FIRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRST.
C'est bien la première fois .

J'ai lu, je vais pouvoir mettre deux semaines à répondre

• jette son pot de pop corn dans la poubelle en sortant de la salle par le bas*

Et sur ce, bonne nuit à tous /

Bon'nuit

SECOND !

Ah nan c'est nul en fait.

Excellent chapitre ( ) dans ce qu'il met en place, je commente plus exaustivement plus tard. (Et... hâte d'avoir le suivant ! )

Jet, t'as mis moins d'UNE HEURE à tout lire ??? J'suis vraiment d'une lenteur singulière, mercredi !

(Presque) Lu. Je finirai demain, avant 17h probablement.
J'vais essayer de rédiger un avis décent en moins d'un mois et demi... ...
Excellent Chapitre, je remarque notablement la présence de musiques d'ambiance faisant plus que correctement leur taf, surtout pour celles de l'Ermite et du Mélomane (je n'ai pas lu la fraction des Templiers, pour l'instant). C'est toujours un plaisir de voir certains personnages s'exprimer, que ce soit à voix haute ou en leur for intérieur. J'ai adoré les interventions du Génocidaire qui a un léger effet euphorique sur ma personne, comme une bouffée d'air frais.

Donc gg, surtout si on considère les conditions d'écriture dans lesquelles tu étais, c'est vraiment du très bon taf. High five.

Merci d'avoir notifié votre lecture, je me sens tout de suite mieux avec cette nouvelle """règle""".
Merci beaucoup pour vos commentaires préliminaires aussi, content que ça vous ait plu.

Au passage, petit ERRATUM (sur les bons conseils de Malthus) :

On délaisse :

"Allons bon, Malthus ! Tes yeux sont rouges comme une vierge enfiévrée qu'on besogne, ta peau est blafarde comme son teint au moment où on la jette dans le caniveau, s'exclama le Génocidaire entre deux bouchées. Sauf que mon grand, t'es pas une vierge. Tu saisis ?"

Pour :

"Allons bon, Malthus ! Tes yeux sont rouges comme une vierge enfiévrée qu'on besogne, ton visage est blafard comme sa peau quand on la jette dans l'caniveau, s'exclama le Génocidaire entre deux bouchées. Sauf que mon grand, t'es pas une vierge. Tu saisis ?"

Nous nous sommes effectivement accordés pour dire que la première version était perfectible, et que la seconde correspondait davantage au Génocidaire (rapport à sa "nonchalance verbale"). ça peut sembler être un détail, mais je voulais rendre cette métaphore la plus percutante possible. Merci à elle.

C'est lu ! Vraiment jouissif de voir tous ces personnages se réunir progressivement dans ce train et interagir !
Le Génocidaire à un charisme impressionnant dans ce chapitre, et ses répliques n'y sont pas pour rien.

Avis détaillé dans la semaine probablement

Traqueuse et Pugiliste : on a de plus en plus des ambiances bien planantes avec eux. Ça les met en décalage avec les autres, comme la façon dont tu les décris dans la société. Sans véritable rapprochement non plus. C'est assez particulier mais intéressant

L'ermite : ambiance enquête pure, le lien avec le texte des deux précédents est pensé de manière assez cool

Les templiers : j'aime bien le petit moment d'arrivée du samuraï dans le wagon façon sitcom avec le petit bref à la fin, c'était naturel en mode "Mais qu'est ce qu'on dit bordel on se fait des amitiés maintenant". En plus après ça y va en petites remarques "mais non je n'ai pas voulu te blesser" etc. Marrant
En fait j'apprécie l'intervention du mutin sur les 3 précédents qui à mon sens, tournaient un peu en rond avant son arrivée, c'est rafraichissant et relance totalement l'intérêt de leur groupe selon moi

Le géno : petite visite très cordiale finalement, je suis content d'apprendre que j'apparais en rouge vif

Le mélo : son premier paragraphe est assez joli, avec la musique, ça me parle
Punchline contre moi popopo Mais je suis content de ce que je te disais, l'entrevue cordiale. C'est ce qui me plaît le plus et ce qui va le plus dans le sens de la relation du génocidaire aux autres en général, selon moi, qui est aussi paradaxole, mais néanmoins existante; je pense que tu as fais une fine gestion de cette scène avec toute l'ambiguïté que cela comporte

En somme le cadre du train et la façon dont tu le présentes sans qu'il n'y ait eu de grosse scène d'action, c'est drôle mais ça me faisait pas ça dans les topics précédents comme impression, y a une sorte de limbe où ils ont tous conscience de leur relation sans qu'elle soit nette et tranchée pour autant, l'ambiance est assez mélancholique quelque part.

Bref c'est bien c'est bien

Malthus, j'ai un peu triché

Il me manquait encore la partie Mélomane et duo tarés, mais j'avais envie de me coucher et je voulais le faire en clôturant l'épisode pop corn

Mais d'après ce que je viens de voir, ça m'aurait rajouté une petite vingtaine de minutes de lecture en plus.

Par contre, question, moi le mode lecture ne m'affichait pas tous les messages, je n'ai pu l'utiliser que sur la partie pugiliste/traqueuse

Vous aussi, pour ceux qui ont essayé?

Lu.

Bon chapitre, les répliques bien senties de certains sont efficaces et sympathiques (on saluera le passage labellisé "beauf de Russie" du Génocidaire )
Par contre, va valoir que je fasse quelque chose, parce que je suis un vraie victime Entre les types qui me traitent comme un gosse et les conversations sur moi juste sous mon nez, bon...

Avec un peu de retard

Les Assassins : J'ai bien aimé la façon dont le dialogue commence doucement à ce débloquer entre la Traqueuse et le Pugiliste
Pour l'Ermite : L'ambiance que le texte dégage ( la musique aide ) est vraiment cool. Ce qui fait plaisir c'est d'avoir enfin des révélations, même si ces révélatiosn mènent à d'autres questions

Les Templiers : J'adore de plus en plus le petit groupe qu'ils forment et l'intervention du génocidaire était ouf ( le cover du générique de Viking )

Le Mélomane : Génial, les interaction, la musique (:bave:) j'adore ! Le Génocidaire est un personnage que j'apprécie beaucoup grâce à ce chapitre J'avais donc faux pour ma théorie de la Madeleine de Proust = Traqueuse mais bon... Je pensais tout de même qu'on aurait eu la révélation plus tard dans le récit

La "Fin" : deux mots : La hype.

Merci à tous pour vos retours !

Le 13 février 2018 à 19:02:15 Sunshine_Desire a écrit :
Les templiers : [...] j'apprécie l'intervention du mutin sur les 3 précédents qui à mon sens, tournaient un peu en rond avant son arrivée, c'est rafraichissant et relance totalement l'intérêt de leur groupe selon moi

Un élément perturbateur, comme on les aime. En effet, il s'agissait de faire tomber le Mutin au moment opportun, après avoir bien mis en scène la façon dont s'agençaient les rapports entre les trois premiers Templiers. Le Chapitre 6 m'a paru opportun, et on peut voir qu'il s'est très rapidement fait une place au sein de son nouveau groupe.

Le mélo : [...] je suis content de ce que je te disais, l'entrevue cordiale. C'est ce qui me plaît le plus et ce qui va le plus dans le sens de la relation du génocidaire aux autres en général, selon moi, qui est aussi paradaxole, mais néanmoins existante; je pense que tu as fais une fine gestion de cette scène avec toute l'ambiguïté que cela comporte

C'était délicat parce que je voulais (à nouveau) mettre en exergue l'ambivalence du Génocidaire sans forcer le trait non plus, car le risque serait de le dénaturer. Content que ça t'ait plu !

En somme le cadre du train et la façon dont tu le présentes sans qu'il n'y ait eu de grosse scène d'action, c'est drôle mais ça me faisait pas ça dans les topics précédents comme impression, y a une sorte de limbe où ils ont tous conscience de leur relation sans qu'elle soit nette et tranchée pour autant, l'ambiance est assez mélancholique quelque part.

Tu voulais dire dans les chapitres précédents (depuis que le cadre du train a été posé) ou tu faisais bel et bien allusion aux topics précédents (à savoir la Quête et LPP) ? Dans un cas comme dans l'autre, je pense voir à peu près ce que tu veux dire et ça me satisfait car c'est très précisément l'énergie que je souhaite faire transparaître au travers du récit ; je pense tout particulièrement à cette espèce de mélancolie latente et diffuse que tu évoques.

Le 13 février 2018 à 23:51:26 Jet_lag a écrit :
Par contre, question, moi le mode lecture ne m'affichait pas tous les messages, je n'ai pu l'utiliser que sur la partie pugiliste/traqueuse

Vous aussi, pour ceux qui ont essayé?

Alors oui, ça me l'a fait aussi ! Solution : cliquer sur le lien permanent de chaque post, pour se les afficher spécifiquement sur une page à part, et utiliser le mode lecture à partir de là.

Le 14 février 2018 à 02:04:21 BentleyGTC a écrit :
(on saluera le passage labellisé "beauf de Russie" du Génocidaire)

Y'a de ça, je ne saurais le nier. Le mec est en roue libre totale, "à la fresh" comme on dit.

Par contre, va valoir que je fasse quelque chose, parce que je suis un vraie victime Entre les types qui me traitent comme un gosse et les conversations sur moi juste sous mon nez, bon...

Mais non ! Ton choix du Chapitre 6 a déjà été très opportun, en cela qu'il t'a permis de t'assumer auprès de tes collègues (en leur faisant des suggestions pratiques auxquelles ils se sont pliés). Le simple fait que la Sentinelle ait pris le parti de t'écouter en dit long. En revanche on remarque effectivement que les "préjugés" sont tenaces : on reconnait tes efforts mais on ne peut pas s'empêcher de te côté l'étiquette "civil important et fragile qu'il faut protéger". Ce qui est marrant à observer, c'est qu'ils ne font même pas exprès (cf. le Samouraï). ça changera, tôt ou tard ...

Le 14 février 2018 à 19:30:06 Darth_Golgoth a écrit :
Les Assassins : J'ai bien aimé la façon dont le dialogue commence doucement à ce débloquer entre la Traqueuse et le Pugiliste

Wind of change ...

Pour l'Ermite : L'ambiance que le texte dégage ( la musique aide ) est vraiment cool. Ce qui fait plaisir c'est d'avoir enfin des révélations, même si ces révélatiosn mènent à d'autres questions

Effectivement la musique était très opportune sur ce coup là ! Eh oui, les réponses apportent d'autres questions, c'est tout ce qu'on aime.

Le Mélomane : [...] J'avais donc faux pour ma théorie de la Madeleine de Proust = Traqueuse mais bon... Je pensais tout de même qu'on aurait eu la révélation plus tard dans le récit

Tu veux dire la Descendante ? La photo que le Génocidaire a montré au Mélomane, c'est celle de la Descendante, il n'y a qu'elle qui est "exclue" du concours pour le rôle de madeleine de Proust (concours que toutes les participantes rêvent de gagner, alors une pensée pour Bentley qui doit être très déçu ). Ensuite il a dressé une description de la Sentinelle (blonde, yeux verts) et le Mélo a pété son câble. Concrètement, la Sentinelle et la Traqueuse restent en lice, de même qu'une random PNJ potentielle ...

La "Fin" : deux mots : La hype.

Encore merci de m'avoir immédiatement notifié votre fin de lecture, c'est plaisant.

Oh oui, je suis très déçu
Je veux un Mélomane en chocolat en prix de consolation

Petit avis sur le chapitre 7  :

Le Pugiliste et la Traqueuse

J'aime vraiment bien l'ambiance que tu crée entre ces deux personnages. Je trouve ça encore une fois très juste et très crédible, et je vois que c'est quelque chose que tu soignes. D'une manière générale je trouve que tu fais varier agréablement les ambiances. J'ai notamment relevé depuis quelques chapitres un contraste assez net entre l'ambiance des scènes des assassins (Pugiliste, Traqueuse, et Ermite) et celles des autres personnages (templiers + le duo infernal surtout, le Mélomane étant un peu à part, j'y reviendrai tout à l'heure), et il ressort assez fortement dans ce chapitre. La ou les assassins évoluent dans une ambiance plus planante, calme, presque onirique, le second groupe semble plus ancré dans la réalité, les intrigues tournent plus autour de problèmes concrets, terre-à-terre. D'ailleurs les premières phrases de chaque partie introduisent à merveille ce clivage, chez les assassins on a  « Sous la lune sibérienne » et « Minuit passé » en ouverture des chapitres (du duo d'assassin et de l'Ermite respectivement), alors que chez les autres on a directement des indications temporelles, des dates, des lieux, … Et ce contraste se poursuit tout au long des parties respectives de chaque personnage. En réalité je vois chaque chapitre comme une sorte de cascade fluide de la transition entre ces deux ambiances extrêmes et diamétralement opposées en tous points que sont celle des assassins et celle du Génocidaire et du Fantassin.

Je trouve ça agréable à lire car ça varie les plaisir, et cette ambiance mélancolique qui règne chez les assassins ouvre toujours la lecture du chapitre, comme une introduction soft avant de reprendre progressivement les intrigues et les ambiances plus pragmatiques qui règnent sur les dernières parties.

Le personnage secondaire de l'employée des archives est bien géré, sa réaction crédible, et son changement d'optique bien justifié, ce qui n'était pas forcément évident.

Le petit indice de la poussière manquante sur le dossier du prince : j'adore ce genre de choses, de petit élément que je garde dans un coin de ma tête et qui fait germer mille et une théories, et grâce auquel j’entrevoie par avance la satisfaction que je ressentirai en tombant plus tard sur l’événement qu'il annonçait.

L'Ermite

Cette partie clôture donc mes interrogations vis-à-vis de la poussière et des visions de l'Ermite, la satisfaction est maximale

Au niveau du personnage de l'Ermite, je suis un peu déçu que sa solitude ne permette pas à toutes ces réflexions introspectives qu'il avait eu au chapitre 6 de se poursuivre. J'adore entrer dans l'esprit d'un personnage et me noyer dans le flot diffus de ses pensées avec lui. Ici on est presque extérieur au personnage. Cela dit, le passage de la promenade avec son lot d'images oniriques et d'ambiance de début de récit à la zone d'enquête et aux renseignement factuel pur est réussi. D'ailleurs son enquête est intéressante à suivre. J'aurai simplement aimé que cette ballade en solitaire nous permette de pénétrer un peu plus loin dans ses méninges

Les Templiers

Les différentes interactions entre les personnages et les intrigues qui se déroulent chez les templiers deviennent vraiment passionnantes et je m'attache de plus en plus aux personnages, tu fais donc bien ton boulot

La sensation de regarder un film s'est faite plus forte que jamais à l'ouverture de cette partie. Inexplicablement, cette scène de rasage du Samouraï suivie de l'altercation avec le Génocidaire me sont apparue de manière extrêmement claire cinématographiquement, et j'ai vraiment adoré ça.

J'ai trouvé le changement d'attitude de la Descendante un peu brutal. Elle osait à peine adresser la parole aux agents confirmés dans les chapitres précédents et se faisait systématiquement discrète, ici elle présente un raisonnement argumenté en 3 parties avec assez de conviction pour que tous s'y plient. Cela dit, ça fait plaisir de la voir agir ainsi
Les répliques du Mutin sont admirablement bien tournées pour coller au personnage, chacune de ses réponses est ambiguë, ou peut être lue de deux manière très différentes en fonction du ton, c'est parfait. Dans ses interactions sociales il me rappelle Caracole, Golgoth je sais que t'as la ref

Nouvelle intrigue du Revolver Type 26 du Mutin, bordel j'aime quand tu poses des éléments comme ça qui me laissent mijoter quelques temps Par contre je ne sais pas du tout si je dois en déduire simplement que c'est une preuve de son affiliation avec les anarchistes (qui seraient financés et équipés par le Japon), ou si c'est autre chose qui nous est pour l'instant totalement étranger.

Le dérapage de la Sentinelle est crédible face au Mutin, elle en tire la leçon qu'il faut : ne pas créer d'altercation avec lui en public car il est bien plus habile qu'elle. Ça me va

L'arrivée du Génocidaire est incontestablement la meilleure scène de ce récit. Les dialogues sont excellents, la gestuelle et les mouvements des personnages bien décrits mais sans prendre trop de place. Je me crois dans un film et la musique n'y est pas pour rien. La musique est PARFAITE. D'ailleurs je me demandais où tu trouvais toutes ces musiques si souvent bien senties ? Est-ce que tu les connais par avance ou bien tu erres en quête de quelque chose qui colle ?
Le bruit de train apporte aussi réellement quelque chose, personnellement je le mettais en fond sonore à bas volume et j'y superposais la musique, c'était parfait.

Le Mélomane

J'ai aimé l'habileté avec laquelle tu changes de point de vue tout en décrivant la suite directe des événement de la partie précédente, ça rend vraiment bien, on suit le Génocidaire sans jamais être dans sa tête directement, simplement en changeant de spectateur.

Pour reprendre mon idée du début, je vois le Mélomane comme errant entre les deux ambiances dont je parlais. Depuis le début il évolue dans un monde mélancolique et presque spirituel, mais l'intervention du Mutin et maintenant celle du Génocidaire vont le forcer à sortir de ce monde mental dans lequel il semble être en permanence, pour se diriger vers des problématiques plus concrètes et plus factuelles. Au fait, suis-je la créature de rêve de Malthus ?

D'ailleurs l'attrait du Génocidaire pour le Mélomane est très intéressant, et lui-même ne sait pas vraiment d'où cela peut venir, ce qui rend ce passage comme une sorte de psychanalyse du Génocidaire : passionnant.

Très bon chapitre ! L'histoire devient très prenante et les personnages sont bien développés (pas encore tous ceci dit, j’espère en apprendre plus sur certains en lisant la suite), bref, j'ai hâte de lire la suite !

Je dédicace cet avis au Fantassin

Ah oui ce bon vieux Caracole même si moi, le Mutin me fait penser à Petyr Baelish de Game of Thrones ( moins maintenant car il a quelques petage de câble qui ne correspond pas avec Little Finger )

Le 15 février 2018 à 15:33:14 Darth_Golgoth a écrit :
Ah oui ce bon vieux Caracole même si moi, le Mutin me fait penser à Petyr Baelish de Game of Thrones ( moins maintenant car il a quelques petage de câble qui ne correspond pas avec Little Finger )

Même si les deux agissent par intrigues, dans l'ombre, et jouent sur leur apparence (style vestimentaire pour l'un, déguisement pour l'autre), le mutin a quand même beaucoup plus tendance à se salir les mains lui même, alors que Baelish avait plus tendance à payer des gens ou faire jouer ses relations pour faire le sale boulot à sa place

J'ai vu le message indiquant l'arrivée du nouveau chapitre qu'en milieu de semaine, et maintenant c'est lu !
En revanche de si j'aurais le temps de faire un avis détaillé.
En tout cas, perfect job, les choses s'accélèrent. Beaucoup aimé le coup de la fin de chapitre de Supa & Golgoth, enchaînement sur l'Ermite qui va définir au prochain chapitre la suite pour Supa, procédé intéressant !
Toutes les interactions étaient au poil je trouve !

Salut les gens, je viens de lire le nouveau chapitre, voici mon avis à chaud (donc j'ai probablement zappé des choses assez visibles, comme d'habitude )

Les Deux Assassins : Le relation passe du silence gênant avec un nouveau camarade de classe, à des discussions sans le moindre fondement. Ca reste à la limite du désespérant, mais au moins la pensée que ces deux camarades ne pourraient jamais s'entendre est quelque peu éclipsée, on ressent une évolution dans tout le passage de leurs rapports (ça m'étonnerait pas que ce soit le chapitre avec le plus de dialogue entre les 2, plus que celui de leur rencontre), franchement c'est cool, on voit que niveau professionnel, ils sont capables de pas trop se disputer, et lorsque le Pugiliste est d'une certaine manière mis devant le fait accompli, et qu'il n'y a plus vraiment le temps de penser différemment, il est tout à fait capable de suivre un plan même si celui-ci ne l'enchante pas trop. J'ai beaucoup aimé aussi la manière dont tu as retranscrit mon plan (je suis très fier de ce plan, je tiens à le dire ) et la concertation que Golgoth et moi avions eu à propos de celui-ci, c'est toujours très agréable pour un lecteur de voir que sa manière de penser a été impactante et surtout traduite dans le texte, donc voilà j'étais content

Le vieillard: "Minuit passée n'était autre que le zénith des saltimbanques de l'ombre", pas mal
"Le reflet de son âme comme le reste demeuraient sous sa capuche d'Assassin." La phrase est très bien tournée, chapeau encore une fois, et encore une fois, tu me fais réfléchir sur la langue française: ici, vaudrait mieux mettre "demeurait" car c'est éle reflet de son âme" qui est sujet et "le reste" complément, ou mettre "demeuraient" car tout est sujet? Ca n'a rien à voir avec la Poursuite, d'accord.

Le développement de la pensée de l'Ermite est assez intéressant, notamment sur sa manière d'atteindre les archives, parce qu'on voit clairement ici une divergence de pensées alors que l'on a le même objectif, et lorsque je vois ça, je ne peux que me dire qu'il avait bien raison en pensant que l'on serait plus efficaces ensemble
"Son opiniâtreté ". J'ai rigolé.
Encore une fois, l'aspect "enquête" des passages de l'Ermite sont rafraîchissants et bien différents des autres, si bien que cette forme finit même par s'ancrer dans son identité. L'Ermite finit par être l'enquêteur de la Poursuite, en quelque sorte, celui qui nous aide à déchiffrer tout ces mystères, m'enfin bon après les mystères c'est lui qui les crée, quand même

Les Templiers Je tiens à dire ici que comme je suis un grand imbécile, j'ai oublié de lancer la musique d'ambiance du train, du coup je suis pas vraiment dans l'ambiance que tu aurais voulu que l'on soit plongé, désolé
Dès le départ, tu nous rappelle encore à quel point cette mission est particulière pour Jet, et je vois personnellement en cet oubli de rasage encore un conflit Templiers-Bushido , car l'Ordre l'a finalement inconsciemment empêché de suivre son code d'honneur. A voir où tout ça mènera, mais pour le moment le côté Templiers semble gagnant Et je ne parle même pas du fait qu'il a retiré son armure, il vient littéralement d'occulter sa vie de Samouraï pour se consacrer à sa vie de Templier, là Ca me semble d'ailleurs un peu étrange qu'il n'essaie pas un peu plus de conserver son armure, mais bon j'imagine qu'il a juste du bon sens, quoi
"La douce voix de cette dernière vint le tirer hors de ses songes lorsqu'il parvint aux abords de l'habitacle réservé, dont la porte donnait sur cette fine équipe qu'était la leur. "
C'est moi ou ce passage tout entier est ironique? On dirait presque que notre Jet devient cynique, c'est marrant, et c'est dommage d'une certaine manière que tu n'aies pas laissé le flou sur ce qu'il pense à ce moment-là en parlant de son regain d'optimisme
Le dialogue entre les quatres Templiers est truffé de ponctuation expressive et d'interruptions de discours, c'est une belle manière de nous montrer la cohésion, pour le moment, de ce quatuor
Bentley recommande donc à ses camarades d'être moins voyants. ENFIN. Je pense que même les Assassins et les deux de la Milice semblent moins louches que ces gars, et moi je vois ici une occasion pour Andrey de se montrer: lui qui est le spécialiste pour passer pour quelqu'un d'inoffensif, peut-être a-t-il des enseignements à leur donner, mais après, est-ce qu'il en a vraiment envie?
La scène du revolver est assez intéressante parce qu'elle m'a permis de me rendre compte que le Samouraï, même s'il a des raisons légitimes de croire que la Sentinelle lui cache des choses, voit sa comparse comme quelqu'un d'extrêmement secret et qui a toujours des motivations cachées, alors que là, à mon sens (et selon ce qui est écrit aussi), ce n'est pas vraiment le cas, mais s'il pense comme ça lorsque la Sentinelle agit en accord avec lui, qu'en sera-t-il quand celle-ci agira d'une manière contraire à sa pensée sans se justifier? Y a un vrai risque d'éclatement du groupe autour de cette problématique, le Samouraï se sent plus lésé qu'il ne l'est réellement et cela peut entraîner des conflits majeurs en cas d'événements inattendus.
Je te prie de m'excuser pour cette question un peu bête car elle a forcéement déjà été répondue dans le texte plus tôt, mais j'ai la flemme de chercher et tu as dit qu'on avait le droit de te poser des questions comme ça, du coup je pose:
Les Templiers, ils vont où là? A Kazan ou à Rokhlovo? J'ai pas bien compris et j'ai oublié leur point de chute, en fait
La Sentinelle a donc des capacités d'observation assez poussées, mais ne s'indigne pas tant que ça sur un détail pourtant important, à mes yeux, car il en relève ici de l'intégrité de la mission: comment le Mutin aurait-il pu savoir auparavant que le groupe est à la recherche d'un fragment d'Eden, si le messager ne le lui a pas dit? Tu nous explique bien pourquoi elle fait cette concession derrière, mais à mes yeux, je trouve que le risque est grand, après, je parle certainement avec ma connaissance du Mutin qui me permet de savoir qu'il est quasiment sûr qu'il a en effet joué cette réaction, alors qu'à ses yeux c'est peut-être un peu plus flou
Finalement, peut-être que la Sentinelle aurait dû laisser filer, quand on voit la scène que l'interrogation entraîne. Dur dilemme
Le Mutin est comme d'habitude intéressé uniquement par ses propres intérêts, je m'attendais à un petit plus d'engagement chez les Templiers au tout début de la Poursuite de la part du Mutin, je suis heureux de voir que cette vision peut maintenant être considérée comme totalement erronée
La rencontre avec le Génocidaire est pour le moins électrique (ici je n'ai pas oublié de lancer la musique ), à tel point que même si on était presque sûr dès le début que le Fantassin n'interviendrait pas, je ressentais quand même la tension typique avant un combat féroce, qui n'a finalement pas eu lieu. Les précisions sur l'intensité de la Vision d'Aigle sont assez intéressantes, notamment parce que la Sentinelle apparaissait d'un anthracite très profond, c'est la seule manière que je voie pour avoir quelque chose de presque indicible: une grosse masse noire ne reflétant pas une once de lumière, après c'est mon interprétation de la chose, mais en tout cas ça veut dire que la Sentinelle réprime quelque chose d'extrêmement fort quand même, vu l'intensité. La source de son ancien manque de confiance en elle, peut-être?

Malthus (j'ai du mal à retenir "Le Mélomane" ):
Tout le début est un très beau passage de réflexion avec de belles phrases un peu partout, mais clairement je crois que j'ai pas bien saisi le sens de tout ça, malheureusement: il y a plusieurs phrases qui m'ont perdu, et je pense que c'était voulu, d'ailleurs , c'est une belle manière de représenter ses pensées, en tout cas
"il pouvait parfaitement vivre dans la plus grande des habitations tant qu'il n'y avait personne pour l'importuner en son sein, car il ne recherchait pas l'exiguïté mais la solitude" . Mais à présent, il ne la recherche plus du coup, c'est bien ça?
"Au bout néanmoins, il voyait bien trôner sa première cible dans l'ombre, celle qui lui apporterait un premier lot de réponses – à son corps défendant, s'il le fallait – il ne s'agissait de personne d'autre que le Mutin. Quelque part dans ce train il lui faudrait le trouver, car sans son concours, il ne voyait pas sa quête connaître une fin heureuse." Celle-là m'a perdu, et j'imagine que c'est juste parce que j'arrive pas à accepter, mais là tu es en train de nous dire que Vova est la madeleine de Proust de notre Mélomane? La phrase me semble sans équivoque, pourtant je suis assez sûr qu'on avait dit que cette madeleine était féminine, après je me trompe peut-être, bref cette phrase est probablement involontairement floue
" Il n'avait que trop l'habitude des impertinents" On sent dans cette phrase qu'il n'a pas vraiment l'impression que le Génocidaire est quelqu'un de particulier, mais cette phrase m'a poussé à me questionner sur la chronologie des événements, j'espère que tu me pardonneras une drnière fois, mais j'ai commis l'affront d'oublier un peu la chronologie: lorsque le Génocidaire s'est mis "à son aise" dans le wagon de la première classe, au moment donc où le Fantassin est allé trouver la Descendante, le Mélomane était-il déjà dans le Transsibérien?
C'est marrant, c'est le génocidaire qui demande à Malthus pourquoi il est debout si tôt, mais moi je veux savoir pourquoi Lui est debout si tôt
"A ce stade, il ignorait lui-même quel était l'objet de sa démarche : était-ce une manifestation de sa curiosité vaniteuse, ou pourrait-il tirer quelque chose d'un tel électron libre a posteriori " J'ai envie de lui répondre "sinon c'est pas marrant pour les lecteurs"
"A l'issue de plusieurs heures passées à ruminer, en position de balancier assis, dans son habitacle réservé et plongé dans l'obscurité, Malthus n'avait pas vu les sables du temps s'écouler. Pas perturbé outre mesure par l'initative de l'homme barbu, il avait très rapidement cessé d'y penser pour se retrancher encore et toujours dans ses songes – à la fois diffus et évanescents. " Ca fait plusieurs qu'en une phrase seulement tu nous parles d'heures de pensée du Mélomane, ça donne vraiment l'impression que ses pensées ne sont pas vraiment productives
Intéressant de noter que selon le Mélomane, le Génocidaire a le comportement le plus sympathique qu'il connaisse,et c'est vraiment le premier être humain à montrer un véritable intérêt à la condition du Mélomane, et non des sentiments éphémères pour tuer le temps, alors que dans tout le reste du Wagon, il est vu comme un être humain méprisable, comme une menace pour les Templiers, comme un grand malade pour les lecteurs. L'adage "qui se ressemble s'assemble" est ici illustré
"Allons bon, Malthus ! Tes yeux sont rouges comme une vierge enfiévrée qu'on besogne, ta peau est blafarde comme son teint au moment où on la jette dans le caniveau, s'exclama le Génocidaire entre deux bouchées. Sauf que mon grand, t'es pas une vierge. Tu saisis ?" Probablement la phrase la plus beauf qu'il m'a jamais été donné de lire ou d'entendre, parce que n'importe quel beauf lambda se serait arrêté à la métaphore sans dire "tu n'es pas une vierge". Chapeau bas.

" Il n'est de religion qui sache reconnaître ce que je suis." J'ai été touché dans le coeur, très belle phrase, sérieux, on en revient à avoir de l'empathie pour un personnage qui a brûlé vifs des villageois y a deux jours, tu joues avec nos sentiments comme tout auteur de renom, mon cher Francis
Donc là, selon le reste du texte, ce serait la Sentinelle, la Madeleine de notre Mélomane. Ca se tient. Après, moi je trouve ça un peu illogique, parce que si je ne m'abuse, cette Madeleine est aussi la femme dont Vova a une photo, pas vraiment actuelle, ce qui laisse présumer qu'il n'a pas vu cette personne depuis un moment, mais en même temps, il est écrit qu'il l'a vue quelques semaines plus tôt. Je suis assez surpris, pour être honnête

Quand j'ai vu la demande d'Andrey, j'ai pensé au son "Skit mon Mille Feuille" de Alkpote (c'est plutôt un interlude d'album, c'est juste un extrait de film en fait ) . J'en profite pour vous conseiller le monsieur, certes vulgaire mais on remarque très vite qu'il a une bien belle plume. Bref.
Finalement, je pense que tu as répondu à ma question concernant la Madeleine de Malthus avec cette phrase: "Il savait que son objectif consistait à trouver Vova, il savait aussi qu'il serait d'autant plus contenté s'il rencontrait sa divine par chance"
Totalement logique, bien sûr, mais j'ai cette fâcheuse manie de remettre tout ce que je sais en question quand je vois le plus petit truc qui met en défaut ces connaissances

J'ai lu ton avis Eleph, et si je dis pas de conneries, je crois que le Mutin avait quelque chose à voir dans la guerre Russo-Japonaise, mais je peux totalement me tromper

C'est vrai que ton plan supa a été super bien retranscrit