https://www.EloRift.com/r/11985

Un jour dans un après midi d’été,
Les cotons du ciel au dehors pleuraient
Et Siphon un petit garçon qu’on appelait « débile et benêt »
S’était mis lui aussi à goutter
Car il n’avait
ni ses parents, ni ses amis
Pour l’aimer

Parce qu’en été il y a des choses chaudes
Parce qu’en été il y a des choses dociles
Comme les tendresses faciles
Et les embrassades pataudes

Des paroles de caresse
Aux soupçons de délire
Des odeurs de paresse
Et d’abscons sourires

Mais qui ne sont donnés
Qu’aux esprits les plus forts
Et épargnent les âmes faibles
Esseulées et tristes

Qui oublie les jours chauds
Ne se souvenant que des nuits
Qui elles sont restées froides

Et de l’éternel ressac animal
Qui sévit,
En colères inopportunes
En écrasements fatals

Pour entrer dans une danse
Qui tribale, infernale
Détruit tout.

C’est donc dans le nébuleux
Dans le curieux brouillard
Que soudain sans dessus dessous
L’imagination de Siphon s’empare
de Tout!

Et qu’en même temps que son esprit
Son lit vacille
Il prend de la hauteur
Il se précipite, casse la fenêtre
Et marche!

Il ferme les yeux et se retrouve
Sous les lunes beiges de Géryon qui scintillent
Une à son quart et l’autre à son zénith
Avec ses gigantesques cités satellites
Et ses hautes magistratures de verre
Qui de leurs mains tranchantes
Prononcent les sentences
Et coupent impassibles
Les têtes d’éternels coupables
Qui le sont uniquement
Selon leur loi.

Près de Géryon, il y a
Une étoile entourée
D’un noir d’abîme
Mais qui elle, en revanche, éclate
D’une lumière voluptueuse si blanche!
Des rivières sinueuses s’y tracent
Où des nymphes somptueuses y dansent
Elles nagent diaphanes
Et coulissent animales
Dans les rivières de lait
Comme des loutres marines
Et les pêcheurs hagards
Tentent avidement
De se les emparer

Il y a plus loin des temples, des palais
Qui a tous les étages
Exhale des odeurs d’étalage
Des senteurs parfumés
Auxquelles les candides voyageurs
S’y arrêtent pour goûter
Les épices, le miel
Et peut être le mafé
Ou peut-être bien le lotus
Pour ne plus jamais retrouver
Leurs natales ithaques

Et l’enfant voit
Dans les dunes magnifiques
Des raies lourdes
Qui promènent de leurs vastes ailes
Le chatoyant sable d’or
Elles lévitent pour l’ombrer ses amies!
Afin de le préserver du dur désert
Et leurs pelages ornées
Sont pareils aux tapis de Perse

Il y a des animaux plus fets
Comme les chacals purulents
Ou les lynx aux yeux clairs
Qui traquent sans merci
Les égarés, les perdus
Et les plus démunis
Mais aussi des vieux bovidés
Qui transportent avec eux
Des astres solaires

Et alors s’élève
Soudain brusque
Une montagne
C’est en fait une chenille colossale
Provenue des tréfonds de la terre
Qui fume, fulmine
Comme un engin tyrannique
Et dévale sur son passage
La Cité des Souks
Dont les habitants
Hurlent meurtris
Pour prier Clotho

Puis passant par la jungle épaisse
Aux cents arbres
Et aux vertes plumes
Que survolent de toutes tailles
D’antropophages rapaces
Aux feuillages irisées
Qui filent imposant
chassent indolent
et étale
De la poudre duveteuse
aux effets oniriques

Les sages quant à eux
étudient les rumeurs
D’une cité engloutie
Aux temples immergés
Aux pierres érodées
Où résonnent encore
Les oraisons d’une secte oubliée
Dont les profonds secrets sont gardés
Par des géants marins
Aux milles têtes de reptiles

Mais en vérité
Rien n’est plus beau
Que l’astre coruscant
d’Aemtyhit
et sa Cité Blanche Interdite
Où s’éveille une princesse
Ou cheveux d’or
Centre de cet univers, elle
veille interdite
La jeune âme qu’elle enfante
Malheureuse elle médite
La fin de son monde
Car sa poitrine érubescent
Cache féconde
L’arrivée d’une autre atmosphère

Et sa tour s’effondre
Tandis que les sujets supplicants
Tandis que les gardes impérieux
Sollicitent tout d’eux
Qu’on escorte leur reine
Sur ces hauts éléphants
Aux tatouages runiques
Golems métaphysiques
Des portes du temps
Pour qu’elle s’échappe
De sa prison d’argent

Mais la Princesse étincelante refuse
Elle sait que
Dans très peu de temps
L’été se finit
pour le petit garçon
qui l’a inventé
Et qu’ils vont devoir bientôt se séparer
Pour qu’il puisse, lui, se réveiller
Elle, s’endormir.

Ô on ne parle pas en été
des choses que l’on rêve
C’est bien trop triste!

En effet en été
On parle seulement par des brèves
de choses
ô combien
superficielles!

Mais ce n’est pas grave en ce cas
Car l’été restera
la saison des crécelles!

Pour rappel, vous avez jusqu'à 23h59 pour participer...

Intro :

Je m'appelle Charles, j'ai 16ans et je ne sort jamais de chez moi, sauf pour aller en cours. Je passe mon temps sur dofus et j'ai trois level 200.
Sur dofus on m'appelle : Le maitre des ténèbres, à l'école on me surnomme : La baltringue
Je ne suis pas moche, je ne suis pas beau, je suis le type normal, qui passe toutes sa vie sur son
ordinateur. Mais attention, je ne joue pas que sur mon PC.
J'ai aussi ma xbox, ma wii et ma ps2. J'aime également beaucoup de séries, et je regarde aussi NARUTO !!
Je me suis même surpris en train de jouer a Pokémon sur ma game boy, à 4heure du matin sous mes draps. C'était pour l'occasion, je combatais la ligue pokémon.
Ma vie est a chier, une vrai VDM.
Mais ce jour là.

Lundi matin 8heure, la sonnerie retentit, je suis devant ma porte, tout seul. Je ne suis pas un kikoo non plus, j'ai pas de cartable ni rien. J'ai un joli sac Puma que j'ai depuis la 5ème, je dois dire que j'en prend soin.
Les gars de la classe se ramène, celui que je déteste le plus arrive, il s'appelle Amaury.
On dirais qu'il est tout droit sortie des méchants américain qu'on vois dans les séries. Il se moque tous le temps en me méprisant et en me caractérisant régulièrement de " chien " ou de " iench "
Amauray se ramène et me tape sur l'épaule :
- Yep gros chien ta les yeux tout rouge, t'a level up sur dofus toute la nuit ?
Il a pas tord, je suis passé level 158 hier avec mon nouveau perso
Mais la, y'en a marre, je lui répond d'un air méchant en le regardant les yeux :
- E-e-ecoute je suis pas ton chien daccord ?
J'ai bégayé comme une fiote...
- Ta une morve mouche toi me répond t-il
Alors la, je lui sort comme papa m'a dit :
- Toi même
Toute ma classe de 1ère explose de rire
S'en est trop, je pose mon sac Puma, j'enlève mon Tshirt et je me met, torse nue en position avec mes doigts comme pour exécuter un jutsu, et la je lui sort en criant :
- Arrête tout de suite ou j'exécute mon MULTIII CLONAGGGEEEE
Toutes la classe c'est mis à hurler de rire, le prof est arrivée, j'ai remis mon t-shirt, j'ai léché ma morve, je suis retourné en cours sans rien dire.
Comme un chien.

La journée est fini, enfin, je vais pouvoir si j'ai vendu, hier je me suis mis en mode marchant sur dofus!
Je cours donc dans la rue tête baissé avant de percuter une vielle dame qui tombe à terre. Je l'aide , car elle lutte pour se lever. C'est alors qu'elle me frappe avec sa canne en hurlant :
- Jeune gland! Pense à regarder ou tu va. Fumier va!
Comme je suis pacifique, je lui dit :
- Je vous ai aidé, c'était pour moi une mission de rang C mamie Tsunadé!
Ensuite, je suis arrivée chez moi et j'ai geeker toutes la soirée.
Et puis le soir, je, me connecte sur msn, et je découvre avec stupeur que j'ai un ami connecté!
Mais mais !
Mais oui
C'est bel et bien ma tante!
J'ouvre la conversation et lui dit :
- KIKOO TATA
Ma tante est sympa, sauf que la, c'est ma cousine qui répond :
- Écoute baltringue, la c'est sa fille, alors tu la ferme et tu te construits une vie okay!

C'est vrai, j'en est plein le cul de cette vie pourrie.

Je me déconnecte d'MSN, je supprime dofus, et je décide qu'aujourd'hui, ma vie va changé!

Jerryson tu as lu les mots thèmes ?

Absolument pas j'ai juste relayé une oeuvre qui était très connue à l'époque

Donc je ne retiens pas le texte ...

DANS LE JE (Thème : imaginaire)

Le G s'impose, laisse une ouverture tout en s'enveloppant dans une douce courbure toute aussi délicate que sa pointe. C'est le repli réconfortant. Le L semble aller vers le ciel mais garde le pied sur terre. Une question d'équilibre. Le O est le plus intriguant en ne laissant rien passer tout en présentant une circularité divine et sans faille. La beauté et la pureté d'un cercle ou d'un ovale selon qu'il est étiré ou non donne envie de plonger dans son ventre. Le B arbore deux belles fesses dévoilant son coté féminin et la dualité qui disparaît dans la minuscule. Enfin le E et ses trois dents suscite la tentation d'escalader ce mur parsemé d'embûches qui ne sont que des étapes.
La robe du zèbre semble s’élargir à travers les billes poreuses. C’est comme si elles étaient remplit de miel. Les bandes noires et blanches sont des traits vaporeux. Le store apparaît dans la continuation avec ses bandes de même couleur et laisse apercevoir un nuage immensément gris à l’extérieur. Les feuilles des arbres dansent et virevoltent emportées par le vent déchaîné.
Dans le cerveau, ce décor est reproduit à l’identique. Les zèbres sont sortis du cadre et dévalent les escarpements accidentés à l’intérieur du crâne sourd. La fumée semble remonter jusqu’au cortex. Toute les parois sont atteintes et les zones dévorées jusqu’aux plus résistantes.
Le venin est entré. Tout se referme comme un piège. La pièce s’étire tel un couloir aux murs glissants. L’angoisse se dégage de ses murs révulsants où le Diable, pour sûr, est au bout du passage.
Seules les pupilles se meuvent avec une certaine difficulté et les paupières font parfois barrage. C’est alors le face à face avec l’écran de télévision, allumé, qui dégage des couleurs vives, ardentes, brûlantes. Les saccades sont douloureuses. Tout ce que la télé a de plus putride en elle se projette à l’extérieur et touche de ses rayons néfastes ce qui l’entoure. Les ondes maléfiques jaillissent comme des maux et se font ressentir de plus en plus violemment. Il ne faut plus la regarder, les oreilles doivent être bouchées, les paupières crispées dans le coussin d’une douceur extrêmement pure, bien que sentant la cigarette froide et la transpiration à grosses gouttes.
Le mal se mélange au bien. Alors que le miroir noir est en train de déverser ses émissions vide de sens, le cerveau n’arrive même plus à capter ces futilités dangereuses. Il s’enveloppe dans un cocon. Il y a encore des petits trous qui laissent passer des rayons de réalité lugubre, d’ici, de maintenant, mais il se referme lentement. L’araignée du plaisir enveloppe le tout dans de la soie presque anesthésiante.
Le corps est relié à tout cela. Affalé, il participe, forcé, à l'ascension de la montagne de la béatitude. Les muscles se remettent tout à coup en ordre et en mouvement pour la longue marche. Ils sont bons, propres, meilleurs, vidés de saletés impures, prêts à danser mieux que les feuilles. Plus facile est la danse lorsque le corps peut flotter. Au milieu des arbres, à l’entrée d’une petite clairière délicatement ensoleillée.
Le soleil est toujours présent, rappelant que la dose de plaisir à bel est bien fait effet. Jamais sonnant comme une radiation, il n’est pas une arme mais un apport de bien-être. L’éclairage de la vie. Le même moteur que celui ayant servi à l’élaboration des grandes pyramides, faisant des héros ou peut-être même des dieux oubliés.
A l’improviste, le soleil disparaît. C’est à l’entrée de la clairière bleutée de nuit étoilée que le corps ne peut s’empêcher de danser. Une fine pâle polska sous la lune gibbeuse. Une décroissante qui dévoile une étrange partie de sa silhouette.
Le paysage se jaunissant, quelque chose d’intrusif se met en place. Une chose muable mais non contrôlable, qui file comme de l’eau sous les quatre doigts de la main. La mémoire envoie une partie de ses souvenirs tels des assaillants vociférateurs. Une balle a percé le cocon de la manière la plus violente, envoyant le grappin du réel dans ce temps sans temps, si majestueux. Des gens sont là, s’exposent dans la clairière. Des visages à première vue blancs comme neige mais qui se dessinent peu à peu. Des visages connus. Puis la clairière et la lune nacrée s’effacent, du temps se mêle à l’intemporel en plaçant un décor déjà vu, des sons déjà entendus dans la vie si courte. Des éléments sonores stressants qui se répètent inlassablement. Les yeux sont si sombres et pénétrants mais les visages ne tardent pas à dégouliner. Comme d’habitude, la brèche est recousue et le voyage continu dans un temps qui donne l’illusion d’être sans fin mais qui va s’arrêter brutalement. C’est l’accident où la voiture fonce contre un arbre centenaire, où les membres s’arrachent et la tête se cabosse sous l’affront. La pensée est sabordée. La lumière n’est plus une caresse, elle éclabousse, rouge vive sur le front. Il faut alors courir pour sauver sa peau. Mais c’est comme monter dans une grande roue qui ne s’arrête pas et qui tourne de plus en plus vite. La sortie est largement visible mais ratée. Au plus haut, la belle et grande montagne est visible mais un nuage rouge s’en est emparé. Le corps est éjecté du siège, tombe sur le sol mais passe à travers lui. Même pas le temps d’effleurer le goudron.

Ok je ne suis plus ban (c'était bien une erreur ). ( j'ai posté un texte sous un secondaire (kepral) ).

Tithon un pseudo du début à la fin de l'épreuve, sinon c'est trop facile ...

Été et imaginaire sur le 18-25?
J'ai rencontré ma copine sur la plage.

Merci pour le prix a+

Fin des inscriptions, c'est parti pour les votes.

Sont retenus :

1. Le texte de Sybran (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725403876
2. Le texte de Herculees (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725461340
3. Le texte d'ivylbis (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725484012
4. Le texte de SaintSalomon, « Du royaume des sables à la Républiques des fumées »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725589188
5. Le texte d'EcrivainJVC (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725673988
6. Le texte de TintinVagin (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725693516
7. Le texte de Hanoi1, « La junkie mathématophile »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725772460
8. Le second texte d'EcrivainJVC (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725827276
9. Le texte de Laansing, « 4821 »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725839732
10. Le texte de bluetask (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725921628
11. Le texte de Shanxempereur (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/725931164
12. Le texte de partosh (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726042668
13. Le second texte de partosh (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726043276
14. Le texte de TouhouMusic8 (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726107332
15. Le texte d'ERENJUHH (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726128668
16. Le second texte de SaintSalomon (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726155548
17. Le texte de Beaumarchais (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726182484
18. Le texte de SAPestderetour, « le larcin »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726357948
19. Le texte de RedBoz, « la vie d'une nuit d'été »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726333212
20. Le texte de Link-cartoon2 (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726362668
21. Le texte de RafikiFTW, « tant pis je meurs »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726397756
22. Le texte de trollbasterd, « un été en fauteuil roulant »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726433380
23. Le texte de LHS3447 (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726435932
24. Le texte de Nasgor (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726504252
25. Le texte de Tocarvalho (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726545660
26. Le texte de Brimade (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726574588
27. Le texte de Caluce, « les enfants de Chérie-Belle »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726682540 et https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726682916
28. Le texte de Kokopali, « Rêves d'une nuit d'été »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726880124
29. Le texte de DousteBlazy (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726890884
30. Le texte de FionDeBengui, « un voyage ténébreux » https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726909292
31. Le texte de Limpo_lePhoenix (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/726962452
32. Le texte de -manit007- (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/727011156
33. Le texte de Hadohap3 (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/727289612
34. Le texte de BonneAventure, « un « t » à la prison »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/727328844
35. Le poème de rikkulmaster (sans titre):d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/727342556
36. Le texte de WHAWHA, « DANS LE JE »:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/727365292

Les textes de Ori-smer, Nogah et Commando501 ayant été posté sur différents forums, je vous invite à les retrouver sur le 15-18 et Ecriture.
Pour le texte d'Ori-smer:d) https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/759913650
Pour le texte de Nogah https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/747147841
Pour le texte de Commando501 https://www.jeuxvideo.com/crazymarty/forums/message/747118473

On en est donc à 39 textes retenus, ce qui est énorme. Un grand bravo à tous les participants, et un bon courage à tous ceux qui restent dans la course ! Vous avez donc jusqu'au Dimanche 2 Aout 2015 à 23.59.59 pour élire votre texte favori.
Ps : il va sans dire que tout texte posté après ce message ne sera pas pris en compte dans les votes.

Je vois que mon texte n'a pas été retenu, apparemment il n'a pas été compris.

--crazymarty-- Je peux nommer mon texte "Songes d'été" ?

On ne change plus rien, ça reste tel que.

Suskind : tu as voulu jouer sur la limite, tu as perdu. Il y avait trop de textes pour que je digresse trop fortement des sujets...

Le 27 juillet 2015 à 00:34:22 --crazymarty-- a écrit :
Suskind : tu as voulu jouer sur la limite, tu as perdu. Il y avait trop de textes pour que je digresse trop fortement des sujets...

As-tu au moins compris en quoi mon texte devait se rattacher à la catégorie « Imaginaire » ?

EDIT : je précise que je veux juste m'assurer que mon texte ait été rejeté en connaissance de cause, et non sur un malentendu.

Le 26 juillet 2015 à 23:23:48 --crazymarty-- a écrit :
Tithon un pseudo du début à la fin de l'épreuve, sinon c'est trop facile ...

J'ai pas compris le message là ?
J'ai posté qu'un seul texte hein.
d'ailleurs il n'a pas l'air d'avoir été retenu , je rejoints le rang des incompris

Ah et sinon je veux bien savoir pourquoi mon texte (un rêve si réel) n'a pas été retenu . (c'est pas un protestation hein! je veux juste savoir ce qui n'a pas plu )