Grosse déception que ce Bioshock 3 : ultra linéaire, une ambiance trop lumineuse qui ne correspond pas du tout à celle des deux premiers et un gameplay sur des rails à l'image des scènes de gunfight sur rail justement. Le scénario est juste naze, inintéressant et prévisible. On a perdu tout les bons côtés du 1er et 2e épisode. Mais cela reste un bon fps.

Je donne mon avis sur ce jeu assez tard après sa sortie, bien que je me sois rué dessus le jour J et que je l'ai fini plusieurs fois depuis. Je pense avoir maintenant le recul nécessaire sur le jeu pour le positionner en regard de ses ainés, en terme d'ambiance, de gameplay, de scénario et de durée de vie.

Au niveau graphisme, c'est beau, rien à dire, même si les 2 premiers bioshocks sont somptueux, on est ici encore un cran au dessus. La distance d'affichage est énorme et les décors de colombia n'en sont que transcendés.
Ceci dit, je trouve personnellement la patte artistique bien moins originale et jouissive. A mon sens, Rapture reste de loin plus immersive que Colombia, le level design étriqué et lugubre de la ville sous marine volontairement antagoniste au monde très ouvert et lumineux de la cité céleste.

Question de point de vue, certes, mais je trouve que de fait Rapture se prête beaucoup plus à l'exercice d'une aventure qui sera le théâtre des excentricités et des aberrations qu'on pourra y trouver.

A l'inverse, colombia est plus consensuelle, plus politiquement correct, et même si c'est le souhait des développeurs pour mettre en place leur trame scénaristique calquée sur ce modèle, j'ai été beaucoup moins touché par Bioshock infinite de par cet aspect là.

On tend aussi vers la conformité en ce qui concerne le gameplay, l'action est bien plus nerveuse, la jouabilité se rapprochant d'un FPS contemporain, le tout épaulé par un nombre conséquent d'armes, que je trouve malheureusement beaucoup moins séduisantes que dans les premiers Bioshocks.
De fait, le jeu est plus un shooter, il y a moins d'exploration et de recherche, c'est BEAUCOUP plus linéaire, les gunfight sont omniprésents.

Et surtout le gameplay est complètement modifié par la présence du bouclier : on a moins peur de perdre de la vie, c'est bourrin, dès que le bouclier est cassé il y a la possiblité de se mettre à couvert pour le recharger, puis on recommence. Le jeu s'en trouve beaucoup plus facile, surtout si on investit les bonus dans le bouclier.

En contrepartie, l'absence de sauvegarde manuelle est au final un bien : même si on peut plus quitter le jeu quand on veut, ils permettent un peu plus de challenge entre les gunfights, sachant que mourir implique de recommencer depuis le début.

La durée de vie est ici plus importante que les deux premiers opus, en prenant le temps de fouiller un peu, on monte facilement jusqu'à la vingtaine d'heure, à condition de ne pas se lancer dans les modes de difficulté facile ou normal dans lesquelles vous pourrez rusher sans problème.

Niveau scénaristique c'est complexe, alambiqué, il y a des rebondissements régulièrement et le jeu demande de l'implication pour en comprendre toutes les subtilités.
Je l'ai fini 2 fois, pourtant certains aspects me semblent obscurs.
Au risque de m'attirer les foudres des puristes, je trouve que c'est trop, beaucoup trop exagéré niveau complexité, c'est volontairement alambiqué sans que cela soit réellement nécessaire au scénario, ca part dans tous les sens et je comprends pas réellement le souhait des scénaristes.
Dans le premier Bioshock c'etait vraiment bien fait, on s'y attend pas, l'explication finale est tordue mais reste à la portée des joueurs, un bon scénario.

Ici, le flou du début du jeu sous entends (je dirait même qu'il hurle) à quel point la suite va être tortueuse. Même si on ne sait pas exactement de quoi il va en retourner, on s'attend tellement à ce qu'il se passe quelque chose de particulier qu'on est même pas surpris par les révélations de la fin du jeu.
Un peu comme si les développeurs nous disaient : "regardez à quel point notre scénario est complexe, on est trop des ouf dans notre tête". Sans qu'à aucun moment cette complexité n'ai été nécessaire, ni même n'apporte quoi que ce soit en terme valeur ajouté au jeu.
C'est ce que j'aime appeler de la "masturbation intellectuelle".

Mais qu'on ne me fasse pas dire ce que j'ai pas dit, Bioshock infinite reste un très bon jeu, agréable à jouer et plaisant à regarder. Ceci dit, il ne mérite pas, selon moi, les éloges qui lui sont faites à tous les niveau.

Bioshock a marqué mon expérience de joueur, je m'en suis rappelé longtemps et je m'en rappellerai encore de nombreuses années. J'aurai certainement oublié Bioshock infinite l'année prochaine.

Commençons par le gameplay qui m'a un peuuuuu déçu. J'insiste sur le "un peu" car sinon il est très bien.
Pourquoi? Ah cause du manque je dirais. Il reprend les bases d'un bioshock mais en retirant les phases de piratage (on se contente de trouver des crochets et Elizabeth fais le reste), les choix moraux (on a des choix mais ils ne changent rien à l'histoire), le port d'armes ne se limitant plus qu'à 2. Enfin sinon, c'est vraiment sympa. Les toniques (rempla çant les plasmides) sont bien pensés, les sensations des skylines sont excellentes bien que j'ai du mal à me battre dessus et ordonner à Elizabeth (non c'est pas sexiste) d'ouvrir des failles pour faire apparaitre des alliés, des armes, des kits de soins etc. Les lieux sont également très grands et diversifié. N'hésitez pas à chercher pour découvrir les sombres secret de la ville.

Les musiques sont variés et très bonnes, je me rappel celle du Songbird qui est vraiment stressante.

Graphiquement le jeu est très beau. La direction artistique est excellente, Columbia est très animée et coloré. La mise enscène est digne d'un Bioshock, de l'excellent boulot.

Le scénario raconte l'histoire de Booker Dewitt, détective au passé sombre, qui doit ramener une jeune fille, Elizabeth, pour effacer ses dettes.
Attendez vous à vous creuser la tête car c'est un scénario assez complexe, entre le passé de Dewitt, Columbia et les pouvoirs étranges d'Elizabeth.

La durée de vie dépendra de vous si vous souhaitez faire le jeu en ligne droite ou si vous décidez d'explorer la ville. (Comptez une douzaine d'heures dans le deuxième cas)

Bref Bioshock possède ses qualités comme ses défauts. C'est un bon jeu que je vous conseille. Mais attention à ne pas vous attendre à un puissant monument. XD

Pour bien comprendre cette avis il faut se mettre à la place d’un joueur qui a fortement apprécié Bioshock premier du nom sur PC,qui au fil des années est devenue très exigeant, sur des jeux triple A surtout lorsqu’ils doivent succédé à des grand frère tant renommé.
Alors certes Bioshock « 3 » est réellement bon, je ne me suis pas ennuyé et j’ai eu du mal à décroché, l’univers, l ’ambiance et le scénario sont vraiment bien travaillé et encore une foi ils nous sortent du classicisme des FPS moderne ou l’originalité est bannie.
Le soucis c’est que pour l’univers, si Rapture fu original en son temps, Colombia ville aérienne et de prime abord génial, mais tombe trop vite dans une ambiance américaine début du 20 eme siecle, mais surtout n’utilise pas au maximum les propriétés qui aurait pu être apporté avec ce système de ville « flottante » voir de faille dimensionnel, non je trouve que c’est réduit au strict minimum.
Le scénario quant à lui sert une ambiance que l’on aurait pu retrouver dans un épisode « Rapture like » avant les événements du 1 soit avant que la folie et la révolution ne s’empare de la ville. Du coup le coté vivant apporté par ses PNJ qui vaque à leurs occupations n’est pas assez bien retranscrit et en plus nous propose des PNJ avec une seul ligne de dialogue, peu d’animation et qui se permettent de disparaître des que l’action s’enclenche. De plus le scénario devient réellement intense (qui vous chamboulera l’esprit pendant un temps) qu’à la toute fin du jeu.
Pour le jeu en lui-même le défaut principal est là : Bioshock troque son aspect « Survival » pour devenir un « Banal » shooter, ce qui m’avait pourtant énormément plut dans le 1.
Ici il est question d’avancé, de fouillé un peu à l’instar du premier et d’arrivé dans une zone un peu plus ouverte, type arène ou il faut repousser des vagues d’ennemies. Le pire c’est qu’on se retrouve à plusieurs reprise, à se mettre dans une cachettes pour éviter les milliers de balles et de sniper une IA qui comme d’habitude ce laisse bêtement « shooter »
Certains aspect sont tout simplement passé à la trappe, car ce sont bien là les maîtres mots des développeurs : tu as aimé ça dans Bioshock, tu ne l’aura point dans Infinite.
Exit les piratages, les prises de photos, les améliorations d’arme visible, les combats à préparer pour affronter les puissants protecteurs, mais aussi les petites énigmes à base de plasmide.
Sans oublié le multi-joueurs qui au lieu d’être amélioré, n’est plus de la partie. Je trouve aussi aberrant qu’en 2013 un jeu ne propose pas de New Game + surtout qu’il se prêtait plutôt bien au scénario.
D’ailleurs aux rayons des choses retiré, les choix certes peu nombreux dans Bioshock 1, ici ils sont anecdotique ou presque au déroulement du jeu, un comble quand on voit ce que réservé comme multitude d’interprétation cette superbe histoire.
Mais attention ce n’est pas finie, non il faut aussi compter avec des graphismes en dent de scie, certes magnifique surtout sur les plan en pleine air (et de jours) mais plutôt immonde dès qu’il fait trop sombre et encore une foi vraiment classique tant le jeu s’inspire trop de l’ambiance USA 1900.
Sans oublié des chargements pendant « l’exploration » (heureusement pas en combat) des IA bugé, qui disparaissent ou reste bloqué derrière un mur, deux armes portable en même temps etc…
Finalement si on me demande quel jeu m’a fait vibrer ses dernier temps, oserais-je parler de Bioshock Infinite ? Non pas pour le gameplay qui en y repensant n’a pas tant que ça évolué, ni à son univers moins prenant. Mais bel est bien grâce à cette aventure parfois un peu trop tourné vers le grand publique, mais qui garde quand même une excellente identité, ses personnages (peut-être moins charismatiques mais tout aussi intéressant) Ses deux héros vraiment attachant, cette épopée a la foi loin mais si proche des autres Bioshock et sa fin terriblement émotive. Le problème c’est qu’il est difficile de parler de ses dernier points (les meilleurs, à mon sens. Loin devant les ¾ de FPS récent) sans être obliger de spoil, ce qui du coup gâcherais le jeu.
Verdict, malgré quelques erreurs de gameplay et un contenu certes plus fournis pour un FPS tourné exclusivement vers le solo, mais qui pèche par un manque au niveau des autres modes de jeu. J’ai de plus depuis 2009 trouvé d’autre FPS moins ambitieux mais tout autant voir plus accrocheur grâce a leurs gameplay moins « conventionnel » pourtant Bioshock infinite tire son épingle du jeu grâce au reste et c’est finalement ce qu’on attendait de lui. Il lui manque certaines chose (élément ou mode de jeu injustement retiré) qui ne feront peut-être pas de lui le meilleur FPS mais il n’en reste que le pari d’Irational Game est réussi, car j’en redemande avec impatiente. A voir plus loin que le simple jeu, on retrouve une aventure dont beaucoup de développeurs devraient s’inspiré. Un Must have

Le scénario est correct, mais plus ou moins bien apprécié quelques détails de la fin qui donne l'impression de vouloir donner une réponse rapide, dire de finir "vite fait" sans rien développer du pourquoi du comment sur certains détails.

Graphiquement sur console ça ne rend pas service au game-design qui n'as d’ailleurs évolué nulle part, comparé au précédents épisodes, surtout les effets de lumière c'est une catastrophe sur PS3.

Niveau gameplay, la caméra par défaut intègre de l'accélération, lorsque l'on souhaite augmenter simplement la vitesse ça devient vite n'importe quoi, au moins les précédente version c'était plus simple et moins "assisté".

Personnellement, j'ai préféré largement Bioshock et surtout sa suite à cet infinite. Attention, Biosok Infinite n'est pas un mauvais jeu ! Ce troisième opus peut se vanter de posséder une ambiance remarquable, les combats sont très dynamiques. Certaines idées, comme les failles ou les ballades en rail, sont intéressantes et bien exploitées. Le personnage d'Elizabeth est exceptionnel. BI est très jouable et accessible, même pour un joueur moyen comme moi, à l’exception d'une bataille finale horriblement difficile. Les soucis ? Le moteur du jeu commence à accuser son age, les graphismes ne sont pas à tomber et surtout le scénario, capillotracté au possible, est loin de m'avoir transcendé. Du coup, après avoir fini le jeu, ne reste que l'impression d'avoir goûté à une coquille vide. Dommage mais recommandable.

(PS3) Il n'y a pas à dire, les Bioshock valent le détour. Ce 3è volet est dans la lignée des 2 précédents.
L'ambiance de Colombia est à couper le souffle, de la meme manière que l'était Rapture mais dans un style totalement opposé. On a bien plus d'intéractions avec les habitants et on peut voir la ville comme si on était un citoyen lambda, ce qui change de Rapture. La ville est magnifique, bien travaillée, on a envie d'y aller.
On appréciera particulièrement les premières heures de jeu, particulièrement axées sur l'exploration et la contemplation de la cité, mettant le coté combat du jeu entre parenthèses.

Le gameplay est similaire à celui des 2 précédents, la prise en main est rapide, les pouvoirs ressemblent pas mal à ceux de Rapture. Là aussi, il y a plusieurs façons de mener un combat en combinant différentes armes et toniques.

Le vrai plus de ce jeu vient d'Elizabeth, ce personnage a été très travaillé et agit de manière réaliste en combat et hors combat. On se croirait presque aux cotés d'un autre joueur humain, elle est particulièrement utile lors des phases de combat.

Pour ce qui est des armes, ça ressemble beaucoup aux premiers Bioshock et à ce qui se fait dans les fps. Néanmoins on regrette le fait qu'on ne puisse plus avoir que 2 armes à la fois, c'est certes plus réaliste mais ça nous oblige à régulièrement changer d'arme, les munitions n'étant pas plétore.

Ce jeu a un bon coté exploration meme si les zones d'égarement en dehors du chemin narratif sont bien moins nombreuses qu'à rapture. De plus, le jeu utilise pas mal la notion d'aller-retour ce qui diminue le nombre réels de niveaux.

La durée de vie est correcte (une 15aine d'heures environ), la rejouabilité est très faible et le scénario laisse un peu à désirer, en particulier à la fin où on se dit qu'il aurait pu etre bien moins tiré par les cheveux.
La bande son est en parfaite adéquation avec l'ambiance générale, les doublages sont en français. Peu de cinématiques.
La minimap a disparu et c'est un peu dommage meme si c'est bien plus couloir que Rapture.
Pas de coop, pas de multi ou d'autres modes de jeu.

Pour conclure, je conseille ce jeu, en particulier aux fans de Bioshock. Rien qu'Elizabeth et Colombia valent largement le fait qu'on s'y attarde.

J'ai eu le jeu à sa sortie, et c'est mon premier Bioshock.

Au début, après quelques incohérences dans l'introduction, je me suis ennuyé. Mais je me disais "c'est le début, les mécaniques sont pas en place, c'est normal". Puis les mécaniques se sont mises en place après quelques explications du scénario.
Je m'ennuyais encore plus. Voici le schéma d'un niveau du jeu :
- Arriver dans une zone
- Les ennemis déboulent tous d'un coup
- Tous les tuer dans des gunfights longs et ennuyeux
- Looter des genres de caisses de munitions lachées par les ennemis (???)
- Looter les poubelles.
Oui parce-que vous comprenez dans Bioshock, un jeu tellement réaliste, les gens jettent leur argent dans les poubelles du coup nous on va le récupérer, c'est logique (-_-).
Et puis si un SDF se trouve à côté d'une poubelle vous inquiétez pas, il touchera pas à l'argent à votre place, ce serait trop logique.
Grosse immersion lorsqu'on passe 15 min à fouiller les poubelles pour acheter des pouvoirs hyper chères.
Niveau combat l'immersion se prend un gros coup dans la tronche aussi. A chaque fois que le bouclier se vide (environ toutes les 10 secondes) un gros flash jaune fluo surgit de l'écran pour dire "ATTENTION TON BOUCLIER EST VIDE". Alors on se cache des ennemis tireurs d'élite qui vous touchent en toutes circonstances et on attend. Et on y retourne, on tue les ennemis avec des armes molles et des pouvoirs pas trop intéressants, puis on ramasse leur petite boite mignonne qui contient tout ce qu'il faut. Et on vide les poubelles. Et on va à la zone suivante après s'être perdu.
Grosse éclate.
Ah oui, les graphismes. Que dire... lol ? Je veux bien que la direction artistique soit plus importante mais y'a des limites. Textures immondes, tout est moche, les personnages sont en cire c'est pas compliqué. Et puis la direction artistique elle est pas si formidable.
Le seul test correct du jeu a été publié par NoFrag je trouve.
Bref je pense que les testeurs ont surnoté le jeu parce-que "ouais mais tu comprends, ça dénonce les états totalitaires eugénistes, c'est du jamais vu c'est trop hype". Sauf que le scénario commence au bout de 3h de jeu et que il ne s'y passe RIEN.

Enorme déception pour un jeu surnoté par des testeurs élitistes sous prétexte que le jeu dénonce le totalitarisme et que c'est sensé être original et osé.

Je me retrouve dans la peau du joueur qui ne comprend pas l'émulation autour de ce jeux... C'est des choses qui arrivent... Encore cette satanée subjectivité. Trêve de blague introductive. Vu les retours, je pensais sincèrement que mon achat ne comportait aucun risque, bien mal m'en a pris. Plusieurs points négatifs selon moi justifiant cette désillusion:
- Une succession de phase de gunfight qui se suivent et se ressemblent, avec des ennemis sans personnalité (à la différence du 1 et 2) rendant le cheminement ennuyeux.
- Un gameplay qui me semble dépassé, avec une mobilité du personnage raide, sans souplesse ( impression d'être un "tronc" avec un fusil si vous voyez ce que je veux dire).
- Des graphismes et des textures vraiment peu convaincants.
- Autant dans le 2 les interventions audios (les magnétophones) proposaient des thèses incroyablement pertinentes autant là on se contente du minimum syndical.
- Au fond le jeu n'a fondamentalement pas évolué (si ce n'est la disparition de Rapture), même techniquement; l'IA est même moins "crazy" que celle du 2.
Ce jeu, comme il a déjà était dit, sans ce passif de succés et d'estime aurait-il remporté un tel engouement? On peut se poser la question.
Malgré ça les couleurs et les lumiéres sont assez réussis, avec un design général plus qu'intéressant mais qui se perd dommageablement au milieu des souçis énonçés. Je pense que le développement chaotique et long n'est anéantit le potentiel de cet opus.
Voilà... ce n'est que mon humble avis et ce n'est surtout qu'un point de vue parmi d'autre. Pour beaucoup ces points soulevés ne seront pas un obstacle à leurs plaisirs.
Bon jeux à tous!

Incroyablement mâture et puissant, BioShock Infinite donne encore l'exemple en terme de qualité pour un Jeux Vidéo. Beau, jouissif, incroyablement immersif, il fait d'entré, figure comme un des meilleurs jeux de tous les temps !
Laissez Rapture pour vous envoler vers Columbia, le voyage en vaut la peine, et il ne vous décevra pas !

Bioshock Infinite est un très bon jeu, bien mis en scène et excellemment scénarisé. Une très bonne aventure qui vous laissera plein d'étoiles dans les yeux à la fin.

Mais il est loin d'être exempt de défauts, et il sont encore plus criants quand on est exigeant envers cette série.

D'abord, même si le scénario et la narration sont cohérents en eux même, on y ressent le développement assez perturbé du jeu: les bonnes idées se succèdent, mais donnent l'impression d'être agencées un peu aléatoirement, le jeu change trop souvent de registre et de manière trop brusque.

Ensuite, c'est triste à dire dans la forme ce n'est qu'un "bête" FPS, bien rodé mais ni surprenant, ni particulièrement original. Le fond aussi est critiquable: il semble tout simplement décoratif, avec des "méchant racistes bourgeois" et des "méchants révolutionnaires bolcheviks" mettant en scène une parodie de lutte des classes, prétexte à tirer sur tout le monde.

La ville de Columbia elle même ne semble être qu'un décor de théâtre, prétexte à une histoire mille fois vue, entre des personnages qui tiennent leur rôle, mais manquent de profondeur.A l'exception peut être d'Elizabeth qui semble être la seule à pouvoir évoluer/penser par elle même au cours de l'aventure.

Bioshock Infinite est donc un très bon jeux/spectacle, qui apportera son lot de fun et des heures de ballade dans des décors enchanteurs, servit par un gameplay efficace à défaut d'être innovant. Mais après coup, il vous laissera peut être un arrière goût amer, en repensant qu'il n'a pas l'ampleur des premiers épisodes qu'il dépouille de leurs meilleurs atouts sans rien apporter en échange.

Une semi-déception dans mon cas.

Un jeu correct sans plus. Les graphismes et le style old school sont très chouette... mais sur le fond du jeu... il n'y a vraiment rien à dire... c'est d'une linéarité affligeante... les combats se succèdent et seul le nombre fait que cela complique la donne...
Bref, on a déjà vu beaucoup mieux. Au niveau de l'évolution des armes... c'est sans intérêt. On ne sent pas la différence en bout de compte. Ce jeu vaut la peine d'être essayé mais il ne mérite certainement pas un 19 ! Je l'ai torché en quatre soirées soit une durée de vie de 15 à 20 heures, correct. Par contre je l'ai terminé frustré, car encore une fois, la difficulté est faussée par un envoi massif d'ennemis... les quêtes annexes ne servent à rien, et n'apportent surtout rien à l'histoire. Bref un avis mitigé. Je suis content de l'avoir trouvé en occasion et ne peut que conseiller de faire attention si vous jetez votre dévolu sur ce jeu.

Je découvre la série Bioshock avec ce troisième opus qui m’a beaucoup plu, notamment grâce au scénario qui est extrêmement bien pensé, et au décor de la ville de Columbia qui est assez sympa. Les graphismes sont assez beaux sans pour autant être extraordinaires. Les personnes comme Booker, les lutèce ou Elisabeth sont assez attachants, voir marrant pour les Lutece. De plus le partenariat avec Elisabeth tout au long du jeu est plutôt intéressant du fait que pendant les combats elle peut nous ravitailler en munitions, potions de santé, ou ouvrir des failles. Les possibilités d’attaques sont assez variées pendant les combats notamment dues à l’importante diversité d’armes et de pouvoirs. Tout cela fait de cet épisode un très bon jeu avec une durée de vie assez importante.

Très bon FPS!

Les plus:
-Le scénario et le charisme des personnages
-La ville de Columbia
-Pas de temps morts, on est constamment sur ses gardes
-Les affrontements

Les moins:
-mmm un poil répétitif peut-être...

Désolé pour la note mais je suis très voir trop déçu par ce bioshock... Le design est très bien, les graphismes idem car il possède un cachet graphique propre aux bioshock. Mais niveau gameplay il n'y a pas dévolution. Ils ont juste repris le gameplay du 2! Niveau IA c'est plutot bof sans parler de la varitété des ennemis. Les fameux "heavy hitters" comme le handyman, les garçons du silence, etc.. N'apparaissent que par les scripts, contrairement aux big daddy qui se promenaient partout dans rapture... Les gunfight se ressemblent trop souvent. Le skyhook ? C'est juste une vaste blague ! Il ne sert à rien dutout, au pire on arrive encore moins à suivre l'action ! Abandonne tout espoir toi qui croyait pouvoir te balader d'un building à l'autre avec ce gadget pourrav' !
Nan sérieusement, je ne comprends pas se revirement de scénario et de mécaniques de jeu fait par irrational games ! Après, Elizabeth est un personnage intéressant je dois l'avouer mais ça ne fait pas le jeu ! Quand on entendait Ken Levin parler des boys of silence, qu'ils remplaceraient nos chères caméras de rapture ! C'est ça ouais, mes c******* sur ton front Ken, tu as bien pigeonné tout le monde avec ce jeu que tu oses associer à la license BIOSHOCK !

JUSTE DECUS !!!!!!!!!!!!!!