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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Espace... Frontière de l'infini vers laquelle avance notre vaisseau. Sa mission : explorer un nouveau monde étrange, découvrir les nouvelles vies et les civilisations qu'il renferme, et au mépris du danger... s'enfoncer dans l'inconnu. Voilà comment l'on pourrait résumer le jeu Rama. Créé par l’écrivain Arthur C. Clarke lui-même, ce jeu a t-il quelque chose à envier aux grands du jeu d'aventure comme Myst ou L'Amerzone ?
Les consoles portables recèlent décidément bien des surprises. Succédant à ses illustres prédécesseurs sur GBA, les bien nommés Riviera et Yggdra Union, Knights in the Nightmare fait le choix de la rupture et propose un univers totalement indépendant de ses précédents opus. Le RPG tactique s’en voit-il étoffé ou bien affublé d’un énième nanar vidéoludique ?
Ce n'est pas forcément facile pour un studio de rebondir après avoir accouché d'une série à succès. Les petits gars de IO Interactive en font la douloureuse expérience. Après s'être illustrés avec les excellents Hitman, ils peinent aujourd'hui à convaincre les joueurs avec la licence Kane & Lynch. Malgré quelques bonnes idées, le premier volet n'était pas une réussite, et ce n'est malheureusement pas cette suite qui viendra redorer le blason de la série.
Ce n'est pas forcément facile pour un studio de rebondir après avoir accouché d'une série à succès. Les petits gars de IO Interactive en font la douloureuse expérience. Après s'être illustrés avec les excellents Hitman, ils peinent aujourd'hui à convaincre les joueurs avec la licence Kane & Lynch. Malgré quelques bonnes idées, le premier volet n'était pas une réussite, et ce n'est malheureusement pas cette suite qui viendra redorer le blason de la série.
Ce n'est pas forcément facile pour un studio de rebondir après avoir accouché d'une série à succès. Les petits gars de IO Interactive en font la douloureuse expérience. Après s'être illustrés avec les excellents Hitman, ils peinent aujourd'hui à convaincre les joueurs avec la licence Kane & Lynch. Malgré quelques bonnes idées, le premier volet n'était pas une réussite, et ce n'est malheureusement pas cette suite qui viendra redorer le blason de la série.
Les plates-formes de téléchargement regorgent de merveilles. Si vous êtes de ceux qui écument le Xbox Live Arcade ou le Playstation Network, vous vous en êtes sûrement déjà rendu compte. S’plosion Man ou Shadow Complex pour ne citer qu’eux n’auraient probablement jamais vu le jour si ces marchés virtuels n’avaient pas existé. Mais dans la masse de jeux qui déboulent sur ces plates-formes, certaines perles se perdent malheureusement en cours de route. C’est le cas de Blacklight : Tango Down, qui n’a sans doute pas connu le succès qu’il mérite.
Mélange réussi de jeu de rôle et de réflexion, Puzzle Quest avait convaincu les joueurs comme les critiques sur PC en 2007. Après un épisode Galactrix décevant, cette suite parviendra-t-elle à relancer l'intérêt de la série ?
Tiré d'une bande dessinée, l'arrivée du film Scott Pilgrim nous permet d'accueillir une adaptation ludique du comics d'origine. Un hommage aux jeunes années du jeu vidéo que les amateurs de rétrogaming sauront apprécier.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la DS a su accueillir au fil des années un nombre assez conséquent de RPG de qualité sur son fameux double écran. Mais il est un type de jeu de rôle qui ne dispose encore que d’un nombre très restreint de représentants sur ce support, j’ai nommé le RPG tactique. Une injustice, que dis-je, une tare que les petits gars de Image Epoch se sont fait un devoir de corriger avec Luminous Arc.
Après avoir sillonné les rues pentues de San Francisco, la charmante famille de Big City Adventure nous revient avec une nouvelle destination. Cette fois-ci cap sur l’Australie, direction Sydney plus précisément où nos chers touristes vont pouvoir épancher leur soif de savoir. Car ces gens-là ne sont pas du genre à se faire dorer la pilule sous le soleil australien, ah ça non! Laissant la plage aux surfeurs et la farniente aux étudiants, notre sympathique famille (qui n’a pas de nom soit dit en passant) a la ferme intention de squatter les hauts lieux historiques de la ville. Alors en route pour un marathon culturel qui risque fort de vous coûter la vue...
Il y a de cela un peu plus d’un an, une nouvelle figure du RPG tactique faisait son apparition sur la scène de la Nintendo DS, proposant une introduction tout en douceur à ce genre particulier de jeu de rôle fort peu représenté. Luminous Arc était né. Et c’est aujourd’hui en toute logique que nous accueillons son fier descendant qui, loin d’être paresseux, a su tirer les leçons des erreurs de son aîné. Mais pas que.
Fondé en 2003, Sigma Team est un studio russe indépendant qui a réussi à se faire un petit nom auprès des amateurs de jeux d’action old-school grâce à Alien Shooter. A sa sortie, ce hit and run (un hack'n slash avec des armes à feu) bien sympathique manque toutefois de contenu : faible durée de vie, décors bien trop répétitifs ainsi qu’une difficulté vraiment courte le condamnent à n’être qu’un petit jeu sympa sans plus. Avec Alien Shooter 2 (intitulé Vengeance), Sigma Team a bien l’intention de corriger tous les défauts du premier épisode. Après un succès non négligeable pour un jeu indépendant de ce genre, les développeurs profitent de sa distribution hors de son seul site officiel pour apporter quelques modifications. Renommée en Alien Shooter 2 Reloaded, c’est cette version qui nous intéresse dans ce test.
Secret of Mana a clairement chamboulé le monde vidéoludique à sa sortie en 1994. A la fois innovant et plein de charme, il a su attirer une grande partie des rôlistes en proposant une aventure plutôt simple mais vraiment unique et prenante. C’est donc sur cet héritage que sort un an après Seiken Densetsu 3, une suite qui reste dans la digne lignée de son prédécesseur tout en proposant ses propres nouveautés.
Ah, ce bon vieux Ranger X… Ce nom ne vous dit rien ? Ne vous en faites pas, c’est tout à fait normal puisque ce jeu est passé totalement inaperçu lors de sa sortie en 1993. Trop commun ou manquant d’envergure peut-être ? Justement pas, ce titre fantôme de la ludothèque Megadrive se présente comme l’un des shoots à méchas les plus aboutis de la machine de Sega. Mais alors, qu’est-ce qui a pu provoquer l’insuccès de ce titre qui semblait pourtant si prometteur ?
Ouah ! Mais il a l’air génial ce jeu ! En plus, sur la jaquette il y a un monsieur super classe avec plein de muscles en train de mettre une dérouillée à un super méchant ! Dis, maman, tu peux me l’acheter s’il te plaît ? Allez ! Il a l’air vraiment trop bien. Mais si, regarde, au dos de la boîte, il y a écrit qu’il va falloir cogner, rosser et démolir des brutes féroces… et des durs à cuire aussi ! En plus, ils disent que je vais aussi devoir utiliser ma matière grise pour progresser dans des labyrinthes inextricables pour trouver la sortie. Je peux l’avoir maman ? S’il te plaît !
Qui a dit que la Dreamcast était morte ? Tel le Phénix, elle revient régulièrement à la vie grâce à des développeurs bien conscients de son potentiel infini mais surtout de la large et fidèle communauté de joueurs qui refusent de laisser la dame blanche de Sega sombrer dans l'oubli. Si ces pontages coronariens s'effectuent pour la plupart à grands coups de shoot'em up, un jeu vient parfois déroger à la règle. C'est ce que fait avec brio Wind and Water : Puzzle Battles : un puzzle-game de premier choix qui s'appuie sur un concept en béton armé et qui, par-dessus le marché, a été exploité et fignolé jusque dans les moindres détails. Puyo Puyo, Bust-A-Move et même Tetris peuvent commencer à trembler car le dernier bébé du petit studio Yuan Works possède tous les atouts pour leur faire de l'ombre.
Le studio Quintet est principalement connu pour sa fameuse trilogie regroupant Soul Blazer, Illusion of Time et Terranigma. Mais bien avant leur apparition, le studio s’était déjà fait remarquer par ActRaiser, un jeu on ne peut plus simple mais des plus prometteurs. Voyons comment il a su s’imposer auprès des joueurs, au point finalement de devenir un titre culte.
Le studio Quintet est principalement connu pour sa fameuse trilogie regroupant Soul Blazer, Illusion of Time et Terranigma. Mais bien avant leur apparition, le studio s’était déjà fait remarquer par ActRaiser, un jeu on ne peut plus simple mais des plus prometteurs. Voyons comment il a su s’imposer auprès des joueurs, au point finalement de devenir un titre culte.
Personne ne dira le contraire, la ludothèque de la Megadrive est connue pour regorger d’une quantité innombrable de jeux de plates-formes. C’est évidemment une bénédiction pour les aficionados du genre même si, c’est le revers de la médaille, ils ne sont pas tous de qualité irréprochable. Il convient donc de faire le tri et parfois, perdu au milieu de la médiocrité ambiante, un jeu méconnu parvient à sortir du lot. C’est le cas de Capt’n Havoc qui, même s’il n’est pas exempt de tout défaut, est un jeu sympathique dans un univers de piraterie maritime qui rappelle sur certains points Sonic the Hedgehog. Un nouveau vent d’aventure souffle sur la Megadrive, fermez les yeux et laissez-vous emporter.
Chaque console de jeu sortie à ce jour possède son lot de jeux « cultes », inéluctablement liés à la machine qui les a vus naître, ainsi qu’au cœur des joueurs qui s’y sont essayés. Et, bien que l’on ne puisse pas dire que la Saturn brille par la quantité de titres qui composent sa ludothèque, la qualité de nombre de ces jeux suffit amplement à faire valoir les qualités intrinsèques de la machine de Sega. C’est dans ce cas de figure que l’on retrouve Nights, un jeu conceptuel envoûtant et terriblement attachant, sa simple évocation provoquant un accès de mélancolie à toute personne y ayant goûté. Après toutes ces années, le jeu a-t-il su conserver tout son charme ? Le personnage qui a réussi à évincer Sonic de son rôle de mascotte parvient-il toujours à nous immerger dans son monde onirique, ou ce dernier a-t-il aujourd’hui tourné au cauchemar ?