Derniers tests de jeux vidéo - page 738

C'est la saison des mises à jour chez Take Two, NBA, NFL, tout y passe pour fêter l'année 2005 et pour l'heure c'est le cas du hockey qui nous préoccupe. Si la série des ESPN NHL a su progresser avec le temps, on n'est pas loin de s'endormir sur ses lauriers chez Visual Concepts et Sega. Pas loin seulement.

C'est la saison des mises à jour chez Take Two, NBA, NFL, tout y passe pour fêter l'année 2005 et pour l'heure c'est le cas du hockey qui nous préoccupe. Si la série des ESPN NHL a su progresser avec le temps, on n'est pas loin de s'endormir sur ses lauriers chez Visual Concepts et Sega. Pas loin seulement.

Ah Robotech, son parcours est déjà une histoire en lui-même. Souvenez-vous de vos jeunes années bercées par les joyeuses séries animées japonaises diffusées sur feu la Cinq et bien plus tard sur TFI et France 3 dans un accès d'intérêt soudain. Pilier de la fin des années 80, Robotech, de par son contexte clairement orienté vers une science-fiction relativement pessimiste et ses effluves de Space-Opera, est parvenu en quelques années à emmener dans son sillon nombre de spectateurs charmés par l'univers cohérent mis en scène, et surtout par la présence de mechas charismatiques. Cette saga fut d'ailleurs la terre des débuts de Kawamori Shôji en tant que mecha-designer justement. Un homme doué que l'on retrouvera ensuite dans de nombreux films d'animation et séries japonaises de grande qualité comme Ghost in the Shell, Escaflowne, ou encore Arjuna. Un concentré de divers talents pour une épopée fantastique, mais pour un jeu... moins titanesque en fait.

Après un premier volet disponible uniquement sur Dreamcast, PC et GBA, Kao s'attaque aux consoles actuelles avec un second opus dans la droite lignée de son prédécesseur. On est donc en présence d'un jeu de plates-formes tout ce qu'il y a de plus classique. Notre kangourou saura-t-il faire face aux grands noms du genre ou sombrera-t-il dans les profondes oubliettes vidéoludiques ?

Enfin, serait-on tenté de dire ! Il aura en effet fallu attendre pas mal de temps pour voir arriver le concurrent direct du NBA Live 2005 de EA Sports. Pour la peine, ESPN NBA Basketball retrouve son ancien patronyme et se présente à nous sous l'appellation ESPN NBA 2K5. D'ailleurs, je vous rappelle que dès l'année prochaine, la simulation de basket de Sega devra se défaire de son préfixe ESPN, la marque ayant été achetée par EA pour une longue période. Ceci étant, un nom n'a jamais fait un bon jeu et il sera dès lors idiot de faire l'impasse sur cette série qui compte encore de beaux jours devant elle, comme semble nous le dire ce nouveau volet.

Enfin, serait-on tenté de dire ! Il aura en effet fallu attendre pas mal de temps pour voir arriver le concurrent direct du NBA Live 2005 de EA Sports. Pour la peine, ESPN NBA Basketball retrouve son ancien patronyme et se présente à nous sous l'appellation ESPN NBA 2K5. D'ailleurs, je vous rappelle que dès l'année prochaine, la simulation de basket de Sega devra se défaire de son préfixe ESPN, la marque ayant été achetée par EA pour une longue période. Ceci étant, un nom n'a jamais fait un bon jeu et il sera dès lors idiot de faire l'impasse sur cette série qui compte encore de beaux jours devant elle, comme semble nous le dire ce nouveau volet.

La vie d'un mutant n'est vraiment pas facile. Alors que certaines personnes se plaignent des horaires trop ou très matinaux de leur activité professionnelle, ce dernier reste de marbre devant ses obligations quasiment morales. Dès le saut du lit, notre ami, suivant ses capacités propres, exécute quelques exercices de maintien de la forme avant d'aller se faire un bol de café en écoutant le journal radiophonique habituel, plaçant les résultats sportifs avant les nouvelles importantes du monde. Puis, plein d'entrain, mais surtout d'après-rasage, il se dirige vers la buanderie pour enfiler son costume noir bardé d'une croix jaune. Sur ce, il râle, peste et maugrée jusqu'à son lieu de travail. Une fois sur place, il se tue à la tâche pour le marché de l'altruisme. Une existence à la c..., en fin de compte.

Savez-vous qu'il existe un point commun entre Bin Laden et Mew, le 151ème Pokémon ? Eh oui, tous deux sont cherchés par des milliers de personnes à travers le monde. Sans relâche, et sans pokéball non plus, l'armée américaine traque depuis plusieurs années le chef d'Al Qaeda sans parvenir à localiser la grotte dans laquelle il se terre. Filez donc un coup de main aux GI et partez à votre tour chasser le terroriste.

Cela arrive parfois, et heureusement que ce n'est pas habituel pourrait-on se dire, que les mots dépassent la signification ou tout simplement la conscience. En effet, et ce de manière typiquement naïve et simplement poussé par une volonté de quête d'une information cruciale, il nous arrive à tous de parcourir la boîte d'un titre que l'on vient d'acquérir ou qui se présente à nous. Ce que j'ai fait avec avidité. Si j'avais su à quoi m'attendre... Au détour d'une phrase colorée de jaune, m'est apparu ceci : "Premier jeu à rendre populaire la seconde guerre mondiale", suivi d'un peu plus loin d'un majestueux "... la guerre est loin d'être finie !". Preuves d'une tournure hasardeuse ou d'un terme oublié, ces "détails" mériteraient tout de même une légère refonte. Mais ce n'est pas le sujet d'aujourd'hui...

Wow ! En voilà un jeu qu'on avait oublié ! On pensait Kao le kangourou à jamais perdu au fond d'un tiroir, mais pas du tout, le vif animal est de retour, toujours muni de ses deux gros gants de boxe rouges et de sa bonne humeur communicative. Au fil de ses bonds, il n'y a plus qu'à le suivre dans sa nouvelle aventure.

Venu tout droit de nos salons, The Suffering tente de faire une percée sur PC, à mi-chemin entre un Max Payne, un Doom 3 et un Silent Hill, le titre de Midway joue la surenchère d'hémoglobine, au détriment d'idées pas mauvaises qui auraient pu maintenir à flot un gameplay qui ne nage pas très bien.

Vous avez peut-être fait l'impasse sur le film du Roi Arthur, sorti en salles courant 2004. Si je puis me permettre, vous avez été bien inspiré sur ce coup-là. Quoiqu'il en soit, Konami offre une seconde chance à tous ceux qui sont passés à côté de la légende du roi et de sa table circulaire. Comme c'est gentil.

Vous avez peut-être fait l'impasse sur le film du Roi Arthur, sorti en salles courant 2004. Si je puis me permettre, vous avez été bien inspiré sur ce coup-là. Quoiqu'il en soit, Konami offre une seconde chance à tous ceux qui sont passés à côté de la légende du roi et de sa table circulaire. Comme c'est gentil.

Vous avez peut-être fait l'impasse sur le film du Roi Arthur, sorti en salles courant 2004. Si je puis me permettre, vous avez été bien inspiré sur ce coup-là. Quoiqu'il en soit, Konami offre une seconde chance à tous ceux qui sont passés à côté de la légende du roi et de sa table circulaire. Comme c'est gentil.

Après les versions consoles, voilà que déboule l'adaptation PC de Ford Racing 3. Aucun gros changement à l'horizon, quelle que soit la plate-forme sur laquelle il tourne, ce titre est assez moyen et ne fait que reprendre trait pour trait les caractéristiques de son prédécesseur. Les nouveautés sont donc très peu nombreuses et largement insuffisantes pour justifier son achat.

Après avoir été justement acclamé en avril dernier lors de sa sortie sur PS2, Project Zero 2 nous revient avec quelques nouveautés sur Xbox pour nous faire frissonner. Compte tenu de l'énorme potentiel horrifique de ce titre, j'imagine que c'est empreint d'angoisse et rongé par le doute que vous lisez ces lignes. Aurez-vous suffisamment de sang-froid et de détermination pour aller au-delà de vos peurs et vous immerger dans la sinistre histoire de deux soeurs vouées à défier le monde des esprits ?

Enième jeu de stratégie temps réel heroic fantasy (désolé, j'ai eu la flemme de tous les compter), Armies of Exigo vous propose de prendre en main la destinée des humains, des bêtes et des déchus, en pleine guerre sur les terres dévastées de Noran. Un jeu certes sympathique, mais qui manque d'innovations et de rebondissements pour surprendre le joueur.

Empire croit dur comme fer à son concept de Ghost Master. Ce ne sont pas les multiples retards pris sur la version PC, sortie tout de même en juin 2003, qui vont empêcher les fantômes de venir hanter nos consoles.

Quel est le point commun entre Homeworld, Nexus et Haegemonia ? Ce sont des jeux qui se déroulent dans l'espace évidemment ! Et bien Star Wolves fait aussi partie de ce club très particulier des titres qui prennent l'univers tout entier comme cadre. Mais son gameplay n'appartient cependant qu'à lui et comme tous les softs précités, il a ses propres particularités qui le destinent à un certain public.

Le voilà enfin ce Rumble Roses, le jeu que tous les ados mâles attendent comme leur premier scooter. Et pour cause, des nanas peu farouches qui se battent pour le seul plaisir des yeux, il y a de quoi titiller les hormones de n'importe quel teenager, non ? Mais derrière cette façade sexy et provocante, qu'en est-il réellement du jeu ?