Que dire de plus... Magique.
Absolument tout est magique. Foncez, vous ne redescendrez sûrement plus jamais de Columbia, une fois que vous aurez fais trois petits mètres en dehors de votre capsule.
Difficile de quitter cette cité et ses personnages, son histoire, vous vous serez attaché à tout ça (sans parler d'Elizabeth) avant que vous ayez eus le temps de dire ouf!
Après, pas tout le monde n'est sensible de la même manière, mais cet univers, ce scénario qui relève du génie... Il faudrais être fou pour ne pas s'y essayer.

Je lui met 20/20 car pour moi c'est, avec étonnement, un des meilleurs jeux du moment! Je l'ai pris tout a fait par hasard (d'autant plus que je n'ai accroché ni au 1er ni au 2eme) et j'ai était pris par l'intrigue du début a la fin! Ça n’arrête jamais, on ne s'ennui pas! Je ne regrette absolument pas mon achat, ce jeu est une excellente expérience, et il est magnifique même avec la config en medium voir low!

C'est juste l'un des meilleurs jeux de ces dernières années.
L'action est super intense, on ne s'ennuie pas une seconde et les pouvoirs sont ultra jouissifs.
L'histoire, en une phrase: quand vous croyez avoir compris vous découvrez la seconde d'après que vous ne saviez rien et tout repart à 100 à l'heure.
Les graphismes et l'univers sont original et magnifique!
La durée de vie est PARFAITE. On ne traine pas en longeur mais on se dit qu'on en avait pour son argent.
En un mot: FONCEZ!!!!!

Tout d'abord, ne jouez pas à Bioshock Infinite si vous n'avez pas fait les précédents. Pourquoi ?
Parce que malgré un changement total d'univers, cet épisode est TRÈS similaire aux précédents, et Infinite, même s'il n'en à pas l'air comme ça, est la conclusion de cette merveilleuse saga qui efface (à mes yeux) tous les autres jeux auxquels j'ai pu jouer.

C'est mature, riche, psychologique, complexe, moderne, difficile, intriguant... Les qualificatifs me manquent pour décrire à quel point les quelques dizaines d'heures que j'ai passé devant les 3 opus m'ont envouté. Et là, je ne parle que du scénario.

Franchement, c'est une saga qui devrait faire l'unanimité au sein de la communauté des joueurs, malgré le gameplay qui peut déplaire à certains. Jouez à Bioshock, tous les Bioshock, et faites-y jouer vos enfants, votre copine, vos parents, vos grands parents..

L'un des meilleurs FPS de la PS3.

Graphiquement irréprochable, un scenario digne d'un des meilleurs métrages d'Hollywood, un game-play et une prise en main intuitive, des innovations digne de la claque du 1er Bioshock, des sequence de gun-fight claire et dynamique, font de ce 3eme opus de la franchise Bioshock un must-have.

Cependant j'ai été déçu ( ATTENTION SPOILER) de ne pas avoir à affronter un boss de fin jeux, je pense surtout à Sinbird, ce mega oiseau métallique.
Cela reste mon seul (gros) reproche quand à la qualité globale du soft.

Une tuerie !

Une direction artistique soigné, presque jamais égalé, graphismes coloré et détaillés, une réussite de ce côté. Une bande son de qualité, même je la trouve quelques fois répétitive, un gameplay simple et épuré, même si ça manque un peu de peps avec certaines armes. Une histoire original et assez complexe, Elizabeth est agréable et pour un personnage dirigé par l'IA c'est une petite révolution. L'ambiance quand à elle est vraiment différente, on est loin des 2 premiers, qui était assez stressant, et plus glauque. Je trouve ce Bioshock Infinite porté plus sur l'aventure et les gunfights, avec quelques passages d'exploration, mais c'est assez linéaire. Ce jeu est un must have de ce début d'année, les FPS de ce genre deviennent tellement rare !

J'attendais beaucoup de ce Bioshock, et j'ai été plutôt emballé parle jeu. Le changement d'univers est juste très réussi, les différents environnements font preuves d'une véritable qualité artistique. Le scénario est vraiment énorme, même si on pourrais regretter un manque de choix comme dans les premiers épisodes. Les combats sont très dynamiques même si je regrette le fait qu'on ne puisse plus porter que deux armes sur soi. Profiter d'un vrai arsenal était ce qui faisait le charme de Bioshock. L'IA d'Elisabeth est une vraie réussite et la rend incroyablement vivante, de plus les interactions que l'on a avec elle pendant les combats sont réussis et apportent encore en dynamisme dans les affrontements. L'ambiance générale du jeu est moins torturé que dans les premiers épisodes mais les personnages sont tout de même charismatiques. Le système de sauvegarde automatique est une vraie plaie par contre, il n'y a rien de plus pénible que de ne pas pouvoir vous arrêter quand vous le voulez. Les toniques ne sont pas aussi mémorables et nombreux que dans les deux premiers bioshock, du coup le gameplay se retrouve un peu relégué au rang d'un fps classique.
Ce Bioshock Infinite est vraiment une réussite mais ne parvient pas à nous faire tatalement oublier les couloirs sombres de Rapture.

Je ne mets jamais 20/20 à un jeu, ce n'est pas censé être une note possible, mais là je n'ai pas le choix. Le jeu est de loin le meilleur auquel j'ai joué depuis des années. Le gameplay a quelques défauts par rapport aux premiers bioshock, notamment l'absence de combinaison plasmide+arme, la possibilité de ne porter que deux armes, le bouclier,... mais franchement, le gameplay n'est pas ce qui est important dans ce jeu, cela reste très agréable à jouer. Les points les plus importants, c'est le scénario, les personnages, l'univers de Columbia et le level design. Sur ces aspects, Bioshock Infinite est une perle qui prouve que le jeu vidéo est un art. L'histoire est passionante, Columbia est parfaite dans son originalité, les personnages attachants et très fouillés, et la fin du jeu est une des fins les plus recherchées dans un jeu vidéo à ce jour. Le seul reproche réel que je ferais au jeu est sa facilité, les deux dernières heures devenant du challenge dans les modes de difficultés élevés.
Pour conclure, ce jeu est magnifique, Irrational a encore prouvé son savoir-faire en réalisation et écriture. Malgré ses erreurs de gameplay, ce jeu est à recommander à tous ceux qui adorent vivre une histoire passionante dans un jeu vidéo. Un grand merci à Irrational pour m'avoir fait passer une douzaine d'heures inoubliables.

Franchement mauvais. Je l'attendais avec impatience, et j'ai été extrêmement déçu. Il ne reste rien de ce qui a fait le succès des deux volets précédents. Aucune atmosphère, une mécanique très approximative, une suite archi-guidée de combats inintéressants et répétitifs.

Wahou ! Quel claque ! Je ne m'attendais pas du tout à cela ! Ce Bioshock là, je trouve qu'il surpasse largement ses deux aînés. Le début de l'histoire on ne comprend pas tout, mais à la fin quand tout commence à se mettre en place, c'est de la folie pure ! Cela faisait très longtemps que je cherchais un jeu capable de me faire rêver après avoir fait les Mass Effect. Et bien je l'ai trouvé !
De plus ses graphismes sont juste magnifique, les deux personnages se correspondent tout à fait.
Bioshock Infinite : Une merveille.

Un jeu tout bonnement excellent avec très peu de défauts.
Premier jeu de la licence Bioshock que je joue et quel baptême incroyable.
L'histoire est prenante et rebondissante. Les personnages sont vraiment bien travaillés et le gameplay est jouissif.

Un jeu bien en deçà que ce qui avait été annoncé et promis, et bien entendu par rapport à ses prédécesseurs.
En limitant le système d'armes à deux, Irrationnal a cherché à ajouter une dose inutile de réalisme à son gameplay, en l'atrophiant plus qu'autre chose. De plus le nombre limité d'ennemis nous aura vite fait le tour du jeu.
Enfin, contradiction suprême, Colombia est plus fermée et dirigiste dans son gamedesign que Rapture ( ville dans les airs vs ville sous-marine à titre de rappel ), on est cantonné pendant tout le jeu à une progression très scriptée là où l'on pouvait aller et venir au sein des zones dans les jeux précédents. L'aero-rail est relégué au rang de passage entre les zones du jeu au lieu d'en être l'élément principal, ajoutant de la verticalité et de la mobilité.
Elisabeth est quand à elle sutrtout une usine à loot et ses interactions bien plus limitées que ce que les demos de l'E3 de l’époque promettaient.
Venons en au point qui fâche, le scénario. Même si on en comprend les grandes lignes une fois la fin passée, on réalise qu'il reste beaucoup de points non expliqués et que le tout est encore derrière un voile de fumée à base de tournures et répliques mystérieuses et imagées, qui perdent le joueur dans un faux semblant de profondeur. Là ou Rapture présentait un scénario complet, profond mais simple à appréhender et à explorer, Infinite perd le joueur dès sa moitié de jeu, dès que le voyage dimensionnel entre dans la course.
Ce qui est regrettable, le matériau d'origine était très bon et aurait suffi à en faire un très bon récit. Ce qui se rattrape en partie avec les DLC qui apportent des liens intéressants.

Les bases de la série en font un jeu sympathique, mais les promesses de gameplay non tenues et le scénario qui se perd ( et perd le joueur ) dans son voile de mystères pourtant inutile, en font une expérience sincèrement triste, quand on voit et réalise ce que le jeu aurait pu être.

Je n'ai fait aucun Bioshock avant celui-ci. Mais lorsque l'occasion d'avoir ce jeu pour 1€ s'est présentée, j'ai sauté dessus. Et c'est une bonne chose, vu que ce jeu se passe scénaristiquement avant les autres. Et qu'il est aussi soi-disant meilleur que les autres...
La patte graphique est vraiment typique à ce jeu ! Des couleurs et des contours qui font penser à un dessin animé en 3D... c'est proche du Cellshading qu'on peut trouver sur un WoW par exemple. Ça permet au jeu de ne pas trop vieillir, tout en offrant un résultat assez convainquant visuellement ! Je n'ai pas trop accroché au brouillard omniprésent dans le jeu... sans doute pour cacher les défauts au même titre que du maquillage... J'ai donc installé un injecteur (ReShade + SweetFX) pour améliorer tout ça. D'ailleurs, SweetFX n'est pas totalement compatible avec ce jeu (problème dû au moteur Unreal utilisé par le titre). Il faut donc bidouiller le truc... dommage.
La première chose qui me saute aux yeux, ce sont les corps qui disparaissent lorsque l'on tue les ennemis. Chose typique lorsque l'on joue sur console... dommage que le portage soit donc fait ainsi.
Quand le jeu commence, on est sereinement introduit dans l'histoire, puis tout s'accélère lorsque l'on doit faire notre premier choix dans le jeu. Des choix, on en trouve environs 5 à faire tout le long de l'histoire... mais à aucun moment on ne constate de conséquences sur ces choix qui ont été fait (sauf si on laisse en vie un des boss). Je ne comprends donc pas la plus-value qu'ils apportent.... d'autant plus que c'est un des éléments marketing mis en avant pour ce jeu !
Pour ce qui est de la ville aérienne, dont je félicite le Level-design et l'idée, elle est intéressante à parcourir... d'autant plus si l'on s'intéresse aux "bruits de couloir". Ça permet en effet de nous rendre compte dans quel genre de lieu on est (propagande, racisme, idéologie, la "liberté" de la population, etc...).
On retrouve aussi en jeu environs 5 ou 6 types d'armes différends, avec 2 modèles pour chacun d'eux (pistolet, fusil d'assaut, shotgun, lance-grenade, lance-roquette, revolver... et attaque au CàC). Donc autant dire que le contenu est faible... Et vu qu'on est limité à transporter 2 armes en même temps, alors on se rabattra toujours sur nos deux armes favorites. Idem pour les "pouvoirs" dont on en favorisera 2 et dont on oubliera le reste.
Il est aussi possible de trouver des valises cachées (derrière des portes fermées à clé - ouvrable avec des "crochets" qu'on doit trouver disséminés dans les map). Dans ces valises se trouvent des pièces d'équipement (chapeau, chemise, pantalon et bottes). Chaque équipement nous donne un bonus (plus de munitions, attaques électriques au CàC, etc...). C'est donc là aussi du contenu optionnel mais bienvenu.
Le jeu nous pousse donc à explorer chacune des Maps avant de passer à la suivante. Ça permet de cacher la linéarité dans ce jeu, je trouve...
Pour ce qui est de l'héroïne qui nous suit tout au long du jeu, elle est loin d'être un boulet ! En effet, c'est plaisant de voir enfin un jeu où le PNJ qu'on escorte est plaisant à accompagner ! Elle fait des remarques, des mimiques, interagis avec l'environnement, etc... Bref, c'est très immersif et donc très réussi sur ce point ! D'autant plus qu'elle est utile en combat car elle nous envoie des packs de soin, des munitions, etc... Bref, elle a donc une utilité de support non négligeable.
Cela dit, je ne fais malgré tout pas partie de cette hype de fanatiques qui idolâtrent ce jeu... car il a bien trop de défauts ! Et en plus de ceux déjà cités, je peux aussi mettre en avant la durée de vie (sans reroll) qui plafonne à 17h pour ma partie. Et je citerais aussi - et surtout - un scénario auquel je n'ai pas du tout accroché. Car en plus de ne pas être simple à saisir (Paradoxe des réalités alternatives, façon Inception... Fin ouverte... etc...), ce n'est pas le genre de chose qui est plaisant à parcourir. Un film américain, je n'aurais pas dit non... (surtout vu tous les drapeaux aux couleurs de l’Amérique, le thème du racisme noir entre autres, etc...). Par contre un jeu... non. Je ne me suis pas vraiment senti impliqué dans l'histoire. J'ai beau avoir découvert quasiment tous les éléments d'histoire éparpillés dans le jeu, ça ne m'a pas plus passionné que ça. Je ne parlerais pas non plus des PNJ qui sont des clones de 4 ou 5 modèles différends seulement.
Ca n'en reste pas moins un bon petit jeu, mais loin de la claque auquel je m'attendais.

Il est plaisant de remonter à la surface mais techniquement on reste dans les bas fond. On s'approchait déjà de la next-gen à l'époque et ce jeu n'est pourtant pas à la hauteur des derniers jeux de la current gen. L'univers est varié et plaisant et le gameplay riche.

Très bon jeu

La ville de Columbia change agréablement de Rapture, avec une atmosphère à part, très "lumineuse", complètement à l'opposé de Rapture et de son style beaucoup plus sombre.

Les graphismes et le gameplay sont soignés, les combats sont dynamiques. Quant au scénario je le trouve particulièrement intéressant et bien mis en scène, comme toujours dans les bioshocks.

Je recommande !