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Les avis les plus utiles

16/20
GrandSephiroth
Alerte
Niveau 10
Posté le 15 nov. 2015 à 04:40

Succédant au jeu flash Meat Boy, Super Meat Boy fait partie de ces jeux indépendants qui ont contribué à la notoriété du Xbox Live Arcade (sorti l’année d’après sur PC, puis beaucoup plus tard sur PS4 et Vita avec de nouvelles musiques) avec de nombreuses productions indé souvent exclusives au support à l’époque. Il s’agit d’un jeu de plateforme die and retry rendant hommage à Super Mario Bros. Avec son nom, l’importance des sauts et des obstacles à éviter, ainsi qu’une fille (Bandage Girl) à sauver du grand méchant qui passe son temps à l’enlever sous notre nez (l’infâme docteur Fœtus). On peut d’ailleurs débloquer quelques niveaux du jeu d’origine via des warp zones, et on nous dit à la fin de chaque session que Bandage Girl est dans une autre dimension. Le personnage est un tout petite bout de viande cubique bien saignant qui laisse des traces de sang là où il passe, ce qui permet de voir à quel endroit précis on a sauté ou rebondi, qu’on ait réussi notre coup ou qu’on se soit planté.

Le jeu se compose de cinq environnements de moins en moins rassurants (la forêt, l’hôpital, l’usine de sel, l’enfer et le ravissement) comportant vingt niveaux chacun, au moins dix-sept d’entre eux devant être terminés pour affronter le boss. Le monde final se constitue quant à lui de cinq niveaux un peu plus longs et difficiles, ainsi que d’une alternative de boss en deux parties. Le joueur doit guider Meat Boy jusqu'à la fin de chaque niveau en utilisant ses capacités de saut et d'adhérence aux murs, en évitant de nombreux obstacles létaux comme les scies circulaires, le sel, les obus, les lasers et les nombreux trous. Si les premiers niveaux sont courts et très faciles afin de se faire la main, le jeu devient vite difficile et sa mécanique die and retry nous fait recommencer certains passages des dizaines de fois pour apprendre à éviter les pièges, glisser et sauter pile au bon endroit voire au bon moment, sachant qu’on meurt dès qu’on touche au moindre obstacle et qu’il n’y a aucun checkpoint.

Réussir un niveau dans une certaine limite de temps permet d'obtenir la note A+ et de débloquer une version alternative et plus difficile du niveau, la version Dark World. Réussir certaines warp zones ou collecter des bandages disséminés dans les niveaux permet de débloquer des personnages en provenance d’autres jeux indépendants comme Braid, World of Goo, Spelunky ou encore VVVVVV selon les versions. La bande originale est de grande qualité et sa marie parfaitement à l’esprit du jeu, entre niveaux qu’on enchaîne en courant, simplicité de jouabilité et univers fort sympathique. La narration offre de petites séquences animées à chaque nouvel environnement, ainsi qu’avant et après les boss, qui consistent parfois en des poursuites en scrolling horizontal ou vertical, avec des éléments à enclencher pour que l’écran continue de défiler.

Le plaisir vient avant tout de faire courir, rebondir et glisser son personnage contre les parois tout en évitant de se faire saigner, notamment dans des passages bien chauds où il faut sauter pile poil entre deux scies circulaires. Il est en effet très courant de se faire réduire en gouttes de sang qui restent présentes là où on est mor, ce qui renforce d’autant plus le parti pris esthétique du jeu tout en dénotant avec sa direction artistique ayant tout sauf des couleurs chaudes. Certains niveaux demandent également des allers-retours avec par exemple des clés à trouver, ce qui permet d’appréhender les lieux de manière assez différente. Un très bon jeu de plates-formes à la difficulté bien assumée et à la jouabilité excellente, un des jeux indépendants les plus cultes !

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Tous les avis lecteurs (2)

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1 
16/20
GrandSephiroth
Alerte
Niveau 10
Posté le 15 nov. 2015 à 04:40

Succédant au jeu flash Meat Boy, Super Meat Boy fait partie de ces jeux indépendants qui ont contribué à la notoriété du Xbox Live Arcade (sorti l’année d’après sur PC, puis beaucoup plus tard sur PS4 et Vita avec de nouvelles musiques) avec de nombreuses productions indé souvent exclusives au support à l’époque. Il s’agit d’un jeu de plateforme die and retry rendant hommage à Super Mario Bros. Avec son nom, l’importance des sauts et des obstacles à éviter, ainsi qu’une fille (Bandage Girl) à sauver du grand méchant qui passe son temps à l’enlever sous notre nez (l’infâme docteur Fœtus). On peut d’ailleurs débloquer quelques niveaux du jeu d’origine via des warp zones, et on nous dit à la fin de chaque session que Bandage Girl est dans une autre dimension. Le personnage est un tout petite bout de viande cubique bien saignant qui laisse des traces de sang là où il passe, ce qui permet de voir à quel endroit précis on a sauté ou rebondi, qu’on ait réussi notre coup ou qu’on se soit planté.

Le jeu se compose de cinq environnements de moins en moins rassurants (la forêt, l’hôpital, l’usine de sel, l’enfer et le ravissement) comportant vingt niveaux chacun, au moins dix-sept d’entre eux devant être terminés pour affronter le boss. Le monde final se constitue quant à lui de cinq niveaux un peu plus longs et difficiles, ainsi que d’une alternative de boss en deux parties. Le joueur doit guider Meat Boy jusqu'à la fin de chaque niveau en utilisant ses capacités de saut et d'adhérence aux murs, en évitant de nombreux obstacles létaux comme les scies circulaires, le sel, les obus, les lasers et les nombreux trous. Si les premiers niveaux sont courts et très faciles afin de se faire la main, le jeu devient vite difficile et sa mécanique die and retry nous fait recommencer certains passages des dizaines de fois pour apprendre à éviter les pièges, glisser et sauter pile au bon endroit voire au bon moment, sachant qu’on meurt dès qu’on touche au moindre obstacle et qu’il n’y a aucun checkpoint.

Réussir un niveau dans une certaine limite de temps permet d'obtenir la note A+ et de débloquer une version alternative et plus difficile du niveau, la version Dark World. Réussir certaines warp zones ou collecter des bandages disséminés dans les niveaux permet de débloquer des personnages en provenance d’autres jeux indépendants comme Braid, World of Goo, Spelunky ou encore VVVVVV selon les versions. La bande originale est de grande qualité et sa marie parfaitement à l’esprit du jeu, entre niveaux qu’on enchaîne en courant, simplicité de jouabilité et univers fort sympathique. La narration offre de petites séquences animées à chaque nouvel environnement, ainsi qu’avant et après les boss, qui consistent parfois en des poursuites en scrolling horizontal ou vertical, avec des éléments à enclencher pour que l’écran continue de défiler.

Le plaisir vient avant tout de faire courir, rebondir et glisser son personnage contre les parois tout en évitant de se faire saigner, notamment dans des passages bien chauds où il faut sauter pile poil entre deux scies circulaires. Il est en effet très courant de se faire réduire en gouttes de sang qui restent présentes là où on est mor, ce qui renforce d’autant plus le parti pris esthétique du jeu tout en dénotant avec sa direction artistique ayant tout sauf des couleurs chaudes. Certains niveaux demandent également des allers-retours avec par exemple des clés à trouver, ce qui permet d’appréhender les lieux de manière assez différente. Un très bon jeu de plates-formes à la difficulté bien assumée et à la jouabilité excellente, un des jeux indépendants les plus cultes !

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18/20
G7K
Alerte
Niveau 10
Posté le 05 oct. 2017 à 01:03

Un jeu indépendant qui a le mérite de ne pas faire dans la facilité. Le titre ne vous fera aucun cadeau, vous obligeant à millimétrer chaque saut sous peine d'une punition immédiate. Le challenge est au rendez-vous pour peu que l'esprit Die & Retry ne vous rebute pas. Un must.

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