Et meme 21/20 si on pouvait le faire. Je l'ai découvert en version americaine la première fois. J'ai cru pleurer tellement c'était beau (dans tous les domaines) Un mois plus tard je l'ai acheté en francais, et j'ai de nouveau vibré. Y'a 2 mois j'ai acheté la version jap, et j'ai été bluffé. En 4 ans d'existance, ce jeu n'a pas pris une ride et est toujours aussi magestueux. Pour tous ceux qui comprennent cette oeuvres de la team ico, merci pour les notes élévé que vous leurs avait mis, ils le méritent énormément. Quand aux autres qui ont saqué le jeu, des boulets qui ne comprennent rien à la poésie.

Tout simplement parfait, ce jeu mérite la note de 20/20, aucun reproche ne peut être fait a ce jeu, les graphisme sont d'une pureté inégalable, l'ambiance est prenante jusqu'au cou, bref ce jeu est un voyage auquel le joueur prend part plus qu'un jeu vidéo à proprement parlé.

A l'image d'Ico, on est devant un beau gâchis. L'idée de base est ruinée par les défauts du jeu.

Les + :

- Superbes musiques, il faut le dire.
- L'ambiance mélancolique
- Grâce à SOTC, le scénario désespérément vide de Ico prend un peu plus de sens.

Les - :

- la caméra et la maniabilité plus que déplorables. Le cheval, les sauts, grimper sur les colosses... Tout tient du véritable calvaire.
- le manque de rythme : on se balade dans une morne plaine où il n'y a absolument RIEN et l'action ne prend place qu'avec les colosses.
- ICO et SOTC imbriqués, on a un scénario qui tient la route, mais il n'empêche que SOTC pris seul, l'histoire tient sur un bout de papier. Décevant.
- le manque de variété : tout ce qu'on a à faire est trouver un colosse et le tuer, presque toujours de la même façon. Beaucoup trop linéaire.

Shadow of the Colossus ou comment faire croire aux gamers que des décors vide + musique redondante + 16 fois le même principe = poésie.
Un gameplay vraiment très désagréable sans aucune finesse. Tout est dans "l'a peu près" alors que le jeu demande parfois une réelle précision. On commence par 1 colosse puis 2 puis 3 ... ils s'enchainent comme on enchaine des clopes , on en fini un et puis on l'oublie laissant un arrière goût de perte de temps.
Les graphismes sont vraiment grossier et vide de sens comme un discours de Miss France.
Certes ce jeu date de 2006 mais quand même... a l'époque on faisait de très bon jeu et celui la pour moi n'entre pas du tout dans cette catégorie. Je ne comprends pas du tout l'engouement qu'il provoque , si vous voulez de la poésie , passer votre chemin , achetez vous un bon livre et basta!
Shadow of the colossus démontre par 16 fois qu'il est possible de vendre un jeu sans but , sans forme et d'une incroyable répétition barbante.

Un chef d’œuvre tout simplement. L'un des meilleurs jeux qui m'ait été donné de jouer. Les musiques enchanteresses lorsque l'on parcoure la terre, épiques lorsque l'on combat un colosse. Les décors magiques et sinistres à la fois. Un scénario excellent (mais il ne faut point spoiler). Et puis surtout la situation la plus badass possible ! Un gars armé d'une épée et d'un arc qui se balade sur son cheval en se battant contre des titans j'ai envie de dire...Wow quoi !

Il n'y a plus rien à dire quand on est face à un jeu comme ça, on y joue et on admire le talent.

ENORME problème de caméra ! A cheval comme en combat. Il y a de très bonnes idées mais malheureusement les problèmes techniques prennent le dessus et c'est très bête ! Et puis honnêtement, regardez le romantic lover courir, on dirait qu'il essaie de faire le crawl : pas très onirique.

- ey salut !
- salut !
- tu sais je me suis demandé quelque chose …
- quoi ?
- les jeux poétiques …
- quoi !
- ben qui en est le pionner ?
- oh oh oh ! et bien ! je sais pas , dans un épisode de usul , il dit que shenmue est un jeu poétique , alors c'est surement ça
- bof , je crois pas
- alors c'est ico .
- ah oui !
- dis donc tu preferes ico ou shadow of the colossus
- je suis venus pour te parler justement de shadow of the colossus !
- ah bon ? tu voulais me dire quoi ?
- c'est mon jeu préférer .
- woah ! pourquoi ?
- décors magnifique , colosses stylés , combat épiques et réflexion intense
- et le scenario ?
- ben , on ne comprends pas touts .
- raconte !
- c'est a la fin .
- bah raconte !
- non
- pourquoi ?
- tu n'as jamais joué a sotc ?
- oui et alors ?
- ben alors je te spoile pas
- mais je m'en fou que tu me spoi…
- chut .

une chose a dire : merci , fumito ueda

Sur ces mornes plaines, il est question de paysages à la fois riches et creux, d'ambiance oniriques et tristes, de combats épiques surnageant pourtant d'un profond et perpétuel sentiment de tristesse.
Une mélancolie qui ne quitte pas le corps.
Seul, terriblement seul, à dos de son fidèle canasson, on ne sait d'où on vient, on ne sait où on va mais on sait pourquoi. Une force qui irrestiblement nous pousse à avancer.

Une sorte de Zelda-like qui se prétends poétique avec son surplus d'aliasing qui vous pulvérise la rétine. La jouabillité durant les phases d'escalades vertigineuses est beaucoup trop bâcler ce qui rends la démarche approximative, je veux bien croire que les développeurs tente de transcender leurs public avec un univers artistiquement abstrait, une ost suffisamment audacieuse pour constituer le principal intérêt de l'aventure mais enlevez la bande-son et il en résultera qu'un grand vide cosmique ou à la rigueur une simulation de promenade dans les alpes.

J'ai acheté ce jeu sur PS3 pour faire découvrir ICO à ma fille. J'y avais joué sur PS2 et s'il ne m'avait pas marqué sur le coup, je me suis aperçu au fil du temps qu'il s'agissait du jeu qui restait le plus dans ma mémoire.

L'occasion m'a fait découvrir Shadow of the Colossus. J'ai pris une claque colossale (c'est le cas de le dire). Ce jeu m'a scotché dans mon canapé. Le secret pour l'apprécier est de ne surtout pas regarder la soluce, bien que la tentation soit grande après s'être fait massacrer 3 fois sans avoir compris ce qui nous arrive. Quel bonheur de trouver la clé qui nous guide vers l'assaut final. Par contre, je pense que j'ai laissé tomber le jeu 3 fois. Mais au bout de quelques semaines, l'envie de venir finir le colosse reprend le dessus. Au bout du compte, l'identification au personnage est énorme car on en bave presque autant que lui... et en plus mon fils accroche à fond à se jeu du haut de ses 10 ans, et nous nous remplaçons quand l'épuisement nous gagne à nous cramponner tant bien que mal aux colosses ou à la manette, je ne sais plus très bien.

Alor voilà, ce jeu est géant, combattre des collosss énormes c'est géant, on s'eclate et tout. Mais c'est très répétitif et la jouabilité est mauvaise pour "piloter" le cheval c'est l'oreur et dans ce jeu on a l'impression qu'y'a que des boss, pas d'ennemis normaux. Alors certes on peut refaire le mode time attack pour ajouter quelques heures de durée de vie mais ça reste insignifiant. Mais bon, on s'amuse quand même, je regrete pas de l'avoir acheté.

Immense, mélancolique,  et séance d'escalade, aussi étrange que cette association puisse paraitre, ces termes suffisent à décrire le concept de Shadow of the Colossus. Tout est gigantesque, baigné dans une splendide atmosphère calme et presque reposante, et le Gameplay se base sur un principe tout simple, grimper. Eh oui, les affrontements se résument à ça dans ce titre singulier. Est-ce une mauvaise chose ? Pas vraiment.

Il m'est assez difficile de donner une note à SOTC, tant il est unique en son genre. Il m'en a fait ressentir des émotions. J'ai été impressionné, touché, frustré,  motivé, lassé,  ébloui, un peu de tout cela, et parfois même en un seul combat. SOTC est loin d'être un jeu parfait. Il dispose de défauts assez considérables. En plus d'être court, le jeu n'est absolument pas varié. Il est assez répétitif d'ailleurs, l'objectif : affronter un à un les colosses, seuls ennemis de cet intriguant univers.

Chacun dispose de sa petite particularité. Une technique élémentaire à la résolution de l'affrontement. Une fois cela acquis, il est possible de grimper sur le dos du colosse, à la recherche de ses points faibles s'apparentant à des sceaux lumineux et bleus disséminés sur leur corps. Mais gare aux secousses pouvant vous faire tomber ou il faudra recommencer l'opération ! Si une de ces créatures se laissera affaiblir simplement en tirant dans ses pattes, d'autres demanderont une réflexion plus poussée et de longues manoeuvres pour se laisser abattre, des duels parfois aussi longs qu'épiques. Globalement, le challenge n'est pas des plus élevés, mais qu'importe tant on prend plaisir à déjouer ces créatures et à s'accrocher à leur dos. Ce qui est en revanche plus agaçant que la difficulté , ce sont les multiples soucis d'hitbox et de précisions qui peuvent lasser, à la longue, lors des phases d'escalade. Si ce n'est que bien rarement vraiment handicapant, cela suffit à rendre une bataille plus inutilement étendue qu'elle ne devrait.

Le Gameplay est très loin d'être mauvais, de par sa grande originalité et efficacité, mais souffre de ces quelques soucis d'imprécisions comme de collision.

Néanmoins, malgré ces quelques défauts, le jeu dispose d'une aura si puissante que l'on ne veut lâcher la manette. Ne serait-ce que pour voir quelle zone ou temple enfoui ou dissimulé va-t-on découvrir, et l'apparence du prochain colosse ? Entre ses musiques envoûtantes, son univers qui est aussi charmant qu'il est vide et ses mystérieux colosses, Shadow of the Colossus dispose d'un formidable pouvoir d'attraction. Le monde est si grand et pourtant formidablement détaillé. Il y a toujours des points de repère, un panorama effaçant la monotonie de l'exploration. Et les colosses, au design si cohérent entre eux et pourtant si varié. Tout est fait pour paraitre impressionnant chez eux, et pas seulement par leur gigantisme. Rien que leurs animations, lentes et lourdes, et leurs rugissements, ainsi que les tremblements provoqués par le moindre pas suffisent à les rendre mémorables.

J'ai été fasciné par l'ambiance du jeu et son aspect minimaliste sur tous les plans. Interface légère, peu de mécaniques de Gameplay, extrêmement peu de dialogues. La force de SOTC réside dans son identité extrêmement prononcé qui s'est ancré dans ma mémoire. Des jeux comme lui, il n'y en a pas. Si ça ne suffit pas à effacer les maladresses du jeu, il parvient à nous les faire oublier, en nous faisant vivre une véritable épopée. Même si je ne l'ai pas trouvé aussi fabuleux que beaucoup, il reste excellent.

Ayant été longtemps sur xbox, je découvre en ce moment, les exclus playstation de la génération ps3 et ps4 sur ps4pro, prise pour noel.

Mon dieu la claque!
Cela faisait longtemps que je souhaitais découvrir l’ambiance du jeu, et je dois dire que ca dépasse ce que j'avais imaginer.
C'est le genre de jeu qui transcende la simple expérience de détente; il permet une véritable évasion dans un monde sublime, poétique, somptueux.
La poésie est partout dans ce jeu.

Il mêle en plus de cela, un aspect basé sur la découverte et la réflexion.

Cette sensation de n'être rien, face à ces colosses est grandiose, et les combats sont tous épiques!
Mais pas épique comme on peut tenter de nous le vendre dans certaines franchise, à base d'explosions et d'action hollywoodienne, non, ici, tout est fais pour que ces scènes reste gravé dans notre mémoire de joueurs!

Musique, gameplay (simple, mais super bien pensé), ambiance, graphisme et décors, tout est magnifique et je suis ravi d'avoir enfin, après plusieurs années d'attentes, avoir pu mettre la main sur ce chef d’œuvre.

On dépasse le simple jeu, pour arriver sur une œuvre artistique proche de la perfection!

19/20, largement mérité!
Je retourne y jouer!

Imaginez vous, transporté dans un autre monde simplement en appuyant sur le bouton de votre ps2. Le bruit du lecteur qui grince un peu, le ventilateur qui se met doucement en marche, et le logo sony computer entertainment.

Puis quelques notes au piano, laissant place à une musique beaucoup plus forte, riche d'instruments et de cœurs. Très tôt le matin, le jour ne s'est pas encore levé, mais un aigle surplombe déjà d'immenses falaises. Un homme, un cheval, et un précieux paquet emballé dans un draps blanc, qui se révèle bientôt être en fait la funeste bien aimée de Wander, l'homme qui s'est aventuré si loin de tout, sur son cheval, Agro.

Une contrée sans limite, une voix semblant venir des cieux dictant le moyen de ramener Mono, la défunte compagne de Wander, et 16 créatures magnifiques. Le décors est planté, l'aventure funeste et mélancolique peut commencer.

Oui, car si aux premiers abords, le monde semble relativement vide et calme, avec pour seule compagnie les hennissements d'Agro et le bruit du vent, 16 sublimes combats épiques et tactiques attendent le joueur. Ces 16 niveaux sont chacun accompagnés d'une musique plus ou moins rythmée, mais toujours dans le même ton (il est hors de question de ressentir une once de joie. Au mieux, un sentiment de réussite). Chaque colosse est affronté dans un lieu unique. Un lac, un désert, un canyon, une grotte, une zone géothermique... Chaque colosse à sa propre attaque, et sa propre faiblesse. Le tout bercé par les somptueuses compositions de Kow Otani, qui frappe un gand coup dans le coeur des joueurs. Ces musiques resterons à jamais dans votre coeur de gamer.

Un ligne directive au final très simple, mais avec chaque étape nécessitant une tactique bien particulière. Le tout dissimulant un monde très détaillé et plein de secrets que je ne vous spoilerais pas.

Le gameplay reste toutefois un peu rigide, il faudra quelques minutes pour réussir à bien prendre en main le soft. De lourds ralentissements se font sentir sur la version ps2, notamment dans le temple, au début de l'aventure.

Il serait cependant dommage de passer à côté pour ces deux problèmes technique, d'autant plus que l'un est corrigé sur la version ps3 (30fps constant).

Un indispensable, et pas que si vous avez les consoles concernées... Un indispensable tout cours. Vous devez y jouer rien qu'une fois dans votre vie, et ce, au calme, sans rien ni personne pour vous déranger au cours de votre partie.

Un jeu magnifique, poétique et unique. Je me rappelle ce moment étant petit lorsque j'ai allumé ma ps2 et lancé ce jeu, ces graphismes !

On commence avec peu d'informations laissant place à l'imagination, un monde vaste et silencieux, ce sentiment de solitude qui te fait sentir tout petit, vint le premier boss, que j'ai tenté à l'arc n'osant pas l'approcher dans un premier temps, d'une taille titanesque promettant un combat épique, et c'est peu de le dire.

Le terme des combats te fait regretter ton acte, un colosse qui n'a rien demandé, croulant sous une rivière de sang, et cette musique...

Seul groooos défaut, bien trop vaste puisqu'il n'y a rien à découvrir, malheureusement.

En tout cas un bon souvenir qui m'a poussé à le racheter récemment.