Derniers tests de jeux vidéo - page 770

Ah ! Je me gausse. Moi y me font bien marrer les gosses d'aujourd'hui avec leurs PoKeMoNS (ça va, je l'ai bien écrit monsieur Nintendo ? Pas de procès en vue ?). Nous de notre temps on avait déjà des héros évolutifs de la mort : les Transformers ! Et c'était quand même autre chose je peux vous le dire, rien à voir avec ces sales bestioles tout juste capables d'éructer leur nom, et encore en bafouillant. Tsss, ça m'étonne pas que les jeunes tournent mal.

On a beau dire, l'accueil réservé à chaque nouveau titre Pokémon ferait pâlir de jalousie n'importe quel soft lambda, et même si le phénomène semble un petit peu passé de mode, la passion qui anime les fans est encore bien réelle. Le Pokémon Colosseum dont il est question aujourd'hui profite donc d'une réelle attente de la part d'un grand nombre de possesseurs de GameCube, et le contenu qu'il propose devrait suffire à les relancer.

Moins de 6 mois, c'est le temps qu'il aura fallu à MC2 pour sortir Syberia 2 sur console après le très retardé premier épisode. Mais ne vous y trompez pas, car c'est bien près d'un an et demi de développement qui ont été nécessaire pour peaufiner la fin des aventures de Kate Walker. En effet, ce deuxième épisode de Syberia sera bien le dernier. Raison de plus pour s'attarder sur cette série déjà culte.

Dur dur de trouver un angle pour aborder Memorick tant ce jeu se montre banal et anodin. J'aurais aimé vous faire une grande et belle introduction pour vous conter les légendes arthuriennes sur lesquelles tout le scénario repose, mais non, l'inspiration ne vient pas. Un peu comme si inconsciemment, je me montrais solidaire des développeurs...

Qui n'a jamais regretté de s'être réveillé au beau milieu d'un doux rêve sans pouvoir jamais en connaître la suite ? De la même manière, combien de joueurs ont regretté d'avoir dévoré d'une traite l'aventure de Syberia, se retrouvant alors obligés d'attendre pratiquement deux ans pour découvrir la suite ? On est tous comme ça, quand quelque chose nous plaît, on aimerait que cette chose ne finisse jamais. Pourtant, tout a une fin, même l'incroyable voyage de Kate Walker en direction des contrées gelées de Syberia. Son voyage se termine, mais les rails qui la guident lui réservent encore de beaux moments.

Mais à quoi joue TDK avec sa série des World Racing ? Après une version Xbox plutôt sympathique sortie en février 2003, il a fallu attendre septembre pour que le jeu soit adapté sur PS2, puis sur PC avec beaucoup moins de brio. Aujourd'hui, et alors que World Racing 2 est déjà attendu pour le courant de l'année, l'éditeur nous fait parvenir une version GameCube du premier volet. Un portage encore plus effroyable que sur PC.

Après avoir connu la malheur sur les consoles de salons (Xbox non comprise), Serious Sam vient s'ajouter à la liste des FPS en trop sur GBA. Drôle et défoulant à l'origine, voilà que le soft de Croteam devient creux et énervant. En fait, quand on arrête d'y jouer ce dont on a besoin c'est de s'en faire une partie sur PC.

Vous êtes-vous déjà interrogé sur la longévité d'une tortue ? La tortue des Galapagos est-elle plus résistante que la tortue Boîte Américaine à 3 doigts ? Et pourquoi la tortue happeuse est-elle si dangereuse ? La seule chose certaine, c'est que les tortues mutantes ne vieillissent pas. A l'heure où la série animée continue son petit bonhomme de chemin sur nos écrans de télés, les Tortues Ninja nous prouvent qu'elles ont encore suffisamment de ressources pour jouer les vedettes dans un jeu de baston.

Proches cousins des Razmokets tant par l'esprit que par le design du dessin animé, tous les membres de la famille Delajungle viennent explorer les contrées plus si sauvages que ça de la GBA.

Remarqué sur le stand de Konami à l'occasion du dernier Tokyo Game Show, CY Girls laissait présager d'un jeu plutôt sympathique, et pas seulement attractif pour ses pulpeuses héroïnes mais aussi pour sa dimension action/infiltration qu'on espérait riche en possibilités de jeu. Malheureusement, une fois le pad en main, il faut bien admettre que l'on est en présence d'une bien modeste production.

La dernière itération de la série des NFS sur GBA avait, comment dire ? Peu convaincu. Cet épisode dédié à Porsche ne fera guère mieux puisqu'il reprend les mêmes défauts que son aîné et en ajoute de nouveaux. Aujourd'hui, non seulement les courses sont ennuyeuses mais en plus on a pas de voitures.

Souvenez-vous. C'était un beau matin de 1992, et votre Megadrive flambant neuve ne se doutait pas un seul instant de ce qui allait lui arriver. Tout juste remis d'un opus plus que réussi de Fire Emblem, et attendant une séquelle qui ne devait pas tarder à arriver dans les rangs de Nintendo, vous vous lamentiez dans votre antre de RPGiste estampillée Sega, vous disant que jamais vous ne pourriez profiter de la splendeur d'un Tactical-RPG digne de ce nom. C'est alors que jaillit le sublime Shining Force, découlant des mains expertes de Sonic Software Planning. Il était à présent temps de découvrir l'un des titres les plus emblématiques du monde vidéoludique. Le voyage ne faisait que commencer.

Largement inspiré par le film Les Sept Samouraï de Akira Kurosawa, et d'ailleurs réalisé en collaboration avec la société de production de ce dernier, Seven Samurai 20XX nous présente une relecture plus futuriste de la chose. Plus futuriste mais aussi moins alléchante.

Parfois, on donne des noms idiots aux jeux. Tenez là par exemple, Lethal Skies II, soit, en français parlé, "Cieux Mortels 2". Hein non mais franchement, c'est ridicule. C'est bien la preuve qu'il y a parfois de rouages qui grincent dans les sections marketings.

Le studio suédois Iridon Interactive compte bien rendre hommage aux grands westerns américains des années 1960 avec Wanted Guns, un jeu d'action dont l'ambiance s'inspire grandement de la conquête de l'ouest. Au menu : shoot, infiltration et phases à cheval.

Voilà déjà belle lurette que le gars Sam est venu secouer les puces des joueurs PC et, plus tard, Xbox. Ce n'est qu'assez tardivement donc que les consoles de Sony et Nintendo voient débarquer chez elles ce grand malade. Une attente pas très justifiée au regard du résultat peu brillant.

L'ancêtre du shoot'em up s'extirpe de la mémoire collective pour nous rappeler qu'il suffisait jadis de quelques pixels bien organisés pour susciter en nous la passion fiévreuse du jeu vidéo. Pourtant, en 25 ans, les mentalités changent et l'exigence des joueurs prend parfois le pas sur la nostalgie, au point de se demander s'il existe encore aujourd'hui des hardcore gamers capables de s'enflammer pour une partie du Space Invaders de 1978.

Voilà déjà belle lurette que le gars Sam est venu secouer les puces des joueurs PC et, plus tard, Xbox. Ce n'est qu'assez tardivement donc que les consoles de Sony et Nintendo voient débarquer chez elles ce grand malade. Une attente pas très justifiée au regard du résultat peu brillant.

Quelques semaines après s'être fait gentiment refouler du saloon PC, voilà que Dead Man's Hand s'aventure sur les terres de la Xbox. Je ne suis pas sûr que l'accueil y sera meilleur même s'il est vrai que la concurrence y est moins rude en matière de FPS.

A défaut de Pokemon, c'est de Digimon dont nous allons parler aujourd'hui, série bien plus évoluée que la première nommée, sans vouloir faire de mauvais jeu de mots. Pourtant, il n'est point ici question de RPG et de chasse mais plutôt de course.