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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Après avoir créé la surprise avec Riddick, Starbreeze confirme son talent en matière de FPS mais également les progrès qu'il lui reste à accomplir pour assurer un certain "polish" à ses jeux. The Darkness, ou l'histoire d'un très bon titre qui rate l'excellence de peu.
Avis à tous les Moldus, Celui-Dont-Le-Front-Est-Zébré-Par-Un-Eclair s'apprête à revenir sur le devant de la scène pour une aventure que se partagent toutes les consoles de salon de la galaxie, conformément à la politique multi plates-formes d'Electronic Arts. Harry Potter Et L'Ordre Du Phénix, un jeu basé sur le film du même nom plus que sur le roman de la richissime J.K. Rowling, précède donc de quelques jours les nouvelles pérégrinations pelliculées du petit sorcier et vous propose pour la première fois d'explorer librement Poudlard.
Un nouveau casse-tête débarque sur DS pour tenter de se forger une place au soleil parmi les ténors du genre. Mais nouveau n'est peut-être pas le terme le plus adéquat pour décrire Puzzle League DS puisqu'à l'image de Tetris DS, c'est en fait un concept assez ancien que l'on retrouve ici remanié spécifiquement pour la console portable de Nintendo. Avec des mécanismes de jeu simples mais accrocheurs, de nouveaux modes, un joli stylet et un petit prix, le soft semble posséder tous les atouts pour un superbe retour en grâce.
La "bête à bon Dieu" n'est plus ce qu'elle était. Avec le battage médiatique effectué par Disney autour de la saga cinématographique et télévisuelle de la Coccinelle, l'insecte n'évoque plus, pour la plupart des gens, qu'un véhicule atypique dépossédé de ses origines naturelles. Mais à force de s'incruster sur consoles dans des adaptations pas très folichonnes, Choupette va finir par perdre une bonne partie de son charisme.
Les fléchettes, discipline très connue tout en étant à la fois bien mystérieuse car combien de personnes en connaissent réellement les règles, nombreuses et variées selon le type de partie disputée ? Une chose est certaine, ce n'est pas Touch Darts qui va aider à dévoiler les secrets de la cible.
Comme pour se faire remarquer, la version Wii des Sims 2 : Animaux & Compagnie arrive bien après les autres moutures consoles, et pourtant le soft n'a pas changé. Il s'agit toutefois du premier de la série à voir le jour sur Wii, en attendant un MySims qui s'annonce peut-être un peu plus original.
La DS accueille aujourd'hui une nouvelle vision des aventures de Mega Man. Nouveau contexte, nouvelle histoire pour un jeu qui ressemble étonnamment aux épisodes Zero, sortis sur GBA il y a quelques années. Mais rassurez-vous, ce constat n'est pas à prendre sous la forme d'une critique, bien au contraire.
Lessivées par des années 2000 peu indulgentes envers tous les anciens héros de FR3, les seules tortues bipèdes au monde, têtues comme des mules, tentent une nouvelle mue sur grand écran. Détenteur de la licence, Ubisoft a coordiné son exploitation vidéoludique sur l'ensemble des supports, 9 au total. Parmi ces adaptations, il y en a une qui craint méchamment. A vous de deviner laquelle. Je vous donne un indice : ce n'est pas la version GBA.
Reprenant la formule alchimique des deux premiers opus, non sans y avoir ajouté quelques éléments secrets, Gust nous a transmuté ses deux premiers épisodes en un troisième segment toujours aussi joli, frais et naïf. Mais la naïveté a-t'elle encore sa place de nos jours, surtout quand elle sert simplement un univers et non un scénario ?
Après avoir sagement fait ses classes sur la série Age Of Wonders, brillante repompe sans complexes de Heroes Of Might And Magic, Triumph Studio poursuit avec une oeuvre un peu plus personnelle. Car Overlord est présenté par ses créateurs comme une entreprise de démolition, un pastiche sans pincettes des sous-Tolkienneries abrutissantes dont le jeu vidéo nous abreuve depuis la nuit des temps (Age Of Wonders inclus, d'ailleurs). Et pour ne pas être taxé de faire eux-mêmes comme les autres, les développeurs ont opté pour un gameplay atypique, sorte de beat'em all auréolé de micro gestion à la Pikmin. Malgré la réussite incontestable de ce mélange, il y a quand même peu de chances qu'Overlord fasse date, la faute à des défauts trop criants. On l'appréciera plutôt comme un excellent rafraîchissement, que l'on oubliera poliment sitôt la période estivale terminée.
Après avoir sagement fait ses classes sur la série Age Of Wonders, brillante repompe sans complexes de Heroes Of Might And Magic, Triumph Studio poursuit avec une oeuvre un peu plus personnelle. Car Overlord est présenté par ses créateurs comme une entreprise de démolition, un pastiche sans pincettes des sous-Tolkienneries abrutissantes dont le jeu vidéo nous abreuve depuis la nuit des temps (Age Of Wonders inclus, d'ailleurs). Et pour ne pas être taxé de faire eux-mêmes comme les autres, les développeurs ont opté pour un gameplay atypique, sorte de beat'em all auréolé de micro gestion à la Pikmin. Malgré la réussite incontestable de ce mélange, il y a quand même peu de chances qu'Overlord fasse date, la faute à des défauts trop criants. On l'appréciera plutôt comme un excellent rafraîchissement, que l'on oubliera poliment sitôt la période estivale terminée.
Lorsqu'un super virus se met en tête de dominer le monde en piratant tout le matériel électronique à sa portée et que seul un quatuor de collégiens au grand coeur se montre capable de l'en empêcher, cela donne Code Lyoko, une série animée qui rencontre depuis quelques années un fort joli succès en France, son pays d'origine, mais surtout aux Etats-Unis où elle semble particulièrement plébiscitée par les jeunes téléspectateurs. Et voici maintenant que DC Studios nous propose de plonger directement dans cet univers grâce à un jeu d'action particulièrement fidèle à son modèle.
En dépit d'une série d'adaptations dont la qualité nous pousserait à inventer le terme "navrance", Activision s'entête avec la licence de Shrek et accompagne donc logiquement la sortie du troisième film d'un nouveau jeu médiocre mais qui fera sûrement recette.
Fort Boyard, le retour. Ayant déjà écumé le PC à de nombreuses reprises, Fort Boyard visite pour la première fois la DS, y laissant déferler ses nombreux mini-jeux à la logique purement mécanique et aussi abrutissante qu'ennuyeuse.
Bien le bonjour à Kirby qui nous revient sur DS, plus rondouillard et plus rose que jamais, pour une nouvelle aventure destinée aux fins gourmets. Alors que Kirby : Power Paintbrush nous laissait diriger notre bouboule magique à l'aide du stylet, cette dernière sortie de Kirby se détourne un peu de la course au tactile pour revenir vers un gameplay plus classique, dans la veine des titres GBA. Est-ce à dire que ce nouvel épisode constitue une régression ? Vous l'apprendrez bien assez tôt en parcourant ce test.
Si la série des Armored Core a connu des hauts et des bas sur nombre de supports, elle s'en est toujours suffisamment bien sortie pour que chaque nouvelle console, ou presque, accueille son épisode. Cette fois, ce sont les deux soeurs ennemies, la PS3 et la Xbox 360, qui profitent de la nouvelle itération "boulonesque" sortie des usines de From Software et si le principe fondamental synonyme de combats survitaminés ne bouge pas d'un iota, la réalisation franchit un nouveau palier.
Si la série des Armored Core a connu des hauts et des bas sur nombre de supports, elle s'en est toujours suffisamment bien sortie pour que chaque nouvelle console, ou presque, accueille son épisode. Cette fois, ce sont les deux soeurs ennemies, la PS3 et la Xbox 360, qui profitent de la nouvelle itération "boulonesque" sortie des usines de From Software et si le principe fondamental synonyme de combats survitaminés ne bouge pas d'un iota, la réalisation franchit un nouveau palier.
Avec des titres comme LocoRoco, Gitaroo Man ou même Exit, la PSP ne manque pas de softs conceptuels dans sa ludothèque, mais on s'aperçoit néanmoins qu'il n'existe pour l'instant pas grand-chose dans la catégorie party-game. Atari vient donc combler cette lacune en sortant Hot Pixel, un titre qui plagie allègrement Wario Ware sans pour autant réussir à l'égaler.
Il y a quelques années, les jeux de gestion étaient réservés quasi exclusivement au PC. Certes, il y avait bien quelques transfuges qui tentaient de s'exiler sur consoles de salon et sur portables avec plus ou moins de bonheur (Zoo Tycoon, Theme Park...), mais depuis quelques temps, il faut bien admettre que le mouvement s'est accéléré. C'est surtout vrai sur la DS, une machine qui attire les développeurs grâce à son écran tactile capable de remplacer une souris sans grand problème. On a pu voir le résultat très convaincant que ça avait donné avec l'excellent Anno 1701. On se lance donc dans ce Sim City DS sans aucune appréhension, pensant que le gameplay serait aussi bien pensé que celui du titre précité. Hélas, on se rend vite compte que ce n'est pas le cas.
Il se fait attendre depuis tellement longtemps qu'on avait presque fini par l'oublier. Le flipper aux couleurs de Metroid Prime se décide enfin à investir l'hexagone, alors qu'il est disponible depuis belle lurette aux Etats-Unis et au Japon. Mieux vaut tard que jamais, dit-on, et c'est encore plus vrai dans le cas de ce Metroid Prime Pinball qui fait partie de ces jeux dont on ne peut plus se passer une fois qu'on y a goûté.