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Test Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

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Trailer de lancement de Deception IV : The Nightmare Princess

6 314 vues
Profil de Djidane01,  Jeuxvideo.com
Djidane01 - Utilisateur jeuxvideo.com

Lorsqu'on considère la ludothèque de l'éditeur-développeur Koei Tecmo, il est frappant de remarquer sa manie de sortir plusieurs versions de ses jeux. On pensera notamment à la licence Musō (Dynasty et Samurai Warriors) dont chaque épisode principal engendre son cortège de spin-offs ou révisions. Dernier exemple en date, cette extension de Deception IV : Blood Ties sortie un an à peine après l'original et renommé pour l'occasion Nightmare Princess. Avec si peu de décalage, et un opus de base loin d'emballer la critique, on peut légitimement se demander si cette mouture n'est qu'un prétexte à rentabiliser l'investissement en élargissant son audience à la PS4, ou si les quelques ajouts consentis en relèveront vraiment l'intérêt.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

Active depuis l'année 1996 mais par intermittence (le précédent épisode date quand même de 2005), la série des Deception (ou Kagero) a ceci de particulier qu'elle met en place un système de combat bâtard, ni RPG, ni vraiment tactique, ni réflexion, en réduisant les interactions directes entre personnages et ennemis. Alors que les TRPG traditionnels laissent la part belle aux attaques spéciales et au déplacement en tour par tour, on contrôle ici un seul personnage particulièrement frêle, uniquement capable de se défendre contre les ennemis qui la pourchassent sans répit en posant des pièges bien vicieux dans les lieux qu'ils traversent. Un menu bien éclectique composé de pièges de sol (tremplin, râteau de jardinage ou mine anti-personnelle), fixés au mur (flèches, lances agrippantes etc.) ou au plafond (lourds boulets, pendules tranchants ou Jack-o'-lantern), et dont les propriétés permettront toute fantaisie dans le découpage soigneux de l'ennemi. On trouve également dans chaque niveau divers objets de torture thématique, comme un Haut Fourneau dont le démoniaque magma s'accorde particulièrement bien aux murs rougis du niveau. Tout le sel du gameplay réside dans le placement de ces pièges, dont il faut enchainer les déclenchements tout en maitrisant le timing histoire que les ennemis s'y jettent la tête la première.

Un concept frappant

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné
C'est là que la tactique entre en jeu

Si le jeu baigne dans une atmosphère un tantinet S&M, avec ses instruments de torture et ses héroïnes toutes de cuir vêtues, ne vous y fiez pas, cette ambiance n'a pour but que de faire corps avec le gameplay. Le terrain de jeu se présente sous la forme de petites salles reliées par d'étroits couloirs, et dans lesquelles les princesses - décidemment loin de leur traditionnelle détresse - crapahutent en vue à la troisième personne. Une simple pression sur Rond et vous ouvrez le menu des pièges, en vue de dessus cette fois. Le déroulement du temps étant alors stoppé, vous pouvez désormais visualiser à loisir la globalité de la pièce, découpée par cases sur lesquelles s'insèrent les différents pièges à votre disposition. Là est le gros du travail, car un seul bouton (d'origine) sert au déclenchement de l'ensemble : que leur finalité soit de balader l’ennemi à travers la salle, de le désorienter ou de le maltraiter, les pressions successives sur le bouton Croix feront intervenir les pièges avec une parfaite correspondance au choix de départ. Mais pour ne pas mettre en branle la mécanique dans le vide, la dernière étape consiste à leurrer l’ennemi sur le premier de vos pièges ou attendre qu’il s’y aventure de lui-même, ce qui n’est que rarement passionnant. Il faut donc vraiment prêter attention au choix et au placement des pièges et au timing qu’ils demandent, de façon à créer les chaines les plus longues, à même de produire le meilleur résultat et le meilleur score, et à ne pas avoir à modifier la position du curseur en plein déclenchement sous peine de vous vautrer lamentablement. Voire de tomber dans vos propres traquenards auxquels les héroïnes ne sont pas immunisées.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

Les ennemis, eux, arrivent par vagues successives jusqu'à ce que le flux en soit tari. Un boss fait parfois son apparition, avec son cortège de coups spéciaux gênants. Parmi ceux-ci, la régénération de vie est l'un des plus embêtants, puisqu'il vous obligera souvent à achever l'adversaire d'une seule traite avant qu'il ne se soigne, ou ne soigne ses sous-fifres. Qui par ailleurs ne sont pas sans défense non plus : entre les ninjas qui vous criblent de Kunais et se téléportent, les magiciens adeptes des sorts à distance et les chevaliers lourdement armés, mieux vaut étudier les ennemis avant de foncer tête baissée. Le bestiaire est sur ce point plutôt bien fait, car la classe des soldats adverses leur permet souvent de bénéficier d'avantages conséquents : les fantassins sont immunisés contre les pièges perçants le temps que vous brisiez leur armure d'une attaque d'impact, les voleurs évitent les pièges bloquants si vous ne les désorientez pas d'abord d'une attaque bien placée, tant de caractéristiques qui doivent être vérifiées par l'intermédiaire du menu. Vous aurez même l'occasion de consulter une petite biographie propre à chacun. Ne vous attendez pourtant pas à découvrir un côté RPG poussé, celui-ci est anecdotique. Le plus souvent, savoir qu'un soldat possède 60 en attaque ou que son grand père boitait ne vous apportera rien. Et du côté du personnage joueur, tout juste gagnerez-vous des points servant à débloquer de nouveaux pièges, et quelques coups spéciaux.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

Même si le jeu débute sur des enchainements simplistes de pièges, le temps de vous accoutumer à ses mécaniques étranges qui demandent un temps d'adaptation, des combos plus évolués restent utilisables : Frapper en plein vol un ennemi propulsé dans les airs, jouer aux dominos avec les piliers de soutènement de l'église ou faire dévaler un boulet sur une pente avant d'y immobiliser l'adversaire, ce ne sont là qu’une partie des possibilités machiavéliques que permet le système. La physique du jeu est étrange, mais a le mérite d'être mise en jeu par quelques pièges. Cependant on regrettera qu'aucune situation, ou presque, ne vous oblige à utiliser les plus ardues des combinaisons dans le gros de l’aventure, le tutoriel marquant la fin de toute créativité prévue par le jeu. Il est fort probable que la majorité des joueurs ne tenteront jamais l'expérience d'un combo à rallonge, ni ne pousseront jusqu'au terme de l'aventure. Si encore l'ergonomie suivait...


Vanilla lasse

Des prémices perfectibles

La version d'origine du jeu, Deception IV : Blood Ties, n'eut ni les honneurs de la critique, ni celle des ventes. Il faut dire que si le concept de base très original fonctionnait plutôt bien, la répétitivité de l'ensemble avait de quoi faire rapidement saturer le joueur. Le jeu était en sus perclus de soucis d'ergonomie (comme la clarté perfectible de l'interface de placement de pièges, ou l'impossibilité de sauvegarder leur placement sur le terrain en cas de défaite inopinée) ou de bugs gênants. On y incarnait Laegrinna, la fille du Diable, dont la quête première consistait à se procurer douze versets magiques qui, une fois mis en commun, lui permettraient de libérer son paternel du sceau qui le retient depuis des lustres. La voilà donc occupée à rameuter les porteurs de ces parchemins, qu'elle se chargera d'envoyer ad patres avec l'aide de ses trois suivantes, représentant chacune une finalité des pièges : l’humiliation des piégés, la flamboyance de l’extermination et le sadisme. Tout un programme.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

Seulement voilà, malgré une grande quantité de contenu permettant d'allonger sensiblement l'aventure - notamment une centaine de missions supplémentaires à mener - on tournait trop vite en rond dans les quelques niveaux du jeu. On avait tôt fait de trouver les quelques bonnes combinaisons qui marchent en fonction de chaque situation rencontrée, en y ajoutant éventuellement les pièges liés au lieu traversé, et de les utiliser perpétuellement. La principale difficulté tenait à la visibilité pas toujours claire de l'action, pas aidée par une caméra médiocre qui persistait à zoomer une demi-seconde sur l'ennemi dès que celui-ci se faisait toucher par un piège.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

Il est vraiment dommage qu'un gameplay aussi unique celui-ci n'ait pas poussé le joueur à plus de créativité, car le jeu ne s'en trouvait finalement qu'assez moyen, comme le démontre le test complet de l'ami Anagund. Toujours est-il que ceux ayant déjà bien avancé sur la version Blood Ties pourront s'éviter des heures un peu barbantes en important directement la totalité de leurs données dans l'extension et ainsi aborder les nouveautés le cœur léger.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné
Rien qu'avec les deux modes principaux, vous en avez pour un moment.

En plus du mode histoire, Blood Ties offrait pléthore d'annexes. Le mode Missions, en particulier, proposait une bonne centaine de petits challenges supplémentaires qui relevaient la durée de vie. D'autres défis (tuer un ennemi d'une certaine manière, réaliser un combo de 6 coups, et autres joyeusetés) vous étaient adressés par les trois démones qui accompagnent Laegrinna, et constituaient toujours quelques petits suppléments sympathiques. Tout cela se retrouve bien évidemment tel quel dans Nightmare Princess. Dans le jeu original, l'IA des ennemis n'était pas une lumière, et c'est peu de le dire. Même si celle-ci était parfois capable de clairvoyance et évitait des pièges dans lesquels elle s'était déjà empêtrée, elle doublait un pathfinding désastreux à des moments anthologiques de stupidité, comme lorsqu'un chevalier décide que les rails d'un train lancé à pleine vitesse sont l'endroit idéal pour s'en griller une. Malgré ces quelques moments drôles - aux dépends du jeu -, on aurait apprécié un léger remaniement de ce côté-là. Malheureusement ce n'était pas à l'ordre du jour, et la quête de Laegrinna reste à l'image de ce qu'elle était, tout comme les soucis évoqués ci-dessus. Cependant les quelques ajouts consentis dans le nouveau scénario consacré à dame Velguirie lui permettent quelque peu de s'en tirer avec les honneurs.


Le songe d'une nuit d'épées

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné
Spinning Bird Kick !

Alors que sa sœur n'était qu'une faible femme, la dame en rouge n'hésite pas à savater ses assaillants. Certaines de ses techniques spéciales lui permettent en effet d'envoyer un grand coup de tatane, qui ne fera pas grand dégât mais repoussera l'ennemi d'une ou plusieurs cases. A première vue, pas l'attaque la plus utile, mais ce simple coup change considérablement la manière d'appréhender le jeu : De fait, une fois ses pièges tendus, le joueur n'est plus seulement un spectateur attentiste, obligé de fuir l'adversaire en attendant le faux-pas, mais devient pleinement acteur de la traque en allant au-devant de ses ennemis. Un coup bien placé peut aisément suffire à repousser un soldat vers une trappe, et les possibilités de combos s'en trouvent décuplées. Une feature bienvenue dans un mode de jeu malheureusement bien terne.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné
Le faible dé-zoom ne permet pas de se rendre compte de l'étendue de la quête.

Si l'on prend Laegrinna comme base, l'histoire éthérée de Velguirie se montre moins scénarisée (si cela était encore possible) et troque le découpage en chapitres pour de simples quêtes en temps limité, s'étoffant en véritable arbre à embranchements multiples : En lieu et place des batailles relativement ouvertes de l'aventure du premier volet, la seconde héroïne n'a accès qu'à des salles fermées aux ennemis peu nombreux. Plus qu'un véritable jeu bac à sable, le contenu de Nightmare Princess emprunte ainsi un virage plus "puzzle-game" où le rationnement des pièges disponibles de base et les conditions de victoire plus diversifiées - atteindre un certain score, battre plusieurs ennemis en un seul combo et bien d'autres - accentuent la nécessité de réflexion. On ne s'en plaindra pas, mais on regrettera par contre le côté étriqué et captif des environnements, même si celui-ci est justifié par le scénario. La dominatrice au bois dormant perd également la possibilité de dépenser son expérience dans un menu d'achat, au profit de nombreuses récompenses qu'elle récupère en menant à bien les conditions additionnelles - mais facultatives - de ses quêtes. Voilà qui vient encore largement renforcer le contenu pour les complétionnistes, qui en auront pour leur argent. Outre les pièges et techniques que ce système plus gratifiant débloque, on y trouvera pêle-mêle diverses caractéristiques et costumes qui viendront alimenter le système communautaire en ligne déjà présent dans le premier volet.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné
Personnaliser les supplices

Dans ce mode en ligne, c’est la créativité des joueurs qui est mise en jeu. Il est possible de concevoir des niveaux à l’image de ce qu’ils sont en mode Quête, soit de simples salles fermées, et de les garnir d’ennemis personnalisables : physique, costumes, armes, points de vie aussi. Reste à choisir la ou les conditions de victoire selon la difficulté qu’on souhaite donner à notre création. On peut ensuite tester son œuvre en y lançant l’une des héroïnes débloquées en mode Quête, puis l’envoyer sur le réseau où elle rejoindra les niveaux de l’ensemble de la communauté. Un ranking général vient compléter le tableau, histoire de tirer les meilleures réalisations vers le haut.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

Seul véritable ajout de cette version, le mode Quête augmente considérablement la durée de vie du titre original mais peine encore une fois à vraiment se renouveler. Et en dépit d'une Histoire plutôt intéressante quand on creuse le rêve, il est probable qu'il ne passionnera que les plus assidus des joueurs.

Tromperie sur la marchandise ?

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné
Seuls les modèles des personnages ont bénéficié d'un soin visible

Les quêtes de cette extension rajoutent ainsi une grosse poignée de nouveaux pièges qui vous serviront à déchiqueter, humilier, ou occire de façon sophistiquée tout ce qui se présente à vous. Si cela porte le total disponible à plus d'une centaine - sans compter les pièges fixes de niveaux -, il faut tout de même savoir que certains ne sont disponibles qu'en DLC au prix dérisoire de 3€ l'un. Ceci étant bien entendu ironique. Nightmare Princess a donc beau ajouter une belle fournée de contenus à une aventure déjà conséquente, elle ne corrige pourtant pas le principal reproche que l'on pouvait faire au jeu de base : on tourne trop facilement en rond. Les seules évolutions du personnage se limitent à ses techniques spéciales, les seuls choix à la dizaine de piège à emporter lors des traques, et les seules actions du tripoteur de manettes à jouer les Davy Crockett des enfers sur plusieurs dizaines d'heures. Si toutefois il tient jusque-là, ce qui n'est pas gagné.

Deception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestinéDeception IV : the Nightmare Princess, un titre prédestiné

Pourtant quelques bonnes idées viennent - légèrement - relever l'intérêt des modes de jeux. En effet, le mode Quête de Velguirie propose parfois de recruter de nouvelles têtes à contrôler - non sans les avoir battu à plate couture. Parmi celles-ci, Laegrinna sera la cerise sur le gâteau, mais on y trouve aussi - entre autres - les protagonistes des précédents volets de la série, chacune dotées de capacités propres. Ces combats seront aussi l'occasion de vous battre à armes égales en évitant les pièges tendus par vos paires, et donc de gouter enfin à un peu d'exotisme. Un exotisme qui se retrouve d'ailleurs dans les nouveaux terrains de jeux - on parle entre autres d'une salle d'EPS et d'un hôpital - qui détonnent dans l'habituel univers terne du reste du jeu. Pour débloquer certaines des "branches" facultatives de l'arbre des quêtes, les missions se font parfois assez ardues comme celle qui vous contraindra à éliminer l'ennemi en utilisant une statue mouvante qui le tranchera, puis en lui envoyant un pilier sur le coin de la tronche. On retombe là sur le côté "puzzle", en plus de magnifier la touche grand guignolesque du gameplay.

Chaud devant !

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Peut-être le jeu est-il finalement plus adapté à un support portable propre à un public de joueurs plus orienté occasionnel, qui progressera lentement, par courte sessions, sans forcément rechercher à être happé par une histoire prenante ou un gameplay complexe. Ceux-là se tourneront alors vers la version Vita, laissant les joueurs PS4 sur leur faim devant le manque de substance.

Note aux collectionneurs

A l'heure de ce test, il est toujours impossible de synchroniser les trophées de Deception IV : Nightmare Princess. Vous aurez beau débloquer les trophées, ceux-ci n'apparaitront pas dans la liste liée à votre compte. S'il est probable que ce souci sera corrigé tôt ou tard, on ne peut s'avancer sur une date. Voilà en tout cas qui est fâcheux.


Points forts

  • Une mécanique de jeu très originale
  • Contenu plus qu'honnête : gigantesque
  • Des pièges tantôt astucieux, tantôt drôles, et des exécutions jouissives

Points faibles

  • Réalisation médiocre
  • Mauvaise ergonomie
  • Peu de réelle progression dans la façon de jouer
  • Répétitif à l'excès

On aurait pu se dire que Tecmo Koei profiterait de cette extension pour repenser et dépoussiérer les mécaniques de son jeu, il n'en est malheureusement rien. Malgré quelques idées sympathiques, les ajouts conséquents de contenu semblent se concentrer sur la quantité plus que la qualité, et il est fort probable qu'une majorité de joueurs ne se prenne pas suffisamment de passion pour adhérer au concept sur le long terme. Osons donc le jeu de mot évident (mais incorrect) : Nightmare Princess est une déception.

Note de la rédaction

12
16.3

L'avis des lecteurs (6)

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