Certes un jeu pas au niveau d'un Tropical Freeze ou d'un Rayman Legends, pour citer deux titres phares du genre, pourtant il sait plaire. Jolis graphismes, de belles musiques et une jouabilité solide.
Au début on pourrait croire qu'on va faire une promenade de santé tout au long de la partie, surtout avec toutes ces vies supplémentaires distribuées à la pelle, mais les derniers niveaux demandent un certain doigté ainsi que le monde caché et son mode Cataclysme, ces derniers qu'on ne doit pas finir pour voir le générique de fin.
Le seul vrai défaut à ce jeu c'est sa durée de vie assez brève, tout de même une agréable découverte.
Et beh je suis hyper surpris ! Superbe aventure, je joue à 36 ans autant que ma fille de 8 ans. Graphismes sûblimes, jeu de plateau en 2D réussi. Des mondes différents, parfois simples et parfois difficiles. On peut ajuster la difficulté facilement d'ailleurs. Je conseille à 100% à tous les parents qui veulent une belle aventure feel good!
Avec les jeux de tirs, les jeux de plate-formes sont mes préférés alors je valide à 100%. J'aime beaucoup aussi Rayman, ou encore Crash Bandicoop.
Jeu top.
Super jeu, très coloré. Le Marsupilami est vraiment très bien réussi graphiquement, mimiques etc.. C'est le gros point fort du jeu d'avoir un personnage aussi adorable et agréable tant à jouer qu'à regarder ! Les premiers niveaux sont très (trop ?) faciles et du coup vous accumulez une grosse quantité de vie (60 ou +). Vies que vous pouvez facilement perdre par dizaines dans les derniers niveaux tant ils sont difficiles.. Du coup beaucoup trop difficile pour un jeune enfant même en mode facile. Il faut reconnaître quand même que le jeu a aussi été très bien pensé pour eux puisqu'en mode facile au bout d'un certain nombre de vies perdues, le jeu propose une aide supplémentaire.
Effectivement le jeu fait penser à Donkey Kong pour les voltiges aériennes. Bref, un jeu dans lequel on ne s'ennuie jamais et qui est très agréable par ses décors/couleurs/personnages à choix. Jouable aussi bien par un adulte que par un enfant.
Pour les améliorations, je dirai qu'un peu plus de bruitages aurait été sympa, notamment de la part du Marsupilami (les fameux "Houba Houba"). Et puis gros point faible : la durée du jeu qui est beaucoup beaucoup trop courte !!
C’était sympa. Mais hélas beaucoup trop court… !
Il n’y a pas eu tromperie sur la marchandise : j’ai eu avec ce Marsupilami : Le Secret du Sarcophage exactement ce que je cherchais, à savoir un platformer dans la veine des Donkey Kong Country. Mais je dois tout de même bien avouer avoir été surpris à deux titres : d’abord que le jeu ressemble autant à Donkey Kong Country Returns (sorti sur Wii il y a douze ans), ensuite qu’il soit aussi court.
Qu’il n’y ait pas d’ambiguïté : si je m’étonne, devant ce Marsupilami, de sa ressemblance avec Country Returns – ceci alors même que c’est justement sa vibe Donkey Kong qui m’a poussé à me l’offrir –, c’est bien parce que cette ressemblance s’avère en réalité flagrante sur absolument tous les aspects du jeu :
Sur son gameplay, naturellement : l’essentiel des règles et l’éventail des capacités (avancer, sauter, atterrir violemment, frapper, rouler, bondir avec élan) sont sensiblement les mêmes – ce qui jusque-là n’est pas choquant, j’en conviens. Les pélicans remplaçant ici les tonneaux propulseurs de la franchise simienne, les perroquets assurant quant à eux les appuis statiques, en lieu et place de leurs homologues hiboux. Mais la dynamique (dont on ne se lasse pas au demeurant) est bien la même.
Même constat concernant la poignée de niveaux « à concept » : qu’il s’agisse de celui à dos de tortue marine, de celui dans le noir ou bien des trois poursuites par des grosses boules (je ne sais pas si je vous l’ai déjà dit, mais j’adore les grosses boules – une phrase que je vous remercie d’avance de ne pas sortir de son contexte), tous ont déjà été testés et approuvés chez Donkey Kong. Zéro concept inédit ici.
Tous ces niveaux abritant chacun un niveau bonus – à dénicher puis réaliser – ainsi que cinq items (ici des plumes) à récupérer. Rien de nouveau sous le soleil de Palombie, donc… A noter au passage que les niveaux bonus sont rejouables immédiatement (pas besoin de crever une fois pour retenter sa chance) et que les plumes font l’objet d’un mécanisme intéressant, à savoir qu’elles prennent quelques secondes à être pleinement validées… ce qui invalide de facto les actions désespérées voire suicidaires, telles que le traditionnel saut dans le vide où se trouve la plume, sur le mode « tant pis je meurs, mais bats les couilles frère, je l’ai attrapée ». Eh bien non ! elle ne sera pas enregistrée, et le faquin condamné à s’y reprendre un peu plus dignement.
Les ressemblances se poursuivent jusque dans le pitch (ou devrais-je dire : le fil rouge) : une divinité vaguement précolombienne déboule sans être invitée dans le paisible pré carré de notre héros poilu puis ensorcelle les animaux du coin, provoquant un zbeul pas possible dans le canton. Obligeant par là même ledit héros poilu à lâcher sa grille de bingo et sa canette de bière pour aller botter le cul de l’archaïque désobligeant. Et prouver – une fois de plus – à toute la jungle qui est le patron…
Un pitch similaire qui débouche – vous l’aurez deviné – sur des niveaux aux décors similaires : des plages (sans burkini), des docks (à noter que les Marsus ne savent eux pas nager, contrairement aux gorilles – faut l’savoir, hein, c’est contre-intuitif mais vérifiable), des jungles plus ou moins luxuriantes, des temples et ruines mayas/aztèques (j’y connais rien mais tu m’as compris) et enfin un petit peu de lave en fusion à la fin du jeu, histoire de marquer le coup (c’est de bon ton).
Seul les décors/niveaux de ville côtière me semblent à peu près inédits (à confirmer).
Le tout avec une direction artistique que l’on devine très influencée par Country Returns (sans que ce Marsupilami soit plus joli, d’ailleurs). Notamment en ce qui concerne les niveaux bonus, en ombres chinoises (argument, s’il en fallait encore un, que l’unique source d’inspiration de ce jeu fut bel et bien le superbe Donkey Kong sur Wii) ou bien les musiques (dont les sonorités convoquent parfois les partitions légendaires de David Wise).
(Ironiquement, le jeu ne fait rien de son seul atout vis-à-vis de Country Returns – la possibilité qu’il offre de jouer trois personnages distincts – puisque les trois sont parfaitement interchangeables… il aurait été bon de s’inspirer de Tropical Freeze sur ce coup !)
Ce constat étant posé : ce recyclage de Donkey Kong Country Returns est-il désagréable ? Non ! Loin s’en faut, même. Le jeu est plaisant. Je n’ai jamais vraiment eu l’impression de jouer à un jeu se déroulant dans l’univers du Marsupilami mais qu’importe. Le voyage était agréable.
Limite de caractères JVC atteinte, donc suite de mon avis ici : https://www.senscritique.com/jeuvideo/marsupilami_le_secret_du_sarcophage/critique/272081872
Le jeu est assez maniable et le potentiel de speedrun est franchement grisant. Après il reste très court et parfois difficile pour les plus jeunes (même si un mode vies infinies existe). Sur Switch les graphismes sont superbes (en nomade), et l’histoire et la musique sont vites oubliées.
J'ai beaucoup aimé joué à Marsupilami car les graphismes sont magnifiques, il y a du challenge (les premiers niveaux sont faciles mais au bout d'un moment cela devient compliqué). Je ne me suis jamais ennuyée j'aurais même aimé que ça dure plus longtemps. La musique est chouette. En gros il n'y a pas beaucoup de défauts.