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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Il aura fallu aux équipes de Revolution Software 4 mois pour nous livrer le second segment du nouveau volet des Chevaliers de Baphomet : La Malédiction du Serpent alors qu'un mois d'intervalle entre les deux épisodes était initialement prévu. Si l'attente étendue était source de frustration, elle était également porteuse de l'espoir de voir les quelques problèmes qui érodaient le plaisir des retrouvailles vécues au premier épisode dûment corrigés. Est-ce le cas ? Réponse dans ces colonnes.
Plutôt bien accueilli par les joueurs, le très old-school NES Remix hérite déjà d'une suite proposée elle aussi au tarif de 9,99 € sur l'eShop. Pour autant, ne vous attendez pas à de grands changements dans la formule puisque le concept est exactement le même que dans le premier volet. Quitte à renouveler simplement la sélection de titres oldies inclus dans le soft, Nintendo aurait probablement pu se contenter d'un simple DLC, mais voyons tout de même si ce NES Remix 2 renferme quelques bonnes surprises.
Emboîtant le pas à l'excellent Outlast, Daylight milite pour une approche similaire en optant pour un survival-horror où la fuite n'est pas une option. Toutefois, au-delà de cette bonne intention de départ, le jeu de Zombie Studios affiche rapidement d'innombrables problèmes dont il est difficile de passer outre. En résulte alors un jeu qui aurait sans doute gagné à être mieux pensé en amont...
Il aura fallu aux équipes de Revolution Software 4 mois pour nous livrer le second segment du nouveau volet des Chevaliers de Baphomet : La Malédiction du Serpent alors qu'un mois d'intervalle entre les deux épisodes était initialement prévu. Si l'attente étendue était source de frustration, elle était également porteuse de l'espoir de voir les quelques problèmes qui érodaient le plaisir des retrouvailles vécues au premier épisode dûment corrigés. Est-ce le cas ? Réponse dans ces colonnes.
PC
Les Chevaliers de Baphomet : La Malédiction du Serpent - Episode 2
Lorsque Ubisoft Montréal se lance dans un jeu "indépendant", tout le monde rit. Dur de lier le terme à l'une des plus grosses boîtes mondiales de jeu vidéo. Un terme utilisé dans un but marketing douteux qui fait clairement dans la récupération. Si on reviendra sûrement un jour sur l'aspect écoeurant de cette communication qui tente de coller l'image d'un jeu fait par un type seul dans son garage à un titre réalisé par une équipe de 40 personnes non dépourvue de moyens financiers, il ne faudrait pas pour autant que cette démarche discutable obstrue notre vision. Child of Light est une perle.
Lorsqu'il s'agit de jeu de combat médiéval, une année vient logiquement à l'esprit des joueurs : 2012. Pourquoi cette année ? Tout simplement parce qu'elle fut le théâtre d'affrontements sanguinolents sur deux titres assez ressemblants : Chivalry : Medieval Warfare, et War of the Roses. C'est ce tout dernier qui nous intéresse aujourd'hui puisque sa suite débarque dans les bacs en ce mois d'avril 2014. Inutile de dire que du chemin a été fait, mais dans quel sens ?
N'ayant pas donné signe de vie depuis 2011 en France, on pouvait croire la série Yu-Gi-Oh! définitivement disparue de nos consoles. Pourtant, un certain jour d'avril 2014, voilà que l'on nous propose d'acheter un nouvel opus de la mythique saga de jeu de cartes. 10 euros, c'est le prix qu'il faudra débourser pour espérer toucher de nouveau à un jeu Yu-Gi-Oh!. Après tant d'attente, les fans de la série sont en droit d'espérer des nouveautés, tant au niveau du contenu que du gameplay. Pourtant...
Qui n’a jamais aimé les histoires ? Ces récits, susurrés à l’oreille des gamins que nous étions par des mères pressées de nous voir dormir pour enfin pouvoir souffler un peu, nous trottent parfois encore dans le crâne. Il y avait des dragons, des fées, des chevaliers, des lutins, des ogres, des démons… Tout un bestiaire issu des mythes, contes et légendes mondiaux qui ont toujours fasciné les esprits de tous les âges. Et s’il existait un jeu nous permettant de faire s’affronter lesdites créatures tout en voyageant autour du globe, gratuitement qui plus est, qui serait assez fou pour refuser le voyage ? Destiny of Spirits nous offre cette opportunité : vérifions ensemble si ce titre propose de quoi rafraîchir un peu notre imaginaire.
Qu’est-ce qui définit un héros du bien ? Un être qui voue sa vie à braver le danger et les forces obscures ? Est-ce le destin ? La carrure ? Le sourire d’une blancheur inégalée quelques secondes avant le générique ? Pour certains, sûrement. Mais pas tous. La preuve, Nun Attack nous propose un nouveau genre d’idéal luttant pour le salut du monde. Des guerriers sans peur ni pitié pour les horreurs qui menacent notre univers, et à qui il ne manque qu’une seule chose : des pectoraux et du poil au menton. En effet, ces héros sont des héroïnes, et qui plus est des nonnes ! Autant vous dire que l’aventure dans laquelle vous plongera ce titre pour le moins original est assurée de bousculer les Saintes Ecritures !
N'ayant pas donné signe de vie depuis 2011 en France, on pouvait croire la série Yu-Gi-Oh! définitivement disparue de nos consoles. Pourtant, un certain jour d'avril 2014, voilà que l'on nous propose d'acheter un nouvel opus de la mythique saga de jeu de cartes. 10 euros, c'est le prix qu'il faudra débourser pour espérer toucher de nouveau à un jeu Yu-Gi-Oh!. Après tant d'attente, les fans de la série sont en droit d'espérer des nouveautés, tant au niveau du contenu que du gameplay. Pourtant...
Lorsque Ubisoft Montréal se lance dans un jeu "indépendant", tout le monde rit. Dur de lier le terme à l'une des plus grosses boîtes mondiales de jeu vidéo. Un terme utilisé dans un but marketing douteux qui fait clairement dans la récupération. Si on reviendra sûrement un jour sur l'aspect écoeurant de cette communication qui tente de coller l'image d'un jeu fait par un type seul dans son garage à un titre réalisé par une équipe de 40 personnes non dépourvue de moyens financiers, il ne faudrait pas pour autant que cette démarche discutable obstrue notre vision. Child of Light est une perle.
Lorsque Ubisoft Montréal se lance dans un jeu "indépendant", tout le monde rit. Dur de lier le terme à l'une des plus grosses boîtes mondiales de jeu vidéo. Un terme utilisé dans un but marketing douteux qui fait clairement dans la récupération. Si on reviendra sûrement un jour sur l'aspect écoeurant de cette communication qui tente de coller l'image d'un jeu fait par un type seul dans son garage à un titre réalisé par une équipe de 40 personnes non dépourvue de moyens financiers, il ne faudrait pas pour autant que cette démarche discutable obstrue notre vision. Child of Light est une perle.
Ecrire un bon scénario est un exercice difficile, particulièrement lorsque celui-ci est destiné à structurer un jeu vidéo. En effet, croiser la psychologie des personnages et le gameplay de façon efficace, c'est-à-dire sans provoquer de situations frustrantes pour le joueur, peut parfois s'avérer compliqué. Si l'on en croit le commentaire de Dave Gilbert critiquant avec cinq ans de recul le premier épisode de sa série, The Blackwell Legacy est rempli d'erreurs de débutant en matière de game design et de choix narratifs. Pour autant, le jeu en devient-il mauvais et indigne d'intérêt ? Pas vraiment, au contraire, comme nous allons le démontrer.
Lorsque Ubisoft Montréal se lance dans un jeu "indépendant", tout le monde rit. Dur de lier le terme à l'une des plus grosses boîtes mondiales de jeu vidéo. Un terme utilisé dans un but marketing douteux qui fait clairement dans la récupération. Si on reviendra sûrement un jour sur l'aspect écoeurant de cette communication qui tente de coller l'image d'un jeu fait par un type seul dans son garage à un titre réalisé par une équipe de 40 personnes non dépourvue de moyens financiers, il ne faudrait pas pour autant que cette démarche discutable obstrue notre vision. Child of Light est une perle.
Lorsque Ubisoft Montréal se lance dans un jeu "indépendant", tout le monde rit. Dur de lier le terme à l'une des plus grosses boîtes mondiales de jeu vidéo. Un terme utilisé dans un but marketing douteux qui fait clairement dans la récupération. Si on reviendra sûrement un jour sur l'aspect écoeurant de cette communication qui tente de coller l'image d'un jeu fait par un type seul dans son garage à un titre réalisé par une équipe de 40 personnes non dépourvue de moyens financiers, il ne faudrait pas pour autant que cette démarche discutable obstrue notre vision. Child of Light est une perle.
Lorsque Ubisoft Montréal se lance dans un jeu "indépendant", tout le monde rit. Dur de lier le terme à l'une des plus grosses boîtes mondiales de jeu vidéo. Un terme utilisé dans un but marketing douteux qui fait clairement dans la récupération. Si on reviendra sûrement un jour sur l'aspect écoeurant de cette communication qui tente de coller l'image d'un jeu fait par un type seul dans son garage à un titre réalisé par une équipe de 40 personnes non dépourvue de moyens financiers, il ne faudrait pas pour autant que cette démarche discutable obstrue notre vision. Child of Light est une perle.
C'est en 1986 que naît le manga Jojo's Bizarre Adventure, sous la plume d'Hirohiko Araki. Depuis, la série, toujours en cours et composée de 109 volumes, s'est vendue à plus de 80 millions d'exemplaires. Capcom s'est lancé dans une adaptation sur PlayStation et Dreamcast en 2000. 14 ans plus tard, la saga hérite d'un nouveau jeu de baston, cette fois-ci sous l'égide de CyberConnect2 (Naruto Shippuden). Jojo's Bizarre Adventure : All Star Battle ravira à coup sûr les fans, mais risque de laisser les autres joueurs de marbre.
Après des débuts sur PSP et la sortie d'un épisode spécial sur le XBLA (Half-Minute Hero : Super Mega Neo Climax) revisité un peu plus tard sur PC dans une version nettement enrichie (sous-titrée Ultimate Boy), Half-Minute Hero est de retour dans un opus PC baptisé The Second Coming qui est en réalité un remake du second épisode PSP inédit dans notre pays !
De la vitesse et des obstacles à éviter. La formule avancée par Unpossible est connue et a déjà fait ses preuves à travers maintes déclinaisons diverses et variées. Super Hexagon, AaaaaAAaaaAAAaaAAAAaAAAAA, Boson X, Pivvot ou même Proun à qui il emprunte beaucoup, sont notamment les dignes représentants du genre. Reste-t-il une place pour Unpossible ?
Quoi de plus normal que de vouloir être accepté par autrui ? Que de chercher à se fondre dans la masse sans que qui que ce soit vous fasse remarquer que vous êtes différent ? Si ces problématiques sont souvent abordées avec plus ou moins de succès dans le monde du cinéma et du jeu vidéo, la forme choisie par Octodad : Dadliest Catch est pour le moins originale. Vous allez devoir incarner un poulpe désireux de se comporter le plus normalement possible afin qu'aucun humain ne découvre sa véritable nature. Et croyez-moi, ce ne sera pas facile.