Je viens de finir le jeu à l'instant en à peu près 15 heures de jeu, ce qui est honorable mais un peu décevant. C'est d'ailleurs le principal défaut de ce jeu : on reste sur notre faim. J'ai eu beau essayer le plus possible de ne pas tuer mes ennemis ou de ne pas me faire repérer, de ramasser toutes les runes et charmes d'os, d'explorer la zone le plus possible à la recherche de trésors et autres bonus, on progresse néanmoins très rapidement dans le jeu.
Quant à lui, le monde ouvert et libre qu'on nous promet n'est finalement qu'un minuscule terrain de jeu avec une ou deux missions secondaires. De plus, la ville est vide, quasiment aucun personnage amical ou neutre ne jalonne les rues de Dunwall et ce manque de vie (justifiée in-game par le couvre-feu) va considérablement se faire sentir.
Le scénario ne fait qu'ajouter à la linéarité du jeu par son aspect très prévisible et les dialogues des personnages beaucoup trop concis, qui se contente bien souvent de nous donner les détails de notre mission, qui elle ne dépasse rarement le cycle 1. S'infiltrer dans une zone, 2. Se débarrasser de la cible et 3. Rejoindre le bateau et s'enfuir.

Heureusement, le jeu a aussi des qualités. Déjà, l'ambiance visuelle et sonore est très réussie, la ville est très convaincante et ce qu'on apprend on lisant ou en écoutant le peu de PNJ du jeu ne va que renforcer cet aspect réaliste.
Ce qui rend le jeu aussi bon est son gameplay, ou plutôt sa diversité de gameplay. Qu'on choisisse d'être un bourrin au pistolet, un assassin silencieux ou même un infiltré pacifiste, tous les moyens sont bons pour accomplir la mission. Les objectifs secondaire apportent quand même du piment au jeu en nous donnant des possibilités supplémentaires. Ces possibilités sont encore accrues par le choix des armes et des sorts, que vous allez encore une fois adapter à votre style de jeu. Pouvoir se téléporter derrière une cible, la tuer pour ensuite ralentir le temps et décocher un carreau d'arbalète dans la tête de son ami avant qu'il ne puisse réagir est tout simplement jouissif. Vous auriez pu tout aussi bien faire la même chose en étranglant votre première cible et endormir la deuxième à coup de flèches anesthésiantes. Et ce n'est qu'une solution parmi d'autres.

En conclusion, Dishonored est très correct et, malgré sa facilité, plaira à tous les fans d'infiltrations et d'assassinats. Malheureusement, le monde beaucoup trop fermé et le scénario linéaire viennent ternir ce titre auquel l'ambiance et le gameplay apportent la seule originalité. Un bon jeu, mais qui ne marquera surement pas les esprits.

19/20 est une note évidemment beaucoup trop exagérée. On voyait bien dans les vidéos de JVC que le chroniqueur adorait le jeu avant même de l'avoir eu en mains de bout en bout et que cela a influencé négativement son jugement. Dommage.
Dishonored a de réelles qualités mais reste trop superficiel. Je m'explique. Rien à redire sur les graphismes et l'ambiance styliste du jeu : Dunewall est une ville extraordinaire qui possède son charme macabre très bien rendu. Rien à redire non plus sur les bruitages, ni les voix, ni l'IA. Rien à redire toujours au sujet de la rejouabilité et de la liberté du joueur, véritables piliers de plaisir pour Dishonored.
Là où le jeu pêche, en revanche, c'est dans sa paresse. Le scénario, au départ une bonne idée mêlant société industrielle, peste, complot et fantastique, aurait pu être excellent mais par une sorte de fainéantise, on se retrouve avec une histoire courte (seulement 9 niveaux finis en 15 heures), banale, stéréotypée et peu fouillée. De même, trop peu d'armes et de pouvoirs sont proposés. Une arbalète, une épée et un pistolet, ce n'est pas assez.
En conséquence, Dishonored est un excellent jeu, avec de réels atouts, qui aurait pu atteindre le Panthéon des jeux vidéos. Hélas son manque de profondeur scénaristique, le peu de niveaux proposés et le manque de variété des armes et pouvoirs l'empêchent de devenir un monument. On en gardera tout de même un souvenir ému : une expérience à tenter, quoi qu'on en dise.

Très bon jeu pour 2012, même si les graphismes semblent plus anciens, mais on s'y fait.
Il manque cependant quelques fonctionnalités utiles comme refaire les missions avec le maximum d'aptitudes obtenues, même si ça ôterait un certain challenge...
Bref, très bon jeu à tester !

Excellent jeu, les musiques sont sublimes, les graphismes le sont tout autant, l'univers est bien sombre et les niveaux intéressants, les choix se font vraiment ressentir et on prend plaisir à refaire les niveaux en changeant de mode opératoire

Dishonored est un très bon jeux dans l'ensemble, graphisme magnifique sur PC, une rejouabilité énorme, une durée de vie de 10 heure si vous faites le jeu en mode bourrin et 20-25 heure si vous le faite en mode infiltration et si vous cherchez toutes les quêtes annexe. La fin m'a un peu dessus (je ne veux pas spoil ceux qui l'on fait me comprendront). Ce jeu offre un large choix au joueur ; passé par les toits ? ou foncé dans le tas ? A vous de choisir...

Ps : un Dishonored 2 ?

Enfin un vrai jeu d'infiltration non moderne =)

l'ambiance et la patte technomédiéval, est vraiment sympa a l'oeil, ca change des fantasy/moderne/romain.

Le gameplay est parfaitement fluide, bien pensé, un peu difficile sur certaines partie, certains pouvoir sont légérement abusé.

Le scénario est excellent, mais Surtout, le LvLdésign est fabuleux, fini les 1-2 passage, ya beaucoup de possibilité de ce mouvoir et d'accomplir son objectif, enfin un jeu qui sort des sentier battu, avec une belle réussite.

Au début j'ai faillis abandonner, croyant tomber encore dans un banal FPS couloir.
Et trés vite surpris par le game play agréable, l'hitoire originale. Une progression libre. Enfin un bon jeu ou je me suis régalé.

Dishonored est le chef d'oeuvre d'infiltration que l'on n'attendait plus depuis la trilogie légendaire Thief. Il reprend certains des points forts de son ancêtre, comme la recherche du butin, qui motive le joueur à fouiller partout avant d'accomplir ses missions. Beaucoup plus centré sur l'évolution de son personnage que dans Thief, l'argent permet d'améliorer l'équipement de son personnage et de le rendre ainsi plus versatile. L'exploration est d'ailleurs très importante dans ce jeu, pour dénicher, en plus de l'or, des runes et des charmes d'os, qui permettront à votre héros de se spécialiser en choisissant ses pouvoirs et ses atouts. Et c'est ici que se trouve le très gros point positif du jeu. En plus d'une qualité technique irréprochable, le jeu a été pensé pour être refait au moins 2 fois. En version infiltration, et en version bourrin. Vos actions ayant un impact réel sur l'évolution de la ville. La jauge de chaos permet de positionner son personnage, façon Yin et Yang. Restez dans l'ombre et limitez au maximum vos victimes tendra à simplifier l'évolution de la campagne. Optez pour la solution sanguinaire, et vous aurez à faire face à une ville envahie de rats, de zombies et de milices. Rejouabilité assurée. D'autant plus, qu'à la différence de Thief, votre perso n'est pas un incapable au corps à corps. Avec les compétences adéquates, votre assassin pourra résister à un pack de gardes accourant vers lui. Les deux approches, bien que très différentes, apportent une jouissance identique. Seul petit reproche : le scénario, bien que travaillé, est assez attendu et n'apporte que peu de surprises. On pardonnera volontiers cet écueil, tant les cartes sont bien pensées, et offrent réeelement des chemins multiples pour arriver à sa cible. Un véritable must have !

Un grand jeu !
Les graphismes montrent quelques lacunes techniques : les textures sont baveuses de près, et de très loin, c’est pas super beau non plus. En revanche, le côté artistique est tout simplement magnifique. Les intérieurs sont très riches en détails, en objets. La gestion de la lumière est parfaite et on peut profiter de magnifiques effets. Le style cell-shading plait ou pas, moi je trouve ça réussi.

Tout ce côté très artistique est en plus bien intégré dans un level design parfait. Tout l’environnement est disposé de manière à vous donner un choix énorme pour accomplir votre mission. Passez par les toits, les égouts, les fenêtres, l’entrée principale, tuez, assommez, épargnez, vous faîtes ce que vous voulez et l’environnement est parfaitement étudier pour rendre cela possible. Ca donne en plus une très bonne rejouabilité, étant donné qu’on peut découvrir de nouveaux passages, de se battre ou au contraire de fuir le combat. C’est là la grande force de Dishonored.

Le scénario est un peu banal et convenu, mais il y a quand même de bons rebondissements. Il est par contre un peu court, bien que cela dépende grandement de votre manière de jouer (de 7 à 20h). Les personnages sont charismatiques, avec de bonnes animations et de bons doublages. Les musiques sont très correctes, mais je regrette que celle du trailer ne figure pas dans le jeu (à part les sifflotements).

La jouabilité est excellente, très simple à prendre en main tout en étant complet. L’IA est assez bonne, très correcte, ils vous repèrent assez vite, surtout avec une difficulté élevée et même en vous cachant ils continueront à vous chercher. Le système de sort ressemble à Bioshock et tous sont très bien, en fonction de votre gameplay. On peut regretter le peu d’armes disponibles et les charmes d’os un peu tous pareil.

Un jeu excellent, pas tellement pour son scénario mais plus par son gameplay.

Les vidéos avaient donné le ton, Dishonored s'annonçait comme un titre unique en son genre, privilégiant l'infiltration au bourrinisme avec en toile de fond un univers très proche du Steampunk accompagné néanmoins d'un scénario plus que classique. Hormis un gros cliffanger que tout le monde a dû voir venir dès le début, ce dernier est très loin d'apporter au joueur une quelconque réflexion sur notre monde et l'humanité comme avait pu le faire un certain Bioshock, auquel Dishonored emprunte beaucoup. Une arme dans une main, un pouvoir dans l'autre, et hop on est partit pour s'infiltrer et remplir nos contrats d'assassins. Alors autant sur les vidéos de promotion c'était alléchant, autant une fois le clavier (ou la manette) en main c'est une toute autre impression qui s'affirme: la déception. Ce jeu promettait tant qu'on la sans doute un peu enjolivé et fantasmé, mais là quand même je ne pense pas être le seul à avoir eu un petit pincement au coeur quand j'ai constaté que les devs n'ont pas été jusqu'au bout de leurs idées. Car à quoi bon mettre toute une panoplie de pouvoirs et d'armes que l'on peut s'amuser à combiner entre eux pour des effets toujours plus sympa... si c'est pour que le jeu souffre d'une facilité déconcertante, et ce dans le mode de jeu le plus hard (Très Difficile). Et même sans ces combinaisons, le fait de ne pas être furtif n'entraîne rien de plus que l'ensemble des gardes de la zone qui vous fonce dessus pour mourir un à un de votre lame exercée. A partir de ce postulat, on commence par se demander la chose suivante: "pourquoi me casserais-je les fesses à essayer d'être discret si en mode Rambo ça passe fingers in the noze ?". Et c'est là toute ma déception, alors que Dishonored proposait un univers vraiment intéressant et un gameplay, même si pas innovant, nostalgique de l'époque Bioshock avec une pointe d'infiltration et d'assassinat, le tout se retrouve gâché littéralement par une facilité déconcertante qui laisse un goût amer dans la bouche. La campagne est faîte de bout en bout sans jamais avoir eu l'impression d'être en danger, et les quelques avantages à jouer en mode "je ne tue personne et je ne me fais pas griller" sont des fins alternatives qui au fond ne changent pas grand choses. On sent que ces dernières options ont été rajoutées à la fin du développement comme si les devs s'étaient rendus compte du monstre de facilité qu'ils avaient engendré. Pour finir et en résumé, Dishonored est un jeu immersif pourvu d'un univers solide et réaliste et doté d'un gameplay vraiment agréable, mais le tout est gâché par une facilité qui semble être la donne des jeux du 21eme siècle. On ose plus faire de jeux difficiles de peur de ne pas plaire au public le plus large possible, quitte à sacrifier l'amusement sur l'autel de la norme commerciale.

Dishonored est un véritable hommage aux mélange de FPS et de RPG comme on les connait si bien depuis les Deus Ex & Co.
Jeu sympathique, qui a une touche artistiques sympathique.
A la fois simple à prendre en main mais terriblement complexe à maîtriser, ce jeu permet vraiment au joueur de jouer comme il le souhaite : soit en bourrin, soit en devenant un maître des ombres. Le gameplay est parfaitement maîtrisé et permet vraiment de réaliser les choses de la manière que l'on souhaite. Et encore les manières de réaliser telle ou telle actions sont vraiment riches et sont un véritable plaisir pour notre imagination.
Malheureusement la trame scénaristique est incroyablement prévisible, et finalement sans réel rebondissement tout au long du jeu.
Il faut néanmoins souligner l’effort fait pour permettre au joueur de terminer ses missions de différentes façons grâce à un level-design adapté. Cela donne envie de tester toutes les combinaisons possibles et augmente légèrement la durée du titre.

Dishonored est globalement un bon jeu qui mérite qu’on y joue, rien que pour son originalité.

Bien, ce jeu tient la route. Il est propre, facile à prendre en main. L'histoire est... sans intérêt je trouve. J'ai bien aimé les diverses fins, même si au bout d'une seule je suis rassasié. Bref, en clair je dirais que c'est un bon jeu, avec de bonnes ambiance mais ça ne m'a pas donné envie de tout retourner pour avoir le score "perfect" ... si seulement ils avaient peaufiné un peu mieux leur histoire....

Je viens de finir (un peu en retard) cet excellent jeu qu'est Dishonored. Bien qu'il ne soit pas exempt de défauts, le jeu est tout de même une belle réussite. Alors, avant d'énoncer toutes ses qualités, je vais dire ce qui ne va pas :

-trop facile: même en mode hardcore, il n'y a aucune grande difficulté, à part peut-être si on vide "la totale" zéro kill, zéro detection. Si, comme moi, on se laisse parfois la liberté de tuer un ou deux gardes ou de passer "en force" (en s'enfuyant), aucun passage ne vous posera vraiment de problème, et ce même en finissant en "chaos faible" ("happy end" du jeu lorsque l'on a tué très peu de monde)
-Graphismes pas géniaux: bien que la direction artistique soit excellente, les modèles 3D, les textures et l'anti-aliasing sont plûtot faibles, même en high (pas de mode ultra high). Mais bon, c'est un jeu de 2012, il ne faut pas non plus demander l'impossible (surtout que c'est de l'unreal engine...)
-Scénario pas transcendant : Le scénario en lui même est loin d'être exceptionnel, le twist de milieu de jeu est prévisible, et les dialogues sont parfois un peu téléphonés. Cependant, le contexte du jeu fourmille de détails, que l'on retrouve dans des livres in-game, et l'idée de départ (la peste qui ravage un ville victorienne typique du 19e siècle) est sympathique.

Ce qui nous amène aux point positifs:

-Ambiance unique : Cela faisait longtemps (depuis half-life 2 enfait, ce qui n'est pas un hasard puisque le concepteur de city 17 est le même que pour Dunwall, Victor Antonov) qu'une ville et un jeu n'avait oas eu une ambiance aussi travaillée. J'ai adoré écouter les conversations des gardes et des survivants, regarder la ville du haut du pont, et me faufiler dans des ruelles sombres en rencontrant des personnages aussi bizarres qu'uniques.
-Direction artistique de qualité : il n'y a pas à dire, Dunwall est une réussite, on s'emerveille devant des décors tels que le phare, la tour de dunwall et l'interieur somptueux d'une résidence de la haute bourgeoisie. Cela compense largement le niveau purement technique un peu en retrait.
-Gameplay accrocheur : Utiliser ses pouvoirs et les combiner est un véritable plaisir (j'ai failli hurler de joie lorsque j'ai tué un garde en le plaçant devant sa propre balle en arrêtant le temps tout en utilisant la possession). Les armes telles que l'arbalète, l'épée ou le pistolet sont aussi sympatoches sans être d'une incroyable originalité non plus.
-Bonne optimisation : mon PC est très loin d'être une foudre de guerre, et j'ai pourtant pu faire tourner le jeu en 40-50 fps en high (pas de mode ultra, je le répète)
-Level design inspiré : le nombre de possiblités pour terminer un niveau est presque sans limite, on dispose d'une vraie impression de liberté, surtout dans les derniers niveaux
-Choix qui influent sur l'histoire et le gameplay : si on tue du monde, on sera gêné par la suite par un niveau de difficulté plus grand et la fin sera sombre. Je vous conseille de refaire le jeu 2 fois, une fois en mode "clément et furtif" et l'autre en mode "berzerk, je tue tout le monde et je suis trop d4rk", c'est véritablement 2 jeux différents qui s'offrent à nous.
-IA assez réactive : l'IA est plutôt dans l'ensemble une réussite, qui vous massacrera si vous préparez mal un combat ou une intrusion, et vous piégera souvent dans un recoin pour mieux vous achever.

Voila donc un jeu qui s'avère être une belle réussite, qui bénéficie d'une bonne rejouabilité, et un gameplay jouissif. On lui pardonnera ses quelques défauts facilement, pris dans le stress d'une infiltration dans un fort haute sécurité...

Un jeu qui mérite d'être acheté mais qui a quelques défauts à souligner. Le jeu n'est pas très beau bon pas très important mais bon mais c'est surtout ça durée de vie qui n'est pas assez bonne. Le jeu se finit en 20 h sans le rush il peut donc se faire entre 15h à 40h pour ceux qui veulent le finir à 100%. Autre défaut est la difficulté un peu trop facile à mon goût. Cependant le design des lvl les dialogues et l'histoire vous feront frémir. Le gameplay quand à lui vous offrent deux façons de jouer bourrin ou stealth qui auront des conséquences à la fin. L'utilisation des pouvoirs vous donnent la possibilité de finir le niveau de maintes manière. Les défauts ne lui permettent pas d'avoir le 20 mais un 19 est largement mérité.

Joué et fini sur PC graphismes à fond.
C'est vraiment bizarre ce jeu. Je le trouve bien fait, sympa, original, avec pleins de passages. Mais je le trouve aussi court, les zones sont petites mais dense peut-être.
Le gameplay sympa, plusieurs façons pour atteindre un objectif (ça c'est génial).
Mais je trouve qu'une lassitude s'installe. je ne comprends pas pourquoi mais au bout d'un moment, le jeu me lasse.

En tout cas, c'est un bon jeu tout de même;