Un très bon jeu pour la GameBoy Color. Graphismes jolis, histoire intéressante, personnages charismatiques... C'est comme le MGS de PS1 sur la GBC. Le seul truc qui est dommage c'est que les événements de ce jeu sont pas canoniques, le jeu n'est qu'un spin-off de la série principale.

Voici le meilleur jeu de la gameboy color. Oui, MGS est une exacte copie de la version PSOne dans le gameplay, tout ça sur une console portable. Puis le scenar est bon. Ce qui m'a le plus plut c'est la problématique du jeu, le "ghost babel". C'est dommage que Hideo n'ait pas developpé ce thème sur une console de salon, ça aurait eu beaucoup plus d'impact sur les consciences des joueurs quant à l'origine véritable des guerres qui sont orchestrées dans les pays du tiers-monde.

Un peu plus d'un an après le phénomène Metal Gear Solid, Kojima effectue un petit retour aux sources avec un nouvel épisode en 2D sur Game Boy Color, chez le concepteur même qui avait accueilli un portage de Metal Gear et le très bon Snake's Revenge. On peut ici une nouvelle fois parler de suite alternative étant donner que ce nouvel épisode intitulé Ghost Babel se déroule sept ans après le premier Metal Gear, et ne semble pas du tout tenir compte des événements de Metal Gear 2. En 2002, Snake doit infiltrer la forteresse Gindra, située en Afrique du Sud, afin de sauver un nouvel ingénieur, le jeune Jimmy Harks, et d'empêcher les terroristes d'utiliser le lancement nucléaire du Metal Gear qu'ils détiennent.

Très proche de Metal Gear Solid au niveau de sa structure, Ghost Babel a lui aussi sa propre unité ennemie : la Black Chamber. Ses quatre membres constituent la plupart des boss du jeu, chacun a son identité et sa façon de combattre. Les autres boss sont des machines : un hélicoptère contrôlé par Sophie, bras droit d'un général semblant contrôler l'opération, et bien sûr Metal Gear, dont il faut détruire les pieds pendant qu'il nous poursuit avant de venir à bout de ses armes un fois cloué au sol. S'il faut après cela courir après Viper et lui tirer plusieurs fois dessus avant que Metal Gear ne fasse un lancement nucléaire une fois à la surface, son précédent combat est plus intéressant avec les couloirs explosifs qu'il crée et les mines qu'il place.

Ghost Babel opte pour un rendu assez coloré et des sprites sans doute trop détaillés pour les faibles capacités de la machine, mais sa belle exploitation permet aux graphismes de largement de démarquer des autres productions de l'époque. Les musiques ne valent globalement pas celles des opus MSX mais elles offrent des écoutes agréables parfaitement dans l'esprit de la série. Le jeu est décomposé en treize niveaux, ce qui le rend un peu plus linéaire pendant une partie du jeu, le retour en arrière étant impossible tout en conservant une importante composante aventure. D'abord dans la jungle, on retrouve l'ambiance du début des épisodes NES dans un level design assez simple pour continuer vers des bâtiments de plus en plus complexes le même système d'étages et de cartes-clés à trouver pour ouvrir les portes. Les ennemis sont peu nombreux mais peuvent nous voir plus facilement que dans les précédents épisodes en 2D ; ils se multiplient vite en cas d'alarme, qui reprend le thème calme de Metal Gear 2, et nous cherchent pas mal de temps avant que l'alerte ne s'arrête. Au bout de trois coups portés, ils tombent dans les pommes et se relèvent rapidement, un autre combo leur étant généralement fatal. S'il est aisé de les tuer avec le pistolet five-seven muni d'un silencieux, les chargeurs sont petits, rares à trouver et seule la barre de vie augmente en avançant.

Au fil du jeu, Snake se constitue un arsenal assez simple avec un pistolet, une mitraillette, un Nikita, des grenades, des stuns, des chaffs, des mines, du C4, des rations (trois maximum à la fin du jeu), un gilet pare-balles, six cartes-clés bien espacées, des cigarettes, des lunettes thermiques, des lunettes de vision nocturne, un détecteur de mines, un masque à gaz et trois cartons différents. Grâce à cet équipement, certains passages sortent grandement du lot comme les nombreux panneaux à détruire au missile téléguidé afin d'enlever l'électricité au sol (bien plus abouti que le seul passage de Metal Gear Solid), les murs précis à détruire au C4 pour entrer dans la cellule de Jimmy, la fuite de la centrale avant son effondrement, le combat contre Marionnette Owl et ses clones visibles grâce à la chaleur qu'ils dégagent, sans oublier le dédale des tapis roulants où il faut régulièrement changer de couleur de carton pour accéder à de nouvelles zones.

Le scénario a beau être classique et friser le déjà-vu par rapport à Metal Gear Solid, sa narration est prenante grâce aux nombreuses phases de codec (et ce malgré le rythme assez lent de l'affichage des textes), aux dernières paroles des boss accompagnées de belles scènes fixes représentant les personnages et au soin apport au background et aux relations entre les personnages, entre Chris qui rappelle Meryl, Jimmy juvénile et arrogant, Sophie qui se pose des questions sur sa place dans tout ça, et des trahisons classique que l'on apprend sur la fin. Metal Gear Ghost Babel est une belle réussite et s'impose comme un des jeux les plus ambitieux de la Game Boy Color.

Ce MGS Ghost Babel (ou MGS GB -GB pour GameBoy !-) est une véritable leçon de game design par M. Kojima. Sortir un jeu aussi envoûtant et d'une telle profondeur sur une machine aussi peu puissante que la GB Color, c'est bel et bien un exploit digne de Link's Awakening sur la GB originelle... Le jeu pêche un peu par ses graphismes (là, on voit les limites du support), mais se rattrape par ses animations (magnifiques, par exemple quand Snake court) et sa direction artistique. Et puis, à côté de ça, le gameplay est un condensé de bonnes idées : le nombre d'objets et d'armes accessibles est forcément un peu limité, mais l'essentiel est là, et chacun(e) a son utilité propre, et toujours pertinente. Snake peut courir, ramper, tirer, lancer des grenades, assomer un garde, faire du bruit en tapant contre un mur pour attirer l'attention, voir dans le noir (avec des lunettes), se cacher dans une boîte en carton, balancer des roquettes, etc. Le nombre d'actions possibles et l'interaction globale avec l'environnement sont très bien calibrés, et le level design propose des environnements et des situations suffisamment variés pour qu'il soit impossible de s'ennuyer... Encore une fois, c'est incroyable de réaliser tout ça sur GB Color : c'est la marque des grands de repousser les limites d'une machine, et ici M. Kojima et son équipe s'en tirent avec un grand brio. Un petit bémol sur les boss, que je n'ai personnellement pas tous trouvé passionnants, mais pour le reste c'est du tout bon.

Une petite remarque à ce sujet concernant le test de JVC : il y est précisé que le jeu compte 4 boss, ce qui est absolument faux (il y en a 6, voire 6.5). A se demander si le jeu a vraiment été testé correctement !

Un Metal Gear Solid sur Game Boy Color qui frappe un bon coup sur la portable de Nintendo grâce à un gameplay aussi riche que le premier episode de la saga sur PS1 !
Techniquement irréprochable, ce Metal Gear exploite au maximum les capacités de la console et offre aux joueurs des heures d'infiltrations en compagnie de Solid Snake dans un scénario originale.
Une durée de vie raisonnable qui se voit prolongée grâce à un mode VR Training accompagné d'un mode Missions qui vous permettra de reparcourir les niveaux pour accomplir de nouveaux objectifs.
Un jeu qui fait honneur à la Game Boy Color et qui vous poussera à ressortir la portable du placard !

Après le grand métal gear solid sur playtation voilà la version game boy color. Le jeu en vaut vraiment le coup, les graphiques sont bien, l'arsenal est bien complet, il manque juste une arme mais y a un effort fournit. Toujours le mode entrainement, long à terminer et quelques fois certains d'entre eux sont très durs. Le mode scénario est beaucoup trop court, quelques passages sont également compliqués et j'ai beaucoup de mal à ne pas me faire repérer, peut-être à cause de l'adaptation sur la console portable. Un mode 2 joueurs est proposé et il en vaut le coup aussi(comme l'ensemble du jeu, je sais je me répète un peu), dans l'ensemble ce jeu est très bien mais quelques difficultés un peu trop élevées comparé au mode de jeu que l'on choisit (je suis en mode facile et certains passages sont pas si faciles que ça), et le jeu est très court.

C'est (presque) ici que tout a commencé. En revoyant les nouveau Metal Gear Solid on se doit de repenser au tout premier! Pour l'époque, les graphismes étaient bon, le scénario aussi, et la durée de vie énorme.

Metal Gear sur Gameboy : aucune raison de se le payer. Le jeu est vraiment trop simple, quand on se fait repérer il y a juste à changer de salle. Le jeu est trop lassant : toutes les pièces se ressemblent, on a l'impression de tourner en rond.

Un Metal Gear Solid sur Game Boy Color qui frappe un bon coup sur la portable de Nintendo grâce à un gameplay aussi riche que le premier episode de la saga sur PS1 !
Techniquement irréprochable, ce Metal Gear exploite au maximum les capacités de la console et offre aux joueurs des heures d'infiltrations en compagnie de Solid Snake dans un scénario originale.
Une durée de vie raisonnable qui se voit prolongée grâce à un mode VR Training accompagné d'un mode Missions qui vous permettra de reparcourir les niveaux pour accomplir de nouveaux objectifs.
Un jeu qui fait honneur à la Game Boy Color et qui vous poussera à ressortir la portable du placard !

Le meilleur jeu Metal Gear après les 2 versions msx. Ces 3 jeux méritent 20/20. Vive Konami et vive Metal Gear ! Kojima n'a fait que des bons Metal Gear par contre les versions Nes sont bidons (ça ne vient pas de lui).

Un jeu inoubliable franchement ! si graphiquement le titre se rapproche plus des premières versions NES vu que les deux consoles sont 8-bits, le jeu n'en demeure pas très beau, très riche et détaillé et très coloré !, le gameplay est vraiment excellent, de l'infiltration pure ! la durée de vie est énorme bref je ne pense pas avoir besoin d'argumenter pour que vous décidez de l'acheter ! MUST HAVE !

Metal Gear Solid:Ghost Babel est un jeu d'infiltration.Graphiquement,le jeu s'en sort bien sans prétention.La maniabilité est très bonne,l'histoire est longue.Les musiques sont sympas.Il y a un mode Entrainement comme sur la PS1.Le jeu a été tout simplement jeté aux oubliettes.Dommage que ce jeu ne soit pas sur le PSN,Xbox Live Arcade ou CV,car il est très bon !

Rejeton illégitime d'une série populaire, placé sur une console n'étant pas spécialement la mieux à même d'accueillir un tel titre, Ghost Babel ne s'en tire pas avec les honneurs, mais quand même plutôt bien. Si vous aimez vous adonner à des jeux un peu obscurs, même sans être fan de la série, vous pourrez y trouver quelques courtes heures de divertissement.
Et même dans un tel titre marginal, Campbell réussit à maintenir un niveau d'utilité très bas, ce qui est une belle performance.

Un des meilleurs jeux GameBoy Color, vraiment beau pour la console (la petite animation du bandana de Snake ou la fumée par exemple) et innovant en gameplay.
Le jeu ressemble énormément au premier Metal Gear sorti sur MSX (les mercenaires sur une île menacants d'utiliser le Metal Gear etc...) scénaristiquement et visuellement surtout.
Le jeu est long, les environnements sont vastes et bien modélisés.
En revanche, le support GameBoy comporte des limites très vite atteintes comme une IA des ennemis vraiment moyenne pour ne pas dire nulle (tant qu'on ne se place pas JUSTE devant les gardes, ils ne nous voient ou ne nous entendent pas) sans compter qu'il y a parfois juste à changer de salle pour faire disparaitre les alertes. On notera aussi un nombre d'objets vraiment minimal (2-3 armes et à peine une dizaine d'objets de soutien) et des bruitages et musiques pas très convaincants (enfin, faut pas non plus trop en demander à une GameBoy).
En conclusion, un très bon jeu innovant pour l'époque GameBoy mais qui aurait vraiment gagné à sortir sur Advance plutôt que sur Color (à mon humble avis). Il reste pourtant un des meilleurs du catalogue de la petite portable de chez Nintendo.

Un jeu sympa et graphiquement il posséde un style assez cool pour un jeu de Gameboy. Le jeu est assez dure, les maps sont super vaste tellement que l'on s'y perd facilement. Mais un MGS sympa avec une histoire assez profonde elle aussi.