Ce jeu est une merveille.
L'univers est magnifique, la difficulté bien dosé. l'IA est trés bonne.
un plaisir comme seul bethesda peut nous le donner, ou presque

Un peu déçu par se deuxième opus. Je m'attendais à pouvoir switch avec les personnages au lieu de ça on nous propose de faire le jeu de deux façons différentes. J'ai donc choisi de jouer Emilie non seulement pour changer mais aussi car son gameplay semblait plus intéressant. Le jeu est plutôt amusant mais trop facile si on ne sait pas les contraintes de ne tuer personnes ou le moins possibles et d'être discret . Même comme ça en rushant la possibilité de faire des runes on devient vraiment balèze. En tout cas le jeu m'avait tellement soûlé dans un niveau celui des tempêtes de sables (trop long comparé aux autres) que j'ai quitté le jeu je l'ai réinstallé deux années après et finalement je suis tombé sur le meilleur niveau, dans lequel on peut voyager dans deux époques différentes mais dans le même monde.
Il vaut la peine d'être joué même si je préfère le 1.

Étant moi meme développeur indépendant je me dois de dire bravo a l'équipe de Dishonnored pour avoir été en mesure de nous démontrer qu'il est encore possible aujourd'hui de réaliser une seconde partie de ce jeu.

Lourd, chiant, répétitif, framerate dans les choux, j'ai arrêté le jeu après le manoir mécanique qui a eu raison de moi. Les seuls points positif, la direction artistique, l'IA, les combats en mêlée, le reste m'a littéralement emmerdé.

version ps4 pro , manque des textures et détailles. par exemple sur le personne qui ouvre la porte , c est flagrant sur son coutume , épaulette , les médailles et ........ https://www.youtube.com/watch?v=brmIVUVT9I4 version pc https://www.youtube.com/watch?v=9K0Es4tIimU encore un jeu soi disant optimisé sur ps4 pro autrement fonctionne très chez moi a 60 ips fxaa sans bloom a la con avec une gtx 970 oc

Esthétiquement rien à redire. Les différentes possibilités de gameplay sont assez jouissives. Son seul défaut à mon sens est l'absence totale de New Game Plus ou la possibilité de rejouer le niveau de notre choix. Il faut refaire le jeu plus de deux fois pour le finir vraiment à 100% ce qui à mon sens est trop (2 fois ok plus c'est de l'abus juste pour accroître la durée de vie). Il mérite un bon 15 ou 16 mais le manque de NGP n'est plus acceptable sur ce genre de jeu aujourd'hui donc un 12 me semble plus justifié.

❤ Public visé ❤

☑ Débutant

☑ Joueur occasionnel

☑ Joueur normal

☑ Expert

☼ Graphismes ☼

☐ Mauvais

☐ Passables

☑ Très correctes (la DA est bonne mais techniquement c'est un peu faiblard, comme pour le premier)

☐ Beaux

☐ Fantastiques

♬ Musique ♬

☐ Mauvaise

☐ Passable

☑ Bonne

☐ Très bonne

☐ Fantastique

☠ Difficulté ☠


☐ Facile

☑ Moyenne

☐ Facile à apprendre / Difficile à maîtriser

☐ Difficile

☐ Totalement injuste

§ Bugs §

☐ Ruinent l’expérience

☐ Nombreux

☑ Quelques-uns

☐ Aucun rencontré

☯ Histoire ☯

☐ Aucune

☐ Mauvaise

☑ Correcte

☐ Très bonne

☐ Incroyable

⚔ Gameplay ⚔

☐ Frustrant

☐ Pauvre

☐ Lourd

☑ Original

☑ Accessible (toujours aussi jouissif)

☐ Difficile

۞ Durée de vie ۞

☐ Très courte (0-3 heures)

☐ Courte (4-8 heures)

☑ Quelques heures (10-20 heures)

☐ Longue (40-60 heures)

☐ Très Long (61-100 heures)

☐ Gigantesque (100+ heures)

☐ Présence d'un mode multijoueur

$ Rapport qualité/prix $

☐ Achetez au prix fort
☐ Attendez les soldes

☐ N’achetez pas

☐ Faites vous rembourser si possible
☑ Non évaluable à ce jour

Super jeu , rien à dire il est dans mon top 3 des meilleurs sorties 2016 !
Gameplay , graphismes , ambiance avec une histoire prenante .
La note de 18 est logique pour ma part .

L'ambiance est là, la difficulté doit peut être vu à la hausse
j'ai fini le jeux en très difficile en 10h en mode bourrin sans pouvoir.
Donc je me dis que si j'avais pris les pouvoirs ça aurait sans doute été plus simple.
Enfin j'ai quand même hâte de le refaire sans me faire repérer et tuer personne =3

J'ai honte de le dire, moi qui suis, à l'image de M Montebourg, un fervent défenseur du "acheter Français", mais je n'ai pas trouvé que ce jeu méritait un 19 au test, non vraiment, non-obstant les efforts évidents de l'équipe des développeurs, Déshonored 2 n'est pas une bonne suite.
D'abord la répétition des situations par rapport au premier, le manque d'évolution technique et graphique, en suite le même défaut qu'avant, à savoir l'extrême facilité du jeu!
Dans le même ordre d'idée, le senard qui ressemble au DLC de "the Witcher" et les situations à la Deux Ex, teinté de "Thief". Ça manque d'originalité!
Sinon les persos que l'on croise sont très moches, des mains immenses et des têtes de benêts.
Ça leurs fait une personnalité!
Si la seule originalité de cet opus est la présence de la fille de Corvo en perso jouable (je devrais dire, re-jouable, car c'est la même pour papa et sa fifille), ça fait pas lourd face à d'autres titres contemporains.

Bof.
Attendu comme le "jeu de l'année", produit par Bethesda qui m'avait régalé des Elders Scrolls depuis 20 ans, j'attendais beaucoup de ce soit-disant bijou qui avait bluffé la communauté gamer à l'E3, et dont la jaquette annonce "voté GOTY plus de 100 fois".
Tu parles.
D'abord c'est moche! Mais moche! Les textures n'ont rien de génial face à des jeux moins récents, et les personnages sont juste immondes. Emily ou Corvo n'ont pas le charisme d'une huître, aucune expression faciale, et le lip-sync est juste dégueulasse. Je sors de Rise of the Tomb Rider, et j'ai l'impression de retourner sur Oblivion. En 2016, c'est juste hallucinant.
Les PNJ ont toute la grâce d'un cochon sur une plaque de verglas, tournent à angle droit dans les virages, et n'ont aucune expression.
Quant à l'optimisation... se voir attribuer des options graphiques "faibles" avec un ROG dernier cri (i7, 32 Go de RAM et une GTX 980 M) ça fait mal.
Aucune quête secondaire, une durée de vie de 25h max, et aucune envie d'y rejouer. Après Witcher 3, ce jeu est nanardesque.

Rendez moi mes 40€, que je les dépense sur un jeu valable.

Dishonored 1 en mieux, sur tout les aspects, gameplay comme level design en passant par les graphismes, l’univers, la musique. Bref un grand jeu comme on en fait rarement

Ayant joué au premier opus de la série, j'en attendais beaucoup de la part de celui-ci. Et comment dire qu'il à répondu à toute mes attentes. Tout d'abord la palette graphique du jeu est tout bonnement incroyable, quand on voit la façon dont sont faits les visages, les proportions du corps de chaque personnage, on sait directement que c'est un Dishonored. Le gameplay est très simple à prendre en main et très intuitif, vous permettant d'aborder plusieurs style de gameplay, rush dans le tas ou alors s'infiltrer, avec ou sans pouvoir selon votre choix, cette option ajoute une rejouabilité du titre exceptionnel. Je n'ai qu'un mot à dire mon jeu préféré de tout les temps !

Suite réussie, plus complète et plus longue, Dishonored 2 nous propose d'incarner à nouveau Corvo, ou sa fille Emily, pour empêcher une usurpatrice de monter sur le trône de Dunwall. Le scénario, pour ma part moins profond que dans le premier jeu et surtout prétexte à enchaîner les missions, emmène donc le joueur sur le territoire de Karnaca, territoire plus ensoleillé rappelant Cuba et les Antilles, de par son architecture et son ambiance un peu plus chaleureuse. On reste pour autant sur une histoire sombre mêlant répression militaire, des bidonvilles côtoyant des palaces, les dangers de la Peste étant ici remplacés par une épidémie de mouches de sang, plus nombreuses en fonction de victimes létales que fait le joueur.
Le but de ce jeu sera donc récupérer des informations au cours de missions faisant découvrir des environnements variés, vivants, et très soignés, tant en intérieur qu'en extérieur, laissant libre cours à un gameplay ouvert, que ce soit en terme d'approche furtive (notamment grâce à la très bonne construction verticale des niveaux) ou de massacre dans tous les sens grâce aux différents pouvoirs et armes.
Dans chaque niveau, le joueur aura toujours une cible à éliminer, à lui de décider de quelle façon, cela ayant une légère influence sur le dénouement final de l'histoire.
En gros, on reprend donc exactement la même recette que le premier jeu et on recommence, les grosses nouveautés étant les pouvoirs d'Emily, quelques customisations d'armes, et l'environnement.
Peu de nouveautés en soi donc, mais toujours un gros plaisir à jouer, les pouvoirs, améliorables dans un arbre de compétences grâce aux runes récupérées, donnant un sentiment de puissance impressionnant et permettant au joueur de planifier avec soin chaque action.

Au milieu de cette industrie vidéo-ludique gangrenée par le formatage et la standardisation, Dishonored 2 fait figure d’exception. Un jeu AAA qui ne tombe dans les travers de son statut. Un jeu "fermé" plus ouvert et permissif que 90% des Open Worlds que nous inflige le marché. Des choix moraux résultant de notre manière de jouer et non pas de grossières décisions amenées abruptement. Un Gameplay absolument parfait en tous points, stimulant l'addiction à un jeu dont la rejouabilité est au cœur de la matrice, elle en est même le concept. Dishonored 2 ne se fait pas. Il se refait. Une fois, deux fois, trois fois, dix fois, à l'infini. Ici l'exploration est vaine car elle casse le principe même de l'oeuvre. Mieux vaut faire dix fois un niveau en ligne droite mais en empruntant des voies différentes que de tout découvrir lors d'une première partie exploratoire cassant l'effet de surprise de découvrir des nouveaux accès dans un niveau déjà connu.
Certes le scénario est simpliste mais la galerie de conspirateurs hauts en couleur (fort bien caractérisés) compense cet inoffensif écueil.
Dishonored 2 est un jeu à l'ancienne mais dont la modernité et le gameplay, plus que jamais émergent, illumine un marché se complaisant dans la facilité et la réitération infinie de formules usées jusqu'à la moelle. Si il peut souffrir de la comparaison avec le premier Dishonored au niveau des assassinats, beaucoup plus en retrait et moins permissifs (si le premier Dishonored s'inspirait de Hitman Blood Money, D2 lorgne clairement plus du côté d'Hitman Absolution), D2 reste une merveille inespérée et une perle que les joueurs, à mon sens, ne chérissent pas assez.

Et il s'agirait de s'en rendre compte avant qu'il ne soit trop tard, bordel.