[Nagao]

- La "normalité" n'est pas un terme qui me définirait pour être exact, fit Caster,qui prenait une intonation un peu plus sérieuse pour répondre à l'autre servant de la même classe. Certains me considéraient comme un monstre... et c'est peut-être vrai.

[ Caster ]

- Peux-tu nous donner plus de détails ? Nous avons littéralement le sort du monde entre nos mains et la situation est critique. Nous voulons nous assurer que l'on peut te faire confiance ou si nous devons t'éliminer ici-même, répondit-il froidement.

[Caster]

Caster désignait sa fameuse mèche de couleur blanche, disant:

- En tout cas, la majorité considérait cette mèche comme étant responsable de mon anormalité, même si ça peut paraître stupide.

Elle marqua une pause, regardant le feu, cherchant par où commencer.

- "Je viens d'un monde qui était en proie à la guerre. Peu de temps après ma naissance, cette mèche est apparue sans explication apparente, mais ma famille proche s'en fichait. Ils m'initièrent aux arts de mon clan dès que j'avais l'âge requis, mais il m'en fallait toujours plus. J'apprenais également toute seule dans mon coin, mais il m'arrivait aussi de fuir mon clan, à cause de l'atmosphère qui y régnait. Je le voyais bien que certains avaient peur de moi, alors que je n'étais en rien hostile. Le temps passait et lors de mes 18 ans, une personne s'en est prise à moi alors que j'étais seul, mon paternel s'est interposé et en est mort. C'est là que la mystérieuse entité responsable de l'apparition de ma mèche blanche a pris le dessus sur moi et prenant le contrôle de mon corps.

Des semaines passèrent, puis des mois, elle se servait de mon corps pour commettre des crimes, se délecter de l'énergie qu'ils avaient en eux, et alors qu'elle n'avait plus besoin de moi, elle apparut devant moi pour me "tuer" et reprendre son dû. Mes cheveux reprirent leur teinte initiale. Néanmoins, je parvins à survivre et je voyageais à travers le monde, avant de m'installer sur une île isolée, en guise de châtiment, je n'avais pas la tête à rentrer auprès des miens, pas avant d'avoir vaincu mes démons. C'est de là que naquirent le pouvoir de mes yeux.

Alors que je pensais être contrainte de devoir vivre seule sur cet île, un homme se présentait à moi, un homme qui assistait à l'idéal de la paix, idéal auquel je croyais autrefois mais qui a été ébranlée par cet entité. Il cherchait à maîtriser un pouvoir que je maîtrisais également et on s'est rapproché.

Puis des mois passèrent, la mystérieuse femme s'attaqua à nous, d'autres personnes nous vinrent en aide et je parvins à récupérer ce qu'elle m'avait subtilisé. Sauf que ce n'est pas nous qui l'avions vaincu, mais des individus issu du même clan que cette déesse.

Deux ans passèrent, une certaine paix régnait entre les différents pays car un ennemi commun s'était manifesté. Sauf que malgré toute la force dont on disposait, personne n'était de taille. Je ne voyais qu'une solution possible, me disant que peut-être que si on y arrivait pas, que la génération qui nous succéderait y arriverait. Je léguais donc tout ce que je "possédais" à ma fille qui venait de naître et parti combattre notre ennemi commun avec l'aide des compagnons qu'il me restait, mais ce fut une défaite totale. Après, c'est le trou noir. "

Elle baissa les yeux, finissant par dire.

- Cependant, je pense que mon monde est détruit maintenant... je ne saurais comment l'expliquer.

[Chrysaor]

L'explication de l'arrivante était plutôt étrange et difficile à pleinement comprendre. Son regard vide se fixait sur la direction de la fille, puis elle se mit à parler calmement.

- Ce que tu expliques semble unique. Laisse-moi te demander, de quelle époque viens-tu exactement... ?

[ Caster ]

Caster ne répondit rien. Elle semblait dire la vérité, même si son histoire était plus ou moins spéciale. Ah ! Après tout, ils étaient tous des esprits héroiques, donc il était normal qu'ils aient un passé sombre et mystérieux.

[Nagao]

- Je ne peux pas réellement le situer en terme d'époque, mais il n'était pas avancé technologiquement. Sans doute pendant le Japon Féodal, se contenta de répondre Caster.

[Léon]

Thème : https://youtu.be/9rwsxe1mS88

Voyant la conversation bien avancée, le Master se leva en rigolant légèrement, un peu gêné.

"- Si vous voulez bien m'excuser... Je vais faire un tour pour me rafraichir l'esprit." Fit Léon.

Il ne s'était pas levé pour rien puisqu'il venait de voir il y a peu de temps Rider partir en direction de l’acropole. Les mains dans les poches, il s’éclipsa du groupe, croisant et saluant quelques habitants de la fête au passage. En même temps, le groupe poursuivait la conversation alors que Saber prit le relais.

"- Une histoire bien fascinante... Et triste... Je ne sais pas l'effet que ça fait de perdre son monde. La mort, certes, mais... Nous sommes conscient de laisser un héritage derrière nous." Parla le mousquetaire, les yeux vers les étoiles, toujours allongé.

Ses paroles le faisait méditer. Le cadre du paysage changeait pour le Master Chaldéen qui entreprenait l'ascension jusqu'au sommet d'Athènes. Plusieurs longues minutes plus tard, il atteignit le panthéon et s'avança jusqu'au bord, apercevant le dragonnier Eragon en deuil, calme face à l'immensité d'Athènes et des vallées.

(de nuit)

Le Master s'arrêta à côté de son compagnon, les mains dans le dos.

"- J'ai... Perdu nombreuses choses dans ma vie. Mais un ami... C'est pire que tout. Mais j'imagine que pour toi, Saphira était plus qu'une amie." Parla Léon, d'un ton calme.

[Nagao]

- Il y a tant de choses que j'aurais aimé légué à ma descendance, comme un monde en paix par exemple, mais c'est tout le contraire, fit Caster en observant les étoiles. Des enfants n'ont pas à avoir un poids sur les épaules, ni même participer à des guerres. C'est ce que je pense vraiment en l'ayant expérimenté.

[Eragon]

Le Dragonnier sortit soudainement de sa torpeur lorsque Léon l'interpella. Affichant un air légèrement surpris de le voir, il reprit rapidement son visage triste et désemparé.
Eragon hocha la tête, calmement.

- Elle et moi ne formons qu'un. Nous avons tout fait ensemble, cote à cote, depuis sa naissance. Jamais notre contact télépathique n'avait été réellement rompu. Pire que ça maintenant : elle s'est faite corrompre !

Il marqua un court temps de pause avant de continuer. Les yeux baissés vers le sol, il souffla faiblement ses derniers mots.

- Honnêtement, je ne sais pas si je trouverais la force de continuer, Master...

[Léon]

Posant la main sur son épaule et affichant un léger sourire, le Master paraissant serein malgré la situation.

"- Il le faut Eragon. Si quelqu'un a le pouvoir de la récupérer, c'est bien toi. Ne laisse pas Psaro t'enlever ce qui t'es cher et poursuis ton combat avec nous. Tous ces gens n'ont pas à souffrir et pourtant... Ils ont subit de lourdes pertes aussi. Nous ne pouvons pas abandonner la Grèce, ni Saphira, ni personne... Et je compte bien, moi aussi, retrouver mes amis." Parla plus sérieusement Léon, croisant les bras.

Les paroles du blondinet étaient sincère car il était profondément énervé qu'Avenger lui ait enlevé ses Servants qui étaient aussi ses amis. Cursed Arm, Spartacus, Sasaki Kojiro, Benkei, Ushiwakamaru, Leonidas, Gauvain, Tomoe, Morgan... Rongé de regrets, le Master ne s'était pas résigné à reculer car il avait trouver la motivation de continuer depuis toujours.

[Eragon]

Eragon fut étonné. Pas seulement par les propos de son master, mais aussi par l'aura qu'il dégageait en les énonçant. Lui qui n'était qu'un simple mage sans grand talent pour le combat, comment trouvait-il la force de combattre et de lutter continuellement face à de pareils adversaires ?

- Mais je ne serai plus qu'un poids mort pour vous. Sans Saphira, je ne vous suis d'aucune utilité. Même sans parler de sa puissance, la destruction de notre lien m'a affaibli. Je ne pense pas valoir bien plus qu'un... "servant de seconde zone".

[Léon]

"- Tant que je serais ton Master, tu ne manqueras de rien, Eragon. Et je ferai de mon possible pour t'aider à la récupérer. Tout le monde va t'aider... Tu n'es pas seul. Napoléon, Nagao, Sorey, Caster, Sylas, Chrysaor, d'Artagnan, Achilles... Toutes ces singularités, ces épreuves... Nous avons pu les passer car nous étions unis. Et demain, ça ne sera pas différent. On se rendra là bas..." Fit-il, pointant du doigt la direction du château, très loin.
" Nous renverserons Athéna, vaincrons Psaro, récupèrerons Saphira et détruirons Typhon. Car c'est notre devoir en temps qu'humains de préserver notre histoire." Finit-il, enfilant les mains dans les poches.

Les yeux rivés vers le paysage il sentait le vent se lever et relever le col de sa chemise ainsi que ses mèches de cheveux. Tournant les yeux vers on compagnon, il s'attendait à une réponse, bien que peu importe les mots qu'il allait employé, il respecterait.

[Eragon]

Rider resta silencieux quelques instants. Il n'avait jamais douté de Léon, mais il était naturellement difficile de concevoir qu'un simple humain comme lui disposait d'un tel parcours. Il ne possédait aucun pouvoir particulier, si ce n'est sa condition de master. Mais posséder les plus puissants servants ne permettrait pas à n'importe qui d'effectuer la moitié de ce qu'il avait entrepris.

Eragon avait enfin compris. La détermination, la motivation et le charisme de Léon Whitfield en faisait un véritable leader naturel, capable de diriger et de comprendre chacun des servants auxquels il faisait appel.

Un léger sourire aux lèvres, le Dragonnier prit une profonde inspiration. Lorsqu'il expira, il avait les yeux relevés vers ceux de son master. Son regard avait, par ailleurs, repris en couleur.

- Vous aurez le soutien du chef des Dragonniers jusqu'à ce que la victoire nous embrasse, Master, répondit-il, abaissant sa tête respectueusement.

[Léon]

Le jeune homme afficha un sourire sincère et enthousiaste suite aux paroles de son Servant. Prenant une bonne bouffée d'air, il posa les mains sur ses hanches, les yeux rivés vers ceux de son ami.

"- Au fait... Le temps nous a prit au dépourvu, mais... Je ne sais pas grand chose sur toi. Raconte moi ton histoire, comment tu as rencontrés Saphira." Demanda Léon, souriant.

[Eragon]

https://www.youtube.com/watch?v=jLFg30ACkY0

- Avec plaisir, répondit-il simplement.

Eragon prit place sur un rocher, fixant l'horizon et observant le paysage qui se trouvait sous ses yeux. Il remonta loin en arrière, se remémorant tout ce qu'il avait vécu, jusqu'à tomber sur le jour de sa rencontre avec sa partenaire.

- A l'époque, je n'étais qu'un simple paysan, un gamin. Et j'étais encore bien loin de me douter de ce qui allait m'arriver. Par hasard - du moins, c'est ce que je pensais à ce moment-là - je suis tombé sur une pierre lumineuse dans une forêt non loin de mon village. Elle était bleue, comme du saphir. Il s'agissait de l'oeuf dont sortit Saphira quelques jours plus tard.

En repensant à ces événements, le Dragonnier ne put s'empêcher de sourire légèrement, nostalgique. Depuis ce jour, il en avait parcouru du chemin, avec sa dragonne.

- Je m'en souviens, elle était minuscule à l'époque ! Et toute mignonne. Rien à voir avec le redoutable et majestueux dragon qu'elle est devenue entre temps.

Eragon continua sa narration pendant un certain temps, parlant un peu de tout ce qu'il avait eu à faire pendant son périple. Magie, monstres, apprentissage ainsi que batailles. Cela n'avait pas été de tout repos. Curieux, il finit alors par retourner l'interrogation vers Léon.

- Mais qu'en est-il du périple du dernier Master de l'humanité ? fit-il avec un léger sourire, souhaitant connaître plus de détails sur ce qu'il avait traversé.

[Léon]

Thème : https://youtu.be/AUk-lwQaXRU

"- S'asseyant à son tour sur ce même rocher, le Master Chaldéen écouta cette histoire avec beaucoup d'attention, esquissant un sourire satisfait. Après la question d'Eragon, il joignit ses mains, se courbant légèrement vers l'avant.

"- Eh bien, c'est une très longue histoire... Tout a commencé à Fuyuki, en 2004..." Commença Léon.

Commençant son histoire, il prit soin de n'oublier aucun détail, décrivant chaque combat, chaque activité, chaque esprit héroïque avec conviction. Okeanos... Camelot... Babylone... Shimosa... Il n'en oubli aucun, accompagnant ses mots avec la gestuelle de ses mains.

Pendant que la nuit recouvrait ses récits, un calme s'installa dans la cité, la fête s'étant affaissée doucement suite à l'heure tardive. Les dernières lumières éclairaient la grande cité pendant qu'Athènes dormait. Une personne était assise sur le toit du Panthéon, ne s'étant pas faite remarquée. L'homme était paisible, regardant avec un léger sourire le Master discuter avec Rider.

Fermant les yeux sereinement, il se contentait du calme des lieux et profitait aussi du récit de Léon, bien qu'il les entendait de loin. Mais une présence vint soudainement le troubler, sentant un courant d'air frais caresser sa nuque. Se relevant doucement, il tourna légèrement la tête pour voir qui était son visiteur.

Il reconnut cette petite chouette qui était debout sur le sommet du toit du Panthéon. Restant fixe, il plongea son regard dans ses yeux ronds et jaunes, celle-ci ne bougeant pas d'une plume.

"- Tu es là pour voir ton œuvre ? Quand est-il de la paix que tu as offerte à cette cité ? Était-ce du vent ?" Demanda le myrmidon à la chouette blanche.

Dressant la tête, l'oiseau se redressa pour battre des ailes et s'en aller. Achilles regardait le volatile s'effacer dans la nuit. L'heure fatidique approchait et il en était plus que conscient. Cette soudaine frayeur, il s'en souvenait... La dernière fois qu'il l'a ressentit était à l'aube de sa mort. S'éclipsant à son tour, il disparut du toit du Panthéon, effaçant toute trace de la présence du héros.

[Caster]

Pendant cette fameuse nuit, Caster était retourné pendant un bref instant dans la fameuse cité, elle restait silencieuse. Ce qu'Athènes avait subit, elle le connaissait que trop bien, elle a déjà vu son village être dévasté par l'ennemi. En temps de guerre c'était sans doute quelque chose de normal, mais il y a bien une chose qu'elle ne supportait pas, c'était l'implication d'innocents. Même si chaque civil est un soldat, elle ne pouvait le tolérer, en tant que dirigeante de son propre village surtout.

- ...

Elle regardait le ciel étoilé, silencieusement, essayant de profiter de ce moment de répit avant la grande bataille. Les sons issus de la nature, c'était quelque chose qu'elle trouvait apaisant... et une sensation qu'elle avait oubliée à cause du malheur qui l'avait frappé. Elle se demandait au fond d'elle même, comment ils pouvaient avoir la tête à faire la fête après ce qu'il vient de se passer.

[Léon]

Thème : https://youtu.be/v5oLQPhiiZg

Après une longue soirée festive et une nuit reposante, le Soleil se leva enfin, les rayons de lumières éclairant et réchauffant la roche des hauts monts de Grèce et surtout, les pierres et monuments d'Athènes.

La cité qui avait tant souffert pouvait peut être voir son calvaire enfin terminé. Les héros se levèrent face à ce Soleil éblouissant avec la détermination de sauver cette époque. Tous ces hommes et femmes ne venaient pas de la même ère mais ils partageaient cette même histoire qu'était l'humanité. Le Master de Chaldea était en tête du groupe alors qu'il prolongeait son regard à travers l'immensité de la vallée et montagnes qui les séparait de leurs objectifs.

"- Docteur, quels sont les routes pour parvenir aux complexes ?" Demanda le Master.
"- Si les emplacements sont corrects, vous devriez y parvenir en traversant cette vallée. Les chemins se sépareront alors et vous devrez emprunter les monts pour parvenir au complexe A et longer les plages pour le complexe B. D'après Caster, nous devrions pouvoir désactiver ses complexes subtilement en court-circuitant les circuits électromagnétiques. Mais nous avons un plan avec Caster... Je transmet à ta montre une fonctionnalité qui te permettra de l'atteindre." S'exclama "A", analysant les emplacements des complexes.
"- Nous formerons deux groupes encore. Il est plus que probable que deux commandants gardent ces complexes et je pense avoir une idée des Servants qui les gardent. D'Artagnan, Sorey, Nagao, Napoléon et Eragon, vous viendrez avec moi au complexe dans les montagnes pendant qu'Achilles, Diomède, Sylas, Chrysaor et les Caster iront sur les larges. Cela vous convient-il ?" Demanda le dernier Master de l'humanité.

Croisant les bras, le mousquetaire acquit la décision du jeune garçon alors que le myrmidon posa sa lance sur son épaule, comme à son habitude.

"- Vous pouvez compter sur moi, Sir Léon." Parla d'Artagnan.

"- Nous nous connaissons depuis peu, mais je te respecte pour ta détermination exemplaire et ton sens du devoir. En tant qu'Achilles, fils de Pélée et de Thétis, je combattrai pour toi jusqu'à ce que ton objectif soit atteint ou que mort s'en suive." Dit-il en souriant avant de tourner la tête vers l'horizon, marquant une pause.
"- C'est un point de non retour... Nous vaincrons Psaro l'Exterminateur et Typhon ou nous périrons..." Continua-t-il avant de pointer sa lance vers l'horizon, haussant la voix.

"- C'est la dernière ligne droite, mes amis ! Désactivons cette barrière et renversons ce château ! Même Athéna et ses généraux ne pourront nous arrêter !" Finit le héros grec.

[Chrysaor]

La fille de la Gorgone hocha la tête vis-à-vis de la détermination du Héro Grec.

- C'est maintenant qu'il va falloir tout donner. Des Héros du monde entier et de tous les Âges se réunissent pour lutter au nom de l'Humanité. N'est-ce pas poétique ?

Sylas haussa les épaules.

- Pas si on crève, je présume.

- Les tragédies font aussi de belles histoires, Sylas.

- Ouais, que papa l'abomination racontera en berçant son fils le scorpion tentaculesque au lit après avoir mangé deux ou trois Humains.

La Saber eut un petit rire, elle semblait néanmoins attendre avec impatience le moment où Psaro se montrerait pour se battre, voire même Typhon lui-même. L'idée de se battre contre son "gendre" était plutôt intéressante, sachant que ce dernier se rapprocherait sans doute plus d'une superarme semblable aux dieux qu'à un monstre tel qu'on peut le concevoir.

[Nagao]

- On ne peut plus battre en retraite de toute façon. En allant de l'avant, on peut se tourner vers l'avenir... et non vers l'enfer.

Caster restait silencieuse. Au plus profond d'elle-même, si elle le pouvait, elle aurait aimé le problème d'elle-même, mais elle le voyait bien qu'elle était entouré de puissants guerriers. Deux équipes étaient bel et bien la solution du problème, mais l'idée de ne peut pas pouvoir soutenir la deuxième l'agaçait.