ActionAventureRPGPlate-FormeSportShooterCourseStratégieFPSRéflexionGestionCombatSimulationBeat'em AllPuzzle-GamePoint'n ClickAutresParty-GameSurvival-HorrorRythmeTactiqueMMOShoot'em UpInfiltrationAdresseTirJeu de cartesAction RPGWargameJeu de sociétéCompilationLudo-EducatifOpen WorldTPSCoachingCréationRoguelikeSurvieFlipperTactical RPGMMORPGRunnerDungeon RPGSandboxGod GameHack'n slashVisual NovelBattle RoyaleManagementCity BuilderFilm InteractifMOBAMMOFPSSimulation de vieTower DefenseCasse briques4XDragueDanseKaraokéMatch 3Simulation de volObjets cachésSerious GamesJeu de Rôle
Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Notch a assurément un talent inestimable : créateur de Minecraft qu'on ne présente plus, le développeur suédois a également créé d'autres jeux plutôt sympatiques, tel Cliffhorse, un jeu ironique et délirant, et donc Shambles, qui nous intéresse ici. Ce survival-horror trempé dans du pixel et profitant d'une difficulté élevée est-il pour autant un bon jeu de zombies ?
Après les nombreuses critiques adressées à Atelier Shallie : Alchemists of the Dusk Sea et surtout l’impopularité du portage de Atelier Rorona sur 3DS l'an dernier (seulement 11 000 exemplaires vendus, soit sept fois moins que Atelier Shallie qui était déjà considéré comme un échec), il y avait de quoi être inquiet pour l’avenir de la série de Gust. Inquiétude bien infondée, car le développeur préparait le plus tranquillement du monde Atelier Sophie.
Les jeux de course sont nombreux sur iOS et Android et la franchise CSR Racing rencontre un succès incontestable auprès des joueurs. NaturalMotion et Zynga ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin et proposent d’avaler des kilomètres de bitume dans un tout nouveau titre, sobrement intitulé CSR Racing 2.
Trois ans après Heroes of Loot et seulement quelques mois après Space Grunts, Orangepixel s’en revient faire un tour sur le devant de la scène avec le second volet de son Roguelike mobile. De manière créative, les bougres ont opté pour un très original « Heroes of Loot 2 ». Une sobriété tout à fait appropriée dans la mesure où le studio a décidé de reprendre dans les grandes largeurs ce qui avait fait le succès de son premier jeu, à savoir un setup Heroic Fantasy classique mais efficace, un gameplay simple et une direction artistique en pixel art qui fait le travail. Ne croyez pas cependant que le studio s’est reposé sur ses lauriers, car si tous ses éléments sont bels et bien présents, on les retrouve cette fois-ci dans une version améliorée qui donne au jeu une nouvelle dimension, ce qui, il faut bien l’avouer, est loin d’être désagréable. Mais trêve de bavardage et place à l’action avec notre critique détaillée de Heroes of Loot 2.
« Tiens donc, un TPS en VR… Bah voyons… Ils ne savent plus quoi inventer… » vous disiez-vous probablement en découvrant Edge of Nowhere il y a un peu plus d’un an. Derrière ce shooter glacial en vue à la troisième personne se cachait alors la promesse d’un double A en vue non-subjective, accrocheur et immersif. Quelques semaines après l’arrivée du titre sur le store Oculus, qu’en est-il vraiment ? Le pari est-il réussi ? L’épopée nous attrape-t-elle durant des heures sans lasser ? Réponse.
Si vous avez grandi lors de ce formidable tournant qu'est le passage des années 80 aux années 90, vous connaissez sûrement Kick Off, le soft qui a démocratisé le football virtuel. Aujourd'hui rangée au placard au profit de licences plus bankables telles que PES ou FIFA, la série s'offre un retour remarqué sous la houlette de son créateur Dino Dini. L'occasion idéale de se refaire une partie aux doux parfum retro en plein Euro 2016 ?
Même si l'aura des zombies n'est plus aussi importante qu'à une certaine époque, il faut bien reconnaître que ces créatures putréfiées fascinent les joueurs. Lors de l'E3, Sony en a même fait son final avec un Days Gone à la fois spectaculaire et immersif. Les éditeurs ont bien compris que les joueurs sont sensibles à la chair ambulante et l'arrivée de Deadlight : Director’s Cut s'inscrit dans cette logique. Sorti en 2012 sur PC et Xbox 360, le jeu de Tequila Works s'octroie une seconde jeunesse sur les plateformes du moment. En 1080p, avec ses optimisations et ses contenus additionnels, ce jeu d'action / survie n'a rien perdu de son intérêt. Reste à savoir si cette version s'imposait...
Été 2010, les Danois de Playdead marquaient irrémédiablement la sphère du jeu vidéo (indé mais pas que) avec Limbo, sombre fuite en avant jonchée de pièges mortels à l’esthétique monochrome aussi sinistre que mémorable. Six ans après ce premier coup d’éclat artistique et ludique, le studio nous revient avec Inside, jeu au concept assez proche de son prédécesseur, mais à l'exécution diablement plus efficace. Plongeons ensemble dans cet univers dérangeant pour ce test d’un véritable chef-d’œuvre !
Avec le second film made in Michael Bay actuellement au cinéma, il fallait bien évoquer nos chères tortues dans le jeu vidéo. Après un opus décevant développé par PlatinumGames, les reptiles atterrissent sur mobile avec Teenage Mutant Ninja Turtles : Legends. L'action au tour par tour est de mise, mais nos mutants réussiront-ils à se démarquer des cadors du genre comme Star Wars : Galaxy of Heroes ? Ouvrons notre boîte à pizza et allons faire un petit tour dans les égouts. Un programme charmant...
La politique de Square Enix en matière de jeux mobiles est quelque chose d’assez fascinant à observer. D’un côté, l’éditeur inonde le marché de remake et autres portages aux qualités variables, le tout à des prix prohibitifs histoire de ponctionner autant que faire se peut le porte-monnaie des joueurs nostalgiques. De l’autre, Squenix sort régulièrement des jeux originaux ou des spins offs entièrement pensés pour le mobile, dont certains d’une très grande qualité. Final Fantasy Brave Exvius fait partie de cette seconde catégorie. Créé en collaboration avec Alim Co., qui a fait ses preuves avec Brave Frontier, ce Final Fantasy est sans aucun doute l’une des plus grandes réussites de l’éditeur en matière de mobile. Car même s’il adopte les oripeaux d’un banal free to play, il se classe bien au-dessus de la masse des titres appartenant à ce genre. Mieux, il s’agit d’un des meilleurs RPG mobiles disponibles à l’heure actuelle. Si le jeu vient tout juste de sortir, nous avons pour notre part écumé les terres de Grandshelt pendant de nombreuses heures à l’occasion de son soft launch suédois. Et l’heure est venue pour nous de vous livrer notre avis.
Hasard du calendrier ou volonté assumée d'aller au clash de date entre éditeurs concurrents, Ray Gigant sort quelques jours à peine après Stranger of Sword City, l'autre Dungeon RPG d'Experience Inc. Étrange choix pour des jeux au public si restreint, dont les similitudes risquent fort de desservir les ventes des deux opus. Cependant, au-delà d'une forme commune qui — sur le papier — pourrait faire craindre l'indigestion, nous ne sommes pas là face à deux clones, très loin de là. Voyons donc les spécificités de la proposition d'Acttil.
Passage obligé de tout jeu voué à perdurer en ligne, le DLC s'offre une première percée dans l'univers de The Division, qui n'avait jusqu'ici accueilli que quelques mises à jour majeures. Pour son passage en version 1.3, c'est dans les souterrains de New York que nous emmène le shooter connecté d'Ubisoft… Avec la ferme ambition de nous y garder enfermés ?
La saison cycliste est déjà bien lancée et le Tour pointe le bout de son nez, pas de doute, c'est le moment de se pencher sur l'édition annuelle de Pro Cycling Manager. Réputée avare en nouveautés, la série s'était tout de même dotée d'un tout nouveau mode de jeu l'an passé dans lequel on incarnait pour la première fois un seul coureur au fil de sa carrière. Une bonne base sur laquelle il ne reste plus qu'à capitaliser.
Mélangeant savamment JRPG et science-fiction, la série Star Ocean revient avec un cinquième opus sur PlayStation 4 qui porte en lui les espoirs de nombreux fans. Entre affrontements politiques, explorations et sombres découvertes, le titre du studio tri-Ace semble avoir les avoirs les bases du bon jeu de rôle à la japonaise, au moins sur le papier... Mais manette en mains, c'est tout autrement.
Vingt ans après le premier Independence Day, les aliens sont de retour et c’est sur iOS et Android qu’une partie de la bataille se déroule. Développé par Zen Studios, Independence Day Resurgence: Battle Heroes nous entraîne aux quatre coins du système solaire afin de stopper la menace extraterrestre.
À moins que vous ayez passé les deux dernières années quelque part entre la Lune et Mars, vous n'êtes sans doute pas passés à côté de l'information : de nouveaux films Star Wars devraient nous transporter dans une galaxie lointaine, pour le plus grand bonheur des fans... Et surtout de Warner Bros Interactive Entertainment, et de Tt Games. Depuis dix ans, le combo nous propose à intervalle régulier des jeux LEGO adaptés de diverses licences, dont la plus fructueuse est bien évidemment celle adaptée de l'univers de George Lucas. Alors bien entendu, la sortie de l'Épisode VII, en décembre dernier, devait donner naissance à un nouvel opus, que nous avons pu essayer longuement sur PlayStation 4 et Star Wars : Le Réveil de la Force Xbox One.
Débutée en août 1996 sur PlayStation, la saga Resident Evil s’est par la suite diversifiée au point de s’éloigner drastiquement de ses prédécesseurs. Du jeu de survie en milieu horrifique à l’Actionner violent et décérébré, la franchise éditée par Capcom écume les plates-formes à la recherche de la formule multijoueur idéale. Après la tentation du coopératif avec Resident Evil : Outbreak en 2004 et l’égarement Resident Evil : Operation Raccoon City en 2012, la série lorgne désormais sur le marché des Shooters à dominante multijoueur. Le jeu de tir à la troisième personne Umbrella Corps revenait ainsi d’entre les morts pour une aventure zombifiée en Versus.
De nombreuses licences surfent sur la dynamique initiée par Pokemon depuis de nombreuses années. Capturer des monstres plus ou moins mignons, les faire combattre les uns contre les autres, en collectionner un maximum... Monster Builder ne fait pas exception à la règle. Coller avec une mode peut être une bonne comme une mauvaise chose. Il faut aussi savoir se démarquer de la concurrence en apportant du neuf à un concept un peu vieillot. Alors, Monster Builder réussit-il à sortir du rang ? Voici la réponse.