Bonjour,

J'ai fini le jeu tôt ce matin à 5 heures .
Il m'a fallu 27h03 très exactement pour le finir, et oui je suis un explorateur, je fouille les coins et recoins et pourtant j'ai quand même manqué plusieurs " fragments de cartes " .
Pour mon impression, le jeu n'est ni excellent ni trop mauvais, il est juste très bon . Dès que je l'ai commencé, je n'ai pas accroché du tout . Au tout début avant de rentrer dans l’hôpital psychiatrique, j'ai été choqué par certains défauts assez flagrants, qu'ils auraient pu rectifier quand ils ont repoussés la date de sortie . Lorsqu'on avance près des voitures de police, j'ai été à plusieurs fois bloqué par des " murs invisibles " assez désagréable ainsi que les deux gros pots devant la porte principale à gauche et droite qui s'affiche au fur et à mesure de notre progression ...
1er et 2ème chapitre pas terrible ... j'ai tout de même tenté l'aventure étant fan du genre, et que les Survival-Horror ne sortent pas tous les mois ... J'ai moi-même été surpris, car de chapitre en chapitre, The Evil Within a su me surprendre, et me plonger dans ses abysses cauchemardesques, j'y ai pris goût à partir du 3ème chapitres, où nous sommes un peu plus libre dans nos mouvements et environnements . Nous ne sommes jamais tranquille, il y a toujours cet état de survie . On pense pouvoir " imaginer " la suite des événements mais impossible car The Evil Within joue avec vos nerfs, toujours en quête de vérité, même quand on pense détenir des pièces du puzzle, rien ni fait on n'est encore loin d'imaginer à quoi nous attendre . Quelques clins d’œils à Resident Evil 4 comme pour le chapitre 12 par exemple ( No Spoil ) Mais même, je trouve que The Evil Within a son univers et ne ressemble au fond à aucun autre jeu ! Même si il y a quelques similitudes à Silent Hill également .
Pour conclure, je dirai dommage, oui, dommage que The Evil Within n'ait pas été crée huit ans auparavant, pour les graphismes déjà, mais aussi que pour moi il est déjà culte avec ses endroits et boss bien marquants .

Merci Shinji Mikami !

Je suis très mitigée concernant ce "Evil Within",car, contrairement à ce que j'ai pu lire un peu partout, tout n'est pas reluisant. à commencer par cette réalisation honteuse : textures baveuses, clipping, et saccades même quand on est seuls à l'écran. Ensuite, arrive cette visée incroyablement mauvaise (surtout avec le revolver) qui rend la possibilité de faire des head shots presque hasardeuse (du coup on s'y risque très rarement). Vient ensuite cette linéarité abrutissante : alors que dans un survival, on est quand même habituée a évoluer dans un environnement prédéfini, à trouver des objets permettant de déverouiller de nouvelles zones, etc, la on ne fait qu'avancer, tirer, se planquer, avancer, tirer, etc. on est sans cesse interrompu par des cute-scenes parfois totalement inutiles, si ce n'est pour nous sortir de notre immersion. on est balancé d'une zone a l'autre à n'importe quel moment.. bref du grand n'importe quoi.

mais tout n'est pas à jeter dans ce Evil within, bien au contraire : déjà, LE JEU FAIT PEUR ! on avance parfois à reculons quand une zone semble trop calme, car l'ennemi guette tjr un peu. les combats de boss nous mettent une pression de malade, car ils demandent souvent de prendre ses jambes à son cou, et le cha-design est assez inspiré (hum, silent hill ? ) et puis surtout (et ce n'est pas négligeable), c'est un survival horror, tout ce qu'il y a de + survival, les munitions sont distribuées au compte goutte, et quand on gaspille une balle à cause de cette p* de visée, on s'en mort les doigts.

bref, ce qui ressort de evil within selon moi, c'est une immense déception : celle d'avoir raté le coche du meilleur Survival horror de tous les temps. je ne sais pas ce que vaut le jeu sur Next gen, mais en tout cas ,c'est mon avis pour la version PS3

Me voilà ravie de mettre enfin la main sur un Survival, digne de ce nom, après l'attente d'une réalisation, longuement sollicitée, par le maître du genre, Shinji Mikami.
Car bien sûr, nous l'attendions tous, après la descente en flèche de la saga Resident Evil depuis l'abandon de son papa.
Certes, il me parait essentiel de comparer les deux jeux, tout le monde je pense a fait le rapprochement, et il n'est pas des moindre d'ailleurs, si seulement le scénario suivait.
J'y reviendrai plus tard, en attendant, The Evil Within, avec un trailer à couper le souffle, promettait un moment d'angoisse absolue, et il a tenu sa promesse, du moins, seulement sur ce point.

Après quelques heures de jeu, mes attentes en matière d'horreur ont été assouvies ; des endroits glauques, sinistres, sur fond de musique classique. Une angoisse perpétuelle, presque palpable, de nombreux sursauts… et un antagoniste remarquable ; Rubik, seul personnage abouti selon moi, possédant le charisme et la prestance d’un vilain digne de ce nom.

J’en viens ainsi à faire une parenthèse sur les personnages ; tout d’abord, Sebastian Castellanos, caricature du flic alcoolique (ça encore, ça peut passer), à la recherche de réponses. Euh, non, en fait… Il ne semble pas se préoccuper de ce qu’il peut se passer autour de lui. Son passé reste très flou, tout au long du jeu, malgré les diverses coupures de journaux/brochures que nous trouvons un peu partout dans les lieux sinistres où nous atterrissons.
Une lourdeur et une absence de personnalité me font regretter très vite ce personnage principal indigne d’intérêt… Tout comme les autres personnages tout aussi inutiles (Joseph et Kidman, qui ont encore moins d’intérêt qu’Ashley Graham, selon moi, cf RE 4)
Bien sûr, les questions se posent très vites. (Que font-ils ici ? Que se passe-t-il ? LESLIE, POURQUOI TU COURS ?!) mais les réponses n’arrivent jamais. Certes nous passons d’un endroit glauque à un autre, d’une forêt à un abattoir, puis des catacombes à un asile psychiatrique (qui réapparait plusieurs fois afin de sauvegarder auprès d’une dame étonnement calme malgré les circonstances…). Cette diversité des lieux à la possibilité de ravir le joueur, ou bien de l’énerver.
En ce qui me concerne, cela m’a plutôt énervée, dans la mesure où tout cela paraît absolument normal pour Sebastian, qui se contente de bribes de phrases qui constituent de pauvres dialogues :
(-Joseph, descend.
-Non, c’est trop haut. [Silence] Oh, attends, il y a un passage.)
Répliques très semblables à une mauvaise série B, sans compter que Sebastian ne possède pas non plus de répartie, ce qui lui permettrai de prendre la situation un peu plus à la dérision…
Mais qu’importe, si le scénario n’intéresse apparemment pas les joueurs qui ont noté ce jeu (ou bien je n’ai rien compris), je me pencherai alors dans une petite note sur le gameplay ;
Le personnage est lourd, difficilement contrôlable, et malgré les aptitudes modifiables à l’aide de liquide cérébral, je n’ai pas eu l’impression de voir de quelconques améliorations.
Concernant les boss cependant, je dois admettre qu’ils sont plutôt coriaces, pour notre plus grand bonheur (ou malheur, boss du chapitre 14 insupportable…) mais je mettrai un point d’honneur au boss de fin, qui se résume à être stupidement vaincu à l’aide de manipulations joystickables, si l’on peut dire ça comme ça… Et je dois dire que même Alexia et son canon à ion dans RE Code Veronica m’a donnée plus de mal.

Revenons à présent sur [l’absence] de scénario, malgré un petit espoir lors du chapitre 9 (sans spoiler, je dirai simplement que j’ai été ici agréablement surprise de reconnaître un endroit qui a sans doute ravi les amateurs de Mikami), j’ai néanmoins perdu toute espérance lorsque l’intrigue est redevenue plate, et, arrivée au dernier chapitre en songeant qu’une révélation aurait peut-être finalement lieu, je suis restée (désagréablement) surprise de la fin. Une fin dénuée de sens, qui m’a plus que refroidie.

Je cherche encore actuellement une explication, et je passe une annonce générale afin de comprendre ne serait-ce qu’un minimum…
Pour terminer cet avis, je donnerai donc un grand encouragement à Mikami, mais aussi un gros coup de pied aux fesses, en lui souhaitant de surtout faire beaucoup mieux la prochaine fois, et ce ne sera pas tellement difficile de faire pire, en tout cas.

Testé sur PS3... Déçu. Même pas fini, tellement je m'ennuie. J'ai pas peur, c'est pas beau (les textures sont ignobles, et parfois apparaissent en retard), mal fichu (IA, caméra, visée...).
Ok, l'ambiance et le gore sont présents et la durée de vie semble correcte. Mais ça ne rattrape pas les erreurs disséminées ici et là, gâchant par là même le plaisir de jeu.
Passez votre chemin!

the evil within fait peur vraiment!!!!! on a enfin un survival horror digne de ce nom par rapport a re5 ou re6 mais que j'ai tout de même aimé même si ils sont tournés plus vers l'action.Sa fait longtemps que je n'est pas joué a un jeu qui me fait stresser a chaque minute et pour moi c'est le survival horror que je préfére aujourd'hui le petit bémol: pas mal d'aliasing et clipping mais sa ne me dérange pas plus que sa la version ps3 peut en sortir fier même au niveau des graphismes

The Evil Within est un bon jeu, mais sujet à beaucoup d'avis qui se confronte les uns aux autres. Pourquoi? Car tout ce qu'il y a eu autour du jeu était faux.

J'ai commencé à m'intéresser au jeu à partir du Projet Zwei, oui, il promettait du lourd ce jeu. Au fil des trailers j'ai vu mon inquiétude grandir, pour finalement me rendre compte que non, The Evil Within ne sera pas le jeu qu'on nous avait promis.

La durée de vie est tout à fait correcte, en premier run, 14/15 heures de jeu sont à prévoir (en incluant les cinématiques bien sur), la rejouabilité, elle par contre, est dans les choux, on accepte de faire le jeu plusieurs fois pour les trophées, mais pas pour notre bonheur personnel, à la limite, on attaque le mode Akumu, mais c'est un mode de difficulté qui n'est pas à la portée de tout le monde, ce n'est absolument pas un jeu auquel on joue sur la durée, une partie nous suffit, il y a des collectibles à récuperer, et des morceaux de cartes (très intéressante comme quête *ironie*) à récupérer.

Je vais m'attarder sur la difficulté du soft, mais malgré les dires de beaucoup de joueurs,TEW n'est pas dur du tout, il est accessible à tous, que ce soit en détente ou en survie, j'ai fait ma première partie en survie, je n'ai jamais été bloquée, je n'ai jamais galéré sur un boss, je n'ai jamais manqué de soins, ou de munition, à défaut, le jeu propose de nombreux bugs in game, qu'on finira par remarquer uniquement en Akumu (quelle bonne idée...), le canon du pompe qui passe à travers les mobs donc quand on tire, la balle passe à travers le mob, des bugs de collisions, des bugs de textures, du tearing énorme qui peut prendre tout l'écran, oui, le mode Akumu est une épreuve, mais pas à cause de sa difficulté, mais à cause du jeu lui-même.

L'histoire quant à elle est très intéressante, les personnages hormis Sebastian sont bien trop peu développés, mais l'histoire globale est sympathique à comprendre, même si je n'accepte pas que des zones d'ombres de l'histoire, étant obscure VOLONTAIREMENT par les dev' soit en fait une excuse pour pouvoir faire passer des DLCs. Les développeurs ont ainsi fait exprès de faire une histoire avec de grosses zones de trous, pour en profiter pour nous prendre par derrière, bref, je ne trouve vraiment pas ça très sympathique. A savoir,que l'histoire est simple à comprendre, seule les zones d'ombres posent problèmes à la compréhension. Même si lors de notre premier run, on a du mal a comprendre, l'histoire est volontairement hachurée et peu compréhensible, on finit par mieux la cerné à partir du chapitre 9.

Le point dérangeant: Les graphismes. J'aime pas forcément passé par cette case de notifications, étant donné que en général, je me fous des graphismes! En effet, j'aime des jeux complètement à la ramasse techniquement et graphiquement parlant, mais... The Evil Within a la palme je crois bien. Décors qui pop, même lors des cinématiques! Même dans les JRPG de niche où les décors sont absolument hideux et la technique à la ramasse, ils ne font pas pop les décors au cours des cinématiques. Modélisation des visages trop souvent à la ramasse. Heureusement que la patte graphique et le level design (bien que trop peu compréhensible) sont corrects.

Quand j'ai fini mon premier run, j'avais décidé de lui mettre 15/20, qui est une note qui correspond bien au mode survie. Mais entre temps, j'ai attaqué le mode Akumu (j'aime pas faire des notations si c'est pas pour parler de tous les add-ons que le jeu propose), le mode Akumu que j'ai commencé par beaucoup apprécié, les chapitres 2 et 3 sont excellent, j'ai dû changer ma manière de jouer, et passer en furtivité, mais une fois le chapitre 3 fini, on récupère des armes bien puissantes, et c'est redevenu le jeu bourrin que j'ai connu en mode Survie, j'ai été très déçue de voir que même en difficulté max, on nous obligé a passer par la case "Boom Boom".

A la base, je savais pas trop à quoi m'attendre. Pis là je lance le jeu, et... wouah..

C'est tout simplement un des meilleurs jeu auquel j'ai joué depuis des années. C'est un des rares jeu qui a réussi à me "prendre". J'ai tout de suite été dedans, j'y ai joué toute la journée, j'y pensais encore la nuit... (ouais carrément)

N'étant pas quelqu'un d’ordonné (mais alors, pas du tout) Je vais honteusement plagier l’ancien système de notation de JVC, afin d'essayer d'ordonner un peu tout le bordel que j'ai à dire.

Graphismes 11/20 : Ho bordel... je vais pas y allez par 4 chemins (et d’ailleurs, vous êtes surement déjà au courant), mais c'est laid. TRÈS laid. les décors qui mettent 3 plombes a s'afficher, les texture sont floues ou parfois tout simplement moches. Les personnages et autres saloperies de créatures, sont, par contre, très bien modélisées.

Jouabilité 16/20 : J'aime bien la jouabilités de ce jeu, pour une seule et bonne raison. j'adore resident evil 4. Et j'y ai tellement jouer que je me suis habituer à la maniabilité de tank de Léon. Du coup, j'ai aucun problème à diriger mon personnage. Mais je comprend que certaine personnes aient du mal avec.

Durée de vie --/20 : Peut pas trop dire, j'en suis qu'au chapitre 7. Mais connaissant ce vieux filou de Shinji Mikami, je suis sur qu'il y aura des armes et des modes de difficultés à débloquer.

Bande son 17/20 : Classique, mais pas mauvais. les armes, zombies, et autre trucs du genre font de très jolis bruits (pour des zombies), et les musiques sont particulièrement douées dans l’art de te mettre mal à l'aise.

Scénario : 18/20 : Je n'ais pas fini le jeu, je ne connais pas encore le fin mot de l'histoire, et pour l'instant, les informations sont distribuées au compte goutte. Mais je suis vraiment intéressée de savoir la suite.

Je sais pas trop quoi dire? Je suis déçu de toute ses critiques négatives sur le jeu. Pour moi, c'est le resident evil 5 qu'on aura jamais eu. (enfin, on l'a eu, mais....)

Ne comprend le gens qui mettent 2 ou 4 il critique alors qu il ne savent même pas faire un jeux android et ils parle pathétique ce jeux est très bien même si les graphismes ne sont pas les meilleurs le jeux reste exelent frayeur horreur gore etc est au menus alors foncer.

après avoir fini le jeux deux fois,l'impression que celui ci me donne est d'avoir était fait par des amateur,alors certes des amateur remplis de bonne intention,mais il en résulte un jeux qui se perd dans plusieurs directions sans finalement retrouver le bon chemin.

la technique du jeux est très faibles,aliasing,clipping texture floue voir baveuse,bandes noires inutile et genante pour certain mais par chance tout ça est un peu rattraper par une direction artistique inspirer.

pour l'histoire la aussi c'est pas folichon,le postulat de base est intéressant,mais on devine bien trop vite les aboutissant du scénario ce qui rend les revelations faite dans le jeux inintéressante,les scénariste ce sont a mon avis eux même perdu vu les trop grande zone d'ombre laisser par le jeux ainsi que certaine incohérence mal venue,n’espérer pas non plus grand chose des perso qui sont pour la plupart insipide.

le gameplay ne s’en sort pas mieux,décevant pour ceux qui veule retrouver les sensations des silent hill qui privilégier l'ambiance a l'action,la fuite au combat,est oui rien de mieux que beaucoup d'action dans un survival horror pour sortir de l'ambiance.
pour ceux voulant retrouver le plaisir de RE4 a dezinguer du monstre a la pelle la aussi seront déçu vu que malgré la surenchère d'arme la faible quantité du munition incite les joueur a tout conserver pour les boss
on se retrouve finalement tres vite avec un gameplay relativement intéressant les première minute mais qui deviendra au fil du jeu fade.

pour conclure je dirais que le jeux est moyen,ni bon ni mauvais,un jeux qui ne tient pas ses promesse et qui ne deviendras certainement pas culte,ajouter a cela une bande son pas mémorable pour un sou.
un jeux a prendre d'occasion si on est fan de survival horror mais certainement pas neuf

Bon...2 heures de jeux. Il est pas mal, peut être un peu trop de ramdam autour. bonne ambiance. Par contre, POURQUOI cette vue hideuse ? on voit rien !!! a niveau la, autant faire un jeu a la premiere personne, parce que le personnage qui bouffe la moitié de la vue, en plus du cinemascope, c'est dur ! et franchement, le coup de devoir casser des caisse, c'est reloud ! je vais continuer, mais la premiere impression n'est pas terrible.

(PS3) Un jeu somme toute moyen fait pour les amateurs du genre et les chevronnés du jeu vidéo.

Le truc qui m'a le plus marqué est la difficulté du jeu: les ennemis sont rapides, assez malins, on a un personnage très faible: pas de vie, de force, d'endurance. Et les munitions sont très rares.
Ceci fait qu'on meurt très souvent, avec un fort sentiment de frustration, en particulier au début du jeu.

Autre point noir: le scénario et la logique. Le scénario est très flou (voire inexistant), il y a peu de lien entre les chapitres, et ce jeu manque de logique: notre personnage ne peut attrapper un bout de bois ou de métal pour frapper les ennemis, réutiliser une arme ou des munitions des ennemis, sauter ou grimper.

Ce jeu donne l'impression de devoir tuer des ennemis pendant une grosse quinzaine d'heures avec un minimum de ressources, sans aucune notion de plaisir.
Graphiquement, c'est très moche (on se croirait parfois sur PS2), peu de musiques mais l'ambiance générale d'horreur est bien représentée.

Je conseille donc ce jeu aux fans de challenge, de difficulté, les autres passez votre chemin.

Mon petit coup de coeur de la fin d'année!

J'attendais ce jeu depuis le premier trailer, j'en attendais donc beaucoup!

J'ai la version PS3 (et j'ai pu tester la version PS4 aussi)
Clairement, le jeu est à la ramasse niveau graphisme sur PS360, en revanche sur PS4 le jeu est plus beau, plus fin, plus fluide.

Le scénario, rien de bien folichon mais qui se laisse apprécier tout de même!
La durée du jeu est juste parfaite! Très long, assez dur (mais pas non plus sadique) la rejouabilité est aussi très présente.

Bande son génial, voix françaises bonnes même si la VO est bien plus immersive.

Bref, pas la claque ultime, pas le survival horror qui va remettre tout le monde d'accord, mais au moins un bon jeu, honnête, qui à été développé pour faire vraiment plaisir au fans du genre.

Merci Mikami! J'ai pris mon pied, et je l'ai même platiné!
Mode Akumu... J'ai failli exploser ma manette plusieurs fois! x)

The Evil Within est un jeu vraiment excellent, une expérience à faire. Rarement un jeu n'a réussi à jouer aussi bien sur l’ambiance, qui plus est malsaine. Le bestiaire vaut carrément le détour et surprendra nombres d'entre vous. Le côté faire attention aux munitions / infiltration est aussi bienvenu. Le jeu n'est pas exempt de petit défaut, le pathfinding est effectivement au fraise, et les temps de chargement franchement longs.

Avec ce jeu, j'ai retrouvé des sensations de peur que je n'avais plus ressenti depuis un moment !
J'appréhendais tout du long ce qui pouvais m'arriver, je n'étais pas en mode "promenade, il ne peut rien m'arriver", car on nous maintien dans une situation de stress de par son ambiance sinistre (bande son comprise) mais aussi pour les combats : on ne nous donne pas des tas de munitions à ne plus savoir quoi en faire. Il faut savoir user de la furtivité.
L'un des gros points fort de ce jeu selon moi : le scénario. Si les dialogues ne sont pas très glorieux, l'histoire en elle même est intéressante et assez complexe. Disons qu'on nous donne pleins d'éléments par ci par là et qu'à la fin il faut savoir reconstituer le tout. Les notes éparpillées dans le jeu par exemple, ne sont pas du tout là pour faire tapisserie ! Elles apportent réellement un complément d'informations. Donc en ce qui me concerne, au fur et à mesure que j'avançais dans les chapitres j'avais hâte d'en savoir plus, notre antagoniste Ruvik est selon moi un personnage très intéressant.
Ce jeu a bon degré de difficulté. Il y a un certain passage où j'ai dû recommencer et recommencer car je ne voyais pas ce qu'il fallait faire et ça m'a fait plaisir dans un sens car ça m'a rappelé quand je galérais pour les vieux jeux plus difficile que ceux d'aujourd'hui. Rien d'insurmontable bien sûr mais j'apprécie quand on ne cherche pas à rendre tout ultra simple pour ne pas frustrer le joueur...
Globalement c'est du bon et ça mérite des encouragements!

Shinji Mikami revient au commande d'un survival-horror après presque dix ans d'errances dans le genre. L'un des précurseurs du survival-horror tente ici avec The Evil Within un retour aux sources en matière de jeu horrifique. Ok, seulement il faut tout d'abord remettre les choses à leur place.

TEW n'est en aucun cas le renouveau du survival-horror. Cependant tout les codes s'y trouvent. Ambiance visuelle gore et sonore glauque, pénurie de munitions, bestiaire ainsi que le level design rendent le tout malsain et stressant. La peur dans ce jeu reste bien sûr subjective.

Toutefois, il faut bien reconnaître que le dernier née de Mikami remplit pleinement son office. Alors certes, graphiquement sur PS3, c'est quelconque. Mais si on est pas exigent, on s'en accommode. Ceci nous amène donc aux fameuses bandes noires, choix des dévs qui peut à la fois surprendre et déranger. Dérangé dans le sens ou parfois la caméra se situe mal par rapport à l'action. Le gameplay rappellera celui d'un RE4 avec TLOU en un peu plus lourd sans être handicapant.

Concernant la durée de vie entre 15 et 20h en mode survie (normal)et il faut souligner que le soft possède vraiment une petite dose de challenge. On pourra au fil du cauchemar ramasser divers gels vert qui permettront d'up-grader Sébastian sur une chaise à priori pas faite pour y jouer en réseau. Un parti prit qui offre une autre dimension au gameplay et à l'ambiance tordue.

Pour ce qui est du scénario, il ne vaut mieux pas trop s'y attarder tant Itaru Yokoyama devait en tenir une belle durant l'écriture...

Enfin, on peut supposer que The Evil Within est déjà devenu un classique parmi le genre survival-horror malgré certains pompage d'oeuvre vidéoludique du même genre ainsi que de ceux du domaine cinématographique.

Alors oui, il n'est pas exempte de défauts loin de là (un peu trop d'action par moment). Il ne révolutionne pas grand chose non plus. Mais il reste un BON jeu et un bon survival-horror surtout au prix de base.

Bref, si le genre ne vous rebute pas. Laissez-vous tenter, il y peu de chance que vous soyez déçu.