Carréement Dunz
http://www.senscritique.com/film/Fight_Club/critique/27194064
Assu Depuis la dernière fois qu'on en avait parlé j'avais revu des extraits, et j'ai un peu peur de revoir le film j'avoue
Je viens de revoir le film et je me suis demandé quelque chose, est-ce que Marla existe au final ?
Humhum héhéhé devine... La toupie s'arrête t-elle ?
Revu pour au moins la 20e fois et c'est toujours aussi excellent !! Le seul défaut c'est.. .Non y'en a pas en fait !!
Je l'ai revu la semaine dernière... C'est agréable de voir le film en connaissant la fin, on met des les points sur les i
Voilà, j'ai réussi à enfin poser mes véritables pensées sur ce film.
http://www.senscritique.com/film/Fight_Club/critique/31699009
Magnifique troll de la part de Fincher, c'est tellement bien réussi que ça en devient beau.
J'ai lu ta critique et comment ça il trolle ? J'ai pas compris
Blawers T'as pas compris ma critique ? Euh là je sais pas trop quoi te dire en fait, enfin je sais pas c'est si difficile à comprendre ?
En gros Fincher prend pas au sérieux le livre, limite il parodie ça mais tout en gardant un côté extrêmement bien pechu.
Nan mais j'ai pas compris ce qu'il parodiait du le livre en fait ^^ (je ne l'ai pas lu...)
Blawers Ah ok !
Le livre est quasiement identique au film dans ces propos, mise à part la fin si mes souvenirs sont bien y a pas grand chose qui changent, le fait est que, avec autant de budget, de placements de produits, avec un casting aussi imposant, ça peut pas être un film qui se veut anti-système.
Autant le livre pourrait se faire passer comme tel, mais le film selon moi non.
Je ne sais pas si le film est anti-système, probablement pas. Mais son message, oui. Le fait qu'il emploie ce qu'il dénonce ne me choque pas. Au contraire, je trouve que l'impact en est que plus puissant. Qui plus est, le tout est assez bien fichu.
La seule chose qui pourrait me faire dire que le film (le message) n'est pas anti-système, c'est que finalement, tout ce qui a trait à ça, vient d'une hallucination, d'un délire. Et peut donc en un sens discréditer tout le message du film. Même si ce "délire" interprétait par Pitt peut aussi représenter l'idéal en tant qu'Homme de Norton.
Je ne sais pas comment se passe le livre.
Mais pour moi, le twist-ending du film est aussi bon qu'il est mauvais.
C'est un bon twist-ending dans le sens où il est bien amené.
Mais un mauvais dans le sens où il décrédibilise tout le film.
Donc effectivement, c'est peut-être une simple parodie du livre. Rondement bien fichue. Mais regrettable d'un autre côté.
En l'état, ça reste un très bon film.
Donc, en gros, le film se fout de la gueule des anti-système, et donc, du livre par la même occasion ?
Fincher, ce méchant troll
En réfléchissant bien, je crois pas tellement en ta critique, enfin pas entièrement. On voit bien dans Se7en que Fincher est quand même anti-système, non ? Je vois pas pourquoi il aurait complétement changé de bord en 2 ans...
Excellent film déjanté, osé, et violent, qui dénonce les travers et la morosité ambiante de toute une société de consommation doublé d'une réflexion habile (bien que totalement folle) sur la perversité de la double personnalité. Perversité qui débouchera sur des actes radicaux : des attentats en bande organisées de plus en plus graves pouvant s'apparentés à une sorte d'apologie cachée au terrorisme pour les plus négatifs. Alors que moi j'y vois personellement plus une mise en garde de l'ami Fincher. Il nous montre jusqu'ou peut tomber l'être-humain; et nous présente ici sa folie comme un précipice dans lequel ils ne faut surtout pas tomber. De toute façon comment on peut insinuer que Fincher ait voulut faire l'apologie du Terrorisme, comme j'ai pu le lire ? Ces gars là n'ont à mon sens pas compris le message du film, mais bon, passons. En tout les cas c'est avec avec cette skyzophrénie que le personnage d'Eward Norton, va, en s'inventant un mentor, sortir de cette morosité et cette routine qui le rongeait. Tout cette société de consommation était tellement trop proprette, lisse, et formatée pour lui, qu'il voulut s'affranchir de tout ça en rentrant dans une vie (à l'ambiance bien poisseuse) pleine d'anti-conformisme libérateur : Le Fight Club. Son lui véritable dans cette organisation, c'est celui qui veut encore essayer de garder le contrôle, celui qui ne veut pas aller trop loin. Et son autre identité (campée ici par le frappé Brad Pitt), c'est son "double maléfique" qu'il voudrait et rêverait d'être. Mais il peine à assumer ces (et ses) actes donc il en réfute l'assumation en s'inventant inconsciemment ce perso' sur qui il pourrait s'appuyé tout en rejetant la faute sur lui quand ça va trop loin. Perso', je n'avais même pas vu venir ce rebondissement (alors c'est peut-être moi qui n'ait pas une grande faculté pour ce qui est d'anticiper les choses) et ça a été une bonne petite surprise. Bref, des personnages totalements frappés, de la castagne bien bourrine, et en plus c'est intelligent.. Un film coup de poing (au sens propre comme au figuré) qui fit grand bruit lors de sa sortie, et ce légitimement.
Qu'il est difficile d'entreprendre la critique de ce monument du cinéma qu'est Fight Club. Une histoire d'audace, de courage, sans aucun doute. Car oui, Fight Club a cette faculté à vous faire sentir minuscule face à lui. On ne sait jamais réellement où l'on en est avec ce film tant notre perception change à chaque visionnage de ce dernier. L'une des seules certitudes à avoir, c'est que Fight Club s'installe comme une référence, un point d'orgue de la culture Internet des années 2000 .
[...]
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Le + grand film pour moi
Depuis, j'ai une autre vision des choses et j'ai du mal avec cette société de merde
L'adolescence est fini, tu peux passer à l'âge adulte.
Ta remarque te fait peut être penser que tu es "Adulte" ??
Et en + je vois pas le rapport. Pauvre gamin qui croit tout comprendre