Sous seigneur sith, scourge ? C'est la furie de l'empereur il me semble
En tout cas je suis rassure pour HK
Et puis ta pas a t'expliquer ou t'excuser pour Avan, tout le monde n'aime pas tout le monde
Vivement la Sweet

J'ai hâte de voir le combat Den/Revan (vive Revan).
Et bordel laisse HK tranquille
Jamais aucun sac a viande ne le trafiquera

C'est beau l'amour
Vivement la sweet

C'est beau l'amour
Vivement la sweet

chapitre intéressant, qui arrive a point nommé.

Hate de voir la suite

du côté d'Avalane on le savait depuis le début, mais pour Avan je ne sais pas si c'est une bonne nouvelle, ça fait quand même un point faible à exploiter pour ses ennemis tout ça... On verra ça dans la SUITE!!!!

J'ai cru a une suite

Hate de même de voir la suite ;) (Oui hein c'est pas parce que je commente pas qu'il faut m'oublier ;))

Arrêtez de me faire croire a une suite

encore navré pour le retard, j'étais grave occupé, mais la suite est déjà écrite et n'attend qu'a être posté. juste le temps d'une relecture,

Cool
Tu postes ce soir ?

Apparemment non

Den Orion n’avait jamais senti une angoisse si terrible, lui qui s’est entrainé toute sa vie à maîtriser ses émotions, il y a des choses que la force ne peut pas contenir, comme la perte de sa petite fille prise en otage par son abominable frère, il avait une envie folle de dégainer son sabre laser et le couper en deux. Mais il se retenait tant bien que mal. Sa femme Lisa en revanche n’avait pas cette patience, elle tournait et tournait comme une lionne en cage qui attendait de déchainer sa fureur. Debout sur le pont du destroyer de la république baptisé l’Armageddon, Den regardait la flotte se mobiliser pour effectuer le second saut en hyperespace, Revan et sa flotte avaient effectué le premier saut, la première cible était Korriban le fief des Sith. Bien sur les renseignements avaient révéler que les Sith avaient mobilisés toute leur force pour défendre la planète mère. Même si Korriban n’était pas importante comme bastion stratégique, elle constituait néanmoins un symbole, la prendre pourrait donner un avantage psychologique à la république.

L’Armageddon était la réplique exacte du Scorpion, le vaisseau amiral de Chiara Jocasta. Un destroyer de classe Centurion directement sorti des chantiers navals de Kuat. Den contempla le pont du nouveau destroyer, une composition a la hauteur de ce que Chiara a exigé des ingénieurs, une composition figée dans un instant de perfection au parfum de peinture fraîche. Bien sur le nouveau destroyer était plus petit que l’Icarus, mais il avait l’avantage de posséder plus de vitesse et d’agilité que le mastodonte de Revan. Le grand maître avait rassemblé cent chevaliers Jedi et tous se trouvait sur le destroyer, Bao Dur occupait le poste de chef des ingénieurs militaires, le Zabrak était aussi a l’aise avec les machine qu’être confortablement assis sur le siège du conseil. Ce dernier le contacta par Com et lui communiqua que tout était paré pour le saut. Brianna Kae passait en revu l’équipage et coordonnait l’entente entre les militaires et les Jedi, l’Echani portait une armure de combat complète et semblait impatiente de combattre les Sith, bien sur elle aimait la quiétude des archives mais restait une guerrière dans l’âme. Il ressentait sa détermination depuis le pont, elle était prête au combat. Atton Rand se trouvait a ses cotés sur le pont et examinait l’holocarte avec un œil vigilant, il devait s’assurait que tout était sous contrôle, il enseignait toujours la prudence a ses apprentis, leur expliquant qu’il faut toujours se tenir sur ses gardes, chose qu’il n’a pas accompli avec son frère. Atton avait plus d’esprit que Den et ce dernier en était fière, l’ancien contrebandier l’avait dépassé sur cette qualité, de même que Brianna l’avait fait en bâtissant l’ordre Jedi durant son absence. Mira, sa petite Mira si vive et si énergique l’avait dépassé aussi, même si elle reniait Atris elle lui ressemblait sur bien des aspects. Elle se trouvait sur le hangar avec son escadron et donnait des recommandations aux pilotes Jedi de respecter les pilotes Non Jedi et de suivre leurs instructions à la lettre. Den sourit tristement en sentant l’anxiété de Juhani, elle pensait à Jolee Bindo et souhaitait plus que tout sa présence a leurs cotés. Le vieux maître était mort paisiblement une année après la disparition d’Avan, il s’en était allé sans regret, ne faisant plus qu’un avec la force. La vieille garde disparaissait et bientôt lui-même suivra ce chemin. Il sentit soudain une caresse dans la force, Juhani avait entendu ses pensées et lui donna une gentille réprimande, l’ordre avait besoin de lui et avait intérêt a vivre aussi vieux que Jolee. Comme ça il pourra assister aux leçons de sabre laser qu’elle donnera a Taramis.

Den en était ému, il remercia Juhani puis referma son esprit qui laissait un peu trop ses pensées vagabonder. Il jeta un œil a l’équipage puis sur Atton qui lui opina du chef, tous étaient prêts pour le saut, la flotte Hapienne était là, celle d’Onderon aussi, de même que la flotte impériale de l’empire Tétien. Sans oublier la flotte républicaine, Canderous n’était pas venu mais Den faisait confiance au Mand’alor, il ne raterait jamais une bataille comme celle-là. Den donna la passerelle a Atton puis parti arpenter les couloirs et les entrailles de l’Armageddon.

- Général ? Général !

L’officier de pont – le lieutenant Limpat, selon les registres du moment – Un jeune Rodien qui avançait d’un pas rapide sans commettre l’impair de courir.

- Général, reprit-il, la sécurité a une visiteuse là-haut et vous demande. Mais elle refuse de s’identifier.

- Y a-t-il une raison de s’alarmer ? Est-elle armée ?

- Non mon général. Elle s’est présentée comme ambassadrice de l’empire de Koros possédant une immunité diplomatique.

Den leva les yeux au plafond puis fronça les sourcilles. La visiteuse avait une légère sensibilité à la force mais nulle trace de malveillance en elle.

- J’irais donc l’accueillir personnellement. Que le droïde de réception nous serve de la tisane dans ma cabine du jour. Avec quelques confits et une carafe de vin également.

- Très bien, général.

Un sentiment d’optimisme régnait toujours dans un nouveau vaisseau, et Den y était sensible. Les jeunes matelots se plaquaient contre les parois pour le laisser passer, même si il y avait assez de place pour qu’ils puissent se croiser. Il aimait bien les navires de petites taille, ils avaient quelque chose d’organisé et de résolu comme les anciens Hammerhead. L’équipage du navire était assez réduit pour apprendre a connaître chaque individu. Le genre de vaisseau qu’il aimait commander, un authentique navire de combat, juste pour l’excitation que provoquait la proximité avec le grondement mécanique quasi vivant d’une vraie bête de guerre.

Quand la porte s’ouvrit, Den aperçu une femme âgée au visage lumineux qui lui gratifia d’un sourire chaleureux, il lisait du respect dans ses yeux et elle se comportait comme si elle le connaissait depuis des années.

- Général Den Orion, je suis Shel Jelavan. C’est un immense honneur de vous rencontrer.

- Shel Jelavan, fit Den songeur, j’ai entendu parler de votre fondation qui aide les réfugiés de la bordure extérieure, j’admire beaucoup votre travail.

- Ma fondation joue bien des rôles, l’un de ces rôles et la collecte d‘informations.

- Des informations à jour j’imagine, réplique Den sans dissimuler un sourire. J’ai cru comprendre que le siège de la fondation Rogue se trouve sur Koros.

- je vous rassure, je ne fais pas partie des services de renseignement de l’empire. Disons que je travaille pour des personnes qui voient l’ascension de Revan d’un très mauvais œil.

- Ou voulez vous en venir ?

- Oui, le commandant Revan, libéré des entraves de l’ordre Jedi et de l’amiral Jocasta. Tentant de battre le record galactique de la plongée la plus rapide dans l’anarchie et du costume noir le plus classieux. Et vous qui êtes sur votre trente et un pour aller sur Korriban.

- Impressionnant, très impressionnant. Bien sur je ne vous ferais pas l’affront de vous poser des questions sur votre réseau de renseignement.

Shel se mit à rire.

- Je ne révèle jamais ni mon âge, ni mes sources.

- Je vois, que puis-je pour vous ?

- Je sais ce que Revan vous a fait. Dit Shel gravement, prendre en otage votre fille et vous obliger à suivre ses instructions.

- Je ne compte pas suivre aveuglément ses instructions. Réplique froidement le Jedi.

- je sais, mais si je suis ici c’est pour vous annoncer qu’une opération est en cour pour sauver votre enfant, et que vous devez poursuivre votre travail quoi qu’il arrive, sans que Revan se doute de quelque chose.

- Vos gens sont qualifiés pour cette opération ? S’enquit Den. Vous savez donc ou sont Taramis et Elsa Hesse ?

- Nos gens sont plus que qualifiés, dit Shel avec un sourire rassurant. Ne vous en faîtes pas, une fois votre fille et sa tente sauvés nous vous contacteront. Mais si je suis ici c’est pour autre chose avec tout le respect pour le danger que court votre fille.

- Je vous écoute.

- En ce moment et de sources sur, Darth Andeddu à quitter Ziost pour Korriban avec la totalité de ses forces, la bataille sera décisive. Ce que je veux ou nous voulions que vous fassiez c’est de ne pas propager votre compagne militaire sur la Caldeira Stygienne.

- Et pourquoi cela ?

- Vous n’êtes pas prêt, même avec les forces considérables que vous possédez. Je parle des vrais Sith. La république est dans un état désastreux sans oublier les mondes libres épuisés par les guerres précédentes. Avant de combattre l’empire caché des Sith, vous devez d’abord achever la construction de l’ordre Jedi, vous ne comptez qu’une centaine de chevalier et croyez moi ce n’est pas suffisant. La république demeure corrompue et de nombreux mondes ce sont retirés du sénat. En claire vous n’êtes pas prêts.

- Ce n’est pas nouveau, mais si nous n’attaquons pas les Sith maintenant nous courrons a notre perte, et puis ils finiront pas attaquer les premiers.

- Non, ils ne feront pas ça. Je vous rassure. D’après nos estimations ils attendent toujours le bon moment pour lancer leurs invasions à grande échelle. Nous devons donc profiter de leurs hésitations pour reconstruire nos forces, comme ça nous seront prêt a les recevoir comme ils le méritent.

- Je suis déjà allé au combat avec beaucoup moins.

- Et vous avez aussi vu des gouvernements déclencher des guerres sans aucune idée de la manière dont ils veulent la terminer, ni même quoi faire une fois les cibles initiales prises, ne commettez pas la même erreur que l’ors des guerres Mandaloriennes, cette fois vous allez perdre à coup sur

- Qui s’occupe du sauvetage de ma fille ?

- Comme je vous l’ai dis, une personne de confiance. Bonne chance pour votre campagne et que la force soit avec vous.

- Et a vous aussi.

Shel le salua puis se retira en laissant Den songeur. Si cette femme disait vrai alors peut être que les choses ne vont pas aussi mal, sans perdre une seconde il activa son unité COM et :

- Lisa c’est moi, rejoins moi dans l’Armageddon tout de suite, il y a du nouveau.

Mais elle sait tout elle
Elle perturbe les plans de Revan elle doit mourir

certaines personne sortent de l'échiquier, et Shel joue parfaitement le rôle de collecteur d'information, puisqu'elle possède des réseaux partout ou presque dans la bordure extérieur ou républicaine. La suite est pour bientôt, le Miraluka va sauver Taramis mais risque de faire une rencontre fâcheuse, Avalane de son coté s'interroge sur ses sentiments et aussi sur son rôle de coéquipière. mais je ne vous en dis pas plus.

a la prochaine

J'ai hâte
Vivement la suite

Un chasseur sortit de l’hyperespace. Puis se détacha de son anneau hyperspatial et fonça sur Naboo, l’une des planètes les plus paradisiaque de la bordure extérieur. Ione avait était appelé par Anson Gates, son petit ami. Ce dernier l’avait intimé de venir au plus vite. Il était sur une mission secrète et réclamait son aide sur le champ. La jeune femme avait fait le mur et n’a donc pas participé au rassemblement des chevaliers pour la grande offensive. Il n’y a pas une chose qu’elle ne pouvait refuser a Anson, ce dernier lui avait redonné vie et elle lui sera éternellement reconnaissante. Mais Ione sentait quelque chose d’étrange dans la force, pas un danger mais un malaise. Comme si elle s’apprêtait a faire une chose déplaisante. Elle sonda les alentour mais ne trouva aucune menace, Naboo est en paix et ne peut donc pas être menacé par les Sith. Pourquoi ce malaise alors ? Et pourquoi Anson se trouvait sur Naboo ? La planète natale de Lisa Hesse, quelque chose cloche et elle doit en avoir le cœur net.

Le chasseur pénétra dans l’atmosphère et Ione jeta un regard aux coordonnés d’Anson. Ce dernier lui a donné un emplacement déroutant. La région des lacs, d’après ce qu’elle savait c’est la région natale de Lisa, qu’est ce qu’Anson faisait là bas ? C’est à n’y rien comprendre, et puis son malaise grandissait, elle vit une immense ferme, surement la plus grande de la région, des Iriaz courraient librement a quelques lieu, cet endroit respirait la tranquillité, un emplacement idéal pour reposer son esprit. La chasseur atterrit et Ione sauta a terre tout en jetant un regard circulaire. Des yeux l’observaient et tous étaient hostiles, elle marcha en regardant droit vers elle puis sans crier gare elle activa sa lame violette et dévia un tir au Blaster puis un autre, ils étaient embusqués et parfaitement positionnés, pas des amateurs c’est sur. Mais une chose étrange, les tires étaient destinés a l’assommer et pas la tuer, en tout cas pas question qu’elle se laisse assommé par ces types.

- Ione, non ! S’écria une voix familière. Tu ne comprends pas.

Ione comprenait qu’on lui tirait dessus, elle renvoya un autre tir quand Anson sortit de la maison en hurlant de cesser le feu, les tires cessèrent mais Ione bondit dans les airs et atterrit derrière un tireur et lui pointa sa lame dans sa nuque.

- On ne bouge plus !

- Il suffit capitaine Da Boda ! Aboya une femme d’un ton sec.

Jeln Katic sortit de la maison et fit signe aux Venoms de baisser leurs armes. Ione désactiva son sabre sans le ranger a sa ceinture. Qu’est ce que cette femme faisait ici ? Et que font les Venoms dans la ferme des Hesse ? De plus revoir cette femme froide et sans scrupule ici ne lui disait rien qui vaille, quelque chose clochait, elle jeta un regard furieux a Anson et ce dernier ouvrit les bras innocemment.

- J’exige des explications, aboya Ione froidement.

- Mes hommes ne cherchaient qu’à vous assommer, Jedi Da Boda. Mais il faut dire que votre entrée était fracassante.

- Et pourquoi vous cherchiez a m’assommer ? On est du même coté que je sache, a moins que vous n’appréciez toujours pas que le maître Orion vous a fait retirer des opérations spéciales.

- Le maître Orion est un imbécile.

Ione activa sa lame violette et les Venoms braquèrent leurs armes sur la jeune femme, mais Anson s’interposa rapidement.

- Hé ho ! Calmos les gars, Ione a raison on est du même coté, et c’est moi qui l’ai appelé, ok ? Alors on se calme. Le commandant Katic ne voulait pas insulter ton maître, Ione. C’est juste qu’on est sur les nerfs, c’est tout. Pas vrai commandant ?

Katic resta silencieuse un moment puis sourit et leva les bras.

- Je vous présente mes excuses, Gates a raison. Nous somme a cran et je dirige mon anxiété contre vous et ce n’est pas correcte.

- Excuse acceptée. Réplique Ione froidement.

Elle baissa son sabre sans le désactiver pour autant, elle s’est toujours méfier de Katic, son sourire aurait fait passer de la glace pour des charbons ardents.

- Que faites vous dans la ferme des Hesse ? Demande Ione toujours sur ses gardes.

- Nous assurons tout simplement la protection de la famille de votre maître adorée. On ne sait jamais à qui les Sith vont décider de s’attaquer, dit-elle.

Le sang de Ione ne fit qu’un tour, et se retint de justesse d’expédier cette garce contre le mur en pierre derrière elle.

- Vous avez pris la famille de Lisa Hesse en otage, vous avez cru que le maître Orion m’avait envoyé les délivrer, c’est pour ça que vous m’aviez attaqué, bande de lâches.

- Inutile de voir les choses ainsi, mais il serait bienvenue de me donner votre sabre avant qu’il ne se produise un… malentendu.

Elle tendit la main vers le sabre laser de son interlocutrice.

- Ça ne risque pas d’arriver, lança Ione. Mais je vais vous donner une heure a vous et a vos homme de déguerpir d’ici en vitesse.

Cette fois, Katic ne souriait plus.

- J’ai bien peur que cela n’arrive pas non plus. Le commandant Revan m’a confié la sécurité de cet endroit et de tous ceux qui se trouve à mon bataillon. Et je ne manquerai pas a mon devoir… peu importe qui se trouvera pris dans les feux croisés.

Katic tendit son bras en direction de l’homme qu’Ione avait tenu en joug. Un Blaster dissimulé dans sa manche jaillit pour se nicher au creux de sa paume. Un éclaire vint frapper le soldat en plein visage, Ione poussa un cris de surprise et Anson baissa la tête. Katic se contenta de tourner les yeux vers Ione en souriant.

- Comme je l’ai dis, peu importe qui se trouvera pris dans les feux croisés.

Ione regarda cette femme comme un insecte qu’il fallait écraser, puis désactiva son sabre laser, mieux vaut ne pas lui donner une raison de tuer a nouveau, elle est cinglée sur tout les bords, comment Revan pouvait faire confiance a une sociopathe ?

- Je vous donnerais mon sabre a condition de voir les otages.

- N’ayez crainte, ils sont toujours en vie.

- Peut être bien que oui, peut être bien que non. Mais je veux voir les otages de mes propres yeux.

Katic la regarda un moment et Ione se prépara a bondir si jamais elle donnait l’ordre de tirer, mais elle lui sourit et opina du chef.

- Gates, accompagnez la Jedi Da Boda, une fois qu’elle aura examiné les otages, confisquez lui son sabre.

- A vos ordres commandant, fit Anson. Aller viens Ione.

- Vous autres redéployez vous, ordonne-t-elle froidement.

Ione fit quelque pas avec Anson en direction de la ferme puis le regarda dégoutée.

- Je n’arrive pas à croire que tu cautionnes tout ça. Mettre des civiles en otage pour faire pression sur un général de la république galactique.

- Un Jedi. Corrige Anson gravement.

- Peu importe, explose Ione en colère. Et je te rappelle que je suis aussi une Jedi, et puis pourquoi tu m’as appelé ?

- Je t’ai appelé pour que tu nous aides avec l’un des otages. Réplique Anson a voix basse, et oui je cautionne tout ça parce qu’Orion ne nous laisse pas d’autres choix, je suis soldat et j’obéis aux ordres.

- Quand un ordre est aberrant tu as le devoir de désobéir, et qui est cet otage qui t’oblige a appelé un chevalier Jedi ?

Anson lui fit signe de le suivre, en entrant dans la maison Ione détecta une forte présence dans la force, en montant a l’étage elle aperçu d’autres Venoms qui montaient la garde devant une porte, trois devant la fenêtre et deux autres devant une autre chambre, qui que ce soit il devait être dangereux pour déployer autant de Venoms. Surement un des membres de la famille Hesse, Ione imaginait un grand frère soldat ou un père vétéran des guerres Sith, après tout cette famille a donné naissance à l’une des figures les plus emblématiques de l’armée de la république galactique, et de l’ordre Jedi également, puisqu’elle est l’épouse du grand maître de cet ordre. Gates ouvrit la porte et là Ione aperçu quatre personnes a l’intérieur. Un vieil homme au regard farouche, le même qu’avait Lisa quand elle descendait quelqu’un. Monsieur Hesse, la deuxième était une veille femme qui la regardait avec espoir, une vieille femme fragile incapable de faire de mal a une mouche, madame Hesse. La troisième était une jeune femme brune qui tenait une enfant dans ses bras. La jeune femme était jolie et ressemblait a Lisa sans l’égaler en beauté, elle devait être sa sœur ou une cousine. Ione les regarda un moment puis se tourna vers Anson.

- Tu as déployé des Venoms pour garder cette pauvre famille sans défense ?

- Ce n’est pas la famille qui pose problème, mais elle. Fit Anson en désignant la jeune femme.

Elle serra la petite fille dans ses bras, Ione fronça les sourcilles. Elle n’a pas l’air aussi dangereuse. Mais sentit un mouvement dans la force. Ce n’est pas la jeune femme qu’Anson et les Venoms redoutaient, mais la petite fille innocente qui regardait Ione de ses yeux limpides. C’était une magnifique petite fille, au petit nez et aux cheveux châtain hérités de sa mère. Elle nota aussi cette étincelle étrange dans le regard qu’elle avait si souvent vu dans les yeux de Den.

- Vous êtes une Jijidi ? Demanda Taramis en souriant innocemment.

- Oui ma chérie. Dit Ione en souriant.

- Tu vas nous sauver ?

Ione sentit quelque chose d’étrange, sans le vouloir ou le sentir. Taramis utilisait la persuasion de force, bien sur elle ne marchait pas sur elle mais Ione était abasourdie, cette fillette avait une connexion incroyablement puissante. Elle comprenait pourquoi les Venoms étaient sur leurs gardes, elle pouvait les inciter à la sauver. D’instinct elle pouvait sentir le danger ou les personnes faibles d’esprit.

- Personne ne te fera du mal. Répondit Ione gravement. Je te le promets.

La fillette l’examina un moment puis se blottit dans les bras de sa tente. Ione se leva et fit signe a Anson de la suivre, ce dernier ferma la porte de la chambre et donna des instructions aux Venoms de ne laisser entrer personne sous aucun prétexte. Ione décrocha son sabre et le lui donna.

- Personne ne touchera a cette enfant, tu me comprends ?

- Katic ne l’entend pas de cette oreille, elle est dangereuse, et tu sais combien elle est méfiante, ce qui veut dire que si jamais un autre Venom perd la tête…

- C’est la fille de Den Orion et de Lisa Hesse, est ce que tu comprends ? Inutile de te dire que Den Orion ravagerait cette planète en entier si jamais il i arrivait quelque chose a sa fille, et je ne parle pas de Lisa Hesse, même un Jedi serait incapable de l’arrêter.

- C’est pour ça que je t’ai fait venir. Pour éviter que ça ne tourne a la catastrophe.

- C’est déjà trop tard. Fit Ione en sentant un trouble dans la force.

Excellente suite continue comme ça !

Super suite

Pour la 515eme fois, excellente suite Tamène, dit tu as gardé tous tes posts? Tu as jamais pensé à faire un livre avec commencement 1 2 et 3?
Si c'était possible je récupèrerai tous tes posts je ferai une compil, je passerai un coup de vérificateur d'orthographe et de syntaxe et je relierai tout ça après avoir tué mon imprimante et j'aurai au final un joli bouquin au pied de mon lit