la 4)

je pense qu'il y a une majorité d'inconscient sur ce fofo^^

tu m'étonnes ! ;)

J'ai eu un crash du PC hier soir, désolé ! J'essaierai ce soir.

Ferocimo==>ok, no soucis
playmo54==> en fait on la fic se finira ce soir, on se fera descendre . XD. a force de tout faire peter...mais c'est plus fun...ce qui est le but aussi^^

lol, c'est un peu le but du jeu pour nous, les voteurs
alors, je me demande ce qui va se passer

salut je suis nouveau sur ce forum et depuis cet aprem j'ai lu le topic en entier et je trouve que ta fiction est geniale, Ferocimo
sinon je vote le 4 comme tout le monde ^^

La 4, à l'unanimité, bande de curieux impitoyables.

Vous regardez Gueyeran, un sourire méchant aux lèvres. Derrière vous, des gardes tentaient de forcer la porte.
-Tu sais quoi ? Moi je pense que c'est toi le fourbe. Baline est peut être un traitre, mais toi, une chose est sûre : t'es un faux-cul. Un faux-cul mort.
Une terreur indescriptible s'empara de Gueyeran. Le fixant impitoyablement, sans vous départir de votre sourire, vous sortez votre silencieux et videz votre chargeur sur l'homme. Le corps fut parcouru d'un dernier soubresaut avant de s'immobiliser définitivement. Un gâchis de munitions, certes, mais cet enfoiré le valait bien.
Beniope vous regarde avec une crainte respective, tandis que vous fouillez le corps de Gueyeran. Dans l'une de ses poches, vous trouvez dans l'une de ses poches une petite bourse contenant cinq diamants, ainsi que la clé ouvrant la mallette. Vous dirigeant vers cette dernière, vous sortez la clé d'un air déterminé. Après une courte hésitation, vous ouvrez la mallette d'un geste rapide et y découvrez deux enregistrements audios, comparables à ceux du journaliste au Mike's Bar.
Vous regardez les dates inscrites sur les enregistrements : l'un datait de trois ans tandis que l'autre, tout récent, datait de quelques jours. Vous prenez le plus ancien et l'écoutez, pour entendre la voix de Rayan Baldwin :
"Tamanos est mort. Mon boulot ici est terminé. Mais je ne peux pas retourner chez moi. Je n'ai plus de chez moi. Je pense que je vais m'installer ici, voir si un autre connard va prendre la place de Tamanos. Y aura toujours une ordure pour se croire mettre du continent. Faudra que je surveille son associé, Matador. Il s'est taillé quand ça a commencé à sentir le roussi. Mais je me fais vieux : je vais peut être monter une entreprise de guide dans la région, vu que je la connais comme ma poche. Je changerai de vie. Je changerai de nom. C'est ici que tout s'arrête. Mais je prendrais un nom qui ressemble au mien. J'aime bien Rail Baline..."
Rail Baline. Rayan Baldwin. Bien sûr ! Vous frappant le front, vous vous demandez comment vous n'y avez pas pensé avant. Les indices étaient flagrants : sa surprise, en reconnaissant la cassette, lors de votre dernière visite chez lui. La ressemblance entre les deux voix. Les références nostalgiques qu'il faisait à propos d'un mystérieux passé mouvementé. Ça ne pouvait être que lui.
Vos pensées furent interrompues par un bruit strident venant de la porte. Des étincelles jaillissaient de cette dernière. Ils découpaient la porte ! Empoignant le client, vous récupérez les deux cassettes et les diamants et ouvrez l'une des fenêtres. En bas, le sol dur et ferme vous narguait par sa dangerosité à une telle hauteur.
-Vous n'allez pas sauter, j'espère ? demanda le client, terrifié.
-Non, lui répondez-vous. Vous allez faire exactement comme moi : nous allons agripper la corniche du toit, et nous rentrerons de nouveau dans le bâtiment par la fenêtre ouverte que je vois là-bas.
-Mais c'est affreusement risqué ! se plaignit l'homme.
-Arrêtez de pleurnicher et suivez moi.
Enjambant la fenêtre, vous saisissez la corniche, testez sa solidité, et vous suspendez au-dessus du vide en vous accrochant au toit. Panoa vous rejoignit, juste au moment ou la porte céda. Dégoupillant une grenade, vous la jetez dans le bureau avant de commencer à vous déplacer vers la gauche. L'explosion retentit au moment ou Beniope se décala de la fenêtre. Un souffle brûlant jaillit de cette dernière, emportant les cris des gardes dans le vent. La corniche, bien qu'ayant vibré dangereusement, avait tenu le choc. Aussi continuez vous de vous déplacer vers la fenêtre entrouverte de la pièce située quelques mètres plus loin du bureau de feu Gueyeran. C'est alors qu'en regardant en bas, vous remarquez un container de poubelles ouvert un peu plus loin. Regardant plus attentivement autour de vous, vous repérez également une échelle conduisant au toit, sectionnée à mi-hauteur, vous empêchant de l'utiliser pour descendre. Vous ne pouviez pas la voir depuis la fenêtre du bureau, et après une courte réflexion, vous décidez de :

1-)Continuer jusqu'à la fenêtre et rentrer à nouveau dans le bâtiment.
2-)Sauter dans le container puis vous mettre à l'abri avec Panoa.
3-)Prendre l'échelle conduisant au toit.

2)

3 pour sniper ceux qui découpent la porte

nan, moi je choisis 2)

1)+:on prend les gars a revers. -: la goutiere cede
2) +: on peut se cacher. -: on risque de se blesser
3) +:on a une vue d ensemble et on peut trouver un issue. -: on est pris au piege

Dinc rectification je prend 3. Desole.

ouais c'est cool pour le 3
enfaite c'est du far cry avec un peu de tom clancy et sa c'est bien

Fallofdeath : On pas pris au pièg puisqu'on peut redescendre. Après avoir sniper tout le monde bien sûr

Me faut un vote de plus, c'est deux pour la 2-) et deux pour la 3-) là. Si vous ne choisissez pas rapidement, je départagerais.

On saute dans la benne mais sur le toit. Lol.

Je choisis aussi la 3

Je ferais donc la 3, demain sans doute, après-demain au plus tard.

Parfait
Et dépêche-toi!

Tiens, petit impatient ! La 3.

Vous sautez sur l'échelle en vous rattrapant de justesse, suivi de prés par un client terrifié.
-On court à notre perte, gémit ce dernier.
Sans lui prêter attention, vous entamez votre ascension pour vous retrouver sur le toit de l'immeuble. Un garde était penché dos à vous un peu plus loin, contemplant le fourmillement d'hommes en armes plus bas. Vous courrez vers lui et sans lui laissez le temps de se retourner, le poussez dans le vide. Son hurlement fut interrompu par une rencontre brutale avec le sol. Des balles fusèrent dans votre direction. Vous regardez autour de vous et ne voyez qu'une grande antenne GSM dominant de sa taille le toit du bâtiment. Elle se trouvait au bord de celui-ci, juste à coté d'une trappe. Panoa à votre suite, vous tentez d'ouvrir la trappe, sans succès : elle était verrouillée, et les clés se trouvaient sans doute sur le garde qui mordait la poussière, un peu plus bas.
Regardant vers l'antenne, vous remarquez que la base de celle-ci était rouillée et fragilisée. Vous vous penchez par dessus la rambarde, et voyez un grand séquoïa géant, tanguant paisiblement au rythme du vent. Un plan commençait à germer dans votre esprit.
-Vous, venez avec moi, ordonnez-vous à Beniope. Nous allons grimper en haut de cette antenne.
Ignorant les protestations du client, vous l'empoignez et commencez à grimper. L'édifice gémissait et craquait, vibrant dangereusement sous le poids inhabituel. Arrivé en haut avec Panoa, vous saisissez votre silencieux, et après une prière tirez dans la base de l'antenne. Après un craquement assourdissant accompagné par le hurlement de Panoa, la construction se mit à pencher vers le vide.
Attendant, attendant encore, vous attrapez le client et sautez de l'antenne pour vous réceptionnez brutalement dans le séquoïa géant. Après une chute de branche en branche, vous et Beniope attrapez une liane pour stationner à mis hauteur entre le sol et la cime de l'arbre. L'antenne GSM continua sa chute inexorable, pour s'écraser brutalement en plein sur une citerne de gaz. L'explosion brisa toutes les fenêtres de l'immeuble et mis le feu à ce dernier et à la jungle environnante. La liane fut violemment secouée, pour finir par céder. Le temps sembla s'arrêter. Des hurlements provenait du bâtiment, tandis que vous et Panoa chutaient vers le sol. La réception brutale interrompit ce moment au ralenti pour vous ramener à la réalité, et à la vive douleur qui vous lançait dans tout le corps. Votre vision fut brouillé par une nuée de points noirs, et un choc mou acheva de vous plonger dans l'inconscience.

Chapitre 3 : La Traque.

Vous vous réveillez, une douleur lancinante vous torturant, une dizaine de minutes plus tard. Vous regardez autour de vous et apercevez une énorme colonne de fumée un peu plus loin, accompagné du son strident de l'alarme des pompiers. Panoa se dirigea en boitant vers vous.
-Je vous ait trainé jusqu'ici, loin de l'agitation. C'est un véritable enfer, là-bas. Des hommes en feu se jetaient des fenêtres, et l'énorme panneau de l'entreprise est tombé sur le van contenant les survivants. Les pompiers et la police sont arrivés, et je me suis dit qu'il était préférable de décamper. Je suis désolé, mais je suis atterri sur vous lors de notre chute... Vous allez bien ?
Vos blessures parlant pour vous, le client reprit :
-Je vous ait fait quelques bandages avec des bouts de votre chemise. Je crois que vous vous êtes cassé le bras. Vous êtes dans un sale état, il faudrait mieux allez voir quelqu'un pour vous soigner.
Plongeant votre main valide dans votre poche, vous sortez les deux enregistrements. Le plus vieux, bien que cabossé, fonctionnerait sans doute encore. Le second, en revanche, était dans un sale état : la bande dépassait du boitier tordu, des morceaux de plastiques jaunes pendant tristement de l'audio. Il allait falloir trouver quelqu'un pour le réparer.
Réfléchissant, vous décidez :

1-)D'aller à Pala trouver le prêtre pour vous soigner, puis de chercher quelqu'un pour réparer l'enregistrement.
2-)D'aller au Mike's Bar chercher quelqu'un capable de vous soigner, et de demander au journaliste de réparer l'audio.
3-)D'aller trouver les pompiers pour vous soigner, et de demander à un expert de la police de réparer l'enregistrement.