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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Essayer de décrire le concept de We Love Katamari revient un peu à tenter de convaincre une personne qui ne s'intéresse pas au jeu vidéo de la beauté de Shadow Of The Colossus ou de la fureur de Gradius 5. Malgré des tentatives pleines d'espoir on finit toujours par faire un résumé rapide à grands coups de "enfin c'est beau quoi" ou encore "c'est très fort". Par ce principe on en viendrait simplement à dire que We Love Katamari est un jeu où l'on pousse une boule. Un raccourci criminel, mais qui trouve tout de même sa part de vérité, simple et brute. Car le titre de Keita Takahashi est en effet un subtil mélange de finesse et d'instinct, aspergé d'un morceau d'arc-en-ciel. Je sais, on n'est pas plus avancé.
Succédant directement au Supersonic Warriors sorti fin 2004 sur GBA, ce nouvel épisode de Dragon Ball Z sur console portable nous prouve que l'échec monumental du DBZ Taiketsu est définitivement oublié. Fort de la réputation de son prédécesseur, DBZ : Supersonic Warriors 2 nous convie une fois de plus à des joutes sans pitié entre Super Saiyens. Et même si le résultat n'est pas vraiment parfait, le plaisir de jeu est bel et bien au rendez-vous.
Dead To Rights est une série malchanceuse. Poussée par Namco qui espère se faire quelques yens supplémentaires en la présentant comme un mix entre Max Payne et... Max Payne, la saga n'a jamais eu les moyens de ses ambitions, sûrement à cause d'une absence de popularité digne de ce nom. Malgré tout, après un second épisode en dents de scie, voici un nouveau volet à destination de la PSP. Comme de coutume, on y retrouve messire Jack accompagné de son toutou Shadow, toujours prompt à redresser les babines pour croquer un malfrat bien dodu.
Rappelez-vous : Heidi courant pieds nus dans l'herbe fraîche, gorgée de rosée, le vent soufflant dans les cheveux de la fillette, les chèvres broutant dans le lointain, le grand-père de la petite fille coupant amoureusement d'énormes tranches de pain, de saucisson et de fromage... Rappelez-vous. C'est fait ? Bien, à présent oubliez tous ces souvenirs et visualisez un triumvirat composé de Steven Seagal, The Rock et Jean-Claude Van Damme. Voilà, vous êtes maintenant prêts à vous engouffrer dans les bas-fonds d'Urban Reign, où la violence a élu domicile, où le crime paie très bien et où il ne fait pas bon de peser 45 kilos tout mouillé.
Les Trois Mousquetaires, c'est un peu "mon premier jeu de plate-forme", un titre bien pensé pour les tout petits joueurs sans pour autant les prendre pour des demeurés. Fort de graphismes soignés et mignons, le titre de Legendo joue la carte de la simplicité et vous laissera initier vos enfants aux joies du jeu vidéo, malgré quelques errances regrettables.
Ubisoft croit en sa franchise Settlers et le fait savoir par un second add-on destiné à L'Héritage des Rois. Pourtant, l'accueil des fans de la première heure a été plus que mitigé concernant ce cinquième opus, le qualifiant au mieux de bon petit jeu de stratégie temps réel et au pire de titre ayant fait perdre tout son charme à ce qui faisait la spécificité des Settlers. Est-ce que ce second add-on va renverser la vapeur ? Pas si sûr...
Alors que Tourist Trophy commence à montrer le bout de sa roue en faisant frémir tous les amateurs de Gran Turismo et surtout de deux roues, voici que Jacked vient nous donner le change avec un background totalement et passionnément arcade. En effet, il reste difficile de concevoir une simulation lorsque l'on observe avec un certain effroi des motards qui se tirent dessus au fusil à pompe ou qui se donnent des tapes amicales à grands coups de barres à mine. Une occupation comme une autre légitimée ici par le fait que l'on incarne un chef de gang bien décidé à en découdre avec ses semblables. Des casques, des flammes et des sanglots, voici le quotidien du soft de Sproing.
Alors que Tourist Trophy commence à montrer le bout de sa roue en faisant frémir tous les amateurs de Gran Turismo et surtout de deux roues, voici que Jacked vient nous donner le change avec un background totalement et passionnément arcade. En effet, il reste difficile de concevoir une simulation lorsque l'on observe avec un certain effroi des motards qui se tirent dessus au fusil à pompe ou qui se donnent des tapes amicales à grands coups de barres à mine. Une occupation comme une autre légitimée ici par le fait que l'on incarne un chef de gang bien décidé à en découdre avec ses semblables. Des casques, des flammes et des sanglots, voici le quotidien du soft de Sproing.
Dans le monde, il y a deux catégories de personnes : les psychiques et les non-psychiques. Les premières sont dotées de pouvoirs mentaux extraordinaires et se destinent à un brillant avenir, à condition toutefois qu'elles sachent se servir de leur précieux don. Les secondes sont comme vous et moi. Tout ce qu'elles savent faire avec leur esprit, c'est résoudre des grilles de sudoku. Et encore, pas toutes n'y arrivent. Avec Psychonauts, la barrière entre psychiques et non-psychiques vole en éclat puisque tout un chacun pourra se prendre pour un mentaliste en devenir.
Dans le monde, il y a deux catégories de personnes : les psychiques et les non-psychiques. Les premières sont dotées de pouvoirs mentaux extraordinaires et se destinent à un brillant avenir, à condition toutefois qu'elles sachent se servir de leur précieux don. Les secondes sont comme vous et moi. Tout ce qu'elles savent faire avec leur esprit, c'est résoudre des grilles de sudoku. Et encore, pas toutes n'y arrivent. Avec Psychonauts, la barrière entre psychiques et non-psychiques vole en éclat puisque tout un chacun pourra se prendre pour un mentaliste en devenir.
Dans le monde, il y a deux catégories de personnes : les psychiques et les non-psychiques. Les premières sont dotées de pouvoirs mentaux extraordinaires et se destinent à un brillant avenir, à condition toutefois qu'elles sachent se servir de leur précieux don. Les secondes sont comme vous et moi. Tout ce qu'elles savent faire avec leur esprit, c'est résoudre des grilles de sudoku. Et encore, pas toutes n'y arrivent. Avec Psychonauts, la barrière entre psychiques et non-psychiques vole en éclat puisque tout un chacun pourra se prendre pour un mentaliste en devenir.
Série lancée il y a de cela quelques années, mais en toute discrétion, Mall Tycoon n'a pas vraiment de quoi faire saliver l'amateur de jeu de gestion. Simpliste, assez vilain et bombardant le joueur de musiques de supermarchés, Mall Tycoon 3 nous prouve que le genre du tycoon est au jeu vidéo ce que le rock est à la musique. Tout le monde croit pouvoir en faire avec 3 accords, mais c'est un peu plus compliqué que ça.
World Racing revient dans un second volet qui a pour mission de corriger les manques de son aîné et d'apporter une touche de variété supplémentaire afin que le pilote que vous êtes ne tombe pas dans l'ennui. Pour cela, TDK s'est davantage ouvert sur le monde automobile en s'octroyant de nouvelles licences de voitures en plus de la marque Mercedes, bien seule il y a deux ans. Cela suffira-t-il à convaincre une grande partie du public amateur de grandes vitesses et de sensations fortes ?
Les Jeux Olympiques, il y a ceux qui y participent, ceux qui les commentent, ceux qui les regardent et ceux qui, comme nous, préfèrent les vivre virtuellement. Cette année, c'est Take Two qui s'y colle pour nous offrir une vision plutôt réussi du "Petit Coubertin à la neige".
Les Jeux Olympiques, il y a ceux qui y participent, ceux qui les commentent, ceux qui les regardent et ceux qui, comme nous, préfèrent les vivre virtuellement. Cette année, c'est Take Two qui s'y colle pour nous offrir une vision plutôt réussi du "Petit Coubertin à la neige".
Les Jeux Olympiques, il y a ceux qui y participent, ceux qui les commentent, ceux qui les regardent et ceux qui, comme nous, préfèrent les vivre virtuellement. Cette année, c'est Take Two qui s'y colle pour nous offrir une vision plutôt réussi du "Petit Coubertin à la neige".
Pour ceux, et ils doivent être nombreux, qui ne connaissent pas Zathura, une petite explication s'impose. Troisième roman de Chris Van Allsburg a être adapté au cinéma après Jumanji et le Pôle Express, Zathura nous raconte l'histoire de deux enfants limite hyperactifs pris au piège de leur propre curiosité. En effet, Danny, petit frère de Walter, découvre dans sa cave un ancien jeu de société, sorte de jeu de l'oie kitsch et poussiéreux. Tentant d'y intéresser son aîné, il déclenche une catastrophe défiant les limites de l'imagination. Coincés dans le jeu, ils devront subir la loi de ce dernier et le terminer pour espérer en sortir vivants. Après cette présentation digne d'une madame cinéma de Télématin, plongeons allégrement dans le jeu adapté de cette oeuvre.
Croyez-le ou non, voici déjà le quatrième épisode de Mario Party sur GameCube. C'est également le septième dans l'ensemble de la série, et il faut croire que les adeptes sont toujours aussi nombreux à plébisciter le concept du jeu de l'oie multi-épreuves. Malgré tout, il était grand temps de donner un peu de sang neuf à cette longue saga, c'est pourquoi, en plus du micro déjà introduit dans le précédent volet, Nintendo nous offre à présent la possibilité de jouer à 8 simultanément !
Suite du sympathique beat'em all Knights of the Temple, ce second volet se déroule en Europe au Moyen Age, 20 ans après les événements narrés dans le premier opus. La grande nouveauté du titre c'est qu'il lorgne du côté des jeux de rôle en proposant une progression un peu moins linéaire qu'auparavant grâce aux quêtes annexes.
Dans la famille "pique les yeux" je demande le neveu un peu idiot. Sur fond de trame Sci-fi à laquelle on ne comprend rien, se dresse un tableau aux décors bariolés où des acteurs aussi laids que stupides déballent une somme de dialogues hilarants de médiocrité face à des ennemis aux onomatopées dignes de Taz. Gene Troopers est sans conteste le candidat idéal pour le titre de FPS le plus ridicule de l'année 2006. Et au pire, il restera toujours l'Eurovision.