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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Mélange réussi de jeu de rôle et de réflexion, Puzzle Quest avait convaincu les joueurs comme les critiques en 2008. C'est donc avec un certain enthousiasme que nous accueillons aujourd'hui cette suite sur le Xbox Live Arcade. Pour autant, la formule fonctionne-t-elle toujours aussi bien en 2010 sur une console de salon ?
Ah lala... Les mauvaises imitations... Il y en a tellement dans le jeu vidéo que l'on pourrait en faire un bouquin, voire une encyclopédie. Combien de développeurs ont essayé de copier un titre à succès pour finalement nous larguer un bon gros bouson bien odorant ? Vous voulez un exemple tout frais ? Tournament of Legends.
Après une première mouture d'excellente qualité sur PC, PS3 et 360, Disney et Black Rock Studio remettent le couvert pour Split/Second : Velocity, cette fois sur iPhone. Bien que portant le même titre à la majuscule près, la version sur le portable d'Apple est tout de même bien différente de ce que les consoles de salon nous ont montré.
S'enfilant dans la brèche ouverte par l'Odyssée du Roi Maudit, les slimes élevés au riz collant prennent à nouveau d'assaut l'Hexagone, reprenant avec fierté leur patronyme de « gluants ». Ayant déjà fait la joie des possesseurs de DS par le biais des remakes et des épisodes Monsters Joker, la grande famille des Dragon Quest a choisi la portable de Nintendo pour lancer son neuvième épisode numéroté.
Si une idée originale pouvait suffire à faire oublier tous les défauts d'un jeu, comme les choses seraient simples. Mais c'est comme ça, avoir ne suffit pas, il faut aussi et surtout savoir la mener jusqu'au bout.
Jake, jeune pubère héros principal de l’histoire, voit son lycée attaqué par d’étranges créatures. Ces dernières ne se contentent pas seulement de semer le chaos, elles emportent les élèves et le personnel dans les ténèbres pour les transformer en monstres. Pour survivre dans ce chaos, il lui faudra tracer un chemin de lumière à travers chaque salle plongée dans le noir et les traverser une par une.
1996 marque l’ultime retour sur Super NES du plus célèbre des plombiers, cette fois dans un épisode qui a assurément dû faire dresser les cheveux sur la tête des fans du personnage. En effet, il n’est plus question ici d’inconditionnelles et uniques phases de plates-formes, mais plutôt d’un épisode tourné vers le registre du jeu de rôle ! Quoi, Mario, dans un jeu de rôle, vous dites ? Sans nul doute, c’est encore une folle idée de Squaresoft !
1996 marque l’ultime retour sur Super NES du plus célèbre des plombiers, cette fois dans un épisode qui a assurément dû faire dresser les cheveux sur la tête des fans du personnage. En effet, il n’est plus question ici d’inconditionnelles et uniques phases de plates-formes, mais plutôt d’un épisode tourné vers le registre du jeu de rôle ! Quoi, Mario, dans un jeu de rôle, vous dites ? Sans nul doute, c’est encore une folle idée de Squaresoft !
Sur Playstation Network, il y a des jeux qui marqueront durablement les joueurs et d'autres moins. Par chance, DeathSpank : Episode 1 : Orphans of Justice appartient justement à la première catégorie. Bénéficiant d'un design unique et d'un gameplay accessible, ce hack'n slash délirant signé Ron Gilbert (le créateur des Monkey Island) mérite vraiment le détour comme nous allons le voir sans tarder.
Sur Xbox Live Arcade, il y a des jeux qui marqueront durablement les joueurs et d'autres moins. Par chance, DeathSpank : Episode 1 : Orphans of Justice appartient justement à la première catégorie. Bénéficiant d'un design unique et d'un gameplay accessible, ce hack'n slash délirant signé Ron Gilbert (le créateur des Monkey Island) mérite vraiment le détour comme nous allons le voir sans tarder.
A Boy and his Blob ne dira peut-être rien aux jeunes joueurs. Aux plus anciens pourtant, la simple évocation du nom fera souffler un doux vent de nostalgie dans leurs souvenirs. Ils se rappelleront sans doute du premier volet sorti jadis sur Nes ou peut-être de sa suite sur Gameboy. Après 19 ans de silence et deux tentatives de résurrections avortées (sur GBA puis sur DS), il est grand temps de retrouver notre garçon et son fameux Blob.
A une époque lointaine où le jeu de rôle informatique se limitait quasi-intégralement à parcourir d’interminables couloirs en exterminant tout ce qui avait le malheur de se présenter sur la route du héros, une série parmi toutes les autres est parvenue à se faire un nom en proposant une véritable approche du rôleplay en lieu et place de l’habituelle course à l’expérience. Initiée par Richard Garriott, la saga Ultima a marqué au fer rouge toute une génération de joueurs, et inspiré des références aussi célèbres que Dragon Quest ou Final Fantasy.
Si je vous dis Sega vous me répondrez très certainement Sonic ! Vous aurez bien sûr raison mais le hérisson bleu ne fut pas toujours la mascotte de l'ex-constructeur. Avant lui, la vedette revenait à Alex Kidd, un personnage que nous allons redécouvrir via sa troisième aventure.
Décidément, il faut vraiment chercher les innovations de gameplay du côté des jeux indépendants. C'est ce que prouve Cold Beam Games, après tant d’autres, en nous livrant une petite merveille du nom de Beat Hazard un shoot'em up dans la lignée d'Audiosurf. Ou plutôt la réponse à ce dernier.
Dans la famille des séries de RPG pointant souvent aux abonnés absents en Europe, je demande les Tales of ! Représentée pour la première fois sur notre vieux continent en 2004 par le génialissime Tales of Symphonia, la franchise de Namco a depuis autant soufflé la joie que le désespoir dans le coeur de nombreux amateurs occidentaux de jeux de rôle, étant donné l'intermittence avec laquelle les opus de cette série se sont décidés à parvenir jusqu’à nous. Il faut dire que cette licence a de quoi se faire désirer, chacun de ses épisodes étant synonyme d’innombrables heures de bonheur et c’est donc sans appréhension que nos yeux se sont posés sur Tales of Hearts, sans doute le dernier volet à paraître sur Nintendo DS.
Lorsqu’on se souvient, émus, d’un vieux jeu qui nous a marqués, on évoque bien souvent un élément de gameplay particulier, une musique entêtante qui fait remonter en nous le baume de la nostalgie, ou bien des graphismes éblouissants nous ayant scotchés des heures durant. Mais très rarement, on évoque ces ancêtres virtuels pour tout le mythe qui s’est tissé autour de leur développement, pour la prouesse d’un homme, animé d’une ambition créatrice si féroce, qui s’enferma deux années entières pour produire, seul, une œuvre qui allait renverser notre perception d’un média tout entier, et hisser son jeu au rang d’art mineur, pour l’éternité.
La route, royaume d’asphalte pour des hors-la-loi en quête de liberté, théâtre vrombissant de moteurs assoiffés, où le métal hurlant résonne comme parole d’évangile. Rejoignez une armée de motards sans peur ni moral dans un tournoi illégal à travers l’Amérique. Bienvenue dans Road Rash 2 !
Lorsqu’on se souvient, émus, d’un vieux jeu qui nous a marqués, on évoque bien souvent un élément de gameplay particulier, une musique entêtante qui fait remonter en nous le baume de la nostalgie, ou bien des graphismes éblouissants nous ayant scotchés des heures durant. Mais très rarement, on évoque ces ancêtres virtuels pour tout le mythe qui s’est tissé autour de leur développement, pour la prouesse d’un homme, animé d’une ambition créatrice si féroce, qui s’enferma deux années entières pour produire, seul, une œuvre qui allait renverser notre perception d’un média tout entier, et hisser son jeu au rang d’art mineur, pour l’éternité.
Né d’une collaboration entre Enix et Squaresoft qui fêtait alors ses 10 ans, Chrono Trigger a été développé sous la houlette d’une équipe de rêve dans laquelle on recensait entre autres le fondateur de Final Fantasy et le réalisateur de Dragon Quest. C’est donc logiquement que ce petit bijou ébranle le monde des RPG à sa sortie en 1995, avec notamment un scénario en marge des concepts habituels et arborant un thème à la fois utopique et source de nombreux rêves. Oui mesdames et messieurs, il est question ici de secourir le monde en voyageant à travers le temps… Et c’est en l’an 1000, dans le royaume de Gardia, que cette merveilleuse aventure débute.
Trois ans après Galaga Legions, une relecture moderne du fameux shoot'em up de Namco jamais sortie sur PS3, l'éditeur remet ça avec une version DX dotée de quelques nouveautés. Cette variante mérite-t-elle l'investissement quand on est amateur de jeux de scoring ? C'est la question à laquelle nous allons tenter de répondre.