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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Classé parmi les figures emblématiques du jeu vidéo, Frogger n'est pourtant pas un personnage que l'on croise si souvent que cela. C'est à peine si Konami le ressort de temps à autre de son placard pour lui dégourdir les jambes. Mine de rien, la dernière rencontre remonte déjà à quelques années, c'était sur GBA et la performance ne nous aura pas laissé un souvenir impérissable. La grenouille fera-t-elle mieux cette fois-ci ?
L'ambitieux projet de trilogie qui avait germé dans l'esprit des développeurs de Glyphx arrive finalement chez nous. Malheureusement, comme l'avait laissé craindre la preview, le résultat est bien loin d'être à la hauteur des espérances. Maniabilité hasardeuse et réalisation bancale suffiront à laisser l'amateur de science-fiction sur sa faim.
Certains auraient voulu voir en lui un premier jeu potable édité par Konami sur PC, d'autres un concurrent sérieux à S.W.A.T. ou Rainbow Six. Espoirs déçus par un jeu complètement bâtard qui ne sait visiblement pas ce qu'il veut être, si ce n'est une sorte de jeu tactique hystérique visionné en avance rapide.
Tycoon City : New York n'est pas à proprement parler un city builder comme Sim City puisqu'on ne peut pas y construire de routes ou s'occuper de la macro gestion de sa cité. En effet, le jeu se concentre beaucoup plus sur la micro gestion en proposant au joueur de devenir non pas le maire de la grosse pomme, mais bien un magnat, un entrepreneur qui n'a qu'un but : se faire un maximum d'argent en construisant les bâtiments dont les gens ont le plus besoin.
Pourquoi faut-il que Konami nous fasse mentir ? Alors que l'on était encore en train d'admirer l'honnêteté de Shaman King : Master Of Spirits en se disant que pour une fois ce n'est pas la licence mais l'envie de bien faire qui dominait le jeu, voici que la loi du marketing reprend ses droits. Seulement cinq petits mois après le premier épisode, voilà qu'une suite surgit de l'ombre sans que personne ne se doute de sa présence. Se plaçant juste derrière un soft qui n'appelait pas vraiment une extension, cette dernière semble bien moins douce et chaleureuse que son aînée. Mais ce n'est peut-être qu'une impression.
Plongeant dans une culture urbaine underground faite de tags et d'iPods, Marc Ecko's Getting Up se la joue Prince Of Persia des temps modernes, remplaçant les sables du temps par des bombes de peinture et le pays des Mille et Une Nuits par les quartiers chauds. Bienvenu dans un monde désenchanté.
Plongeant dans une culture urbaine underground faite de tags et d'iPods, Marc Ecko's Getting Up se la joue Prince Of Persia des temps modernes, remplaçant les sables du temps par des bombes de peinture et le pays des Mille et Une Nuits par les quartiers chauds. Bienvenu dans un monde désenchanté.
Une école de magie, des créatures étranges, des arbres vraiment bizarres... Ca ne vous rappelle rien ? Harry Potter évidemment ! On pense immédiatement à l'oeuvre de J.K. Rowling lorsqu'on se lance dans Keepsake, un jeu d'aventure point & click parfaitement adapté au jeune public et plus généralement à tous ceux qui ont gardé leur âme d'enfant.
La série des Toca Race Driver montant en puissance, il est légitime que nous attendions beaucoup de ce troisième volet sur 128 bits. Codemasters a rapidement annoncé la couleur en privilégiant le contenu, n'hésitant pas à proposer encore plus de courses, catégories et compétitions que dans le précédent opus, déjà ultra complet. C'est dans ce titre que vous trouverez des disciplines absentes de tout autre jeu de courses, simulation ou arcade, et rien que pour cela, le coup d'oeil en vaut la peine.
La série des Toca Race Driver montant en puissance, il est légitime que nous attendions beaucoup de ce troisième volet sur 128 bits. Codemasters a rapidement annoncé la couleur en privilégiant le contenu, n'hésitant pas à proposer encore plus de courses, catégories et compétitions que dans le précédent opus, déjà ultra complet. C'est dans ce titre que vous trouverez des disciplines absentes de tout autre jeu de courses, simulation ou arcade, et rien que pour cela, le coup d'oeil en vaut la peine.
Geometry Wars possède une histoire assez particulière. Faisant tout d'abord office de mini-jeu bonus dans Project Gotham Racing 2 sur Xbox, le titre se retrouve maintenant sur le Xbox Live Arcade, tout désireux de montrer que le nouveau service de téléchargement de Microsoft vaut bien le détour. Shooter au look rétro, déjà téléchargé en peu de temps par un nombre impressionnant de joueurs peut-être pas toujours conscients de sa nature extrêmement hardcore, Geometry Wars ne se livre que dans la douleur. Et ça tombe bien, car souffrir, nous on aime ça.
Occultée par les poids lourds du jeu de plates-formes/action qui sévissent actuellement sur consoles, la série des Tak est sans doute passée relativement inaperçue auprès des joueurs malgré ses qualités. Sans parvenir pour autant à faire preuve d'un grand génie dans cette catégorie, ce troisième volet s'inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs en proposant un contenu on ne peut plus classique mais toujours efficace.
Occultée par les poids lourds du jeu de plates-formes/action qui sévissent actuellement sur consoles, la série des Tak est sans doute passée relativement inaperçue auprès des joueurs malgré ses qualités. Sans parvenir pour autant à faire preuve d'un grand génie dans cette catégorie, ce troisième volet s'inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs en proposant un contenu on ne peut plus classique mais toujours efficace.
La majorité des cultures humaines considèrent la mort comme une ombre rodant sur leur destinée, la représentant souvent comme un être anthropomorphique inquiétant. Soit sous les traits d'un dieu, soit revêtant la forme d'un squelette à la longue tunique à capuche, monsieur, ou madame La Mort semble hors de toute normalité et dimension. Pourtant, il a bien fallu qu'il ou elle aille à l'école un jour, apprenne son boulot de mort. Ce n'est pas parce que l'on est hors du temps que ça empêche de vivre dans la société. La preuve, voici l'histoire d'un petit être découvrant le monde, élevé par des parents attentionnés. Ce jeune garçon se nomme Death Jr et se trouve être le fils naturel de La Mort. Comment est-ce possible me direz-vous ? Je vous répondrais que je n'en sais rien.
La série des Toca Race Driver montant en puissance, il est légitime que nous attendions beaucoup de ce troisième volet sur 128 bits. Codemasters a rapidement annoncé la couleur en privilégiant le contenu, n'hésitant pas à proposer encore plus de courses, catégories et compétitions que dans le précédent opus, déjà ultra complet. C'est dans ce titre que vous trouverez des disciplines absentes de tout autre jeu de courses, simulation ou arcade, et rien que pour cela, le coup d'oeil en vaut la peine.
Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine... C'est par ces quelques mots, familiers à nombre d'entre nous, que commence Empire At War. Vous me direz, rien d'étonnant à cela puisque les développeurs ont essayé de rester fidèle à Star Wars en proposant un soft qui comble avant tout les nombreux fans de la saga de George Lucas. Est-ce que les amateurs de STR y trouveront eux aussi leur compte ? Pas si sûr...
Depuis la prestation remarquée de Castlevania : Lament of Innocence sur PS2, les adorateurs de la mythique série de Konami ne craignent plus de voir leur saga fétiche subir les foudres de la 3D. A présent que cette compréhensible appréhension s'est mue en impatience nerveuse, la venue d'un successeur au dernier volet était attendue comme un petit événement. Pour l'heure, dépêchons-nous de pénétrer à l'intérieur du château du comte car le propriétaire des lieux nous y attend.
En plein tournoi des Six-Nations, quoi de mieux que le nouvel opus d'EA Sports pour rester dans le bain de l'ovalie ? Pataugeant quelque peu sur ses derniers opus, l'éditeur compte bien sur cette version 2006 pour se remettre dans le droit chemin et prouver qu'il donne autant de son temps pour le jeu de rugby que pour FIFA. Ce sport aussi noble que spectaculaire et devenant de plus en plus populaire en France aurait-il enfin sa référence ?
En plein tournoi des Six-Nations, quoi de mieux que le nouvel opus d'EA Sports pour rester dans le bain de l'ovalie ? Pataugeant quelque peu sur ses derniers opus, l'éditeur compte bien sur cette version 2006 pour se remettre dans le droit chemin et prouver qu'il donne autant de son temps pour le jeu de rugby que pour FIFA. Ce sport aussi noble que spectaculaire et devenant de plus en plus populaire en France aurait-il enfin sa référence ?
En plein tournoi des Six-Nations, quoi de mieux que le nouvel opus d'EA Sports pour rester dans le bain de l'ovalie ? Pataugeant quelque peu sur ses derniers opus, l'éditeur compte bien sur cette version 2006 pour se remettre dans le droit chemin et prouver qu'il donne autant de son temps pour le jeu de rugby que pour FIFA. Ce sport aussi noble que spectaculaire et devenant de plus en plus populaire en France aurait-il enfin sa référence ?