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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
A l'occasion du dixième anniversaire de la série au Japon, Nippon Ichi nous propose de découvrir Disgaea D2 : A Brighter Darkness, un épisode inédit qui fait suite au tout premier opus sorti en son temps sur PS2. Un choix étonnant à première vue, mais qui ne choque finalement pas tant que ça dans la mesure où la franchise a toujours su rester fidèle à elle-même au fil de son évolution. Disgaea D2 nous offre ainsi un petit retour dans le passé réservé principalement aux nostalgiques.
Comme chaque année, Codemasters marque le début de l'automne en lançant un F1 tout nouveau tout beau. Du moins on l'espère, puisque la série a eu légèrement tendance à se reposer sur ses acquis ces dernières années. On nous promet toutefois du lourd avec l'arrivée de pilotes, voitures et circuits vintage. Est-ce assez pour justifier un nouvel achat ?
On pensait avoir déjà tout vu en matière de puzzle-game pour, au choix, muscler ses neurones ou tuer l'ennui. Et puis Strata arrive pour mettre à mal notre esprit d'analyse et d'anticipation. Défi accepté.
On pensait avoir déjà tout vu en matière de puzzle-game pour, au choix, muscler ses neurones ou tuer l'ennui. Et puis Strata arrive pour mettre à mal notre esprit d'analyse et d'anticipation. Défi accepté.
On pensait avoir déjà tout vu en matière de puzzle-game pour, au choix, muscler ses neurones ou tuer l'ennui. Et puis Strata arrive pour mettre à mal notre esprit d'analyse et d'anticipation. Défi accepté.
On pensait avoir déjà tout vu en matière de puzzle-game pour, au choix, muscler ses neurones ou tuer l'ennui. Et puis Strata arrive pour mettre à mal notre esprit d'analyse et d'anticipation. Défi accepté.
Si vous aimez le Japon, l'univers 2.0 et la démonologie, il y a de fortes chances pour que vous accrochiez à la saga Shin Megami Tensei, encore trop peu connue dans nos contrées. Souvent jugés peu accessibles, les jeux de cette tentaculaire série s'offrent, depuis quelque temps, une seconde jeunesse sur consoles portables. Il en résulte dans le cas qui nous intéresse aujourd'hui un titre nomade, peaufiné et sacrément addictif qui vous permettra de suivre une aventure bien kitch si toutefois vous vous sentez à l'aise avec la langue de Shakespeare.
Si les versions sur consoles de salon et PC sont régulièrement mises en avant, il ne faut pas oublier que FIFA a aussi droit chaque année à une déclinaison sur consoles portables. Malheureusement, on ne peut pas dire que celles-ci brillent par leurs nouveautés.
Quoi qu'on puisse en dire, les FPS bien old-school, bas du front et bourrins qui ont constitué fut un temps l'âge d'or du genre ne sont plus légion aujourd'hui. Comme s'ils n'avaient plus leur place au cœur des shooters à la première personne plus élaborés, plus scénarisés. Pourtant quelques irréductibles s'échinent encore à proposer des FPS à l'ancienne dans l'esprit, mais empreints de modernité dans l'enrobage. L'équipe de CI Games est de ceux-là. Alien Rage, le dernier-né des écuries responsables de la série des Sniper Ghost Warrior, est vendu à bas prix et semble s'orienter vers un gameplay qui fleure bon la vieille marmite. Exercice périlleux que de tenter de faire du neuf avec du vieux, Alien Rage transforme-t-il l'essai ?
Parce qu'il n'y a pas que les consoles de salon HD et le PC dans la vie, FIFA 14 débarque également sur Wii dans une version qui a eu le mérite d'offrir une jouabilité et des modes de jeux alternatifs. Celle-ci ne serait pas dénuée d'intérêt, si Electronic Arts prenait la peine de la faire évoluer d'une année sur l'autre.
Les FPS tactiques ne courent pas les rues... Après les mythiques Ghost Recon et SWAT, il faut bien avouer que le paysage vidéoludique des titres misant sur l'infiltration méticuleuse et les tirs mesurés ressemble plus à un désert qu'à une jungle luxuriante. Takedown : Red Sabre, dirigé par un "grand nom" de l'industrie incarnerait-il l'oasis dans ce désert ?
Moins connu que son frangin Duke Nukem, Shadow Warrior est pourtant bien un autre rejeton du studio 3D Realms sorti en 1997. Bien des années plus tard, c'est le studio Flying Wild Hogs qui reprend le flambeau et propose son reboot bien senti du FPS au katana.
Si les versions sur consoles de salon et PC sont régulièrement mises en avant, il ne faut pas oublier que FIFA a aussi le droit chaque année à une déclinaison sur consoles portables. Malheureusement, on ne peut pas dire que celles-ci brillent par leurs nouveautés.
Quelques jours après la sortie de PES 2014, c'est au tour d'EA Sports de lancer la nouvelle version de son célèbre jeu de football : FIFA 14. En attendant le virage de la prochaine génération de consoles, c'est d'abord sur la génération actuelle que FIFA 14 doit confirmer son statut de leader du marché des simulations de football. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le pari est réussi.
Plus de 2 ans après sa sortie sur PC et alors qu'il est disponible sur le Xbox Live et le PSN depuis quelque temps déjà, Terraria s'offre une version boîte sur PS3. Vendue quasiment 20 euros, celle-ci aura fort à faire pour justifier son tarif.
Bien sûr, le titre Maniac Manors fait penser à Maniac Mansion, le jeu d'aventure rigolo de LucasArts. Mais de comédie, il n'est pas question ici. Plus Cthulhu que farfelu, Maniac Manors ouvre les portes d'une ancienne demeure abritant d'effroyables secrets.
Bien sûr, le titre Maniac Manors fait penser à Maniac Mansion, le jeu d'aventure rigolo de LucasArts. Mais de comédie, il n'est pas question ici. Plus Cthulhu que farfelu, Maniac Manors ouvre les portes d'une ancienne demeure abritant d'effroyables secrets.
Il existe des jeux qui, fruits de concepts novateurs, défrayent la chronique et divisent les foules. Il en est d'autres qui, tentant de surfer sur la même vague, passent à côté du génie pour tomber à l'eau avec fracas. C'est le cas de Dyad, étrange jeu de course / shoot'em up dans lequel on flaire de loin l'influence de Rez et Child of Eden. Celui-ci aurait pu se démarquer brillamment dans l'univers indépendant si certains défauts ne le coulaient pas, le plaçant bien en deçà de ses prédécesseurs nippons.
Au début du XIXe siècle, les nations majeures que sont la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, la France, l’Allemagne et l’Italie s’industrialisent progressivement, passant d’un système agricole et artisanal à un système commercial et manufacturier : c’est la Révolution Industrielle. Avec une demande croissante en ressources naturelles et toujours à la recherche de nouveaux partenaires commerciaux, ces pays établissent des colonies un peu partout dans le monde par la diplomatie ou par la force afin de renforcer leur pouvoir. C’est ce que propose Imperialism en vous mettant à la tête d’une nation que vous devez diriger à travers cette période afin d’étendre votre hégémonie.
Sorti en 2006 au Japon sur PSP, Monster Kingdom : Jewel Summoner est un Pokémon-like assumé qui espère trouver chez Sony des adeptes des petites bêtes de Nintendo. Le jeu propose donc de capturer, de dresser et de faire combattre plus de cent créatures tantôt mignonnes, tantôt effrayantes. Pari risqué que de vouloir être comparé à Pikachu et compagnie : les développeurs de chez Gaia auraient-ils été trop ambitieux ?