le communisme est un rêve...
et les historiens de gauche ça pullule ...
Alalala, les vieux clichés
Que penses-tu de Marx, Lénine et Staline ?
L'URSS n'a-t-elle pas appliqué de manière réaliste la dictature du prolétariat, expliquer par Marx ? Quitte à user de la force.
Si le Grand Soir, doit avoir lieu au 21ème siècle, où a-t-il de grande chance de se faire ?
Que penses-tu des révolutions arabes ? Le peuple ne risque-t-il pas de troquer une dictature despotique par une dictature théocratique ?
Pourquoi on observe un ras-le-bol économique du peuple en Israel, Espagne mais cela va-t-il également toucher l'Europe de l'Ouest ?
Aussi, comment veux-tu que l'anarcho-communisme progresse, si aucun parti ne se fédère autour de cette idée ?
Toujours aucune réponse Windaube...
J'ai tellement la flemme de répondre vu que j'ai déjà expliqué 40 fois ma position sur ces questions sur le FoPo
Tu rigoles, j'ai posté plusieurs fois ces questions, tu ne veux vraiment pas me répondre ? A chaque fois, tu les nies. Je ne te demande pas, de pondre un pavé.
"c'est une société sans Etat fondée sur la propriété privée des moyens de production."
Mais c'est marrant. J'avais déjà réfléchi vaguement au fait d'être éduqué - ou non - par ses parents. Parce qu'en criminologie, la place des parents, du parenting et autres facteurs familiaux est une chose prépondérante dans le comportement délinquant. Quand on voit ça, on se demande ce que ça donnerait un gosse élevé par "la société". Sans trop y regarder on pourrait se dire que ça virerait tous les problèmes liés à un parenting pas adapté, à une discipline trop stricte ou erratique, ou par exemple le problème de la vulnérabilité sociétale. J'ai - personnellement - tendance à croire que ça ne changerait rien. Le même schéma peut être reproduit avec des parents de substitution (profs, éducateurs, ...). Mais mes connaissances sont vagues sur le sujet.
Au niveau idéologique, donc de l'influence des parents, je pense - toujours personnellement - que ça ne changerait rien. Un éducateur peut, tout autant que des parents, influencer l'enfant dans ses idées, dans son style de vie et sa manière d'être. Personne n'est objectif, encore moins dans la amnière dont on s'occupe d'un enfant.
"1) Les concours d'école de journalisme, c'est à bac+3 "
Oui et non. Tu peux passer le Celsa après deux ans de prépa par exemple. Après c'est sûr que si tu parles du concours ESJ-CFJ oui c'est minimum bac +3.
"2) Une licence d'histoire, en terme de connaissances et de méthode rédactionnelle, c'est mieux qu'une prépa."
Non pas du tout. En histoire je pense pas que tu acquiers les connaissances que tu peux avoir en littérature et en philo. Sans côté les langues, épreuve loin d'être négligeable aux concours.
"3) J'aime pas la mentalité de prépa. En licence d'histoire, tu es libre de faire ce que tu veux. "
En quoi tu n'es pas libre en prépa ?
Il faut arrêter avec les préjugés sur la prépa, il y a une bonne mentalité, sauf si tu vas dans une école classée dans le top 10.
"il y a une bonne mentalité, sauf si tu vas dans une école classée dans le top 10."
Pour avoir discuté avec des gens qui y sont, il y a aussi une bonne mentalité dans ces prepas. Et t'as des cons partout.
La mentalité est bonne dans la plupart, c'est bien souvent plus soudé et avec une meilleure ambiance que la fac (pour avoir testé les deux).
Quand je parle de mentalité, je parle pas des gens qui seraient sympas ou non.
J'aime juste pas cette mentalité de te donner énormément de travail comme si tu étais capable de retenir, sur le long terme, autant d'information qu'on te donne.
Sans parler du fait qu'on ne rentre absolument pas dans les détails des sujets qu'on étudie en prépa vu que ce n'est pas spécialisé (par exemple en histoire.
Ensuite oui en Prépa tu as moins de liberté qu'en fac puisqu'à la fac c'est toi qui choisit ton emploi du temps, en fac tu as (durant les 2 premières années) la moitié de tes cours qui sont des amphis donc tu peux choisir d'y assister ou non, si tu trouves que le prof' est naze tu peux choisir de pas aller au cours et de remplacer ce cours par une lecture d'un manuel avancé d'histoire, etc..
Sans parler de l'obsession de la notation en prépa.
C'est marrant, nous on n'a pas cette liberté.
On n'a pas pas de note de cours.
"Sans parler du fait qu'on ne rentre absolument pas dans les détails des sujets qu'on étudie en prépa vu que ce n'est pas spécialisé (par exemple en histoire. "
T'as quand même 5 heures d'histoire par semaine (7 personnellement) donc tu vois pas mal de choses et t'approfondis. Mais après t'as des enseignements que la licence néglige totalement tels que la philo, littérature (pour la capacité de réflexion et les connaissances) ou les langues étrangères qui sont aussi importants aux concours de journalisme.
"c'est sûr qu'avec du prêt-à-penser libéral on s'en sort mieux, sachant que ça tient des discours rôdés depuis des siècles et que ça domine une bonne partie du champ intellectuel"
C'est qui le nouveau qui sort ce genre de conneries ? Kahau c'est bien ça ?
Mais bien sûr, l'idéologie néolibérale est dominante dans le monde entier ! bla bla bla.
T'as quand même 5 heures d'histoire par semaine (7 personnellement) donc tu vois pas mal de choses et t'approfondis. Mais après t'as des enseignements que la licence néglige totalement tels que la philo, littérature (pour la capacité de réflexion et les connaissances) ou les langues étrangères qui sont aussi importants aux concours de journalisme.
Toutes les matières que tu dis, tu peux très bien les prendre en UE (obligatoire) à la fac
Je sais que notamment à Paris 7 beaucoup font un parcours Histoire/Anglais (j'aurais du faire ça mais bon, j'avais la flemme.. )
Ah le communisme, cette utopie si charmante... Bonne interview.
Hum pourquoi les Historiens ne peuvent pas être politiquement neutrres?
windaube ! La photo de nous, t'en as fait quoi ? ^^
Avec le stal derrière