Crusader Kings 3

La famille, c’est sacré. Surtout dans un titre tel que Crusader Kings III dans lequel il est nécessaire d’étendre son arbre dynastique afin de permettre à sa lignée de perdurer et s’étendre. Mais à force de multiplier les ramifications et d’agrandir votre territoire, il arrive que vous vous y perdiez dans les lignes de succession et que votre précieux empire se retrouve morcelé entre vos descendants à cause d’un manque de vigilance de votre part. Qu’importe, on ne vous y reprendra plus : quelques décennies plus tard et une flopée d’enfants mariés de force à des dirigeants de contrées lointaines ou soumis à un destin encore plus funeste, votre ligne de succession éclaircie vous facilitera bien plus la tâche en cas de disparition de votre dirigeant. Mais un problème en cache toujours un autre dans Crusader Kings III : allez-vous désormais vous confronter à la menace de ce terrible culte païens de nudistes ou continuer de rester sous le joug d’un pape que votre ancêtre cannibale aurait bien dégusté entre deux entrecôtes d’esclaves prisonniers ? La bonne nouvelle, c’est qu’avec tant de décisions à prendre, vous ne risquez pas de vous ennuyer.

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