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Je l'aurais attendu ce Resident Evil. Entre les rumeurs, les annonces, les présentations de différentes versions, puis l’avalanche de vidéos abbatus à partir de 2004, Resident Evil 4 aura eu tout le temps de me faire saliver, à tel point qu’une bassine a vite été nécessaire.
Le jour où je mis enfin mes mains dessus, ce fut la claque instantanée, tout en 3D, à travers un classieux style racé. Techniquement impeccable ou presque, RE4 a offert à la série une nouvelle charte graphique des plus merveilleuse. À travers des environnements vastes, des boss gigantesques, des effets de lumière fabuleux, des animations faciales impressionnantes. Ou tout simplement par une mise en scène exceptionnelle.
À peine remis de mes premiers ébahissements techniques, il a fallu que je me jette sur la manette pour enfin appréhender ce nouveau gameplay. Cette nouvelle prise en main qui, paraît-il, nous ferait ravaler notre venin craché sur neuf ans de jouabilité désuète et irritante. Leon, le protagoniste du quatrième volet, s’inscrit donc en plan rapproché, vu de trois quarts arrière, à l’éternelle gauche de notre écran. Il avance prudemment, arme au poing, et laisse la caméra s’approcher lorsqu’il vise, afin que nous puissions ajuster son laser sur une partie précise de l’anatomie des opposants.
Quelques minutes suffisent à oublier l’impression selon laquelle il marche en biais. De même pour ce qui est de la visée. Une dizaine d’ennemis anéantis, et à vous les joies douteuses de l’assassinat comme si vous y étiez. La caméra n’est pas toujours placée idéalement , mais une fois le pistolet en joue, la précision est diabolique : genou, ventre, bras, tête… toutes les possibilités de destruction s’offrent aux armes de poing.
Le titre se veut beaucoup plus orienté action qu’exploration. Les séquences de combat alternent avec une exploration linéaire mais pas rébarbative, faite d’un enchaînement de couloirs qui évite les allers-retours ennuyeux, d’une carte ultra détaillée qui indique toujours la prochaine destination, et d’un codec qui nous remet vite en place si l’on sort du champ.
Dans tous les cas, RE 4 tient le rythme : avec des sauvegardes infinies, des loadings presque indicibles ou encore la mise aux oubliettes des éternels coffres. Les "continue", d’autre part, s’avèrent très efficaces. Il est agréable de perdre sur une séquence d'action difficile, pour la retenter immédiatement, plutôt que de buter sur une énigme illogique. Et surtout de ne plus pester contre un gameplay d'un autre âge. À cette image, le menu a bien évolué. Plus ergonomique, il est à présent complété par un marchand qui vendra des armes et s’occupera des évolutions diverses.
La barre d’énergie est désormais visible à l’écran (qui reproduit son évolution au fil des soins, bien vu), de même que les munitions de l’arme en main. Toutefois, il manque encore un raccourci manette pour changer d’arme plus directement, facilement et rapidement. Cela éviterait les allers-retours dans les menus lors de grosses empoignades. Globalement, l’intelligence artificielle de RE4 n'était pas exceptionnelle, mais l’on pouvait être parfois surpris de voir des ennemis traverser des fenêtres, monter des échelles pour venir nous alpaguer, ou se séparer en petits groupes.
Ce n’est pas pour autant que les ennemis arrêteront de marcher aussi lentement une fois arrivés à trois mètres de Leon. Une vraie menace plus rapide aurait pu être complétée par la possibilité de straffer, un mouvement qui manque cruellement au titre. Au lieu de cela, le protagoniste ne pourra pas tirer en mouvement, ce qui donne un cachet Phantasy Star Online à certaines séquences : je vais à un bout du terrain, je tire au plus vite et, lorsque les ennemis arrivent vers moi, je vais à l'autre bout de la zone et je recommence mes salves, etc. De même, RE4 ne fait absolument plus peur. La musique indique trop l’action à venir, et ne laissera glisser que deux ou trois sursauts.
Le jeu n’oublie pas le traditionnel scénario un peu plan-plan des Resident Evil. Le scénario n’est encore une fois qu’un prétexte pour exposer des environnements classiques. Reste que de part le niveau technique de RE4, ce n’est pas un souci. Et je suis même prêts à supporter tout le ridicule du monde pour régaler mes mirettes sur des performances aussi éblouissantes.
RE 4 n’est bien sûr pas exempt de défauts. Reste que l'ayant attendu comme un fou, il a pour ma part, remplit parfaitement son contrat de renouvellement pour cette grande et sublime saga qu'est Resident Evil. "Morir es vivir", c’est le cas de le dire. Sans être en avance, Mikami impose le respect : il a tenu son pari et donne à sa série, poing fermé et pouce en l’air, un nouveau souffle.
C'est toujours sympa de pouvoir refaire Resident Evil 4, qui est pour moi le meilleur épisode de la série. Les graphismes n'ont pas beaucoup changé mais ça reste quand même plaisant à faire. Le jeu était vraiment une tuerie à l'époque. Pour ceux qui n'ont pas eu l'occasion de le faire sur PS2 à l'époque, c'est une belle occasion pour eux.
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c'est avec une certaine impatience,que je me suis jeté sur ce jeu,et je n'ai pas été trop déçu, si ce n'est qu'une fois de plus la hd à disparue en chemin,comme pour splinter cell et autres à croire que le simple faites de marquer hd à coté de hit passé, suffit à se garantir une manne confortable.donc on avance malgré tout dans ce jeu fort sympathique,riche en action et autres péripéties.Maintenant le temps à fait son oeuvre et quand on regarde les derniers jeux dans le meme style dixit dead space,il est un peu difficile de se réhabituer au fait de ne pas pouvoir avancer en tirant.bref pour ceux qui ne l'ont pas fait à essayer pour découvrir une autre façon d'appréhender RE.
Déjà terminé sur PS2.
Pour moi le meilleur de la série après l'indéboulonnable 1er épisode en director's cut.
La gestion des items est antédiluvienne mais le jeu a une ambiance qui m'avait bien stressé.
Si vous ne l'avez pas encore fait je vous le conseille,après pour ceux qui l'ont déjà terminé sur une autre plate-forme et qui râlent ils n'ont qu'à jouer à autre chose et nous foutre la paix!
Re4 est un jeu sympa mais il ne rentre pas vraiment dans la ligné des "vrais" resident evil puisque ce jeu est orienté action, et que le côté survival est vraiment laissé de côté, voir abandonné. Il en reste un jeu sympa avec un héros charismatique. Cependant le scenario laisse à desirer et le jeu est abominablement court. Sans être un excellent joueur, je l'ai finis en moins de 2 heures (avec certaines armes spéciales que les anciens joueurs doivent connaitre). Cependant, l’efficacité de son gameplay, les personnages et l’évolution de l'histoire (bien que prévisible)reste appréciable, ce qui fait de ce RE4 un bon jeu, sans plus, sans moins mais qui vous laissera un bon arrière goûts 
le meilleur residante evil de tous les temps , JVC a abuzer de noter le sénario 10 sur 20 , c'est un jeu a voir pour tous les jouer de survival horror , il est meilleur que residente evil 5 , c'est une legende du jeux video !
Franchement resident evil 4 est un des meilleurs opus de la série, Résident evil code veronica est pour moi le Résident evil le plus complet et où les monstres sont le plus variées!
Le 4 est très variée aussi, les environnement changent souvent (à pars au début) Les sons sont sublime , Graphiquement rien à dire Et en supplément quelque moment de bonne frayeur!
A ne pas rater !!
Je n'ai jamais compris l'engouement pour ce volet de la presse et des joueurs qui la suivent... Une ambiance de quermesse (c'est quoi ce design des moines kepon dans le chateau??? Les zombies militaires m'ont fait mourir de peur aussi...), une camera (trop) efficace reprise par tout les jeux d'actions TPS actuelles, et un Leon se la jouant gros dur (il était bien plus "fin" dans le second volet) et balançant une compilation de punchlines debile copier collet des blockbusters de l'époque.
Bref, c'est un bon jeu, certe, efficace mais aussi calibré pour l'international. C'est l'ambiance qui m'a fait vibrer dans les 3 premiers episodes de la license, que je ne retrouve bien sur, pas ici.
PS : Qui peut me dire dans quel pays europeen on peux retrouver des maison texanes americaine ?(mais oui, vous savez! avec la balustrade surelevé autour de la maison pour faire de l'harmonica en regardant l'horizon)
Un des plus mauvais Resident Evil de la série, le plus mauvais étant le 5. Ce 4ème épisode a vraiment marqué la fin de Resident Evil. Maintenant il ne s'agit plus que de faire plaisir aux ados à la recherche de graphisme next gen et d'action, tout ça au détriment des vues qui plaçaient l'ambiance et des énigmes qui faisaient la renommée de cette série. Ce qui était assez agé pour découvrir RE1 sur la PSX comprendront que ce jeu n'a de Resident Evil que le nom. A quand un retour aux sources ? R.I.P. Resident Evil 
TOUT SIMPLEMENT INJOUABLE !!!
J'ai pourtant pris un pied monstre sur la version WII et je souhaitais me faire un petit plaisir sur XBOX360, mais je suis déçu !
La lourdeur des déplacements rend le lock des ennemis difficile. Une vrai déception pour ce qui me concerne
Un portage dans les traditions Capcom : du recyclage, du recyclage, et du recyclage. Passons sur le prix de vente en boite ou en dématérialisé. Quels ajouts par rapport à la version PS2/NGC d'origine ? Plus de loadings (quand installé sur HDD), le 16/9, des contrôles un peu meilleurs au niveau des sticks (moins sensibles que les mouvements de parkinsonien que l'on faisait sur PS2) et... c'est tout. Le lissage des textures que l'on prétend appeler "HD" est le minimum attendu d'une émulation, et rien n'a été fait pour améliorer les modèles ou l'aliasing, LE gros point noir de ce RE (il suffit de marcher dans le couloir du début du chapitre 3-2 pour s'en rendre compte). Pas de nouveaux ennemis, pas de nouveaux mystères ou bonus, pas de bonus "inédits" donc : au moins a-t-on droit aux bonus PS2 de l'époque (Separate Ways et Mercenaries). 11 donc pour la qualité nullissime du portage, mais parce que pour les plus jeunes qui n'y ont pas joué et à condition de fermer les yeux sur les déplacements balourds de Léon et le QI de poule d'Ashley, le jeu possède une ambiance relativement géniale (si on accepte que chez Capcom, on considère les espagnols (les européens ?) comme des cul-terreux vivant encore comme dans les années 40).
Une deception , les graphisme ne bat pas ceux de Resident Evil 0 et rebirth . De toute facon , le 4 est le déclin de la serie Resident Evil , bien que bon , le scénario n'a rien des premiers et le gameplay est rendu action . Deception a mes yeux , mais il ma apporter un leger plaisir a le repasser en HD , même si pas fini ... vraiment un leger plaisir
Honteux ! 20 euros une simple mise à jour de résolution c'est inadmissible !! Les textures sont les mêmes, aucuns bonus, les bugs ne sont pas réglés, .... Autant se retourner sur la version wii que l'on trouve à 10-15 euros en occasion qui apportait de vraies nouveautés au niveau de la jouabilité.
N'importe quoi, pour l'avoir en "HD" à l'époque, il suffisait de l'acheter sur pc.
A part ça le 4 signe le déclin de la série à mon avis, pour moi les seul "véritable" RE sont le 1, 2, 3 code veronica, le zero et le 1 refait.
Avec l'arrivée du remake je me devais de refaire l'original que j'avais déjà poncé à l'époque sur la PS2 de mon frère.
Je l'ai refait sur Série X et quel plaisir nostalgie incroyable !
Ce jeu reste culte et excellent à tous les niveaux. Un leçon de level design et de rythme entraînant.
Seuls les graphismes ont un peu vieilli, mais la DA reste sublime.
Terminé en 19h en standard, une très bonne durée de vie en plus.
Un inmanquble ! Je suis chaud pour enchaîner avec le remake maintenant.
BbBof, commmparé à la versssion sur plateforme Playstation 2, c'est une bouse ! Heureusement qu'il y a des mods et des patchs car là, c'est pas du joli...
Resident Evil 4 est un classique, c'est indéniable, et rejouer au jeu 13 ans après l'avoir fait sur Game Cube est toujours un plaisir mais fidéle à lui-même, Capcom livre un portage des plus paresseux.
Graphiquement, HD ou pas, nous sommes de retour en 2005 et ça c'est fâcheux lorsqu'on propose un titre au prix fort de 19.99. Une légère refonte graphique n'aurait pas été du luxe à ce prix, d'autant que les animations nous rappellent parfois que nous sommes 10 ans en arrière.
Autre point négatif, le gameplay. Sans surprise devenu lourd et vieillot, il m'a fallu un petit moment et un tour dans les configurations pour reprendre les rênes du jeu. Autre point à noter : tout comme les versions PS2, Wii et j'en passe, difficile de retrouver le confort de jeu de la gamecube de jadis. On sent que le jeu était pensé comme une vraie exclue pour cette console et cela s'en ressent dans la jouabilité qui malgré l'excellente manette xbox360, n'atteint toujours pas la qualité de celle de la 28 bits de Nintendo.
Enfin, vu le prix, Capcom aurait pu rajouter des surprises pour celles et ceux qui connaissent le titre par coeur...mais non. Nous avons le contenu de la version Wii de...2006.
L'éditeur se repose donc les qualités de son chef d'oeuvre, qui est encore un vrai bonheur à parcourir et qui vaut bien plus que ce modique mais honorable 13/20, mais la conversion trop paresseuse, motivée par le seul profit m'a déçu, tout comme elle décevra les fans de la première heure.