il aurait était à la hauteur avec 70% des niveaux comme l'E3 et le reste comme infinite et faut que les niveaux soit different et varié et se suivent d'une trame logique

Pas toutes OK mais pour fouiller les ennemis il faut déjà avoir les munitions pour les tuer, et si tu joues avec un niveau de difficulté "élevé" c'est plutôt indispensable de fouiller partout. Et puis même, tu t'en fous peut-être de trouver des munitions mais l'argent c'est une autre histoire, or les deux se trouvent tous les deux dans les poubelles. Je ne vois pas comment un joueur pourrait décider d'ignorer les fouilles dans ce jeu, même en voyant ça comme un défaut.

Mais la problématique reste exagéré sur ce test, prenant une part bien trop importante alors que c'est mineur comme problème.

Un truc tout con, genre la musique indique en tant réel la présence d'ennemis ou non est un bien plus gros problème que ça, et ça reste mineur comme problème, faut pas exagérer non plus en faisant d'un aspect qui peut, de manière complètement subjectif, gêner, un drame complètement abérant...

Je n'ai pas compris pourquoi le testeur critique le fait qu'on apprend tout à la fin du jeu, j'ai envie de dire et alors ? je ne vois pas ou est le souci

"Sauf quand il s'agit d'écrire une critique de Bioshock 2. "

Au contraire, leur critique de bioshock 2 est pertinente et sans détour

"Et pourtant la série Bioshock est reconnu pour la pertinence de sa narration complètement intégré au gameplay"

Faux. La série Bioshock est reconnue pour la qualité de son univers et (selon certains, déjà plus minoritaires, pour la qualité de sa narration). Presque personne ne s'est intéressé dans la critique professionnelle, à l'interaction entre gameplay et narration.
Ce n'est d'ailleurs pas très étonnant car très peu de jeux ont compris la particularité du jeu vidéo en tant qu'art, y compris chez les level designers. Celui qui l'a le mieux compris est sans doute Jonathan Blow, je conseille de regarder ses interviews, ce type a tout compris

helenedetroie:

Bha le résultat c'est qu'on ne vit pas l'histoire comme un jeu vidéo devrait nous la faire vivre, elle nous est racontée comme dans un film.

Fusion parfaite du gameplay et du narratif (test gamkult de bioshock).

Non seulement Bioshock fait mieux que 99% des jeux dans ce domaine (suivant une structure gameplay/cinématique/gameplay/cinématique) mais en plus il utilise des codes du jeu vidéo dans le scénario, les justifiant de manières pertinente et bien trouvé.
Et dans Infinite, c'est pareil.

Perso ça me dérange absolument pas, du moment que je suis en mode devant et c'est à ce moment qu'on peut se dire : ça s'est du jeu

snakeplisssken Voir le profil de snakeplisssken
Posté le 16 avril 2013 à 22:06:09 Avertir un administrateur
helenedetroie:

Bha le résultat c'est qu'on ne vit pas l'histoire comme un jeu vidéo devrait nous la faire vivre, elle nous est racontée comme dans un film.

Justement moins que dans 99% des jeux.

La narration est adapté à son support.

n'empêche un gta à columbia

Sans la narration et l'histoire, je trouve qui reste peu de choses à Bioshock infinite.

Bioshock c'est un jeu qui raconte une histoire en même temps.
Son gameplay est bon, également, contrairement à ce qu'en dit le test.

JOE LA PLEURNICHE JOE LA PLEURNICHE TON JEU Y PU TON JEU Y PU

NoFrag est juste totalement dans le vrai.

Columbia fait toc. Une fois la claque des premières heures passées, j'ai du me forcer à arpenter les rues (couloirs ?) d'une ville totalement artificielle. J'en ai même rushé les 2 dernières heures en facile (après avoir fait les 3 quarts du jeu en difficile) tellement je voulais en finir.

La direction artistique est époustouflante, l'histoire est très bonne, Elizabeth apporte une présence agréable.
Mais le level design est peu inspiré, les armes / pouvoirs manquent d'originalité, et le farming rébarbatif.

Après avoir pris mon pied à plusieurs reprises sur Dishonored, un FPS où le joueur peut jouer (!), et ne se contente pas de regarder, Bioshock c'est un peu une douche froide. La réalité des FPS actuels en plein dans ma gueule.

AndreiRyanofski
Bioshock c'est un jeu qui raconte une histoire en même temps.
Son gameplay est bon, également, contrairement à ce qu'en dit le test.

Le gameplay n'est pas mauvais, mais il est très loin d'être à la hauteur du travail qui a été fourni dans l'univers de Columbia. Bioshock à la base c'est le gameplay de System Shock 2, qui perd de sa complexité au fil des Bioshock pour se concentrer de plus en plus sur l'aspect FPS pur, ce qui est tout sauf le point fort d'Irrational Games.

"La direction artistique est époustouflante, l'histoire est très bonne, Elizabeth apporte une présence agréable."

Après pour beaucoup c'est suffisant, c'est ce qu'ils attendaient d'un jeu qui porte ce nom.

Dishonored est pour moi un des meilleurs jeu de -carrément- ces dix dernières années mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier mon temps sur Bioshock Infinite, ces défauts étant, pour moi, estompés par ces qualités.
Pas un jeu mémorable, tout comme ces prédécesseurs selon moi (contrairement à System Shock 2) mais pas une daube comme certains pourraient le penser en lisant ce test.

Je vais finir par me demander si je suis passé ces derniers temps de Pciste élitiste à gros casual qui apprécie de la m*rde du moment qu'elle est bien emballée
Clairement pas pourtant 'faut croire que parfois je me contente d'un beau voyage dépaysant ^^

Je suis d'accord.
Ca n'empèche pas le gameplay d'être bon.
J'ai un exemple.
Je me souviens d'un test de Nofrag, sur Fear 2, ou ils disaient que c'était, faute de mieux, ce qui se faisait de mieux en matière de shoot.
Ben voilà
Je trouve le gameplay de bioshock infinite (ou même de bioshock 1, mais le sujet, là c'est infinite)à la fois meilleur, plus riche et plus intéressant que celui de fear 2.
Si on enlève le scénario, les décors, le background des deux et qu'on ne conservait que le gameplay, je me tournerai quand même vers bioshock, même si fear est plus nerveux et jouissif.

Je vous rappelle qu'Irrationnal Game sont ceux qui ont fait SWAT , donc dire que l'action n'est pas leur point fort ...

"La direction artistique est époustouflante, l'histoire est très bonne, Elizabeth apporte une présence agréable."

Après pour beaucoup c'est suffisant, c'est ce qu'ils attendaient d'un jeu qui porte ce nom.

--
Le problème étant que... l'on parle d'un jeu vidéo, pas d'un film.
Si on se limite à ses critères, autant aller voir Oblivion au cinéma (et fermer les yeux quand Tom Cruise est à l'écran).
Je pense que si Dr Loser s'étend sur les défauts du jeu, c'est pour compenser les 99% de publireporters qui les ont totalement occultés, et qui permet au jeu d'avoir un 95/100 sur metacritic. Les points forts du jeu ne sont pas mis en avant, mais ils ne sont pas oubliés, pour avoir du détail, il suffit d'alller sur Jv.com, jv.fr, gamekult, gameblog, ign, gamespy, et j'en passe.

Oui, mais Yolteotl, les jeux videos ont évoluer et maintenant, ils proposent des scénario, ça peut très bien faire l’intérêt d'un jeu.
Et ton argument serait plus viable si le jeu était envahie de cinématiques, ce n'est aps le cas, ou de qte, là non plus.
Les bioshock utilise des mécaniques propres au jeux vidéos pour raconter une histoire, alors, non, l'argument "autant aller regarder un film", n'est pas viable tant l’expérience est différente...

NoFrag est un site de blasés, c'est de notoriété publique.

Je ne comprends pas vraiment pourquoi vous vous offusquez.

On a beau n'être pas d'accord avec Dr Loser, il a souvent raison.
C'est un vieux de la vieille.

Si on gratte un peu on se rend clairement compte que le jeu n'est que poudre aux yeux (comme le 1 à l'époque).

'tain mais matez Steins Gate et revenez parler du scénar. De ce côté, le jeu est banal, du vu et revu.

Pour ce qui est de l'environnement et de l'univers on frôle le génie et cela à chaque Bioshock. Mais les développeurs n'arrivent pas à développer cette créativité dans le gameplay et le level design.

Le bestiaire est vachement limité alors qu'il y avait largement de quoi faire avec cette atmosphère épique.

Je trouve qu'ils ont gâché tout le potentiel de Rapture et en l'occurence de Columbia.

On se retrouve avec des objectifs basiques et à fragger en masse