Zut, j'avais écris une histoire pendant
45 min et mon ordi a pas sauvegarder les données ...

Je la tenais entre mes mains! Enfin, après des recherches poussées à l'extrême, un travail acharné et quelques meurtres, cette fameuse potion aux origines obscures mais capable de guérir n'importe quel mal allait remettre sur pied le forgeron.

Ensuite? Du Rhum, des Femmes, de la Bière, non de Dieu!

Euh non, ça c'est encore autre chose...

Ensuite? Ensuite nous nous rendrons sur le champs de bataille verser litres de sang, arrachant membres en tout genre et nous accouplant à tous les Wyverns passant par là, afin de créer une espèce capable de conquérir la planète!

-KAAAAAAAAKAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRR
RRRRRRRRGHHHHHHHHHHHHHHH

Oh, ça? Ce n'était qu'Elektro. Qui courait vers moi? Oui, vers moi, le problème c'est qu'il ne s'était pas arrêté et nous avions perforé pour la énième fois un mur du village. A l'instant même où j'avais entendu la première syllabe, je savais que c'était fini. J'avais alors eu le temps de me retourner et, alors que quelques secondes plus tard je serais en train d'essayer de l'égorger, j'avais pu contempler sa tête, prête à percuter mon front à une vitesse surréaliste. Elle ressemblait à si tromper à ça.

http://wildexperience.files.wordpress.com/2009/03/affiche-las-vegas-parano.jpg

Je me relevai avec peine.

-Hé Kakashi, on pourrait faire du plâtre notre plat typique

-GrrrorkfozkmemeKFpapfaokeokokpo ekalfek !

- ... On ne parle pas la bouche pleine!

-J'vais t'en faire bouffer du plâtre gros crétin, tu viens de détruire notre seule potion antique, on pourra pas réveiller l'autre tocard!

-Quoi!? Mais qu'est ce que t'as foutu, comment t'as fais pour la détruire? T'es vraiment à chier comme chef!
Je pense que c'est quand il a vu que je tremblais un peu trop, avec une écume de bave dégoulinant de ma bouche, les yeux capable de tuer un Mosswine en rut qu'il comprit qu'il était clairement dans la merde. Ou peut être au moment où ma lame glissa sous sa gorge, je ne me souviens plus très bien.

-Kaaaaakaa...nnoon groumblblblblblblblblllll...

Et alors qu'il suffoquait il lâchât un pet immonde. Une idée de génie si je puis dire. Je relâchai prise et partis à la recherche du Piment Légendaire qui pourrissait dans les cuisines. Quand il le vit, Elektro eu l'air effrayé.

-Non...Quand même pas....

-Si, on a plus le choix, sinon on y passe tous!

-Mais la dernière fois, on en a eu assez pour construire l'Eglise!

-Je sais...C'était d'ailleurs très rude...Allé, donne les moi!

D'une main tremblante, il me les tendit : ses laxatifs. Combinés avec un bout de ce piment, ils deviennent des Méga laxatifs, et ont des propriétés digne d'une constipation de Lao.

Une fois la mixture prête, nous nous dirigeâmes vers l'infirmerie. Après un dernier regard, je fis ingurgiter la potion au malade. Dès lors, son ventre se déforma, comme si un alien y habitait.

-A COUVERT, hurlai-je à Elektro.

Les murs prirent une teinte noirâtre, un gaz hautement corrosif et toxique envahit l'air. On y voyait pas à dix centimètres. La cadence des rejets d'origine anaux donnait l'impression d'être dans un champs de fusarbalète. Tout était chaotique. Au loin, j'entendais Elektro crier. Tout se troublait autour de moi, et tel une bête sauvage, je tapai sur les murs, espérant les faire céder.

La folie s'empara de nos corps quand un liquide vaseux nous projeta contre le mur. Impossible de lutter, nous dûmes lutter en attendant la fin, priant tous les Dieux imaginables.

Je vous épargnerai plus de détails. Quelques heures plus tard, nous étions sortis de toute cette merde.

-Salut Papy.

Le forgeron était sur pied, mais d'après lui, il se sentait "vidé".

-Hmm? Qui t'es toi?

-J'suis Kakashi, l'chef, le big boss, ok? Maintenant tu te lèves, tu fous la forge en route et on va zigouiller tout l'tralala dehors.

-Mouarf...Pas envie aujourd'hui...Peut être demain, peut être pas.

-C'est pas une question d'envie, si tu te bouges pas ton cul, on est mort, et en l'occurrence c'est moi qui vais t'le bouger!

-Non.

-Ecoute le nain, on t'a sauvé la vie, certes après t'avoir foutu dans le coma, mais c'est pas un vieillard qui m'arrive à peine aux couilles qui va faire sa loi.

-Et depuis quand t'as des couilles?

-A...rglkzlklkrokfeogkoakoko *pilule anti-stress*

-Laisse moi faire Kakamou, les durs à cuire ça me connait.

C'était Elektro. Il avait un air des plus sérieux. Notre péripétie à l'infirmerie l'avait transformé. Il se rapprocha lentement et, les yeux dans les yeux, il prit la parole.

-Wirk!

A cet instant, la mine austère du forgeron se changea en grand sourire, les yeux pleins de larmes. Il prit dans ses mains celles d'Elektro et les serra avec passion.

-Grand fou! C'est parti, faites chauffer le charbon, on va y foutre le feu à cette forge!

Je restai seul, incrédule.

-----------------------

Quelques heures plus tard, j'étais dans le QG top secret, une chope dans les mains. Un inconnu pénétra dans l'enceinte, sur de lui. Il s'assit à ma table et prit la parole.

-Hé...Hé! Hé l'ivrogne? Putain mais vous êtes sur c'est lui le chef du village?

-Kessssssstum'veuxwaaaaaaaaaaaa !

-Hem..Je suis le noble Mana. Tu as sans doute déjà entendu parlé de moi et de nombreux de mes exploits. Je veux bien être le chef désormais, si tu me le demandes.

-Dégage cloha...chola...clochard, j'ai jamais entendu parlé de toi, dis-je avec courtoisie, les yeux vitreux.

-C'est à dire que..Je sais pas où dormir moi ce soir.

-Va là haut j'te dis, tuer les Barroth, parce que boue dans l'eau mauvais pour la peau..hic'

-Une mission de sauvetage hein? Je deviendrai le nouveau héros du village si j'accepte.

-Gaffe aux momomomonstres...Elektro...ELEKTROOOO! Toi montrer lui chemin pour les barroths.

-Les quoi?

-Les barroths.

-Les quoi?

-Les barroths.

-Les quoi?

-Les barroths.

-Les quoi?

-Bon vas y là! Au loin, 2 Barroth, boue dans l'eau, l'eau va dans notre village, la rivière plus bonne, nous plus d'eau, en route.

- Suis-moi, le nouveau.

Celui qui venait de me parler était Elektro. L'ami du chef ivrogne. Chef qui venait d'ailleurs de s'écrouler de tout son poids sur la table, renversant ses bières.

Je suivit donc celui qui venait de m'adresser le parole, et nous franchîmes la porte. D'après ce que j'avais compris des borborygmes de l'alcoolique, nos cibles étaient deux Barroths.

J'essayais d'afficher un air sûr de moi. Pourtant, je n'en menais pas large. Je n'avais aucune idée de ce que pouvait bien être le monstre. Je n'en connaissais pas beaucoup, faut dire.
A part les Jaggis, les Grands Jaggis, et les Qurupeco..

Elektro marchait d'un pas vif. Une douce odeur de merde le suivait constamment, m'obligeant à froncer du nez.
Nous passâmes devant une forge, ou un vieux, du taille ridiculement petite, martelait du métal.

Je le saluait, désirant avoir une bonne réputation dans le village. Pour une raison inconnue - mauvaise humeur, ou tout simplement ne m'avait-il pas entendu - il ne répondit pas. Bon. Tant pis.

- Ça fait combien de temps que tu chasses ?

Je tournai vivement la tête, pour regarder Elektro. Mon cou craqua violemment.

- Aïe ! Euh... Une semaine, je crois.

Il s'arrêta net. Ses yeux me fixaient, comme s'il cherchait à savoir si je me foutais de lui.

- Une semaine. Et tu comptes te faire deux Barroths ?
- Oui, j'en ai bien l'intention. Sauf que je ne sais absolument pas ce qu'est un >Barroth, répondis-je, gêné.
- Ahem. Putain, mais comment on fait pour être con comme ça..
- Oh ! Je te permets pas. J'ai déjà niqué un Qurupeco, alors, le Barroth, même si je sais pas ce que c'est, il me fait pas peur, hein.
- Vraiment ? Dans ce cas, je vais te laisser les affronter.

Nous reprîmes la route. Un silence froid s'installa, uniquement troublé par le bruit feutré de nos pas. Je ne vais pas vous le cacher. La route fût longue. Et chiante. Marcher une heure et demie avec un crétin devient vite lourd.

Elektro marchait devant moi. Le chemin était poussiéreux. Et je prenais toute la poussière qu'il soulevait dans la gueule. Elle se collait à moi. Je toussotai relativement fort plusieurs fois, dans l'espoir de lui faire comprendre qu'il aurait été préférable qui se décalât d'un pas sur le côté afin de me laisser respirer.
Il n'en fit rien.

Puis, d'un coup, sans prévenir, il s'arrêta. Moi qui marchait la tête baissée, pour ne pas me prendre de poussière dans les yeux, lui rentrai dedans.
Il tomba, et m'entraîna avec lui. Nous roulâmes l'un sur l'autre, sur des graviers.

- Aïe.
- Ouïe.

Nous nous arrêtâmes au bord d'une large mare de boue. Je jugeai le moment opportun pour essayer de reprendre la conversation.

- Désolé, lâchai-je.

Je vous l'accorde. C'était pas très développé, ni très recherché, mais j'avais déjà fait plus d'effort que lui. Il me regarda, d'un air hautain. Et se retourna sans répondre. Merde.

Il fait la gueule ou quoi ? Juste parce que j'ai tué un Qurupeco ? Il est chasseur depuis longtemps, et n'a tué au mieux qu'un Grand Jaggi, pensai-je. La conclusion que je tirai donc fût qu'il était jaloux. Je le regardai, et ricanai.

Il se retourna surpris.

- Les deux Barroths sont ici. A toi de les tuer. Tu riras bientôt moins, je pense.

Et sur ce, pour montrer à quel point il m'était supérieur, il ajouta, d'un ton plein de haine un " troufion " bien placé.

Je décidai de ne pas répondre. Tout d'abord, parce que je savais que ça ne mènerai à rien. D'autre part, je n'avais aucun sens de la répartie, et je risquai d'être un peu ridicule.
Je préférai donc observer la mare, à la recherche des terribles Barroths.

Je ne voyais que deux bêtes. Identiques. Des moustiques volants. Je n'en avais jamais vu, ni entendu parler. Ce devait être ça !
Je dégainait mon arc, d'un geste que j'imaginais à la fois souple, plein d'assurance, classe, rapide. En dépliant mon arme, une des deux branches heurta ma jambe, et je lâchai prise.

L'arc tomba dans la boue, m'éclaboussant. Elektro explosa de rire. Je le ramassai - l'arc, pas Elektro. Il était glissant. Je l'essuyai avec mes mains, comme je pus, et plaçai une flèche.
Je tirai soigneusement sur la corde, désireux de ne par faire une autre bourde, et lâchai le tout.

La flèche fila. La trajectoire était parfaite. Une ligne droite. Sifflante, rapide, elle avançai, mortelle.

Les moustiques n'avaient pas bougé. Le projectile passa à environ deux mètres des bêtes, et alla se planter dans un bout de bois flottant dans la mare.

- Merde, grommelai-je.
- Joli tire, me félicita Elektro.

Pensant qu'il était ironique, je lui lançai un " ta gueule " plein d'entrain. Il me regarda surpris, et voulut répliquer. Mais il fut coupé par un rugissement. Une bête colossale, toute de boue couverte, se redressa.
A ok. J'en conclus donc que Mr. Barroth, c'est lui. J'encochai une nouvelle flèche, et tirai. Loupé. Mais de peu, cette fois.

La tête du monstre se planta dans le sol, et il chargea. A une vitesse impressionnante.
La suite fut très trouble. Du moins, durant les quelques minutes suivantes. Un second Barroth apparut, rugit, et chargea Elektro. Bien fait pour sa gueule !
Il sauta, s'étala de tout son long, mais n'était pas touché.

De mon côté, je mitraillai. Au moins une flèche sur trois touchait le monstre. Par forcément là où j'avais visé, mais c'était tout de même un bon ratio, comparé à ce que je faisais habituellement.

Il m'arrivait même parfois de toucher le Barroth d'Elektro. Ce dernier semblait bien se débrouiller. Enfin, je ne sais pas. On va dire qu'il semblait mettre des coups sans en prendre. Je ne sais pas après si il se battait bien.

Mon carquois se vidait un peu trop rapidement à mon goût. J'avais tiré une quinzaine de flèches, et il m'en restait à peu près ce nombre.
Je pris une autre flèche, visai, et m'aperçus avec surprise que je venais, grâce à mon dernier projectile, que je lui avait crevé un oeil. Pas mal du tout.

La danse reprit. Danse... c'est un bien grand mot. Les esquives maladroites, les volées de flèches en tous sens serait plus juste. Mais danse, c'est joli, non ?

J'entendis un cri de victoire. Je me tournai vers Elektro. C'était lui qui avait criait. Son Barroth s'était encastré dans un mur, et ne parvenait plus à sortir. Je vis le pseudo-chasseur - d'ailleurs, en était-ce un de chasseur ? - se diriger sous le bide de la bête. D'un grand coup, il taillada le ventre. Une cascade de tripes sanglantes s'abattit aussitôt sur lui, l'ensevelissent. Il parvint néanmoins à se dégager. Il avait toutefois un bout d'intestin sur les cheveux, mais ne semblait pas s'en apercevoir.

Je fus tiré de mon observation par un grand coup dans les côtes. L'autre Barroth, le vivant, venait de me percuter. Je fus éjecté, et roulai dans la poussière. Elektro vint à mon secours.

Merde ! J'allais passer pour un boulet si il tuait les deux !

Plein de courage, débordant de haine envers ce con, je me relevai, et repartis au combat. Ma première flèche atteignit le Barroth au museau. La seconde se planta dans son cou. Il rugit de douleur. La troisième vint se planter magnifiquement dans l'épaule d'Elektro.

Je souris. Il était par terre, et se tenait l'endroit où je l'avais blessé. Si je le sauvais, il m'adulerait. Si il mourait, je ne le verrai plus.
Le choix était cornélien. Je décidai de m'en remettre au hasard. J'attendis que le Barroth reprenne sa charge en direction du blessé, et tirai.

Soit je le touchais, et ça l'arrêtait. Soit je le touchais, et ça ne l'arrêtait pas. Soit je le loupais.

La flèche fusa, et vint se planter dans le deuxième oeil de la bête. Elle se stoppa net, et hurla. Bon. Elektro était sauvé. J'avais un fan. Sauf s'il partait du principe que c'était moi qui lui avait tiré dedans.

Le Barroth ne savait plus où donner de la tête. Il courrait dans tous les sens, se cognait partout.
Elektro se releva, la flèche toujours fiché dans l'épaule.

La bête aveuglée, il fut facile de la tuer. Nous dépeçâmes ce que nous pûmes, et partîmes ( bizarre comme phrase, quand même ).

Le retour se déroula dans un silence tout aussi froid que l'allée.
Nous arrivâmes enfin au village. La quête était enfin finie !

-CHEF! criai-je à l'attention de Kakashi.
-Quoi?
-J'arrive de la colline au nord, des monstres sont sur le point d'attaquer le village.
-Et tu crois que je le sais pas?
-Et bien...
-Au lieu de me dire des conneries, va me chercher à boire.
Pour me venger de sa gueulante envers moi, je pris mon tord-cerveau d'alcool de bombaie que je versais dans sa coupette. La rasade qu'il pris fut hallucinante, rapide et fluide à la fois.
-Hips...
-Euh, chef?
-Moui..?
-vous avez une petite quête pour moi, avant que les monstres nous bouffe?
-Va voir le forgeron "trou de mémoire" il doit avoir besoin d'aide.
-Euh... ok.
-Merci... euh, c'est quoi comment tu t'appelle?
-C'est Tarrent.
-ZZZZZZZzzzzzz.

Et me voilà parti pour voir le forgeron, espérons que c'est pas un Wyvernien, je peux pas les saquer. Et merde, c'en est un. Le forgeron frappait sur une enclume, mais juste sur l'enclume, il ne fabriquait rien.
-Salut pépé, t'a besoin d'aide le nain?
Le coup de masse que je pris dans la tronche me fis changer de parole.
-Je veux dire, avez-vous besoin de quelque chose?
-Oui, Ducon, j'ai pas de fer, il m'en faut car le charriot qui devait m'apporter du matériel n'est pas arriver.
-Je sais où il se trouve, je vais vous le chercher?
-Oui mou-du-los, et au pas de charge, aller!
le nouveau coup fut très puissant et je me retrouvais de nouveau dehors.

Tahitien y'a pas d'humour...

Disons que c'est pas mon point fort. :/

Désolé du DP, j'ai oublié d'ajouter qu'en lisant les règles, j'avais pas compris que ça devait forcément être humoristique.

Si c'est obligatoire, vaut mieux que je m'arrête là, ça risque d'être sacrément pitoyable.

Ce qui ne veut pas dire que je ne lirai pas.

Faut juste une pointe d'humour, même si c'est de l'humour basique ou pourri.

Moi j'me suis marré en lisant ton texte

La relation avec Elektro est bien faite je trouve ^^'

"Elektro marchait d'un pas vif. Une douce odeur de merde le suivait constamment, m'obligeant à froncer du nez."

Je me reveilla soudain,je poussas un petit couinement.
J'étais sous les décombres de la maison de...
Attendez voir...
Celle de Kakashi,notre chef.
Comment je le sais?
Le peu d'espace autour de moi est jonché de revues pour adulte.
Pour le cadre de mes etudes,je me mis a étudiez ces revues.

-Interessan

Mon orthographe unique au village attira l'attention de Mart.
Il enleva les decombres jusqu'a me voir me bra....
De jouez avec mon stylo.

-Touch ma bite!
-HHHHHHHHHHAAAAAAA!

Je me mit a lui courir après,asticot à l'air.

-Pren moi gran fou.
-JE PREFERE ENCORE MA FEMME

Je passez devant la maison de ma bien-aimée
Je laissa Mart s'echappé
J'ailla toquez a la porte.
Elle ouvrit

-HO,YOU TOUCH MY TRALALA!!!!!!
-....
-Mai heu!!!!!!
Normalemen tu dois dire:LALALALALALALALALALALALALALALALLALALA
-
-
-Papa.

Je vais enfin rencontrez le pere de ma promise
Le pere arriva
2M de muscles,crane rasé.

-Que ce tu fout a poil toi.
-C'est une longue histoire,enfaite je mastiquez le ma...
-
-moi aussi je t'aime
-Tu as dit quoi a ma fille?
-t'es sourd en plus d'etre moche?

Je me retrouva accrochez sur une lance de 5 M par le calecon dans un nid de rathian.

Y'en avait, de l'humour! Et c'était, ma foi, fort bien écrit!
Continue comme ça, même si tu ne me semble pas avoir bien cerné mon personnage.

Le message précédent était pour Tahitien.
Hé, Yakam, craquage: Mart a tué sa femme!

Merde >.<

Comme il le fessait à chaque jour, Lemarc débuta l’ascension du pic enneigé près de sa caverne qui lui servait plus ou moins de maison. Lorsqu’il fut enfin arrivé au sommet, il regarda longuement à l’horizon avec sa longue-vue.

Il y avait de la fumée en provenance d’un petit village d’irréductibles qui résistaient encore et toujours aux envahisseurs de la guilde qui désirait inspecter le village et vérifier si le chef Kakashi remplissait bien ses fonctions de chef…

Se décidant d’un de ces pas ferme et apres quelque déboulades, Lemarc se mit en marche vers la caverne et pris son équipement. Soudain, pris dans un tas de souvenirs, il s’assit un instant pour faire le point dans sa tête.

Il se remémorait ses premiers souvenirs de son arrivée ici, à la montagne… Le jour de son 3e anniversaire, ses parents et lui, une famille riche, avaient payé la guilde pour avoir un de leur ballons d’exploration.

Pendant le soir de leur 4e jour de voyage, une fois arrivées dans les montagnes, une énorme tempête de neige éclata sans aucuns avertissements. Secoué par les vents violents et alourdis par la neige qui tombait, le ballon s’écrasât sur une falaise. Lemarc qui dormait ne s’aperçut de rien.

S’éveillant au plein milieu de la nuit, il se rendit compte du malheur qui s’était produit. En cherchant les décombres, il réalisa qu’il était le seul survivant… En plaçant sa couverture su son dos, il prit des vêtements qui trainaient par terre, les enfilas et sortit des restes de l’engin, il marchât en direction de la falaise opposée et y trouva refuge jusqu’au matin.

Se réveillant en proie à une douleur horrible au dos (après avoir dormi une nuit complète sur le sol d’une caverne, s’il n’a pas mal…), il se leva et sentit un courant d’air. En regardant plus loin dans sa caverne, il y aperçût un petit peu de lumière et s’y dirigea alors.

Il y découvrit alors, en sortant de la grotte, un désert de neige et de glace. Il rebroussa alors chemin et retourna vers les débris du ballon. Il y trouva un sac contenant de la nourriture suffisante pour 4 ou 5 jours. Il l’emporta avec lui, vers l’imposant désert de neige et de glace.

Marchant pendant quelques heures, il atteignit une caverne qui, curieusement l’attirait. Une fois a l’intérieure, il y découvrit les restes décomposé de plusieurs personnes, surement une troupe d’explorateurs disparus. Répugné par cette découverte assez macabre, il sortit dehors et en s’éloignant de cet endroit, la glace cassa sous ses pieds et Lemarc tomba dans une sorte de glissoire géante en glace.

Arrivé a la fin de cette glissoire, il aperçût au loin, quelques arbres pouvant lui servir d’abris. Il s’y rendit alors. Une fois assez près de là, une autre caverne se dévoila et encore une fois, une envie irrésistible le poussa à y entrer. Une chaleur bienfaisante émanait des parois rocheuses.

S’y trouvant bien confortable, il s’y assoupit. En se réveillant, plusieurs créatures molles étaient couchées avec lui. C’était des giggis… et un peu plus loin, un… GIGGINOX !!! Poussé par la curiosité, il se rapprochât des cette chose. En s’approchant doucement, elle se tourna la tête et le fixa assidument, tout comme il le fessait… Étrangement, ces créatures le prirent avec eux dans leur famille. Pendant plusieurs années, Lemarc vivait et mangeait comme eux, comme il le faisait encore un peu dans les jours présents.

Reprenant ses esprits, alors, bien décidé à quitter l’endroit où il a vécus pendant une période indéterminée, il expliqua au giggis qu’il allait partir mais, qu’il allait revenir un jour, enfin il l’espérait bien. Apres avoir vécus plusieurs années dans la noirceur des cavernes, il pouvait bien voir dans le noir (comme un félyne). Seul son meilleur ami, un giggi qui avait vécu avec lui et qui était maintenant devenus un gigginox allait l’accompagner.

Il lui enfila alors une sorte de harnais avec une arme d’attaque lourde, se trouvant plus précisément sur le dos du monstre. Cette arme était une baliste comme trouvée dans des fortifications ou sur des bateaux conçus pour la chasse qu’il avait repris des décombres du ballon, toujours sur sa falaise.

C’est alors qu’avec cette arme de destruction mobile qu’il se dirigeas vers le village d’où émanais toute cette fumée, enfin si on présumait que c’en était.

- Alors Jomens, mon gigginox, que crois tu que nous allons trouver par la...

• série de bruits incompréhensibles*

- Bien alors allons le découvrir !

- - - - - - - - - -

Vous en pensez quoi ?

Pas mal pour un grotteux!

...à trois ans?
Bon, admettons, on est pas à ça près! Et tout cas, t'écris pas si mal.

3 ans c'est dans ses souvenirs.

Petites mods et précisions :
-Remplacer 3ans par 5ans dans les souvenirs
-Remplacer periode indéterminée par 20 ans
désolé du double post

Au fait, Elektro, je te laisse choisir pourquoi ton personnage n'aime pas le mien.

Et je te laisse aussi choisir si tu vas aduler Mana ou pas.

Sinon, j'essaierai à l'avenir de prendre un peu plus en compte la psychologie des différents personnages.

Tahitien, j'éspère que tu continues ta fic, moi qui ais poussé lyla à passer lire ta fic, je serais déçu.