Premier Mortal Kombat il n'en reste pas non plus un des plus mémorable. Les personnages sont peu nombreux, leurs palettes de coup limité et le nombre de décors frise le ridicule néanmoins le jeu avait une atmosphère réaliste et assez sombre qui ne laisse pas indiffèrent. A essayer pour les nostalgiques et fan de la saga

Parallèlement à la version Super Nintendo, Mortal Kombat est également sorti sur MegaDrive dans une mouture beaucoup plus prisée par certaines personnes du fait qu'il existe un code permettant de faire sauter la censure, la manipulation ABACABB étant aussi une référence à l'album Abacab du groupe de rock progressif Genesis, sorti en 1981. Cela dit, la quantité de sang reste légère et le code permet surtout d'avoir de réelles fatalités ; à noter que la fatalité censurée de Sub-Zero fait donner un simple uppercut à son adversaire (alors qu'il le gelait avant de lui éclater le tronc supérieur sur Super Nes) et celle de Johnny Cage rend mieux, bien qu'étant un simple coup de pied rapide en avant.

Au niveau des bons points, les écrans menant au menu principal sont bercés par un joli remix du thème principal bien moins discret que sur Snes. Concernant les musiques par contre, si certaines tirent leur épingle du jeu grâce à un joli travail sur le timbre, d'autres ne tiennent pas la comparaison face à leur homologue Snes. Les courtes mélodies morbides suivant les FINIH HIM ne sont plus présentes, mais chaque niveau comporte un petit jingle musical à chaque victoire, notamment celui du temple Shaolin qui est particulièrement réussi. Graphiquement par contre, la qualité est bien en-dessous et on sent clairement le manque de couleurs de la console, notamment au vu des sprites des personnages.

La difficulté est toujours aussi élevée mais l'IA est globalement moins pénible, notamment avec Rayden où on peut gagner facilement en leur fonçant sans arrêt dessus, une protection leur enlevant une part non négligeable de vie à chaque fois. La jouabilité est identique à la version Super Nes mais une manette à six boutons est indispensables pour jouer dans de bonnes conditions, même si les développeurs n'ont pas été fichus placer les quatre boutons de frappe à côté. Avec une manette à trois boutons, le coup de poing haut se fait en maintenant arrière tout en appuyant sur A, ce qui n'est vraiment pas pratique En outre, la glissade de Sub-Zero semble se faire assez différemment et a bien souvent du mal à sortir.

Assez mitigée, cette version s'en sort avec les honneurs mais vaut surtout pour son code anti-censure, sa musique d'intro et ses jingles de fin de combat, car tout le reste est bien en-dessous, comme pour la plupart des jeux sortis à la fois sur MegaDrive et Super Nintendo.

Un premier épisode qui a posé les bases de la série de Midway. Il fait aujourd'hui mal aux yeux et son gameplay ne fait pas une seconde le poids face au cultissime Street Fighter II. Néanmoins à l'époque les graphismes digitalisés en jetaient pas mal et l'aspect gore était un atout plutôt sympathique. Il en reste un dinosaure du jeu video.

Il mérite un 17 il est gore il na pas 20 car il est peu facile de faire ce que l’on veut mais la maniabiliter ne tue pas le jeu loin de la de plus si on si habitue il en reste génial je pense que sa note moyenne(13)est du a sa difficulté trop élever pour de simple casual actuel.