Derniers tests de jeux vidéo - page 126

Cette fois-ci, on y est. Après avoir laissé traîner ses chenilles sur quasiment toutes les plates-formes de jeu imaginables, World of Tanks vient de s'installer sur PlayStation 4, recueillant sans grandes surprises plus d'un million de téléchargements peu de temps, conservant les forces et les défauts de la licence free-to-play à succès.

Les Avengers sont puissants, célèbres et plutôt indisciplinés, surtout à leur plus jeune âge. Afin de les cadrer et de leur permettre de développer tout leur potentiel, Marvel Avengers Academy vous place à la tête d’une académie dans laquelle il ne faut pas chômer. De nombreuses quêtes viennent en effet rythmer la formation de nos héros qui s’articule entre entraînement au combat, lutte contre l’Hydra et vie de campus. Bien évidemment, l’humour qui caractérise la franchise est omniprésent et le titre suit une petite trame scénaristique qui dynamise l’évolution de l’académie.

En matière de jeu de cartes à collectionner, Magic l'Assemblée demeure encore à l'heure actuelle l'un des jeux les plus populaires qui soit. Et à raison tant le jeu de Wizards of the Coast malgré son ancienneté, continue à l'heure actuelle de proposer une expérience de jeu riche, variée et surtout extrêmement tactique. Une expérience parfaitement retranscrite dans la grande majorité des jeux qui en sont issus, Duels of the Planeswalkers en tête, mais que l'on a bien du mal à retrouver dans ce Puzzle Quest qui fera beaucoup de mal à tout bon fan de Magic qui se respecte un minimum. En effet, ce titre inspiré par la licence Magic reprend en grande partie les codes du jeu de base (le mana, les invocations de cartes, le backgound global de la série), pour en faire un Free to play insipide, qui fait une croix sur tout ce qui caractérise vraiment le jeu dont il s'inspire. Et c'est bien dommage tant le potentiel ludique de la série aurait pu être utilisé à meilleur escient. Préparez-vous pour une plongée dans les méandres d'un ratage complet.

De toutes les séries annexes tirées de l'univers de Pokémon, Donjon Mystère est sans doute la plus connue et celle qui a su le plus s'attirer les faveurs du public depuis que la licence a vu le jour. Elle s'offre aujourd'hui un nouvel épisode, le second à débarquer sur Nintendo 3DS mais qui sera, comme son nom l'indique, le premier à intégrer les méga-évolutions. Le résultat est-il à la hauteur des précédents épisodes de la série ?

Depuis son annonce il y a de cela deux ans, Firewatch intrigue de nombreux joueurs de part son contexte et sa narration poussée. Mais le jeu du nouveau studio Campo Santo arrive-t-il à nous proposer autre chose que des balades sylvestres, des traversées de rivières et des randonnées bucoliques ? Rassurez-vous, il est bien plus que ça.

Le premier Lifeline... a connu un succès incontestable en introduisant dans la vie des joueurs un ou une (la question se pose toujours) astronaute en perdition nommé(e) Taylor dans une histoire prenante et remplie de suspense. L'auteur, Dave Justus, revient en force en proposant sur iOS et Android une nouvelle aventure entièrement textuelle. Toujours sur la base d’un système de notifications en temps réel, Lifeline 2 nous met en contact avec Arika, une jeune magicienne qui a besoin de notre aide pour récupérer des objets magiques afin de retrouver son frère. Ce qui est certain, c'est qu'elle mérite que l'on prenne un peu de notre temps pour la guider dans sa quête semée d'embûches.

A l'ombre des géants d'Electronic Arts, les suédois de Coldwood Studios ont eu les coudées franches pour avancer sur leur projet dévoilé en grandes pompes durant l'E3 2015. Unravel, c'est son nom, vous permet d'incarner un petit bonhomme de laine perdu au beau milieu de notre univers, qui paraît bien immense aux yeux d'un tel personnage. Entre plates-formes et réflexion, le titre nous emmène dans un monde empreint de poésie et rempli de charme.

Odin Sphere, Muramasa : The Demon Blade, Dragon's Crown... Les principales œuvres de George Kamitani et du studio Vanillaware jouissent de nos jours d'un certain succès, entretenu qui plus est par la sortie de versions revisitées : Muramasa Rebirth et ses personnages supplémentaires, ou tout récemment le remake Odin Sphere : Leifthrasir. Un autre titre a connu tel traitement mais est pourtant resté assez confidentiel de par son statut d'import japonais : Princess Crown, sorti fin 1997 sur Saturn et porté en 2005 sur PSP. C'est pourtant par ce jeu que l'histoire de ces orfèvres de la 2D a commencé...

2013. Le studio KillMondays lance une campagne de financement participatif sur le site IndieGogo pour développer un nouveau jeu. Un peu plus de deux ans après surgit Fran Bow, point'n'click horrifique qui puise gaiement dans un tas d’autres œuvres du genre, sans réellement s’en cacher. Loin d’être de bêtes plagiats, il faut réellement y voir des hommages à des univers qui ont posé les premières pierres du monde de Fran Bow.

Tremblez, shinobis ! Aujourd'hui, nous allons parler de ce qui pourrait être le dernier jeu Naruto Shippuden Ultimate Ninja Storm, une série de jeux de combat entamée il y a déjà 7 ans. Alors que le manga de Masashi Kishimoto a touché à sa fin, les équipes de CyberConnect2 s'offrent un baroud d'honneur d'exception. Avec toujours plus de ninjas, de techniques impressionnantes et de combats de boss dantesques. Attachez vos ceintures, resserrez vos bandeaux de ninjas, et acérez vos shuriken, c'est l'heure de l'ultime combat.

Les zombies, la fin du monde, les virus... En voilà des thèmes qui reviennent souvent dans le jeu vidéo et pas uniquement chez les grosses productions. Les titres mobiles tentent également leur chance dans le domaine de l'extermination de macchaées avec plus ou moins de réussite. Dead Union n'y va pas par quatre chemins et nous invite simplement en enchaîner des monstruosités en tout genre à grands coups de balles dans le crâne et d'explosions sanglantes à la première personne. Une recette gagnante ? Direction le champ de bataille avec ses affreux zombies, ses grosses pétoires et ses héros charismatiques...

Avant d'arriver dans un second épisode qui s'annonce alléchant. Gravity Rush s'est offert une séance de relifting tout ce qu'il y a de revigorant. Dans sa version HD, le jeu de la Team Japan dévoile la puissance esthétique de son univers irréel et attachant. Car Gravity Rush peut à la fois montrer ses mécaniques convenues souvent justifiées par le genre, celles du jeu en monde ouvert. Sa vraie force, Gravity Rush la déploie de manière sournoise, comme un jeu remarquable saurait le faire. Sur PlayStation 4 le jeu est complètement magnifié cosmétiquement par la dernière née des consoles de Sony.

L'univers post-apocalyptique fascine souvent les joueurs par son ambiance ou ses personnages bien à part. Ubisoft nous en livre sa propre version avec Sandstorm: Pirate Wars, un free to play disponible sur iOS et Android qui n'est pas sans rappeler les courses-poursuites de Mad Max, mais avec une différence de taille. Le jeu vous place en effet aux commandes d’un Sandcruiser, un vaisseau qu’il faudra équiper de diverses armes et protections afin d’arpenter les terres les plus hostiles. Le gameplay s’articule ensuite autour d'un principe très simple : deux vaisseaux lancés à toute vitesse s’affrontent dans un court duel et le plus fort l’emporte. Avec un mode histoire qui propose des quêtes scénarisées et un multijoueur qui se contente d’opposer deux joueurs le temps d’un combat, il ne reste plus qu'à déterminer si ces paysages dévastés valent la peine d'être explorés.

Alors que Disney prévoit encore de nous abreuver de films estampillés Star Wars pour les dix prochaines années, les jeux vidéo ne manqueront pas eux non plus de nous entrainer dans la Guerre des Etoiles. Après Star Wars : Battlefront, Electronic Arts nous propose sur mobiles un certain Star Wars: Galaxy of Heroes qui tente lui aussi de surfer sur la nouvelle vague de popularité de la saga. Overdose de sabres laser ou réelle surprise? Prenez les commandes de votre Faucon Millenium et en avant pour une galaxie lointaine, très lointaine !

Bien que la série des The Legend of Heroes ne parle qu'à un public de connaisseurs en Europe, son épanouissement grandissant ces dix dernières années ne pouvait qu'inciter l'équipe de Xseed Games à s'atteler à la localisation du premier volet de la trilogie Sen no Kiseki, dont la sortie remonte tout de même à l'année 2013 au Japon. Bonne nouvelle, les deux autres volets devraient être également distribués chez nous prochainement sur PS3 et Vita.

En 2012, FTL: Faster Than Light remettait le rogue-like spatial au goût du jour avec son gameplay aussi exigeant qu'addictif. Souvent imité mais rarement égalé, ce titre reste depuis lors l'une des références du genre. Star Chindy, du développeur coréen Mast Games, marche clairement sur ses plates-bandes en nous proposant sur Android et iOS une nouvelle aventure spatiale respirant à plein nez le rogue-like. S'agit-il d'un simple plagiat bas-de-gamme ou d'un titre complet et innovant ? Découvrons-le ensemble ...

Crashlands, c’est avant tout l’histoire de trois frères qui ont quitté leurs jobs respectifs pour fonder Butterscotch Shenanigans, leur propre studio de développement. Ce titre, leur troisième, possède une histoire assez particulière dans la mesure où le projet est né de la volonté de l’un des frères, qui venait d’apprendre qu’il était atteint d’un cancer, de produire un jeu dont il pourrait être fier, quelque chose de grand, qui le dépasserait. C’est ainsi, alors qu’il luttait contre la maladie, que lui vint l’idée de créer Crashlands, un titre à la croisée du jeu de survie à la Don't Starve, du RPG, et du Hack 'N' Slash à la Diablo. Un projet qu’il mènera jusqu’à son terme puisqu’il aura finalement réussi à vaincre le cancer dans le même temps. Au-delà de cette histoire un peu particulière, et peu banale, Crashlands est avant tout un titre formidable qui mêle habilement les codes dont il s’inspire pour proposer un gameplay riche, varié, cohérent et surtout diablement maîtrisé. Comme pour en rajouter une couche, les trois petits malins de chez Butterscotch Shenanigans ont aussi réussi à enrober le tout d’une histoire aussi intéressante que drôle, qui fait de Crashlands un titre appréciable à tous les égards. Mais trêve de bavardage, et place à la critique de Crashlands.