Sauf que le passage sert justement à montrer qu´Alex a de la culture. Si Thibaut explique lui-même, c´est moins bien car ça fait un argument de moins pour montrer les qualités d´Alexandre.

Bien vu. Il faudrait amener la culture d´Alexandre d´une autre façon.
Au fait, j´ai moyennement apprécié que tu parles de la fic Namâric, j´aurais aimé la garder en réserve.

Bon, allez, je me décide ! Je dois lire ceci (et la cathédrale aussi^^)

Go !

Heu... t´aurais pas une version sous Word par hasard ?

Je comprends bien que c´est pour montrer qu´Alexandre a de la culture, seulement je trouve ça moyennement amené. Vàlà tout.

On est d´accord, Grhyll. J´ai d´ailleurs quelques idées :

- Thibaut pousse Alexandre à lui parler de ce bois (genre "que savez-vous d´autre sur le xetwaÿ?")

- Théo commence à en parler, Alex le coupe pour ne pas lui laisser l´avantage.

Où va ta préférence ? Aurais-tu une autre idée ?

PS : Ash oui j´ai une version Word, mais il me faut une adresse e-mail (pas MSN).

Tu as lu les Bracelets au fait ? Je me souviens plus...

Mmh pourquoi pas une sorte de mélange des deux ? Genre Théo veut étaler sa propre culture, mais il se plante et Alex le corrige. Ou bien... ou bien ta deuxième proposition, même si ça ramène Alex à son statut de sale gosse XD La première je trouve qu´elle ne fait pas vraiment naturelle non plus.

Je n´ai rien lu *honte visible* mais mon adresse est :

ashnruins@free.fr original, isn´t it ?

Donc, balance tout ce que tu as (moins de 5Mo) et je lirai d´ici les vac´s (ça me rappelle quelque chose )

Merci^^

Ash Envoyé.

Grhyll OK pour ta première idée, je vais essayer.

OK merci plein^^

voilà, tout lu, et plus de fautes dans l´avant dernier chapitre que d´habitude...dommage mais rien degrae...sinon, superbe le combat

La suite, donc (me suis relu vite, il doit rester des fôtes) :

Dharuk en avait assez.
Son poste de sentinelle du camp était en principe un travail simple et sans souci. Surveiller la plaine, avertir le capitaine Hoktar si quelqu´un paraissait. Mais en ce moment...
D´abord, ce comte Thibaut qui débarquait avec ses hommes et s´installait dans le camp. Le lendemain, comme si lui-même avait apporté des ennuis, la moitié des chefs de clans trouvait la mort.
Ensuite, le Prince Alexandre et son oiseau géant qui arrivaient comme ça, en pleine nuit.
Et maintenant, un Ork, un seul.
A priori, rien de vraiment étonnant. On attendait des guerriers, et certains pouvaient très bien arriver avant les autres.
Oui, sauf que...
Premièrement, cet Ork ne venait pas des montagnes, mais des plaines du Nord-Est.
Deuxièmement, il dégageait plus de force que la moyenne. Sa peau paraissait plus sombre, ses yeux plus rougeoyants, son expression plus féroce. Son armure de cuir et de métal semblait avoir souffert récemment et les crans vides à sa ceinture laissaient supposer des pertes de matériel.
Troisièmement, son nom était bien connu, et on n´aurait jamais imaginé le voir revenir un jour près de l´Echine du Serpent.
- Hustouk ! s´exclama Dharuk.
Le nouveau venu continua d´avancer, encore à une bonne distance. Cela faisait déjà une heure qu´il approchait du camp, mais le garde venait juste de le reconnaître.
Son cri attira aussitôt l´attention d´un autre Ork assis au pied de la tour, derrière la palissade. Grand et maigre, les cheveux gris, l´air mauvais, il portait deux sabres dans le dos et aiguisait ses dents avec un petit poignard. Au nom d´Hustouk, il bondit sur ses pieds.
- Qu´est-ce que tu viens de dire ? lança-t-il.
- Y a un gars qui s´amène, répondit Dharuk. Et à mon avis, c´est Hustouk.
- Tu es sûr ?
- Quasiment, Zortas, quasiment. Mais ne...
Trop tard. Le dénommé Zortas se tenait déjà sur la passerelle devant la porte et regardait le voyageur arriver. D´autres Orks le rejoignirent. De longues minutes s´écoulèrent, et enfin le nouveau venu parvint au camp.
- Hustouk, grinça Zortas.
- Ouais, c´est moi.
L´atmosphère se tendit. Les Orks reculèrent prudemment vers le camp.
- Je croyais que tu ne devais plus jamais revenir par ici...
- Aucune loi ne m´y forçait. Seulement ta présence.
- Que fais-tu là ?
- J´ai senti que ma place était ici, répondit Hustouk. J´ai obéi à mon instinct.
- Tu as quitté ces lieux depuis longtemps...
- C´est vrai. Je suis entré au service du baron Tarlaq de Holarn, un noble de Dümra. Mais je devais revenir à présent.
- Dommage pour toi, cracha Zortas, mais tu t´es trompé. Je fais te régler ton compte une bonne fois pour toutes.
Hustouk soupira.
- On doit vraiment passer par là ?
- A cause de toi, la moitié du clan a été massacrée, je te rappelle.
- Ce n´est pas moi qui menait l´attaque, mais toi.
- C´est ta faute si ça a mal tourné ! rugit Zortas.
- On est tombés sur une bande qui comprenait un Varak. On n´avait aucune chance. Ce n´est la faute de personne.
Zortas poussa un grognement agacé.
- Après ce raid, nous étions les seuls survivants. Je t´ai interdit de revenir, et tu as bravé mes ordres. Crève !
Ses doigts s´enroulèrent autour des poignées des sabres fixés dans son dos. Au même instant, la main d´Hustouk se referma sur le pommeau de l´épée qui pendait à sa ceinture.
- Sans arme, siffla Zortas.
- D´accord.
Les boucles des sangles s´ouvrirent dans des claquements de métal. Les trois fourreaux tombèrent au sol.
Les deux Orks bondirent en même temps.
Un seul but : régler leurs comptes.
Ils se percutèrent avec un bruit sourd. Zortas lança son poing dans le visage d´Hustouk qui l´esquiva et plaça un coup de genou dans l´entrejambe de son adversaire. L´Ork maigre recula en grimaçant, sembla vaciller puis frappa. Son pied fusa, percuta l´épaule de son ennemi et l´envoya rouler au bord de la passerelle. Hustouk se releva d´un bond quand son assaillant arrivait sur lui. Il décocha à Zortas un coup de coude dans le ventre puis lui expédia son poing droit dans le menton. Les deux combattants s´écartèrent.
Hustouk chargea avec violence et se jeta de tout son poids sur son adversaire. Les deux Orks s´effondrèrent, luttant au corps à corps avec une sauvagerie animale. Zortas expédia son coude dans la tempe de son rival, roula sur le côté, se redressa. Il n´était pas encore debout quand Hustouk le frappa du poing. Un craquement affreux fit grimacer les spectateurs.
Zortas, le nez en sang, gronda et porta un coup du tranchant de la main. Son adversaire contra l´assaut et lança son pied en avant. Il faucha Zortas au niveau chevilles et se rua sur lui. Une nouvelle mêlée confuse débuta. Les deux Orks se débattaient, frappant frénétiquement du poing ou du genou. Brusquement, Hustouk se dégagea et abattit son talon dans le ventre de son ennemi. Zortas poussa un grognement, tenta de riposter. Une prise en ciseaux faillit lui briser la cage thoracique. Haletant, il parvint à se libérer et s´éloigna de quelques pas. Hustouk s´était remit en garde.
- Joli, fit Zortas. Tu as progressé.
Il tira un couteau plat de sa botte et s´élança contre Hustouk. Celui-ci évita la lame affûtée, para une seconde attaque au risque de s´entailler la main, puis décrocha la serpe et la courte hache alignés à sa ceinture.
- Je croyais qu´on avait dit : « sans armes ».
- J´ai menti, répliqua Zortas.
Il bondit comme un tigre et frappa à nouveau. Hustouk dut décider qu´il en avait assez vu. Sa serpe intercepta le couteau, sa hache s´abattit sur la tête de Zortas. Ce dernier esquiva, reçut un coup de pied dans le torse. Il s´écroula sur la passerelle.
Avant qu´il ne puisse se ressaisir, Hustouk l´avait immobilisé d´une clef imparable et appuyait le tranchant de sa hache contre sa gorge.
- Tu étais peut-être le plus fort autrefois, dit-il d´une voix étonnamment calme, mais maintenant c´est moi le meilleur, pigé ?
Zortas ne répondit rien. Une clameur enthousiaste monta des Orks qui avaient suivi le duel. Hustouk se releva et reçut cet hommage en bombant le torse.
Sans remarquer Zortas qui se redressait dans son dos et dégainait un des ses sabres, une dangereuse lame incurvée qui s´élargissait à son extrémité...
- Arrête !
L´ordre avait claqué, sévère. Zortas s´immobilisa et abaissa son arme.
Le capitaine Hoktar fendit les rangs de ses guerriers et avança à la rencontre d´Hustouk.
- Heureux de te revoir, cousin. Je vois que tu as réglé tes vieilles dettes en arrivant. C´est bien. Tu vas peut-être pouvoir nous donner quelques explications.
Hustouk ne l´écoutait pas, les yeux fixés derrière lui. Fixés sur le groupe d´homme qui se tenait dans son dos. Fixés sur le garçon vêtu de noir.
Il s´agenouilla avec respect.
- Altesse, je vous salue.

La hache s´abattit une dernière fois.
Le tronc céda.
- Attention ! vociféra le bûcheron.
L´arbre bascula, énorme masse de bois et feuilles qui percuta le sol avec un bruit assourdissant. La terre trembla, des branches cassèrent, des oiseaux s´envolèrent. Plusieurs hommes s´approchèrent du colosse végétal avec des scies et des haches.
- Le village de Signur, annonça Nurmill Aqlaï.
Seubal Artus et Adrien parcoururent encore quelques mètres sur le sentier et émergèrent d´un seul coup de la forêt. Le bois s´arrêtait là, brusquement, remplacé par une mer de souches mortes. Autour d´eux, des bûcherons attaquaient les arbres encore debout, comme une armée d´hommes face à une armée de troncs. Au-delà de la zone d´abattage se tenait un petit village coupé par une rivière, construit comme n´importe quel autre : une place centrale pavée encadrée de maisons de pierre, d´une auberge et d´une église, le tout au milieu de chaumières aux murs de bois. Un peu à l´écart, la roue d´un moulin tournait dans la rivière avec un grincement continu. Une grande plaine s´étendait au sud avant de céder la place à d´autres forêts et à des collines en pente douce.
- Ca m´a l´air honnête, déclara Artus.
L´un des bûcherons délaissa son travail et s´approcha d´eux en soufflant comme un boeuf. C´était un homme solide à la peau mate et à la barbe touffue, vêtu de toile et de laine, chaussé de bottes de cuir. Il portait sa hache sur son épaule et affichait un sourire amical.
- Bonjour, voyageurs ! lança-t-il d´une voix forte. Que faites-vous par ici ?
Nurmill Aqlaï tourna vers lui ses yeux sages et fatigués.
- Moi, comme vous l´avez dit, je ne suis qu´une voyageuse. Je parcours le monde sans but précis, si ce n´est pour entendre les légendes et les transmettre aux hommes.
- Intéressant, répondit le bûcheron. Seriez-vous une conteuse ?
- C´est un rôle que je joue volontiers et qui m´apporte souvent un repas.
- Eh bien, soyez la bienvenue pour ce soir. En ce moment, ça ne fera de mal à personne d´écouter quelques histoires. Le moral est bas à cause de la guerre. C´est quoi votre nom au fait ?
- Nurmill Aqlaï.
- Moi c´est Bob. Bob Bakoff. Et les deux autres ?
- Seubal Artus, intervint celui-ci. Mage de Combat de Dümrist. Et Adrien, mon élève.
Bob eut un mouvement de recul.
- Des sorciers ? N´allez pas causer d´ennuis au village, hein ?
- Aucun risque, le rassura Artus. Nous ne sommes ici que pour passer la nuit. J´ajouterai que votre façon de vous méfier de la magie est assez vexante.
Le bûcheron se rasséréna.
- Très bien. Excusez-moi maintenant, mais j´ai du travail.
Il s´éloigna pour rejoindre ses compagnons, empoigna sa hache et reprit ses assauts méthodiques contre son arbre.
Nurmill Aqlaï traversa le champ de souches en s´appuyant sur son bâton et pénétra dans le village. Quelques enfants qui, de loin, l´avaient écouté parler avec Bob, se précipitèrent sur la vieille femme pour bondir autour d´elle avec force rires et cris de joie. Elle se pencha vers eux avec un grand sourire.
Artus se dirigea vers l´auberge qui servait aussi de taverne. Adrien le suivit et tous deux entrèrent dans le bâtiment.
La salle était presque vide. Trois hommes aux riches vêtements discutaient avec un quatrième autour de grandes chopes de bière, débattant des modalités de l´achat et du transport du bois pour cette saison. L´aubergiste, un gros homme au teint rougeaud, rangeait quelques pichets derrière son comptoir. Dès qu´il aperçut les deux voyageurs, il vint à leur rencontre avec un grand sourire et s´inclina légèrement.
- Que puis-je pour vous, messires ?
- D´abord, arrêter avec l´obséquiosité, jeta sèchement Artus. Ensuite, nous trouver à manger et une chambre pour la nuit.
Malgré le ton cassant du magicien, l´aubergiste ne se départit pas de sa bonne humeur.
- Mais bien évidemment ! Je vous propose un ragoût de porc dont vous me direz des nouvelles !
- Entendu.
L´homme s´éloigna en se frottant les mains. Artus et Adrien s´assirent à une lourde table de chêne, loin des autres clients.
- Pourquoi ne s´est-il pas énervé ? s´étonna le garçon. Sans vouloir vous vexer, maître, vous y êtes allé fort avec lui !
- Possible, répondit Artus. Mais avec la guerre, il ne doit pas avoir beaucoup de clients. Il ne va pas s´emporter contre l´un des rares qui s´arrêtent ici. Quant à moi, j´estime qu´il en faisait trop.
- Ah...
Adrien resta un instant pensif puis lança :
- Vous m´expliquez, maintenant ?
- T´expliquer quoi ?
- Ce que vous éludez depuis une semaine. Pourquoi sommes-nous ici ? Où allons-nous ? Que voulez-vous ? Et quand commencera mon apprentissage ?
- Tout ça ?
- Oui.
Artus soupira, se renversa sur le dossier de sa chaise déclara :
- Tu demandes beaucoup. D´un autre côté, il est vrai que tu ne sais pas grand-chose et que tu mérites quelques éclaircissements. En fait, il vaut même mieux que je te raconte tout, quitte à répéter ce que tu sais déjà. Alors ne m´interromps pas.
Adrien approuva d´un signe de tête.
- Bien, dit le magicien. Donc, je m´appelle Seubal Artus...
- Par « répéter ce que je sais déjà », vous entendiez ça ?
- Je t´ai demandé de ne pas m´interrompre. Donc, je suis un Mage de Combat rattaché à la garde du général Pyers Thul´lod, de Dümrist. J´ai été formé là-bas, à l´Académie de Magie. Mon maître m´a envoyé à Kridath pour escorter le Prince Alexandre, et inutile de te rappeler tout ce qui s´est passé là-bas...
- J´ai cru un instant que vous alliez le faire...
Cette fois, Artus ne releva pas l´interruption. Il poursuivit :
- Nous avons donc découvert, tous les deux, que tu possèdes un don immense pour l´art de la magie, un pouvoir incroyable, même si au départ nous croyions que cette puissance était aux mains de ta soeur. Je t´ai aidé à t´enfuir de Kridath, en échange je vais te former et tu prêteras serment d´allégeance au général Thul´lod...
- Et si Dümra perd la guerre ?
Le magicien prit un air sévère :
- Nous gagnerons ! Mon maître n´a jamais perdu de bataille, il ne va pas commencer maintenant ! C´est clair ?
Adrien n´insista pas sur le sujet, apparemment sensible.
- Très clair.
- Bon, fit Artus. Pour tes autres questions, sache que nous cherchons à nous éloigner le plus possible de l´armée d´Itraïr. Depuis une semaine, nous marchons vers le sud...
- J´avais remarqué.
- ... pour atteindre la ville de Ganor, où nous serons à l´abri jusqu´à la fin de cette guerre.
L´aubergiste revint à cet instant avec un plat fumant qu´il posa sur la table avec deux assiettes et des couverts, avant de se diriger vers les autres clients qui réclamaient à boire.
- Et qu´en est-il de la magie ? questionna Adrien en attaquant le ragoût.
- C´est le point essentiel. Ton apprentissage débutera dès que possible. Mais comprends bien que je ne suis pas un professeur et que les conditions ne sont pas idéales pour une formation. Je me contenterai de t´initier à cet art.
- Mais ne pourrais-je pas utiliser mon pouvoir dans cette guerre ?
Artus avala une bouchée avant de répondre.
- Tu es plus puissant que moi, ça ne fait aucun doute. En ta présence, je me sens même écrasé. Tu deviendra un grand mage, sans aucun doute. Peut-être le meilleur. Pourtant, tu n´es pas prêt à te battre.
- Mais...
- Tu vas comprendre, dit Artus avec un petit sourire.
Il leva la main. Aussitôt, Adrien se sentit immobilisé, incapable de bouger le plus petit doigt. Complètement paralysé. Il ouvrit la bouche pour crier, aucun son ne sortit. Il comprit alors qu´Artus venait de lui jeter un sort.
- Pourrais-tu te dégager ? demanda celui-ci.
- Comment faire ?
- C´est bien le problème, répondit le magicien en relâchant sa prise. Tu disposes d´un pouvoir considérable, mais tant que tu ne sauras pas t´en servir, il ne te mènera à rien.
- Mais à Kridath...
- Tu as vaincu des ennemis, je sais. Mais c´était sous le coup de la colère, de la peur. Pourrais-tu recommencer ici ?
Adrien hésita puis céda :
- Je ne crois pas.
- Tu vois ?
- Mais vous, alors ? Vous êtes si fort ? Qui vous empêche de massacrer tous ces Elfes ?
Artus se contenta de sourire un peu plus.
- A ton avis, si un seul magicien pouvait vaincre des centaines d´ennemis, pourquoi l´un d´eux ne dominerait-il pas déjà le monde ?
- Euh...
- Parce que la magie fatigue. A l´instant, je t´ai immobilisé avec mon pouvoir. Même si déplacer ou figer les objets est ma spécialité, je n´aurais pas pu te retenir deux minutes avant de devoir te lâcher. Et plus on a d´adversaires, plus on se vide rapidement de son énergie. Alors imagine combien de temps je tiendrais dans une bataille rangée !
- Je ne comprends pas, dit Adrien. Pourquoi utiliser son pouvoir est-il fatigant ?
- Tu veux vraiment savoir ?
- Oui.
Artus poussa un long soupir.
- Aborder la magie plus en détail est trop complexe pour se limiter à une simple discussion. Il vaut mieux que je commence tout de suite ton initiation. Mais pour cela, mieux vaut se dissimuler aux regards indiscrets.
- Vous allez m´enseigner la magie tout de suite ?
- Non, seulement quand nous aurons fini ce repas.

trop trop bien!!!
J´AI RELEVE UNE FAUTE!!!!
tu dis que adrien est immobilisé et aucun son ne peux sortir de sa bouche.mais juste après, il dit "comment faire" à artus, et c´est seulement après que celui-ci relâche sa prise!!!!

lol sinon c´est toujours aussi super

Y´a une faute de frappe vers le début : " Je fais te régler ton compte", à moins qu´il ait perdu des dents, je crois qu´on dit "vais"

Euh j´ai rien à dire de plus en fait, parce que ben vouala quoi, j´aime toujours autant, la suite Mercredi? Demain? Dans une heure? *espoir vain*

Fautes corrifées. Fe fais réfléfir à un fafon de fous pofer une queftion. F´y fuis !

Est-ce une bonne idée d´expliquer comment fonctionne la magie ? Parce que le but des chapitres avec Artus et Adrien, c´est ça. Alors est-ce que ces cours vous vous plaire ou vous bassiner?

Te connaissant, ils ne peuvent que me plaire, et renforcer la profondeur de ton scénario, qui est déjà très recherché. Je t´encourage vivement à nous poster ces chapitres, et dès maintenant.

moi aussi, je te conseille de les poster!!c´est toujours intéressant de voir comment chacun voit la magie

Bob !! !!!! m´en doutait bien que ds un village de bucheron y en a un qui s´appelerait comme ça

Sinon la conversation finale est pas naturelle je trouve. Le gars tout d´un coup, ben je vais t´initier. J´sais pas c´est mon avis.

chris je vais corrigé parce qu´en effet je me suis mal exprimé, et dans la foulée je t´explique ce que je voulais faire comprendre :

Artus a décidé qu´il formerait Adrien, ça, il le dit dès le départ. Mais il voulait attendre d´être arrivé dans un lieu sûr pour s´y mettre, comme la ville de Ganor. Simplement, Adrien pose trop de questions, Artus s´y perd un peu alors il décide, pour clarifier les choses, de commencer l´initiation tout de suite.

A voir les commentaires que vous faites, on dirait que vous parlez d´une série télévisé américaine style Dallas ou les feu de l´amour ...