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Test Deadlight : Director’s Cut - En mode survie

Deadlight : Director's Cut - Un retour manquant d'intérêt ?

11 823 vues
Profil de Ayden_,  Jeuxvideo.com
Ayden_ - Rédaction jeuxvideo.com

Même si l'aura des zombies n'est plus aussi importante qu'à une certaine époque, il faut bien reconnaître que ces créatures putréfiées fascinent les joueurs. Lors de l'E3, Sony en a même fait son final avec un Days Gone à la fois spectaculaire et immersif. Les éditeurs ont bien compris que les joueurs sont sensibles à la chair ambulante et l'arrivée de Deadlight : Director’s Cut s'inscrit dans cette logique. Sorti en 2012 sur PC et Xbox 360, le jeu de Tequila Works s'octroie une seconde jeunesse sur les plateformes du moment. En 1080p, avec ses optimisations et ses contenus additionnels, ce jeu d'action / survie n'a rien perdu de son intérêt. Reste à savoir si cette version s'imposait...

Le scénario se déroule dans la ville de Seattle en 1986. Une maladie infectieuse a frappé la population et les gens se sont peu à peu transformés en zombie, ou plutôt en "ombres", décimant une bonne partie de l'humanité. Dans ce contexte, les rares survivants tentent de sauver leur peau par tous les moyens. Séparé de sa femme et de sa fille, le dénommé Randall Wayne fait partie des "chanceux". Ancien garde-forestier, il est parvenu à échapper au pire grâce son excellente condition physique et à quelques compagnons de fortune. C'est dans cet univers à la Walking Dead que vous allez devoir évoluer, en frôlant la mort à de nombreuses reprises, jusqu'au dénouement que vous espérez heureux.

 Deadlight : Director’s Cut - En mode survie  Deadlight : Director’s Cut - En mode survie  Deadlight : Director’s Cut - En mode survie

Séances de grimpette

 Deadlight : Director’s Cut - En mode survie
Sauter, s'accrocher, grimper, monter... voilà le quotidien de notre anti-héros.

Il faut dire que ce bon vieux Randall (ou Randy pour les intimes) n'a rien du héros de ces dames. Malgré son charisme et sa voix rauque, il n'est pas du genre à se frotter à des hordes de zombies en dégommant tout ce qui passe devant son viseur. Et, en même temps, on le comprend ! La population des infectés est particulièrement hargneuse et il n'est vraiment pas simple de s'en dépêtrer (un ou deux affreux passe encore, mais ensuite vous servez de casse-croûte). Dans ces conditions, et le jeu nous le fait comprendre très vite, le gaillard va passer son temps à fuir et à crapahuter dans un monde en ruines, en profitant du level design tout en verticalité. Parfois, le joueur aura à user d'armes à feu (avec munitions limitées) ou d'une bonne vieille hache de fortune, mais l'intérêt du titre réside clairement dans cette fuite en avant, en utilisant l'environnement à la manière d'un spécialiste du parkour. Dans l'esprit, Deadlight Director's Cut fait tout simplement penser à un Prince of Persia, à l'ancienne, que l'on aurait transposé dans un monde post-apocalyptique. La vivacité du héros, sa manière de sauter, de grimper, d'effectuer des roulades, sa faculté à opérer un rebond sur un mur... tout rappelle le hit des années 80 ! Les plus jeunes diront qu'il ressemble à un Assassin's Creed Chronicles à la mode zombie et ils n'auront pas tort.

 Deadlight : Director’s Cut - En mode survie  Deadlight : Director’s Cut - En mode survie

Une ambiance maîtrisée

 Deadlight : Director’s Cut - En mode survie
L'histoire est narrée, entre autres, sous forme de scénettes dessinées.

Comme pour la plupart des jeux du genre, on retrouve une progression à base d'objets à découvrir (photos, cartes d'identité, notes de journal...) et d'énigmes à résoudre. Ne cherchez pas beaucoup d'originalité dans les phases de réflexion, il ne s'agit que de caisses à déplacer, d'interrupteurs à activer, etc. Si le scénario paraît assez basique en surface, il suffit de se plonger dans les récits de Randall pour se rendre compte de la richesse du background. Derrière son physique de bûcheron un peu bourru, l'homme est un père et mari aimant et il est plutôt sensible. En lisant les lignes de son journal, on y découvre sa vie avant l'épidémie, ses états d'âme, ses craintes, ses rêves... tout est décrit avec précision et cette lecture s'avère vraiment plaisante. En complément de ces récits, les développeurs ont élaboré une mise en scène soignée. La trame est racontée sous la forme d'illustrations, façon comics, percutantes et le doublage, entièrement en anglais sous-titré, se montre plutôt convaincant. Il faut aussi souligner la présence de plusieurs séquences étonnantes, comme les passages où Randall a des visions ou encore sa rencontre avec le "Rat". On apprécie également de prendre part à des courses poursuite haletantes (avec un hélicoptère aux trousses, il ne faut pas traîner !). Deadlight est un jeu accrocheur et son âge n'a absolument pas altéré son intérêt. Graphiquement, la résolution en 1080p apporte un confort indéniable. De quoi profiter d'une réalisation de qualité, avec des décors réussis (bien que parfois trop sombres), des animations améliorées et une aventure maîtrisée. On plonge véritablement dans ce monde en 2,5D sans aucune retenue. On regrette juste que certaines bases de l'original n'aient pas été corrigées, comme les sauts qui demeurent toujours un peu flottants et manquent parfois de précision. Mais le problème de cette édition est ailleurs...

 Deadlight : Director’s Cut - En mode survie  Deadlight : Director’s Cut - En mode survie  Deadlight : Director’s Cut - En mode survie

De vraies avancées ?

 Deadlight : Director’s Cut - En mode survie
Une jauge d'endurance limite les exploits de Randall. Prenez-garde aux efforts répétés.

En découvrant cette version Director's Cut, on pouvait s'attendre à des ajouts salvateurs. Malheureusement, si l'on excepte la partie visuelle, le contenu inédit s'avère très limité. Pour combler le manque de challenge, les développeurs ont ajouté une difficulté Cauchemar (qui se débloque avoir terminé le jeu) mais il s'agit exactement de la même aventure sans les checkpoints. Un peu fainéant, tout ça. Le mode Survie, présenté comme LA nouveauté de cette édition, est une vraie déception. Concrètement, Randall est enfermé dans un hôpital et il doit résister un maximum de temps aux vagues de zombies qui débarquent par les couloirs, les étages, etc. L'idée est intéressante et il y a même un classement pour prouver vos exploits à vos potes. Malheureusement, il n'y a qu'une seule et unique map et on en fait trop vite le tour. Malgré son rythme soutenu, le mode Survie n'est pas assez dense pour prolonger le plaisir et c'est bien dommage. Pour terminer, comme c'est bien souvent le cas avec ce type de réédition, le jeu se pare de bonus inédits comme des vidéos de développeurs, des artworks, des croquis préparatoires... et même trois mini-jeux d'arcade, vite joués, vite oubliés. Un peu chiche tout ça, non ?

Deadlight Director's Cut se montre

 Deadlight : Director’s Cut - En mode survie

Points forts

  • L'ambiance immersive
  • Les phases de plateforme
  • Graphiquement agréable
  • Background intéressant à découvrir

Points faibles

  • Une aventure vite expédiée
  • Toujours des imprécisions dans les sauts
  • Des ajouts minimes
  • Challenge limité

Sans surprise, le jeu est toujours aussi agréable et l'univers post-apocalyptique est vraiment maîtrisé. On prend du plaisir à incarner Randall, à gérer sa jauge d'endurance et à survivre face à des hordes de zombies affamés. Mais il faut bien reconnaître qu'on attendait un peu plus de cette édition Director's Cut. Les bonus sont sympathiques mais le mode Survie, beaucoup trop limité, n'est pas un argument suffisant pour se procurer cette mouture. Pour faire simple, Deadlight est un jeu à faire si vous n'y avez jamais touché car il demeure toujours efficace. Les autres, en revanche, peuvent s'en détourner sans regrets.

Note de la rédaction

13
11.3

L'avis des lecteurs (3)

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