Vraiment déçu. Le jeu traîne, le scénario n'apporte pas grand chose, à part de l'argent à Ubisoft. Le multijoueur est vraiment INUTILE, c'est pour plaire aux gamins de 10 à 14 ans... Ils auraient mieux fait de se concentrer sur le solo....

Meilleur de la saga Ezio, Brotherhood peaufine davantage l'œuvre de ses deux prédécesseurs.
La beauté de Rome, le charisme des Borgia, des tombeaux toujours plus inventifs (et moins brouillons que dans le II), le recrutement de sa propre team d'assassins, la rénovation de Rome ou l'histoire du présent sont autant de qualité qui font de cet Assassin's Creed mon préféré.

Le jeu ressemble beaucoup au précédent opus, et pourtant il ajoute des choses simples qui rend le jeu plus simple et même meilleur.

L’histoire est plus mature avec un Ezio plus vieux. Plus de contenu mais un gameplay peu renouvelé, voir même inchangé.

Mais le jeu reste meilleur que ke précédent, plus rythmé, on ne passe pas par la case « devenir assassin », on se lance directement dans le bain. Après, retrouver Ezio c’est cool mais on s’attend à du changement.

Bref, superbe jeu !

C'est bien la première fois que je note un AC en dessous de 15/20... Et je vais vous expliquer pourquoi une tel note (qui d'ailleurs n'est pas si basse que cela.)
Nous retrouvons ici notre Ezio Auditore que nous avons laissé dans le 2e opus, pour notre plus grand plaisir. Mais pas que, car Desmond aussi aura le droit à son avancé scénaristique. On comprend très vite que c'est la suite direct au 2e AC même si je le trouve beaucoup moins riche et impressionnant que son prédécesseur. D'un autre côté, il est, je pense, difficile de faire mieux que le 2e sachant qu'il est souvent classé comme le "meilleur" AC de la licence. Tout est subjectif évidemment...
Cela reste un très bon AC qui ne change pas énormément ses habitudes de Gameplay.
Points Forts : Les musiques magnifiques // La "vie" des PNJ qui donne vraiment un côté réaliste à Rome. // Les doublages vraiment bons. // Le système des Assassins que l'on peut prendre sous notre aile. // La fin inattendu !
Points Faibles : Les sauts parfois maladroits. // Les missions plutôt répétitives. // Scénario plus faible que le 2e. // Quêtes secondaires pas ultra intéressantes...
AC Brotherhood reste un bon jeu sans exceller pour autant. On reste un peu sur notre faim une fois le jeu achevé mais cela n'empêche pas d'apprécier le titre à sa juste valeur.

Je suis en train de me refaire les Assassin's Creed depuis le premier, j'en suis à celui ci que je viens tout juste de finir. Il parait que c'est un des meilleurs épisodes de la série et franchement je comprends pas pour quelles raisons.

Le jeu est un peu plus joli que les 2 premiers jeux mais c'est pas incroyable non plus, les rues de la ville restent peu détaillées et à l'extérieur on a toujours plus l'impression de se promener sur un terrain de minigolf que dans la nature.
Le jeu est extrêmement court, du moins pour l'histoire qui se boucle en 10h parce qu'il n'y a pas beaucoup de missions et qu'elles sont extrêmement courtes (et encore elles sont artificiellement ralongées par toutes ses quêtes de filature où on doit marcher bien gentiment pendant 15 minutes derrière des gens qui marchent comme des vieillards et s'arrêtent toutes les 3 minutes). Y a plein de "trucs" annexes à faire mais vraiment pas fun et sans intérêt en terme de récompense quand on a fini le jeu.
Il est court mais aussi très petit. On passe d'un AC2 où on alternait entre plusieurs maps retraçant divers régions d'Italie, des maps souvent immenses, à une map certes grande mais qui correspond à peu prés au tiers de la superficie jouable dans le précédent jeu.

Le jeu est encore plus facile. On peut porter jusqu'à 15 remèdes (je crois pas avoir eu besoin d'en utiliser plus de 2 ou 3 entre deux ravitaillements de tout le jeu) qui ne coutent absolument rien (à peu prés 1% de l'argent qu'on reçoit automatiquement en banque toutes les 5 minutes). L'argent coule à flot à cause de l'argent de poche qu'on reçoit régulièrement sans rien faire. L'IA et toujours à la ramasse.
Mais le pire c'est cette idée d'avoir des assassins qu'on peut lancer sur nos ennemis dés qu'on veut à l'aide d'une simple touche. On est même plus obligé d'assassiner nos ennemis, même les cibles du scénario. On appuie sur un bouton, la cible meurt tuée au loin par nos sbires et notre perso apparait dans la cinématique tenant le corps du type mort à 50m de lui...

L'histoire est nulle (pour ce qu'il y en a). Si scénaristiquement on ne pouvait pas tuer le pape Borgia c'était juste un prétexte pour justifier cette suite où on devra se venger de lui et de sa famille (qui n'a encore rien à voir avec les Borgia historiques, détruisant un peu plus l'argument du "ouai mais les Assassin's Creed c'est aussi éducatif parce que c'est historique" alors que c'est à 99,99% fictif)

Vraiment pas foufou. Un peu plus joli qu'Assassin's Creed 2 et avec enfin un cycle jour/nuit, on se tape quand même une palette de couleur très moche, des animations pas terribles et une ville quand même toujours pas mal artificielle, trop propre et peu détaillée.

Niveau gameplay, si on y joue après AC2, on repart de zéro et il faut à nouveau récupérer la double lame, la capacité de sauter depuis un point d'escalade pour s'accroche à un autre point un peu plus haute, etc. Pour le reste on retrouve la même escalade, les mêmes combats, le même système d'assassinat, les mêmes missions consistant à suivre un type pendant 30 minutes sans se faire repérer, sans être 3m trop loin ou 3m trop prés et qui se retourne toutes les 30secondes façon "un, deux, trois, soleil".

Dans les nouveautés on a la capacité d'appeler un cheval (aléatoire et non personnalisable) en sifflant depuis n'importe où, ce qui ne sert à rien vu que 99,99% du jeu se passe en ville dans des ruelles de 3m de large et qu'on a un système de voyage rapide entre différents points de la map.
On a aussi la possibilité d'appeler des pnj qui apparaissent de nulle part pour assassiner les ennemis qui se trouvent dans le coin, qui s'apparente clairement à du cheat et détruit complètement le jeu puisqu'on appuie sur un bouton pour voir nos ennemis se faire tuer au lieu de faire nous même les assassinats de l'assassin qu'on est censé jouer.

Et puis évidemment un pas de plus dans la stratégie du remplissage typique des jeux Ubisoft avec au menu, 101 (pas 100) drapeaux à trouver dans toute la ville, toujours des tas de glyphes planqués dans toute la ville pour résoudre des énigmes nulles pour aucun bénéfice, toujours des coffres complètement inutiles partout mais aussi, au rang des nouveautés :
-Des dizaines de zones fortifiées dans lesquelles il faut tuer un pnj qui se cache dés qu'il vous voit et qui ne disparait si vous n'êtes pas assez rapide, vous obligeant à attendre 20 minutes pour qu'il réapparaisse et que vous puissiez ressayer. Tout ça avant d'escalader une tour pour y mettre le feu, tout ça dans le but de pouvoir acheter des boutiques
-Parce que pour pouvoir utiliser les services (inutiles pour finir le jeu) d'un forgeron ou des marchand d'oeuvre d'art, il faut d'abord payer pour ouvrir cette boutique, qui fourni ensuite régulièrement de l'argent, et il y en a des dizaines et des dizaines.
-Des assassins à recruter dans toute la ville en combattant 3 ou 4 soldats, puis à former en les envoyant exécuter des contrats pour gagner de l'expérience (pour quoi faire?) tout ça dans un menu ultra austère.
-Un système de défis qui ne rapportent rien (du genre "tuer 5 soldats depuis un toit")

Et surement d'autres trucs tellement encore moins intéressants que je les ai jamais fait, tout ça pour remplir complètement artificiellement un jeu finalement assez pauvre dont l'histoire se termine en 20h (et probablement 3 fois plus en se tapant tous les trucs de remplissage).

Pour ce qui est de l'histoire finalement, déjà que celle d'AC2 était bien pauvre puisqu'elle se résumait à une vengeance personnelle en tuant une à une la douzaine de personnes impliquées dans un complot (complot dont l'objet n'est réellement développé que lors des 2 chapitres des 2 DLC), là y a vraiment absolument rien. Clairement on comprend bien que le studio s'est dit que le succès d'AC2 devait venir de son personnage principal et de son contexte historique, de coup on reprend le même perso à la même époque mais sans avoir rien à raconter.
Du coup c'est la guerre contre les Borgia qui tuent notre tonton et crament le manoir des Auditore, donc on va faire pleins de missions avec des prétextes tirés par le cheveux pour se venger et tuer les Borgia.

Ce jeu complète bien l'histoire d'Assassin's Creed II.
Les missions qui ne font pas partie de l'histoire principale sont aussi intéressantes.
Il y a maintenant des défis dans les mémoires ce qui rajoute aussi la maîtrise des techniques du jeu. Mais cela va dans deux sens car certains missions de machines de guerre de Da Vinci vont vous faire goûter de l'enfer pour les réussir à 100% de synchronisation.
Et pour la première fois, on se sent vraiment qu'on est le grand maître des assassins car le premier Assassin's Creed nous disait qu'on était un maître des assassins avant qu'on perd ce titre, mais on ne sentait pas trop ce que ça rapporte, lorsqu'on a retrouvé notre grade à part l'équipement et quelques techniques de combat.
Si dans l'Assassin's Creed II on ne savait plus où dépenser l'argent lorsqu'on a complètement rénové notre villa, et acheté toute l'équipement, ainsi que des tableaux; Assassin's Creed Brotherhood nous indique où on peut toujours dépenser notre argent grâce aux jeu de hasards et investissements dans l'économie de Rome.
Les objets de collections qu'on doit chercher sur toute la carte de Rome sont maintenant plus facile à trouver grâce aux cartes lesquelles on achète chez marchand d'art. Cependant certains coffres de trésors ne s'affichent pas sur la carte même si on a acheté une carte de trésor chez marchand d'art, donc il reste toujours un peu d'exploration de Rome pour trouver les derniers coffres de trésor.
Et pour ce qui veulent se mesurer avec ses amis pour savoir qui maîtrise parfaitement tout le gameplay du jeu, il y a dans l'entraînement virtuel de l'Animus un tableau des records des différents défis. Alors l'esprit de compétition ne vous lâchera pas si tôt.

Que dire si ce n'est faire part de ma déception. Alors je sais bien que ce jeu est sacré et je suis dans la même situation que bous. Je l'ai idolâtré toute mon enfance mais je vais faire de mon mieux pour expliquer pourquoi ACB n'est pas le meilleur AC ni même un bon AC en fait.

Tout d'abord je tiens à souligner le bon graphique entre AC 2 et B. Le jeu est beau, fluide bref pas de soucis.
La bande son est répétitive mais pas mauvaise pour autant.
L'ambiance de Rome est sympa même si le monde est moins travaillé qu'AC 2.

Bon maintenant on va parler de ce qui fâche. Premièrement le scénario... AC 2 avait un scénario sympa qui se cassait la gueule à la fin sous le poids des incohérences et facilités scénaristiques. Bah sans surprise l'histoire d'AC B est fondée sur... Une facilité scénaristique grossière. Les antagonistes sont 3 catégories en dessous de AC 2 et honnêtement la seule cinématique que j'ai trouvée intéressante était celle entre Rodrigo et Cesare. Le reste... Bon.
Cesare qui se veut nouvel antagoniste principal devient de + en + médiocre au fil du jeu et se transforme en dark sasuke méchant pour être méchant vers la fin du jeu. Aucune motivation potable, aucune stratégie, aucun charisme bref une blague éclipsée par Rodrigo qu'on voit pourtant quasi pas du jeu...
Ne parlons pas des facilités scénaristiques qui aident à le faire survivre, à le libérer de prison sans explication et j'en passe.

Maintenant parlons de la seconde catastrophe du jeu : le gameplay. Je vais pas passer par 4 chemins, le jeu ne propose quasi rien de nouveau par rapport à ses ancêtres mais TOUT sans exception est plus aléatoire et bugué que dans AC 2 ! Le parcours est moins étoffé, plus dirigiste dans les missions et j'ai rarement autant passé mon temps à recommencer du parcours pcq le jeu fait n'importe quoi avec la direction du saut voire même il s'accroche pas à la bordure ! Petite anecdote je n'ai pas fini la dernière mission pour cette raison parce que Desmond refusait de s'accrochait à une plateforme bref merci youtube pour la fin du scénario.
Les combats c'est pareil, le enlève tout seul le ciblage des ennemis te condamnant à pas pouvoir parer les attaques, les assassinats marchent quand ils veulent aussi hein n'essayez même pas d'assassiner deux personnes d'un coup ca marche une fois sur deux... Bref l'un des gameplay les plus à l'ouest que j'ai vus et de très loin c'est à se demander si le jeu a été testé.

La discrétion (enfin devrais-je dire les IA) c'est pareil c'est à l'ouest. Vous savez, y'a les jeux modernes ou les IA voient rien généralement et y'a les jeux plus anciens ubisoft (far cry, AC etc...) ou la discrétion est foirée pcq les ennemis te détectent quasiment avant que tu ne les détectes. Bon j'admets que far cry était bien pire mais y'a quand même des gros problèmes d'IA surtout quand on considère que le jeu est ultra dirigiste et t'oblige à passer par tel chemin et à pas te faire repérer (alors même que en terme de cohérence scénaristique y'en a pas besoin hein ) et se faire spotted par un garde que t'es littéralement en train de tuer avec l'animation déclenchée, bah c'est de la m**** en fait... Et ca arrive trèèèèèès souvent.

Maintenant parlons des missions du jeu. Alors je vous résume les 3/4 du jeu : prendre en filature sans se faire repérer, escalader tel batiment en passant précisément par ces bordures, s'infiltrer sans se faire repérer. Voila et le 1/4 restant c'est du combat
Un désastre absolu le 2 était en tous points meilleur et pourtant il était pas dénué de défauts...
La moitié des missions sont des quêtes filatures, c'est long c'est chiant c'est pas drôle... bref.

Cet opus est une grande déception selon moi, le pire gameplay tout AC confondu, le scénario le moins bien géré (et j'ose le dire la saga Auditore est surcotée tant le scénario surexploite des incohérences et facilités scénaristiques) m'enfin

Mais je comprends pas comment les gens peuvent donner des notes aussi élevé à ce jeu.
C'est le jeu le plus overrated de la saga.

Le jeu a des BUGS eliminatoires pour un Assassin's Creed comme des bugs de parkour,
ou bien des ennemis qui apparraissent à 3m de toi durant l'infiltration...

Mise à part ça les graphismes sont laids, la ville de Rome peu inspirée.

Le scenario principal n'est que tutoriel géant ou on te présente les différentes factions (dénué d'intérêt),
et s'achève contre un méchant qui n'a absolument pas été développé dans le jeu.

Bref je pourrais clasher ce jeu des heures durant, mon 12 est généreux.
Je ne comprendrais jamais comment des fans de la série AC oi des fans de jeux vidéo apprécient
autant Brotherhood qui est médiocre.

AC2 et Révelation relève le niveau de ce jeu vraiment...

Trés bonne suite du deuxieme opus qui était deja exelent celui ci nous fait voyager a Rome et ce base sur l'intrigue de la famille Borgia j'ai bien aimer le jeu meme si plus court niveau scenario que le deuxieme seule petite deception Desmons et vraiment de plus en plus insuportable je prefere largement Ezio le vrai Héros de l'histoire

Trés bonne suite du deuxieme opus qui était deja exelent celui ci nous fait voyager a Rome et ce base sur l'intrigue de la famille Borgia j'ai bien aimer le jeu meme si plus court niveau scenario que le deuxieme seule petite deception Desmons et vraiment de plus en plus insuportable je prefere largement Ezio le vrai Héros de l'histoire

Ce jeu est absolument génial. Graphiquement, tout d'abord : ce jeu est magnifique, il y a très peu d'aliasing, c'est très propre, très fluide et très bien détaillé. C'est le plus beau jeu du genre après les God of War, qui "triche" avec leur caméra fixe. Concernant le gameplay, en mode normal, la difficulté a été grandement rehaussée, surtout à cause de la suppression des objets de soin que l'on conservait pour les Boss. Le mode normal de razor's edge est plus difficile que le mode difficile de sigma 2. Concernant les ennemis de base, là aussi, le jeu a été équilibré, dans sigma on pouvait relancé des lâcher d'izuna indéfiniment après en avoir réussi un, là c'est un poil plus compliqué, il faut de temps en temps faire une esquive avant d'en faire. Concernant les ennemis qui ne peuvent pas être projeté en l'air, dans sigma 2 on avait souvent le temps de charger avec triangle, dans celui-ci c'est un peu plus compliqué. Concernant le comportement du personnage, je trouve razor's edge plu

Ce jeu est énorme, c'est de l'argent bien dépensé.
Durée de vie excellente, je prends plaisir à me balader sur la carte sans aucun but.
les sensations sont excellentes, et le scénario varié et intéressant.

Brotherhood est mon quatrième Assassin's Creed. Et dans l'optique de poursuivre la saga Ezio, il est apparu évident d'enchaîner cet épisode après Assassin's Creed II. On sent une nette amélioration en surface du jeu depuis le jeu précédent : le rendu graphique est plus agréable, le gameplay un peu plus poussé et la prise en main assez fluide. Rome est un point fort indiscutable du jeu, après les villes de Florence et Venise. Certes il n'y a plus qu'une seule ville de disponible, mais quelle ville ! Imposante, passionnante et extrêmement riche par son histoire antique, la ville s'avère extrêmement agréable à explorer, de ses buildings à ses plaines en périphéries, des aqueducs à reconstruire à ses palais de marbre.

Mais en jouant, je me suis vite agacé sur plusieurs missions, certes réussies pour la plupart mais parfois frustrantes. Là où AC2 s'est montré impeccable, parfaitement fluide sur le déroulé et les exigences de gameplay de ses missions, Brotherhood m'a à plusieurs reprises agacé. Je ne peux pas rentrer davantage dans les détails sans spoiler, mais d'une mission à l'autre la patience est plus ou moins mise à l'épreuve, là où AC2 s'est révélé d'une constance remarquable dans sa qualité. C'est le principal point noir que j'ai à relever (et l'histoire un chouïa plus courte) mais le plaisir reste dominant avec les quelques agréables nouveautés comme la rénovation de Rome, système de progression bien pensé pour s'enrichir et redorer le blason de la capitale romaine après l'influence néfaste des Borgia, ainsi que le fait de pouvoir embaucher des assassins et les envoyer mener des missions dans toute l'Europe. Ainsi la ville se débloque progressivement à mesure qu'on en nettoie les zones au moyen des tours Borgia à enflammer et donc en enrayant l'influence de la famille maudite, jusqu'à libérer toute la ville pour tirer pleinement parti de ses ressources. Et bien sûr le parkour, dénominateur commun de la saga, est toujours aussi plaisant, de même que les combats un peu moins fastidieux que dans le II. Me reste l'épisode Revelations pour conclure ce grand pan de la saga Assassin's Creed en pleine Renaissance.

La trilogie consacrée à Ezio se poursuite avec un jeu entièrement centré sur Rome dont la représentation est fidèle et grandiose, on ne peut qu'avoir envie d'y aller après avoir fini le jeu ! Le gameplay est dans la continuité du jeu précédent avec l'ajout des assassins pouvant venir aider. L'histoire se suit sans déplaisir ni répétitivité malgré quelques incohérences vis à vis du jeu précédent. La musique est assez plaisante mais bien plus sombre qu’auparavant, ce qui instaure une ambiance malsaine qui renforce l'immersion, évoluer au milieu de l'empire Borgia avec le danger à chaque coin de rue.