenus monnaie courante dans le paysage vidéoludique PC. Dès lors, n'importe qui peut s'improviser, souvent en apprivoisant un gameplay archaique et une réalisation grippée, plombier, bucheron, conducteur de machines de chantier, ou même fermier. Et c'est à ce cas de figure précis que nous nous intéressons aujourd'hui puisque la franchise Farming Simulator s'exporte des PC jusqu'aux consoles de salon, un an après la sortie de la version mère. Alors, comment se sent-on après avoir labouré un champ depuis son canapé ?
Ce n'est pas parce que 4 années séparent ArmA III de son prédécesseur que la franchise de Bohemia Interactive Studio a été oubliée, bien au contraire. ArmA II jouit encore d'une communauté particulièrement passionnée qui a, au fil des mods et des scénarios personnalisés, étoffé le terreau déjà fertile offert par le jeu de base. Simulation militaire extrêmement pointue à percevoir comme un bac à sable géant incroyablement exigeant, la série ArmA pâtissait d'une optimisation catastrophique, d'une ergonomie à revoir et d'une IA laborieuse. Est-ce le cas pour cet ArmA III ? Bohemia a-t-il corrigé ses erreurs sans pour autant céder à la concession ?
Adapter un jeu de figurines dans notre univers pixelisé est une chose, en réussir l’exercice en est une autre. Cyanide en a fait les frais en transposant sur nos écrans l’univers de Confrontation dans son soft éponyme. Inspiré du jeu d'escarmouche par figurines créé par le défunt Rackham Studio, Confrontation, paru fin 2012, laissait un goût d’inachevé, bien trop amer pour satisfaire le fan de la licence. Le joueur ignorant tout de la franchise de Rackham, lui, bringuebalé qu’il était dans ce qui aurait pu être un très sympathique RPG tactique, n’a pas pu trouver ses marques dans ce Confrontation trop bancal, qui manquait cruellement de finition, en dépit de son potentiel tactique franchement séducteur. Aarklash : Legacy reprend les bases de son prédécesseur et tente de corriger le tir. Pari réussi ?