cela faisait très longtemps que je n'avais pas été surpris par un jeu, HELLBLADE est vraiment un chef d'œuvre dans son style. entre mythologie nordique et Psychose, un mélange vraiment incroyable. hâte de voir le 2

Terminé. Ce jeu est un ovni. Un peu comme Death Stranding de Kojima. Il n'y en a pas d'autres lui ressemblant. Jeu très scénarisé mais qui ne sacrifie pas le gameplay, ça reste un jeu quand même. J'ai bien aimé le lore avec l'ambiance psychose, les voix d'actrices, les fights très basiques mais bien jouissifs. J'ai été bluffé par les environnement graphiques, vraiment beaux, et la qualité des animations de la héroïne Senua. Les animations faciales sont bien expressives, on est loin devant un Horizon Zero Dawn sorti la même année. Je regrette le scénario, bien que très bien naré, soit alambiqué, c'est un peu too much pour moi. J'ai eu du mal à suivre. La bande son, musique et ambiance bruitages, excellents ! Pensez à jouer avec un casque, ce ne sera que plus immersif. Je regrette aussi les combats qui manquent de technicité comme dit dans le test. Le gameplay en est que plus limité, dommage. Je suis près à jouer à la suite, mémorable cet ovni, ça change des autres genres de jeu bien connus.

Je tiens à prévenir que je n'ai pas terminé le jeu. J'aurais aimé apprécier ce jeu, il avait tout pour me plaire. Mais la répétition des phases d'énigmes toute moisies (la superposition des runes) a eu raison de ma patience (Je suis arrivé au 2nd Boss). Les combats très répétitifs eux aussi n'ont pas arrangé le constat après 3h de jeu.
Donc, oui c'est très beau, oui le sound design est ahurissant et plante le décor à lui tout seul, mais il faut être prêt à se taper des énigmes sans intérêt : chiantes et répétitives. Pas pour moi, désolé, je n'ai pas pu. Ce jeu ne choisit pas entre jeu narratif et jeu d'action/aventure et nous propose malheureusement un mélange peu inspiré des deux. Dommage car le thème de la psychose est intrigant et l'atmosphère est très bien rendue.

Si c'était pas ses énigmes répétitif et déplacement assez relou et des voix de partout (bon sa fait parti du scénario on pardonne) ce jeux aurait mérité une meilleure note mais ça va déjà que le studio ont essayé innover vers un nouvelle univers perso j'en suis pas déçu c'est la même la 1er fois ma vie je joue un jeux aussi très différent des autres

Que ce soit le gameplay, graphisme magnifique mais quelque chute de framerate sur certains passages, je l'ai super aimé je m'attendais vraiment pas à sa rien que pour ça j'attends grave sa suite sur Series X

Très bon jeux à vous

Condition du test : amd ryzen 7 3800 X - cg RTX 2070 super - 32 go ram - dd M2 force mp510 - casque audio bose - manette xbox.
Bien que sorti il y a quelques temps déjà, hellblade offre une expérience de jeu certes courte (comptez en 5 et 6 heures) mais de très bonne facture. Graphiquement il flatte la rétine et est très fluide, même tout à fond en wqhd. Le gamedesign est très insipiré. Une fois que vous aurez la bête en main vous ne lâcherez plus le pad ou le clavier. Pour ceux qui ne savent pas il est ici de permadeath -une fois le perso mort un certain nombre de fois indiqué par sa morbidité à son bras vous devrez recommencer à zéro l'aventure. Mais la difficulté n'est pas rebutante.
Ici pas d'ath ni de sauvegarde à volonté, un choix pour l'immersion. Les sauvegardes sont automatiques bien que pas toujours bien pensées. Vous ferez une succession d'énigmes et de combats.
La musique et les voix en général sont très immersives, pensez à jouer au caque.
Pas un chef d'oeuvre -manque de diversité dans les ennemis, aventure très courte- mais une expérience très plaisante.

Il arrive parfois, dans le paysage vidéoludique, que certains titres prennent beaucoup de distance avec l’aspect ludique justement, et se réclament moins du divertissement que de l’œuvre au sens noble, porteuse de message, suscitatrice de réflexions profondes et vectrices d’émotions intenses. Je pense qu’avec Hellblade, nous sommes précisément dans cette catégorie, qui compte bien peu de prétendants au regard de tout ce que produit cette industrie.

C’est un jeu où l’aspect narratif occupe une place centrale, et pour moi, c’est la plus grande qualité du titre. Elle aborde un thème dur à plus d’un titre, d’une part parce qu’il est complexe et difficile à transmettre à l’écran, et d’autre part parce qu’il est parfois assez abrupt, voir pénible d’un point de vue émotionnel. Il est ici question des affections psychologiques, et on sent de manière évidente que l’équipe de Ninja Théory a mis un point d’honneur à traiter cette thématique avec rigueur et profondeur. La narration est d’une qualité rare, que je n’avais peut-être jamais vu dans un jeu même. Ici, nous sommes plutôt sur des standards cinématographiques ou littéraires, et 80% de ma notation repose sur cet aspect absolument central. Ce qu’il y a de fantastique, c’est le degré de détail, la méticulosité des développeurs qui transparait dans le fait que dans Hellblade, tout semble avoir un sens, une symbolique, et on peut tout transposer de manière métaphorique, des légendes Nordiques qui nous sont racontées jusqu’aux environnements dans lesquels nous évoluons. Chaque phrase a un message à faire passer, est une lucarne sur ce qui se joue au plus profond de Senua, chaque mot est un stiletto qui s’enfonce profondément dans l’esprit du joueur, qui va faire mille extrapolations à chaque dialogue, et en distiller bien plus que ce qu’ils ne disent. Finalement, il est possible très tôt dans le jeu de sentir la direction dans laquelle on part, pour peu que l’on prenne le temps de bien réfléchir et que l’on garde l’esprit vif. Les ennemis eux même se prêtent à une lecture complexe, pleine de sens, et renvoient à des concepts très subtils. C’est le mot exact justement : ce jeu est subtil, il se mérite même, en tout cas pour être apprécié à sa juste valeur, et tout ce qui le compose possède plusieurs niveaux de lecture. Ce qu’il y a de formidable, c’est qu’il me semble également laisser pas mal de liberté d’interprétation au joueur. Je pense que la manière dont je l’ai vécu personnellement n’est pas consensuelle ( il y a même très peu de chance que ce soit le cas ), et qu’une autre personne avec des états de conscience ou une sensibilité différentes des miennes percevra les choses différemment, et donnera un sens différent à ce que les développeurs lui montrent. C’est donc un jeu qui vous fera réfléchir, qui vous fera vous questionner, qui vous fera vous remettre en question parfois. Sur le segment narratif, c’est pour moi un chef d’œuvre absolu.

Le gameplay n’est quant à lui, à mon sens, pas la plus grande réussite du jeu, bien que la prise en main soit de très bonne qualité. Les mécaniques sont simples, rapides à assimiler, et on se sent à l’aise rapidement. Néanmoins, je ne tiendrais en aucun cas rigueur au jeu de ce léger retrait du gameplay par rapport au reste d’un point de vue qualitatif, car pour moi, ce n’est absolument pas lé prétention du jeu. Il faut bien comprendre et savoir que ce jeu n’est pas un défouloir, et que sa raison d’exister, sa substantifique moelle comme l’eut dit Rabelais, se situe bien ailleurs. Il a avant tout été pensé, me semble-t-il comme une œuvre d’art prenant la forme d’un jeu vidéo.

La durée de vie assez faible, qui revient souvent dans les avis que j’ai lu, est pour moi une qualité finalement, car je pense que ce jeu a savamment mis ce qu’il fallait où il le fallait, sans tomber dans le travers de s’appesantir, de trainer en longueur au détriment de la qualité. Tout ce qui est présent a une raison d’exister, et rien qui ne soit pas nécessaire, n’est laissé. Je crois que c’est un choix judicieux, qui ne fait qu’ajouter à la maitrise du propos d’un bout à l’autre du jeu.

Pour conclure, je ne peux que recommander sans la moindre réserve ce jeu, qui se mérite certes, mais qui est absolument bouleversant. Certaines phrases ont résonnées en moi plusieurs heures, plusieurs jours après l’avoir terminé, et j’ai été très sensible à toute l’intelligence avec laquelle les développeurs ont traité ce sujet pourtant très ambitieux et peu représenté. Il m’aura arraché des larmes, et beaucoup fait réfléchir. J’ai eu une empathie colossale pour Senua, pour son histoire, pour ce qu’elle est. Et peu de jeux ont poussé le détail et la réflexion aussi loin, avec autant de virtuosité et d’intelligence. Hellblade, c’est un voyage au cœur de la psychologie humaine ( c’est en tout cas comme cela que je l’ai vécu ), et on en ressort un peu chamboulé, mais aussi grandi. Un chef d’œuvre !

Hellblade Senua's Sacrifice veut marcher dans la cour des grands, et y arrive !
Jeu "mineur" (environ 6-7h) mais pourtant très impressionnant dans sa mise en scène et les thèmes explorés, on y incarne Senua, jeune guerrière viking en proie à de nombreux démons intérieurs (en fait troubles psychotiques), représentés à merveille dans le jeu par des voix lui parlant (jouer avec un casque et grandement recommandé pour l'immersion) mais aidant aussi le joueur, notamment lors des combats au moment d'une frappe ennemie.

Senua entreprend donc un périple pour aller sauver l'âme de son défunt compagnon et devra pour cela s'enfoncer dans les enfers, mythologiques mais aussi personnels, pour faire face à son deuil.
Le jeu explore à merveille la mythologie viking et propose des environnements variés et superbement réalisés, très souvent glauques et angoissant. Dans ces différents "niveaux", il faudra régulièrement résoudre des énigmes pour pouvoir débloquer le passage, souvent constituées à base de runes à retrouver visuellement dans le décor.
Quand Senua ne doit pas résoudre d'énigmes, elle doit aussi affronter plusieurs ennemis lui barrant la route. Et c'est principalement là que mon sentiment sur le jeu est mitigé. Car si les combats sont extrêmement bien chorégraphiés, violents et donnant vraiment envie de se surpasser, ils sont malheureusement trop longs et surtout parfois trop durs ! Aucun point de sauvegarde entre parfois 15 ennemis, dont plusieurs en même temps, et avec un système de verrouillage de cible ne permettant pas beaucoup de liberté dans les mouvements. C'est extrêmement frustrant de devoir tout recommencer quand on meurt au dernier ennemi, un meilleur dosage de la difficulté/sauvegarde aurait été appréciable.

Malgré ces frustrations, le jeu surprend par son aspect impitoyable et rude, tant avec son personnage qu'avec le jeu, et les sentiments éprouvés sont vraiment forts, ce qui montre encore une fois que le jeu vidéo est un art qui sait raconter beaucoup de choses.

Malgré quelques redondances dans le gameplay, Hellblade Senua's Sacrifice est une de ces aventures épique qui resteront dans l'histoire du jeu vidéo. L'immersion est totale pendant les 10 heures que dure le titre, on navigue entre contemplation, peur viscéral et espoir de sauver notre viking. Un chef d'oeuvre qu'il me sera difficile d'oublier.

C'est probablement l'un des meilleurs jeux auxquels j'ai joué, et pourtant pas le plus difficile ! Mais la narration est tellement bonne et l'immersion subite !

Cette expérience permet de vivre sa propre aventure mythologique nordique.
Senua est un personnage profond et complexe dont on finis pas s'y attacher.
L'univers du jeu est unique dans son genre.

J'ai adoré... j'étais debout devant la tv à plusieurs reprises.
Le jeu a une ambiance incroyable.
Le seul truc qui me saoule c'est les documentaires autour de ce jeu... dans le documentaire qu'il y a dans le jeu, j'ai seulement envie de dire au narrateur de la fermer !!!

Ce jeu m’a fait de l’œil à l’époque car il abordait un thème de j’adore, à savoir la mythologie Nordique (Lieux mythologiques nordiques, Dieux nordiques, légendes nordiques, etc…) tout en arborant des graphismes tout à fait convaincants. Le souci c’est que, pour éviter tout Spoil, je n’ai pas voulu en savoir plus. Et bien j’aurais dû…

Car certes les graphismes sont jolis, la prise en charge de la HDR rend les couleurs très belles, les décors sont soignés et la bande son tout à fait sympathique (malgré l’absence de VF)… il n’empêche que pour le reste je n’ai pas du tout accroché !
Donc on commence par re-mapper les touches clavier (par défaut en qwerty), on laisse de côté la manette car ce jeu est tout à fait maniable au clavier (avec 3 touches d’action différentes, difficile de s’y perdre)… et on se lance dans l’aventure.

Une aventure qui commence plutôt mal ! Après une introduction bien intrigante mais qui met l’eau à la bouche… voilà que 3 voix fantomatiques viennent nous chuchoter sans relâche des mots anglais à l’oreille… c’est quoi le but ? Nous faire passer une séance d’ASMR Talk ?? Alors ouep, l’ASMR c’est cool… MAIS SEULEMENT QUAND C’EST DU «TALKING » !! Bref, ces voix insupportables nous suivent donc tout le long de l’aventure, sans moyen de s’en débarrasser.

Niveau GamePlay, je n’ai pas du tout accroché. Le jeu raconte l’histoire de l’héroïne qui est, non seulement peu intéressante, mais en plus reste dans le flou tout le long de la progression. On passe notre temps à visiter des Maps couloirs qui, bien que jolies, ne servent qu’à nous faire des allers-retours entre des mondes parallèles (qui utilisent les même Map, mais avec une ambiance différente). Le but étant simplement de résoudre des « énigmes » qui se ressemblent toutes entre elles : trouver la forme d’une Rune dans les décors, en se positionnant au bon endroit. Ou encore se positionner au bon endroit dans la Map pour reconstituer des éléments de décors « cassés ».
Le but étant au final de débloquer la porte au bout d’un couloir pour avancer au chapitre suivant.

Les combats en jeu sont quant à eux dynamiques et faciles à prendre en main. Je n’ai pas réellement rencontré de résistance sur les ennemis, même contre les quelques boss du jeu. Il y a peu de combos possibles, mais c’est largement suffisant pour enchainer une armée d’ennemis en même temps.
A ce niveau, ce que je regrette peut être le plus, c’est l’absence de sensation de progression du personnage (à part sa nouvelle épée). Que ce soit dans ses skills, dans sa façon de penser, son attitude, etc… bref, aucune sensation d’avancer et de progresser.
Au final c’est avec surprise (et soulagement, malheureusement) que je vois le boss final se pointer en seulement 6h de jeu.

Je regrette donc ce jeu que j’ai trouvé bien trop linéaire, faiblement fourni, avec des mécaniques insupportables (chuchotements), et une absence totale de compassion/attrait pour le personnage joué.
La psychose vendue par le studio dans tout ça ? Je l'ai plus subie que ressentie en jeu...

Les points positifs:

- Une ambiance soignée
- Une bande-son travaillée et très prenante
- Une histoire intriguante
- Visuellement très beau...
- Artistiquement, une réussite totale
- Un super final
- Bonne durée de vie
- Les boss du jeu sont épiques, clairement
- La qualité du doublage, au top

Les points négatifs:

- Très répétitif
- ... mais très inégal
- Des murs invisibles trop présent...
- Jeu uniquement en anglais pour ce qui est de l'audio

Conclusion:

Hellblade Senua's Sacrifice est un bon jeu, traitant d'un thème prenant le tout dans un univers intriguant et de très bonne qualité, le travail sur le visuel et la bande-son rend l'expérience presque unique, le personnage de Senua, très bien doublé, est un personnage comme on aimerait en voir plus dans le jeu vidéo, mais malheureusement le tout est légèrement gâché par un gameplay très classique et des énigmes très répétitif dans des environnement trop cloisonnés .

Un Très bon jeu, il beau (photo réaliste par moment), une ambiance sonore qui permet parfaitement de rentrer dans l'histoire (casque audio de préférence pour les effets des petites voix qu'on entend dans notre tête...). Côté gameplay mélange de genre, combat à l'épée et énigme visuel façon puzzle game, moi ca m'a bien plus: simple et légérement corsé pour s'amuser. Compter 8 à 10h de jeux pour vivre une belle aventure à un prix raisonnable. Amusez vous bien si vous franchissez le pas

Playlist du Jeu jusqu'a la fin:
https://www.youtube.com/playlist?list=PLaYFg67nHr4aQFODdUaxJsgQ4CDmhB0tV